Evol
20 Juin 2016, 22:23
20 Juin 2016, 22:23
Je continue de boire pas mal, même si sensiblement moins. Stopper du jour au lendemain, ça me tente évidemment – le ciel azur, la vie saine, la métamorphose…
Le DT, je ne sais pas dans quelles conditions il peut apparaître. Le mieux que j'ai fait récemment, c'est de ne pas boire pendant 20 heures, ce qui ne m'a posé aucun souci quand c'est arrivé, en déplacement. Mes ennemis, je commence à les cibler, c'est les moments de solitude, le stress et les réveils. En tous les cas, jamais rien connu qui ressemble à un début de DT.
Crise de panique : ça m'est arrivé. Pas au sens où j'aurais fait des choses remarquables de l'extérieur, mais des moments de débâcle intérieure assez effrayants, genre "le cri" de Munsch (version bouche fermée). Mais je réussissais à conserver les apparences extérieures. Et ça n'arrive plus depuis le début du baclo.
Valium : je ne sais pas si j'en ai besoin. Je préférerai vraiment éviter. Peur de m'attacher un 3e boulet au pied. Ce qui me trouble, c'est que c'est la n-ième personne qui m'y pousse.
Au fait, je suis à 100. 40 + 40 + 20, selon les conseil d'Athel. Ca marche pas mal, et je sens poindre à certains moment de l'indifférence. Même si je craque toujours (ou encore) à un certain moment de la journée, peut-être à cause de la pression pro. Je me demande ce que ça donnerait dans une période plus zen.
Le DT, je ne sais pas dans quelles conditions il peut apparaître. Le mieux que j'ai fait récemment, c'est de ne pas boire pendant 20 heures, ce qui ne m'a posé aucun souci quand c'est arrivé, en déplacement. Mes ennemis, je commence à les cibler, c'est les moments de solitude, le stress et les réveils. En tous les cas, jamais rien connu qui ressemble à un début de DT.
Crise de panique : ça m'est arrivé. Pas au sens où j'aurais fait des choses remarquables de l'extérieur, mais des moments de débâcle intérieure assez effrayants, genre "le cri" de Munsch (version bouche fermée). Mais je réussissais à conserver les apparences extérieures. Et ça n'arrive plus depuis le début du baclo.
Valium : je ne sais pas si j'en ai besoin. Je préférerai vraiment éviter. Peur de m'attacher un 3e boulet au pied. Ce qui me trouble, c'est que c'est la n-ième personne qui m'y pousse.
Au fait, je suis à 100. 40 + 40 + 20, selon les conseil d'Athel. Ca marche pas mal, et je sens poindre à certains moment de l'indifférence. Même si je craque toujours (ou encore) à un certain moment de la journée, peut-être à cause de la pression pro. Je me demande ce que ça donnerait dans une période plus zen.