[quote=Vero,t=1356736360,id=151415]Misery rime avec "un sourire triste", le tien.

Qu'en sais-tu de mon sourire ?
Tu le connais ??? ^^
Je l'ai Dame panthère, je l'ai, il m'appartient.
Par contre nous savons, toi comme moi, que l'écran, le clavier permettent des livraisons et des cou-couche panier, inabordables par no body, et abordables par no body...
Ma vie, je la poursuis bon an mal an... sans baclo pour autant et sans en être détracteur, et avec le sourire ! et toc !

RESPECT, c'est possible dans ton dictionnaire ????

"Misery" rime avec "ramassis" ?

Accessoirement vécu, ressenti, expérience, douleur...

Mignonne la pointure qui donne des leçons, bien condescondantes et surtout loin du coeur du sujet, le même sujet qui devrait nous réunir et surtout ne pas nous opposer.

J'ai bien peur qu'ici bas, en coulisses, s'opèrent des acrobaties qui font en sorte, que le sujet s'éloigne du sujet, quand bien même l'alcoolo que je suis en chie, en toute reconnaissances de dettes, en toutes reconnaissances de conséquences, en toutes reconnaissances de causes...

Si j'allie un traitement anti dépresseur à ma cause, ce n'est pas par la moindre résultante péripatéticienne, encore moins par choix, c'est par survie ! au demeurant... merci de respecter ce tricot que je m 'octroie au milieu de mon addiction.

Dommage aussi, de réaliser, que beaucoup s'éloignent de mon fil, quand d'aucuns tricotent en coulisses...

Suis-je à ce point redoutable ? non fréquentable... ?

J'ai toujours eu du mal avec les vélléïtés, quand bien même elles caractérisent l'alcoolo...

C'est le mot juste Martha.

Je suis foutue.

Je ne veux plus jamais être réduite, vassalisée par cette molécule BACLOFEN.

Je pense avoir tout essayé, ce n'est pas pour moi.

Et quand l'alcoolo joue les caliméros... car je vous vois, je vous sens TOUS venir, et surtout d'aucuns se taire... l'alcoolo est un caliméro en puissance, je le sais, je le vis.... mais pour autant je n'ai pas choisi.

Alors dans ma petite tête de blonde, s'opère encore l'ultime, l'ultime chemin qui m'a éloignée de l'alcool pendant 7 ANS.

Je m'arme, je me donne les moyens de faire une cure, de spolier 28 jours à ma vie d'alcoolo, mais plus jamais, plus jamais, prendre cette molécule de merde qui m'a diminuée bien plus fort que l'alcool !

Je réïtère, chacun son marché, pour l'heure, je fais le mien désespérement... ou je crève !

Et je sais bien, que chacun sa merde....

Sylvie please, pas toi...

Son expérience en est UNE, mais c'est la seule, salvatrice, qu'il a confinée en LIVRE.

Accessible à TOUS, certes, mais loin de l'alcool...

Le témoignagne d'Ameisen dans le "Dernier verre" s'est opéré sans ALCOOL.

8 à 12 jours Sylvie, selon...

Selon je ne sais quoi...

Ce que je sais, c'est que je n'en peux plus !

Et effectivement, je crois en cette "combinaison" salvatrice.

Ameisen n'a pas relaté son expérience véritable...

J'ai bien peur que son livre ne relate que la dernière "randonnée", celle où il était ABSTINENT !

J'y crois pas... j'ai démarré ce fil le 9 août 2011.

Je le réalise en m'y replongeant ce soir, je n'étais pas venue sur ce forum depuis si longtemps, temps nécessaire pour se défaire, se refaire...

Je suis là ce soir, parce que Viva balaie délicatement la liste de ses membres et de leurs anniversaires. C'est simple, c'est beau et c'est beaucoup pour celui qui reçoit.

Je reviens sur ce 9 août...

Le 9 août 2012 est le jour que j'ai choisi pour être hospitalisée, me sevrer de l'alcool et monter le baclofen en cadre hospitalier.

Je fais cette démarche sur mes congés payés. J'ai renoncé à un voyage au bout du monde en famille, parce que je veux me rendre libre de cet éthanol mais surtout, surtout, surtout... me protéger et échapper aux ES d'un baclofen qui se prétend salvateur mais que j'exècre !

J'en suis à ma 5ème randonnée baclofen en 18 mois, à la différence que cette randonnée-là, se fera sans alcool.

Je mise tout sur cet "essai", car je n'en peux plus d'avoir essuyé les ES de cette molécule, au point que j'en buvais davantage pour oublier les ES du traitement.

En gros, sans ce traitement je suis foutue, mais avec ce traitement je suis foutue aussi.

C'est peu encourageant, mais je me laisse l'ultime chance d'essayer BACLOFEN SANS ALCOOL.

Si ça peut servir, servez-vous...

