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ninidu44
05 Février 2017, 10:45
Je n'ai pas forcément d'heure en faite, c'est comme si toute la journée je lutte, une fois endormi pas de soucis à part mes rêves mais disons que je ne vais pas me lever pour craquer par contre il me faut pas grand chose pour craquer, je peux passer une journée sans craquage si je n'en ai pas eu l'occasion par contre à partir du moment ou on me propose une viennoiserie ou gâteaux, glace... C'est fini j'en prends juste un et mon craquage est parti je ne m'arrête plus pendant 2-3 voir 4 jours d'affilées non stop et j'arrête en faisait un jeune de 2-3 jours parfois, je sais que c'est pas la bonne solution mais c'est plus fort que moi, je ne me fais pas vomir par contre. Donc pour ma répartition je ne sais pas si c'est la bonne mais je peux craquer dès le petit dej comme à 20h ça dépend
 
ninidu44
05 Février 2017, 1:58
J'ai augmenté de 10mg tous les 5 jours, j'augmente au feeling en fonction des es, mes deux dernières augmentations ne m'ont pas dérangé plus que ça niveau effet secondaire par contre je ne sens absolument aucunes améliorations. Mon médecin a la base m'avait conseillé d'augmenter de 10mg tous les 3 jours..
Je sens que les idées obsessionnel sont revenues j'en rêve même la nuit de craquage et je me réveille en me demandant si j'ai encore craqué ou si ce n'était qu'un mauvais rêve ! Je n'ai plus trop de chose à dire j'espère vraiment avoir un changement rapidement je perds patience
 
ninidu44
05 Février 2017, 0:48
Bonjour à tous !

Je viens pour vous donner un peu de nouvelles, je m'excuse d'avance de ne pas être très actif mais c'est dur pour ma part de m'exprimer même si je sais qu'il n'y a aucun jugement sur ce forum.
Actuellement je suis à 170 mg répartis en 4 prises :
- 40mg à 10h
- 40mg à 13h
- 50mg à 16h
- 40mg à 18h30

Le bilan que j'en tire pour le moment c'est que je me pose vraiment la question de continuer ou non je n'ai plus de patience..
A part une amélioration pendant 10 jours vers les 100mg depuis c'est une catastrophe j'enchaine crise sur crise avec 7 kilos de pris en 3 semaines, je suis complètement découragé, je passe mes journées et nuit à avoir des idées noires. J'avoue que je suis un peu perdu, déprimé, je n'en voit pas le bout, je pense constamment à en finir une fois pour toute même si je sais que ce n'est pas la solution et que ce serait égoïste, je sature cette maladie me rend fou, je ne sais même pas pourquoi j'ai développé des TCA malgré mon suivi.
Je ne demande plus grand chose je sais qu'on me répondra juste qu'il faut être patient que ça viendra un jour, en attendant je suis toujours dans le même état voir pire c'es affreux !! Ma famille qui s'imagine que ça va mieux, je n'ose même plus leur en parler je suis complètement anéanti franchement !
 
ninidu44
23 Janvier 2017, 22:15
Bonjour à tous,

Le bilan de la semaine n'est pas bon du tout, j'ai craqué toute la semaine c'est reparti de plus belle !
Grosse remise en question sur le traitement et le reste, j'ai l'impression que je ne vais jamais m'en sortir c'est affreux.
J'augmente selon mes ressenties mais je ne peux plus me permettre d'augmenter pour le moment mes insomnies s'intensifient, ce soir j'écris en étant dans un état second je suis complètement "bourré" et confus. La fatigue me tombe dessus et je sais d'avance que je vais passer la nuit à me réveiller toutes les 30 minutes avec des rêves réelles.
J'espère vraiment que le baclo marchera je ne comprends pas pourquoi mes envies sont revenues soudainement...
Besoin de soutien ce traitement est mon dernier espoir..