Junon,

Merci pour ta contribution.
Merci de ne pas me fuir.
"
Mais j'étais consciente de la dépendance. Le chemin est plus dur qu'on ne le pensait. C'est vrai, mais au bout ..... "

Je n'y arrive pas Cath, je n'arrive pas à descendre au-dessous du 90 mg... ce 90 mg me cadre bon an mal an, c'est mon contenant, pas envie de finir sur le trottoir...

Je connais une seule loi, celle de la chimie du baclo, énoncée par Ameisen et repris simplement par les propos de Sylvie :

"29 Juin 2011, 20:44 De ce que j'ai compris :

Olivier Ameisen prétent que l'alcoolisme vient d'un déficit en GHB.

Le GHB est quelque chose de présent à l'état naturel dans le cerveau, le baclofène a les même propriétés que le GHB, agoniste du GABA-B, c'est la seule autre molécule connue à être un agoniste du GABA-B

Donc d'après lui, le baclofène compense le déficit en GHB et nous permet de guérir. Je crois à cette théorie qui est simple mais explique bien les choses".

Je crédite aussi la théorie qui suit, LUI, sait de quoi il parle :

" L'addiction est une maladie secondaire qui serait causée par un manque qualitatif et quantitatif de GABA-B, d'où les crise d'angoisse et d'anxiété avant l'addiction, le jour ou les personnes touchées par cette maladie rencontrent un produit tel que l'alcool, la drogue (opiacés légaux et illégaux), la nourriture, le sport et la scarification (addiction à sa propre endorphine) c'est une véritable révélation, ils se sentent apaisés et s'en servent comme médicament à leur mal être latent et ne peuvent plus s'en passer tout simplement parce que le système gabaérgique et dopaminérgique sont totalement déréglés.

Il existe seulement trois substances au monde qui peuvent se substituer au GABA-B, il y a l'alcool, la drogue (opiacés, GHB, cocaïne,...) et le baclofène.
On connait déjà les ravages qu'engendre l'alcool et la drogue, il n'est plus besoin de démontrer qu'ils ne sont pas efficaces du tout.

En revanche le baclofène lui en se substituant au GABA-B soigne la maladie primaire, celle qui a fait basculer les personnes dans l'addiction, c'est en soignant ce manque qualitatif et quantitatif de GABA-B que l'on guéri de l'addiction et que par conséquent le craving est supprimé".

Il n'y a pas d'alcoolisme à deux vitesses. Il a y un alcoolisme. POINT BARRE.

La théorie à deux balles des bleus à l'âme, de la solitude machin, et du truc pour combler le machin, c'est tout juste pour alimenter la méconnaissance de la molécule BACLO.

La soluce, je la cerne : MONTER LE BACLO ! Sylvie l'a énoncé maintes et maintes fois, monter le baclo, mais pas n'importe comment. Alors je réîtère haut et fort, les prises rapprochées 15h, 16h, 17h, quand on frise les 180 mg, c'est folie pure et droit le mur.

Pour l'heure, j'ai pleine conscience de ma peine à monter le baclo, elle m'appartient, merci, elle m'appartient.

Je veux guérir, c'est la seule chose que je sais ! Alors je mettrai le temps, avec mon COUSU MAIN.

"Je ne pleure plus depuis très longtemps" Croque.

C'est tout mon drame Cath, je ne pleure plus, je ne souris plus, je ne vis plus rien mais JE RESSENS TOUT ! mais en vase clos, le mien ! TOUT puissance X sans le moindre véhicule pour me rallier aux humains, à mes congénères, à ma famille, à mes amis, à mes amants dans mes rêves...

Je suis devenue frigide sous BACLO, frigide ! frigide de TOUT !!!!!

Tout ça au nom d'une consommation, non pas outrancière, mais suffisante pour me poser la question essentielle de retrouver ma liberté sur le produit.

Alors j'emporte avec moi, la légionnaire théorie du protocole BACLOFEN COUSU MAIN, car je persiste et signe, le protocole baclo est du COUSU MAIN.

Les prises rapprochées Yves, m'ont torpillée gravé, à effet rétro actif.

Alors, j'ai tenté lors de tout ce temps de silence à stagner à 90 mg/jour, rien n'y fait. Je suis en proie aux mêmes ES et à la même conso.

Je considère pour l'heure que le BACLO N'EST PAS VALABLE pour tous les sujets alcoolo-dépendants.

Je peux me tromper, mais je suis humaine.... et bon dieu j'ai grave envie de redevenir HUMAINE !

Je ne veux pas finir sur le trottoir, alors j'aviserai en 2012 au regard de ma conso.

Pour l'heure, je voudrais juste encore une fois m'émerveiller devant un sapin de Noel, humer, sentir, vibrer.

VIBRER : le baclofen m'a privé de l'archer et du violon. Je suis morte.

Cousu main, c'est la seule chose que je retiens de la "leçon de choses".

Que de la gueule... sérieux je n'en peux plus, alors que j'y croyais encore le 3 décembre dernier.

Presqu'un an sous baclo, presqu'un an. Je suis aliénée du baclo, aliénée d'ES...

Vous pouvez sourire, vous délectez de mon échec, la renarde rend les armes.

Je laisse à Yves, le soin capiteux de porter à sa liste constructive mon ECHEC.

Cet échec, je ne le dois qu'à MOI.

Je suis dans la forêt VDLV et j'ai suivi TES cailloux^^

Je n'ai pas enterré la hâche de guerre mais j'attaque TOUJOURS et ENCORE le tronc du bouleau.

Mon bouleau, mon traitement, je ne suis pas en situation d'échec, n'en déplaisent aux maraîchers.

Je n'appartiens à personne, qu'à mon arbre, perchée avec mes prises qui ciblent le craving, mais pour autant en laissant le laps de temps suffisant entre chaque prise, lesquelles m'autorisent alors à ne pas ressembler à un tronc évidé, qui a pris la foudre.

Techniquement, je cherche ma "répartition" car je persiste à penser que le proto baclo est du cousu main.

J'hiberne forcément VDLV, pour la bonne cause, car j'y crois en ce baclo, mais... qui dit hiver dit potage, et je fais ma soupe, après avoir fait mon marché.

C'est fou comme le sujet impacte les indifférents, d'ailleurs où sont-ils ?

@ Thymos, je ne suis pas sûre d'avoir tout compris, enfin sur le sujet en question...

Quelle importance ? elle est cruciale l'importance, au delà de la sensibilité et des affres de la vie, puisque le baclofen est censé truffer notre GABA B déficient ;
sûr que hors baclofen, la question ne se pose même pas !
Dans ce cas, on picole davantage pour s'anesthésier et oublier, que par habitude.

@ Sylvie : j'ai bien saisi le choix, j'ai surtout saisi la nuance : qui me ramène à l'évidence, que sans avoir atteint cette dose-seuil, nous restons "dépendants", l'habitude n'est pas de mise.

Il serait bon de réajuster la donne UNE BONNE FOIS POUR TOUTES : "l'habitude" ne s'opère tant que la dépendance est encore installée (ou réinstallée), donc un GABA B non truffé, car une dose-seuil non atteinte ou "trop vite" descendue.

En aucun cas, l'habitude n'est de mise à une dose-seuil parvenue.

Ce petit détail permet au sujet en proie à cette foutue "habitude", de se rendre à l'évidence que le dosage baclo doit être augmenté.

Alors il serait vraiment judicieux sur ce forum qui se veut être une aide, de réviser ses classiques et la portée d'allégations à l'emporte-pièces.

L'HABITUDE N'EST QUE L'HABIT DU DEPENDANT.

Au même titre que l'ineptie de "passer à côté de sa dose-seuil", comment est-il possible de lire sur ce forum, qu'on puisse "boire par habitude " à sa DOSE SEUIL, je précise.

Faudrait peut-être se mettre d'accord une bonne fois pour toutes sur le rôle et l'effet du baclofen, quand le sujet est parvenu à sa dose seuil (je précise encore^^)

Ras le bol de lire ce genre d'inepties sur ce forum.

Alors, les indifférents, parvenus à votre DOSE SEUIL, merci de témoigner.

Marre à boue (Marabout baclo ^^ ??)

Bout de ficelle

Selle de cheval

Cheval de course

Course à pied

Pied à terre

Terre de feu

Feu folet

Lait de vache

Vache de ferme

Ferme... pas Julie, ferme pas, mais pose, pause !

Bisous soeurette :-)

Le nombre de fois où j'ai voulu virer ce fil... souriez, vous êtes filmé :-)

Mais j'aime décidément trop les hirondelles : Balthus, LMDV, je ne saisis pas toujours la haute volée de vos proses, mais j'aime les voyages^^

J'en ai marre du baclo.

J'en ai marre des vérités qui n'en sont pas.
De la sémantique du guéri, du non-guéri, du pseudo-guéri, du demi-guéri, du semi-guéri, pfff, suis essouflée...

J'en ai marre des ES, au milieu d'un protocole, qui par la génération des ES génèrent d'autres protocoles.

Je ne toucherai jamais l'indifférence, si tant est qu'elle existe, au milieu des fallacieuses "vérités".

Je déplore l'à-peu-près mais je me donne le droit de choisir.

Et pis, je souris devant l'hyper activité de certains "guéris" sur ce forum, ça fait peur grave, ça fait peur cause baclo ?

LA VIE EST AILLEURS et surtout LA VIE EST AILLEURS :-)

Je fais aussi partie de celles qui ont organisé leur "mort" à 210 mg de baclo en mai dernier.

J'ai fait le choix de descendre le baclo illico à ZERO, pour recommencer avec la trouille au ventre,
mais avec un ANTI DEPRESSEUR.