Bonne soirée
 
ninidu44
17 Janvier 2017, 14:10
Bonjour,

Merci pour vos réponses rapide !
C'est compliqué de me mettre en arrêt je ne veux pas que mes collègues se doutent de quelque chose.
Je vais essayer de rester à ce stade et n'augmenter par 5 mg que lorsque mes effets auront diminué d'intensité.
Oui j'ai essayé les somnifères mais sans réussite, la nuit dernière j'ai fait des cauchemars vraiment flippant ça me paraissant si réelle que je me suis réveillé et j'ai mis 5 minutes à réaliser que c'était juste un mauvais rêve, j'étais en sueur et mon rythme cardiaque en tachychardie, c'était un cauchemars de psychopathe des choses vraiment bizarre et complètement incohérent et le pire c'est que je me réveillais et me relançais dans un nouveau cauchemars puis ainsi de suite jusqu'à ce que mon réveil sonne pour aller travailler, la nuit a été très très très longue !!!
Pour ma dernière prise je vais la decaller à 18h ce n'est pas trop tard ? (rappel 4 prises 10h, 13h, 16h, 18h30)
Savez-vous si ces paliers de beaucoup mieux qui ne tiennent pas sont signes d'une guérison proche ? Je ne me vois pas augmenter beaucoup mon dosage même sur du long terme au vue des effets secondaires, du moins ça serait vraiment très long sinon.

Merci
 
ninidu44
15 Janvier 2017, 21:32
Bonjour à tous,

Tout d'abord merci à tous pour votre aide, c'est important de se savoir entouré.
Je peux maintenant vous transmettre un bilan depuis le début du traitement.

J'ai commencé le 5 decembre à 10mg en augmentant tous les 5 jours de 10mg.
Je suis actuellement à 120 mg en 4 prises :
30 mg à 10h, 13h, 16h, 19h.

Effets secondaires : Grosse fatigue, rêves réelles (c'est vraiment flippant), insomnies, impression d'être ivre, impression d'être complètement déconnecté.
Améliorations : Aucunes jusqu'à 90mg et depuis 100 mg : Pensées obscessionnel beaucoup moins fortes, moins de craquage et mes craquages sont moins intense.
Par contre mes tentations ont repris depuis 1 semaine, je sens que le baclofène agit mais c'est comme si c'était temporaire.

Je suis passé par plusieurs stades, actuellement j'ai un gros problème d'insomnies, je suis fatigué mais je ne dors presque pas d'ou mon interrogation, j'ai peur qu'à force il y a un moment ou j'aurai forcément un contre coup et que l'accumulation de fatigue me porte préjudice.
J'avoue que c'est assez compliqué à consilié mon travail et le traitement, j'ai également quelque chose d'un peu bizarre, la nuit il m'arrive souvent de me réveiller avec un bras complètement engourdi, comme si je dormais dessus plusieurs heures et je mets 1-2 minutes avant de pouvoir le bouger je n'ai plus aucunes sensibilité et motricité, ce qui est compliqué à géré c'est aussi l'impression d'être ivre, je suis complètement déconnecté et je suis un zombie, il m'arrive d'être au téléphone et qu'on me fasse la réflexion "tu es sur que ça va, tu as l'air complètement bourré ou défoncé". Avez-vous des conseils à me donner ? Est ce normal ? Pourquoi mon traitement a été efficace un moment et plus maintenant ?
Merci beaucoup
 
ninidu44
06 Décembre 2016, 3:19
Bonsoir,


Je me présente rapidement :

Prénom : Nicolas
Age : 24 ans
Profession : pompiers professionnel


Je ne vous ferais pas de résumer de ma vie, ce n'est pas le but, juste un petit topo pour situer un peu mon cas en essayant de ne pas trop dériver pour que vous puissiez suivre. Je resterai vague sur mon identité et ne rentrerai pas dans le détail, je ne souhaite pas que l'ont me reconnaisse..
Depuis mon enfance j'ai toujours été extrêmement gourmands, je mangeais énormément et l'alimentation avait une grande place dans ma vie mais je ne m'en rendais pas forcément compte. Je n'ai pas beaucoup confiance en moi, je suis sensible et j'exige beaucoup de chose envers moi-même et je suis assez perfectionniste.
Durant mon adolescence j'ai eu recours à de nombreux régimes pour tenter d'être comme les autres et enlever les quelques kilos en trop que j'avais, j'étais très sensible aux remarques des autres et j'avais honte de moi, je me trouvais moche et gros.