Oui mon chou (celui que tu n'apprécies pas, je comprends d'ailleurs c'est dégueulasse le chou sans les lardons ^^)

Donc le "je crois" est intrinséquement SUBJECTIF (pléonasme ?)

Croque, Cath, bon dieu, en quelle langue je dois te le dire !!!!

JE NE SUIS PAS GUERIE !

Par contre je veux vivre, oui je veux vivre !

Le baclo m'usurpe ma vie, de par mes ES je précise, et de par mon choix de pilonner mon craving !

OKI j'ai fait le choix de pulvériser ce craving à raison de 3 prises en 3 HEURES ! et j'ai troqué ma DESPE contre du cidre breton ! youpi tralàlà !!!! ben non !

Mais voilà, pour l'heure, je n ai plus le choix. Je ne veux plus vivre par procuration. Je ne veux plus.

Je vais certainement de nouveau convoquer ma DSP, c 'est une évidence, puisque je repars sur du 120 mg.

Mais je veux stabiliser cette HTA qui m'inquiète lourd.

Je revois mon prescripteur ce mercredi, et je remets tout à plat.

Je t'embrasse Cath,de mes bras (comme le verbe le signifie) ils répondent mieux à 120 mg^^

Véro, je ne te connais pas.

Alors je ne vois comment tu peux me connaitre "un peu".

Je ne planche pas sur mes posts, par contre je suis comme d'aucuns, je réponds à un mécanisme de défense, et en l'occurence, chacun le sien^^

Je crains et surtout je doute que la spontanéîté ici, est un quelconque rapport avec le vécu de chacun. Comme si chacun allait étaler ses tripes, bon an mal an, genre à la british^^

"Pour te sauver toi, y a encore du boulot my dear".

Commence par balayer devant ta porte, après tu feras le ménage chez moi ^^

Effectivement mes mots Véro.

Et surtout je "crois" ^^

Pour ma part, je ne risque pas d'oublier Marco.
Je suis intimement convaincue qu'on peut décompenser SOUS BACLO.

En plus pragmatique, après mon envolée Cabrelique :

Ma chère Cath, je ne suis pas guérie.

Tu comprends mieux ? le craving est encore là, je bois parce que j'ai encore soif, et que mon gaba B n'est pas truffé. Point BARRE.

Par ailleurs,

"Les ES, je connais. Aucun jusqu'à 90mg. Puis hypertension très importante qui fait bien flipper, puis "somnolence" (le terme n'étant pas approprié car c'est plutôt une envie de se coucher par terre, à même le sol, comme un chien), œdème aux deux chevilles d'où prise de cortisone pendant 5 jours mais problème réglé à court terme seulement. Depuis deux jours, ça recommence.

Je suis descendue de 10mg puis attente d'un mois avant de reprendre de 5mg par semaine, ce qui a toujours été ma progression. Ah oui, te de dire aussi que je suis sous baclo depuis février donc à peu près comme toi. Long is the road, hein !"

Ce sont les propos de Guének, sur ce même fil.

Je génère le même ES. J'ai passé 30 de ma vie avec une tension de jeune fille à 11/6 et à l'heure qu'il est ma tension est à 18/11. Elle augmente depuis septembre.

Alors je pose le baclo. Je réserve ma guérison, parce qu'il n'y a pas que le baclo dans ma vie, et que là, je n'en peux plus.

La facture est trop lourde en ES.

J'ai troqué ma DSP contre du cidre.

Je fume 10 clops par jour au lieu de 25.

Que demande le peuple...

Mais à ce rythme, je vais me retrouver AUSSI avec un arsenal de traitements pour pallier les ES du baclo.

Je m'en tiens à 120 mg/jour en pulvérisant mon craving, mais je veux vivre aussi au delà de guérir.

"Sommes nous seuls dans cette histoire,
Les seuls à continuer à croire ,
Regardons nous vers le bon phare
Où le ciel est t-il vide et creux...

Adossée à un chêne liège
Prise comme dans les fils d’un piège
Je descendais quelques arpèges
Je n’avais rien trouvé de mieux...

Où êtes vous dans l’atmosphère,
On vous attend on vous espère,
Mais c’est le doute et le mystère
Que vous m’aurez appris le mieux..."

Cath, besoin de soutien certes, mais pas de celui-là, entre complaisance et concept alcoolisme/guérison à deux vitesses.

Si je bois encore, c'est que je suis alcoolo c'est comme ça, il me semble alors évident que je ne suis pas à ma dose seuil, celle "magique" où je n'aurais plus envie de boire, monter ENCORE car sans cette dose-seuil inutile de rêver, j'aurai encore envie de boire, monter encore, de manière à gaver mon gaba-B jusqu'à plus soif.

C'est la seule loi que je connaisse du baclofen, pour l'avoir lue maintes fois sur ce forum.

C'est la loi que me souffle au quotidien Balthus, du bout de son clavier, quand je perds espoir, et cette loi me rend peu différente des "autres", guéris ou pas, qui s'expriment moins ou pas.

Je suis encore perdue entre "craving" et "habitude", mais la loi du baclo ne l'autorise pas. Si la confusion s'installe dans mon esprit, hormis le fait que je ne suis pas à ma dose-seuil, je peux aussi être dans le déni de ma guérison, comme me le souffle Yves aussi, du bout de son clavier.

J'aime pas la poussière ^^

Suis pas loin.

Pas loin de vous, mais encore trop loin de votre guérison, et de la mienne à fortiori.

Alors je monte en silence, en ciblant ce craving.

170 mg en 3 prises : 14h30 / 16h00 / 17h30.

Demain je me remets 10 mg dans les gencives.

Consommation différente, mais glauque, difficile à exprimer : je crois que je n'ai plus de craving, mais je réponds au mal de moi, à l'absence de moi, et ma conso peut prendre alors des allures dipsomaniaques.
Névrose quand tu nous tiens...

Vous comprenez mieux mon silence ?

Merci pour votre présence, merci ^^

Suis preneuse et ô comment !

45 mn de TGV, ça le fait ! et comme je ne suis pas courageuse^^

et pis je profiterai du voyage pour faire un pied de nez à la Maternité A. Pinard où je naquis...

A quand ta trombine Véro, en avatar ?
Histoire de rejoindre le clan des guéris en "lunettes noires" ?

Si tu n'as que les chaussettes black, c'est pô grave !
Vaut mieux être au chaud dans ses orteils que la rétine en couveuse ^^

Il était une fois une Princesse déchue.

"Ô chouette un conte de fée !"

"Ô merde elle picole, pô drôle c'est pas une vraie Princesse ! ça le fait pô..."

J'ai beau enfiler mes cachetons Winthrop au gré de ma quenouille, et pulvériser mon craving, ça marche un soir sur deux, sur trois, sur quatre... rô la sorcière !

Juste m'écrire. Juste me dire que je suis encore vivante. Juste me dire que je ne fais rien pour personne. Juste me dire que si je suis une casse-couilles de première, je l'aurai mon démon, parce que la Princesse déchue d'aucun maitre, si ce n'est de l'alcool, le vaut bien ^^

Juste me tirer une révérence sur MON fil, parce que la poussière me fait éternuer^^

Juste tirer un vier à mon pote alcool, car je sens, au delà de mon "comportemental" que j'avance vers d'autres alliances que ce foutu mariage avec l'alcool qui me colle à la peau et qui en arrange plus d'un !

Voilà ! ça va mieux ! merci Mon fil de soi...

Je rebondis (siège éjectacle ?) sur ton post Véro, je n'ai rien compris.
Même dans le contexte de mon précédent post, je ne comprends pas.

Par ailleurs, j'ai soliloqué bien souvent sur mon fil : chacun sa "thérapie", chacun son schéma, chacun sa toute puissance ou sa basse puissance, chacun son voltage et surtout chacun ses silences...

Orel, déjà commencer par bannir le verbe AVOUER ^^

Rendons à Cesar, ce qui appartient à Cesar.

Personne n'appartient à quiconque, personne.

C'est le "marché" d'un forum : on ceuille, après chacun se démerde.

Véro, V, Virus

As tu rencontré toi aussi, la taupinière d'Yves ?

ça pousse fort dans les jardins ce genre de BOSSES ! ça donne un élan magistral à y foutre un bon coup de saton histoire de vérifier que la terre, bon dieu que ça sent bon !!!!

Je n'aime pas les Maths. Je ne suis pas cablée pour la fibre Mathématique. Je n'aime pas.

Mais j'ai rencontré la bosse d'Yves, ça cogne !!! et vi, y'a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis^^

Alors voilà...

Redescendue, puissance 20 mg/jour, j'ai stoppé ma carcasse et j'ai écouté la voie des maths : concentration sur le craving ! putain de craving !
10 mois que je me bats comme une forcenée : 8h, 11h, 13h, 15h, 17h, 19h
tout ça à quasi 200 mg/jour, sans la moindre incidence sur ma conso....

Yves est passée par là, le saltimbanque ^^

En 4 jours, j'ai senti la différence : 15h, 16h, 17h : coup de massue sur ma carcasse : 150 mg, 140 mg et même 120 mg.

Mais voilà... Steren, elle a aussi une Histoire.

Donc aujourd'hui, 3 novembre, rien ne laissait présager que j allais recourir à mes sempiternelles boites de despé, dieu qu'elles puent ces déspé ! elles puent !