Le sport a toujours fait parti de ma vie et m'a inculqué énormément de valeurs (cohésion, l'entraide, dépassement de soi, la volonté...) j'ai fais 3 ans de sports études et pôle espoir pour ensuite pratiquer d'autres sports et la chance d'avoir énormément de possibilités dans tous les sports que je pratiquais. Je suis rentré Sapeur-pompier volontaire il y a 5 ans en parallèle de mes études, ce qui m'a fait connaitre une véritable passion dans lequel je me suis investi à 100 %, mon seul but étant d'en faire mon métier, j'ai sacrifié 2 ans à m'entrainer en attendant le concours, c'était ma source de motivation principal. Le travail a payer puisque j'ai obtenu mon concours de sapeur-pompier professionnel, cependant, les postes étant chers, je n'ai trouvé un poste qu'à 400 km de mon département d'origine dans lequel j'étais installé avec ma compagne et toute ma famille. Jusqu'à la tout va bien, j'ai absolument tout pour être heureux, un appartement dans lequel j'ai investi très jeune, un métier qui me passionne, fonctionnaire et titulaire à mon âge je suis conscient de la chance que j'ai, ma copine avec qui je m'installe enfin dans le département qui m'a embauché, des amis géniaux, une famille en or ou je ne peux rien reprocher à mes parents, ils m'ont éduqué et m'ont donné toutes les cartes pour y arriver.... Bref le début d'une vie prometteuse

Avec le temps ça commence à se dégrader, je me pause beaucoup de questions, je me suis toujours demandé si j'étais vraiment heureux comme si quelque chose que je n'arrivais pas à décrire me tracassais, j'ai commencé a me documenter et me former seul sur une de mes passions qui est la cuisine, mes pensées deviennent obsessionnel et j'ai l'impression de vivre peu à peu à travers le sport et la bouffe... Je me fixe des objectifs comme j'ai toujours fait à la limite du réalisable, je m'entraine constamment et mes seules temps libre je les passe sur l'ordinateur à me documenter sur les recettes de cuisine, les régimes paléo, les recettes hypocalorique, les conseils nutritionnels et sportifs. Je fais de la course à pied, de la natation, de la musculation à outrance, une fois chez moi je passe plusieurs heures par jours sur la cuisine et l'ordi pour mettre à jour mes recettes, ce sont devenues mes priorités mais je ne m'en rends pas compte c'est le début de l'engrenage. Ma copine passe après la bouffe et le sport, je ne m'en rends même pas compte alors que c'est l'amour de ma vie, le véritable coup de foudre lorsque je l'ai rencontré, je n'imaginais pas un instant la sensation que ça pouvait représenter, je suis complètement dingue et amoureux mais petit à petit je m'éloigne d'elle malgré les alertes qu'elle essaye de me faire passer. Le sport et l'alimentation que je m'impose me fonds perdre 10 kilos, je me retrouve à 66 kilos pour 1,80m mais cette perte de poids me redonne confiance en moi, mes résultats sportifs explosent et je m'améliore énormément en enchainant les victoires sportives à tous les domaines. Petit à petit je sens que mon corps subit, mes amis s'inquiètent pour moi j'ai perdu du poids, je ne fais aucun eccart, je ne viens plus trop au soirée, je suis très exigent sur l'alimentation ce qui n'est pas simple lorsque ma compagne ne partage pas et ne comprends pas mes choix alimentaires, ça devient invivable pour elle et je ne mange pas la même chose qu'elle par peur de prendre du poids.. Très vite mon corps continues à subir, j'ai tout le temps extrêmement froid, une grosse perte de libido pour ne pas dire inexistante...