Mais je m'en délecte ce soir ^^

C'est l'anniversaire de l'homme qui a râvi 30 ans de ma vie.
C'est l'anniversaire de l'homme qui m'a cueillie, sur Doctissimo en 2003, bien avant ma cure au CALME.
C'est l'anniversaire de celui qui m'a envolée, portée à bout de bras, comme une princesse, Princesse déchue...
62 ans quand même le Junior^^ et vi ! mais quel voyage !!!!

et je bois, je bois, glup glup glup^^

J'ai dit "stand by" à 20 ans de mariage, considérant que j'ai connu mon tendre mari à mes 14 ans, je me suis barrée en 15 jours pour vivre ma passion avec mon Junior, et aujourd'hui, je réalise que je bois, alors que je n'ai pas soif...

Le baclo ne suffit pas, j'en ai bien peur...

Mais je mise sur la bosse des Maths d'Yves, j'y travaille, je la peaufine cette bosse, j'en suis Carabosse, pauvre Fée ! je n'ai plus personne autour de moi, tellement je suis Fée Carabosse !

Cath, j'en suis que je soigne une "dysphorie", avec laquelle je ne suis pas sûre d'être née, mais qui me gagne à grand pas avec ce baclo...

J'en suis que je déplore de me ballotter entre prises et répartitions et que j'y perds mon latin. au milieu des saltimbanques du baclo qui jalonnent mon chemin...

J'en suis que je ne comprends pas comment faire fi des ES, quand le pontif lui-même et initiateur du baclo en fait fi...

J'en suis que je suis alliénée par cette molécule et que je commence à considérer ce forum alliènant...

J'en suis que je laisse à Sylvie le soin de modérer ce post pollution tout comme mon fil qui nourrit tout détracteur du baclo, le même qui me saborde !

@ Guenek : je ne suis pas sûre que le terme "incroyable" soit synonyme du dosage baclo... La posologie et l'usage qu'on en fait dépasse la foi en la molécule.

@ Balthus : tais-toi et nage ^^ non, ça le fait pas là, c'est assassin en la circonstance.
Respect Dame des mots, respect.
L'humilité te résume ce soir, si tant est que tu puisses être résumée...

ça y ressemble ^^

Finette, tout est compatible avec le BACLO, et surtout la PATIENCE qui fait éternuer le coeur ^^

Alice dans le miroir, je ne sais pas...ALICE AU PAYS DES MERVEILLES, ça je connais, et j'en suis loin.

Oui, j'ai lu Milouche, et vraisemblablement, non seulement elle est descendue de manière drastique, mais surtout ça paie dans son cas ! du coup, ça m'encourage, encore que je n'ai pas le courage de passer en 24 H, du 200 au 30...
Merci Milouche de ton coup d'patte sur mon repaire ^^

Un maitre mot : PATIENCE, j'ai bien peur que ça ne suffise pas, en tout cas plus...

Je pense qu'on peut générer une overdose de baclo, au point que les ES soient bien plus terrifiants que les affres de l'alcool.

J'en suis la preuve vivante.

Pour autant exemple à ne pas suivre...

Et pour autant, je prends le risque de descendre, de me laver de ce baclo, de me rincer de ce baclo, pour me donner l'ultime chance de le redémarrer sur le calque d' OA.

J'ai emprunté le TGPV, je me suis plantée...
Alors le gendarme du moi a dit : STOP là ! les rails vont dans les deux sens, je m'en sers, pour mieux desservir la putain de gare de l'Indifférence que je crève d'atteindre.

Chacun son rail, chacun son chemin, mais quand on ne peut plus, on ne peut plus.
Mais on peut toujours autrement.

"mais la rapidité de la guérison est en étroite corrélation avec la rapidité de progression des prises. Ce qui reviendrait à dire que ne pas laisser au corps le temps de s'habituer au Baclofène, c'est à dire de s'en servir par surprise et comme "une massue à addiction", serait plus efficace qu'une longue et douloureuse imprégnation. Mais là, je sors de mes compétences...

Cette analyse semble se rapprocher de la réalité d'Olivier : départ à 30 mg, augmentation de 20 mg tous les trois jours; et l'essentiel (presque 100%) des guérisons entre 3 et 5 semaines".


48 heures que je ressasse les propos d'Yves, 48 heures de recul nécessaire pour arriver à la conclusion, que cette hypothèse tient la route, trop bien la route, au regard des "parvenus à leur dose seuil", que je me garde cependant de ne pas confondre avec "guéris". La guérison c'est du long terme, et vraisemblablement, ce n'est pas aussi simple...

Bref, j'arrête le carnage, car dans mon cas, 10 mois quand même de réelle imprégnation, je suis bonne pour atteindre du 300, 350, voire 400 mg et je n'aurai JAMAIS CE COURAGE !

Je descends illico mes doses de baclo, j'ai commencé, je descends jusqu'à "0", car j'en rêve de ce ZERO !
Je me pose, je souffle, je tente de rejoindre l'essence de Nath, mon essence.
Je suis épuisée, je suis vermoulue, je suis cabossée de partout, corps et âme.

Je pose mon ZERO, je le bouffe jusqu'au coeur de sa nullité.

Et je repars, avec mon sac à dos plein de baclo : départ à 30 mg, et augmentation de 20 mg tous les trois jours. Peut-être aurai-je la "chance" de ne pas me taper un 200, comme ce 20 octobre dernier...

Je vous retrouve en 2012.

Test pollution confirmé : contre-visite Célestin, et toc !

Je t'avais invité en MP Grand Bleu.... pfff mauvais élève va !

Je suis sûre que tu es P R O F....

J'aime assez les encouragements de ceux qui ont le cul bien calé dans un fauteuil sans ES.

Décidément j'adore le simili cuir !

Balthus, quant à toi :

tais-toi et nage ^^

Pour un mec qui lit un peu vite,tu comprends vite Célestin ^^

Ben moi, j'ai rien pigé...

Si tu veux bien m'expliquer en MP, Grand Bleu... Je serai quitte de polluer le fil de CASIMIR ^^

Tu comprends quoi Yves à ma souffrance ?

Par ailleurs, je n'ai jamais parlé de désespoir, de détresse, oui.
Et pis, on est seul, on est bien d'accord ? on est toujours tout seul, avec ou sans baclo. C'est la vie.

Je n'ai rien compris à l'analyse de la posologie des guéris. RIEN.
D'ailleurs, c'est quoi être guéri ?

Yves, ça sert à quoi une MOYENNE en terme de posologie ? si ce n'est amener un prescripteur à ne tabler que sur la "moyenne" de la dite guérison, de surcroit la moyenne qui rejoint celle de Beaurepaire.

Et quand tu t'acharnes au delà de la moyenne, tu ressembles à quoi ?
à un mauvais élève qui n'a pas rempli "la moyenne" et qui plafonne à 200, 250, 300, 400 mg ?

Je fais le chemin à l'envers ! à 48 balais je cartonne hors moyenne à 200, alors que je me suis battue jusqu'à mes 18 pour otenir la moyenne ! c'est balot... fait vraiment chier la Stère ^^

Yves, merci de ne pas me laisser mourir idiote, je ne pige rien à l'attribution de tes coef sur tes stats.

Par ailleurs, je suis rédacteur en service psy, je bouffe de la stat, ça fait partie des missions de mon poste, et pour autant, je n'ai jamais compris qu'on puisse calquer le devenir d'un service, ou d'une population au regard d'une MOYENNE !

Alors comme "la seule question bête est celle qu'on n'ose pas poser : A QUOI SERT UNE MOYENNE ???? si ce n'est réduire le sujet-qui-le-vit à une MOYENNE, laquelle réduit le sujet-hors-moyenne inexorablement...

La MP, c'est pas marrant Yves...
ça donne peu le change sur un forum, quand 90 % de la participation de Véro se résume à la diversion.
Thérapie : diversion ? ou diversion : thérapie ?

Encore un post hors sujet ^^

Au fait, Yves, ton chat ? si je peux me permettre sur ce hors sujet... suis sérieuse, ton chat ?

@ Cath : oui tu reviens de loin aussi... et oui, tu me donnes l'espoir de pouvoir m'atteindre, de nouveau un jour, bien sûr que j'ai cet espoir ! sinon, j'aurais abandonné.

J'ai dépassé le temps de gestation que je redoutais tant ! foetus baclo doit se plaire, bien au chaud, au coeur de mes entrailles, balotté entre les volutes de ma motivation et les bulles de mes despé qui pour le coup, s'essoufflent, elles ^^

@ Sirène : je n'ouvre même plus un livre Sirène, ça laisse à penser de ma propension à une quelconque activité... Je ne fichtre strictement RIEN, si ce n'est assumer mon quotidien, boulot métro dodo, mon cours hebdo de djumbé que je ne savoure pas des masses, car mon acuité auditive est au summum sous baclo, au summum !
Pas d'épaule sur laquelle poser ma tête, histoire de souffler, parce que la vie a fait que j'avance seule, et davantage encore depuis le début de mon traitement.
Mes deux filles ne sont jamais loin, mais la vie est ailleurs, au delà de l'alcool de leur mère et au delà du traitement de leur mère.
Mon horizon a le ciel bleu de mes espoirs et le ciel gris de mes ES, lequel ne laisse passer aucun rayon de soleil, aucun.
J'ai aimé te lire Sirène et l'encouragement que tu mets derrière tes mots :-)

@ LVDLV : te lire est un Voyage. Tes métaphores sont royales.

Je ne sais pas si j'ai fait le plus dur LVDLV, je ne sais pas... atteindre déjà, stabiliser aussi, et pis redescendre, mais pas trop... assez terrifiante la perspective de cette forêt qui nous compose !

Car nous serons définitement seuls, avec nos sèves respectives, et nos peurs aussi...

L'hiver LVDLV, l'hiver...

Je suis en hiver depuis bientôt 10 mois.

Le Vent dans les Voiles permet au moins à mon embarcation de lui rappeler qu'elle n'est pas la seule à voguer au coeur de sa banquise.

Et mettre des mots sur des maux, au point d'en soliloquer bien souvent, effectivement c'est dans ce sens que je me pousse à faire la poussière sur mon fil.

Pour l'heure, c'est moi que je démonte. A 195 mg depuis hier, si je note une modification de ma consommation, pour autant je suis définitivement pauvre de moi-même, mais pauvre de chez pauvre.

Dans cet état, je ne sais pas comment je vais pouvoir construire quoi que ce soit.

Alors sûr, je suis toujours vivante ! L'effexor doublé à l'athymil font eux aussi leur boulot, mais bon diou, ça fout les jetons sévères pour "demain", d e m a i n, D E M A I N, qui est D E M A I N ! quand même !!!

Un ectoplasme, truffé de molécules, arrivé à sa dose seuil, qui se veut être celle de l'indifférence, ça sert à quoi ? ça tend à quoi ?

LVDLV, je rentre tout juste dans un placard. Je suis placardée par ce baclo.

Celà dit, merci de ta brise légère sur mon fil. C'est du bonheur ^^

Besoin de moi LVDLV ? de mes mots pour l'après ?

Quand le "pendant" est un ramassis de doléances ?

Je détiens la palme d'or de la grincheuse, de la douillette, de la maso.

Je ne vais pas m'en défendre, c'est un fait, et l'absence de vie à ma vie, c'est mon quotidien.

Je n'ai pas la solution si ce n est de m'en tenir à mon AD et de monter le baclo, à mon rythme...

J'ai accueilli la proposition de Sylvie, dans toute sa dimension d'attention et de bienveillance, qui n'est ni plus ni moins celle que Pascal Gramme me suggère depuis des lustres, parce que celle d'AMEISEN !

Mais voilà... la Stère elle a essayé, p'tite joueuse, va !

Ben vi, je décompense avec ce baclo, je décompense ! je suis bien la première à m'exécrer sous baclo, je m'exécre !

Il a autre chose à f......e là-haut le garçon ! mais c'est tout mignon Cath :-)

Je prends tout, les p'tits bonjours, les pétales de fleurs, les brassées de roses, les grands bleus, je prends tout ! grand besoin pour avancer, faut pas croire, suis qu'un humain ! merki...

Et, YAPLUKA...

Dame Hermeline passe à 190 mg demain.

L'escargotine fait son chemin, avec toutefois une semaine particulièrement différente en terme de consommation : effet baclo ou effort de ma part ? i don't say.

Une chose est sûre, quand on peut, on veut, et non pas le contraire.

Le baclo potentialise tellement les effets de l'alcool (ou le contraire), qu'il en vient presque à servir de garde-fou, alors oui, quand on peut, on veut :

ALLER PLUS HAUT

ALLER PLUS LOIN !

mais à mon rythme de 5 mg tous les 4 jours.

Pour autant je "bug" toujours autant au boulot, la concentration me fait défaut, ma réflexion est largement altérée, je ne sais pas combien de temps je vais donner le change...

MAGNIFIQUE ! Tout le monde pense pour tout le monde, c'est youpi tralàlà !

Ici la planète "Bisounours" qui invoque depuis peu la raison.... j'adore ^^

N'oublie JAMAIS d'où tu viens... et tu sauras où tu vas !

Steren, la Stère.... ça pèse.

Au début, on croit mourir à chaque blessure. On met un point d'honneur à souffrir tout son soûl. Et puis on s'habitue à endurer n'importe quoi et à survivre à tout prix".


La réponse, ta réponse est dans ta signature, METS LIANE...

Balthus, qui peut le plus peut le moins aussi, non ?

Je suis morte de trouille à vous lire, morte de trouille...

Y sont où les guéris ? Les vrais, à part Célestin ?

Sont où les 4x4 qui sillonnent cette jungle baclo, au milieu des paumés et des "nouveaux guéris" déjà enclins à faire la propagande BACLO, sans savoir comment stabiliser et amorcer une descente ?

zêtes perchées le clubing !

Hermeline en perd son hermine...

warf ! warf ! Dago frétille !

Mais le baclo, lui, il m'aime pôôô...

Steren, la stère devient lourde, trop lourde. 1m3 de bois ça pèse...

Me reconnais plus.

Alors je réîtère. Je monte à 200 et tomber de rideau ou lever de rideau :-)

Et pis, ma philosophie s'ancre une fois de plus ICI.

On croit aimer les gens, en vérité on aime des mondes...

C'est la vie, même virtuelle, c'est la vie.

Mais je vous aime :-)

Tu te couches à terre Balthus, comme un chien battu de somno.
Et tu pleures ta mère, de ne pas t'avoir faite, autre que tu n'es...