Avril 2015, du jour au lendemain, ma compagne décide d'arrêter notre relation, je tombe de haut, très haut, je n'ai rien vu venir, je suis complètement démoli.
Je ne comprends pas ce qui se passe, en 10 jours l'appartement est vidé et elle est parti, je dois retrouver un logement rapidement. Je suis perdu, je passe mon temps à pleurer, mes pensées deviennent de plus en plus noirs, je suis à bout malgré mes amis et ma famille qui me soutiennent. A plusieurs reprises je suis determiné à passer à l'acte, mon médecin me donne 10 jours d'arrêt. C'est horrible j'ai l'impression d'être dans un cauchemar, je commence à vriller totale, je me venge sur l'alimentation et je connais mes premières crises boulimiques, je suis dans le déni, à ce moment je ne suis pas conscient d'être malade et que l'alimentation prends le dessus pour combler mes émotions. Mes collègues se posent des questions, je suis dépressif, je n'ai plus de libido, plus aucunes sources de motivations, je sombre petit à petit et mes crises deviennent de plus en plus fréquente, je comble avec le sport le temps qu'il faut (il m'est arrivé de faire 8h de sport pendant la garde en commençant au milieu de la nuit pour combler une crise).

Septembre 2015 je réalise que j'ai un problème alimentaire, je n'ai pris que 2 kilos grâce au sport et au jeun, par contre je ne prends aucuns laxatifs et je ne me fais pas vomir. Je n'ai aucunes limites dans mes crises, n'ayant pas de sensation d'être rassasié, il m'arrive de prendre 7 kilos en 2 jours tellement mes crises sont fortes. Les lendemains de crise, une grosse culpabilité, les yeux gonflés et le visage bouffi qui d'ailleurs devient mon surnom à la caserne, je comble en faisant du sport et des jeuns, mes crises se rallongent de plus en plus, en moyenne 4-5 jours de crises sans m'arrêter et suivi de sports à outrance et 3-4 jours de jeun complet, bizarrement j'ai moins envi de crises durant mon jeun que les autres périodes.

Je décide de me faire suivre et de me donner le maximum de possibilités pour guérir, j'ai absolument tout essayé pendant 1 ans et demi, l'acupuncture, des séances d'hypnoses, des rendez-vous chez un energeticien, des psychiatres, des psychologues, la sophrologie, la méditation, je me documente au maximum sur internet et des livres qui font référence au TCA, j'en parle à des amis et ma famille... Rien n'y fait, le pire c'est que ça s'empire au fil du temps sans comprendre pourquoi, je suis suivi en thérapie par une femme qui est une ancienne anoréxique et qui est psychologue à côté. Elle m'ouvre les yeux sur la maladie, elle est géniale, me confier me fait énormément de bien, le problème c'est que mes crises s'amplifient et je pers espoirs....
Je combat et subi cette maladie sans en voir la fin, je suis fatigué, épuisé et complètement impuissant, mes efforts pour guérir ne sont pas récompenser je pers complètement la motivation et le mental !

Juin 2016 j'arrête presque entièrement le sport, j'en ai marre de me fatiguer pour rien, mes journées se résument à criser ou combler, je n'ai plus de vie, je me cache j'ai honte, je suis fatigué d'en parler à mes parents ou mes amis, ça me bouffe de l'énergie et j'ai l'impression de ne pas être compris, j'ai vraiment des envies suicidaires et c'est très dûr de suivre mon métier en parallèle. Ma boulimie se transforme en hyperphagie, je fais des crises à la caserne en me cachant, ça prends de l'ampleur puisque n'ayant aucun contrôle je fouille et vole dans les placards de la caserne toute la bouffe que je trouve...C'est affreux moi qui est honnête je me retrouve à voler mes collègues mais ce n'est pas ma vrai nature ce sont les pulsions qui sont tellement intense que je peux rien faire pour y contrer. J'arrive à peine à faire mon travail correctement, je vais choquer certaines personnes je pense mais je suis rendu à un point ou je n'ai plus aucunes sensibilités pendant les interventions, j'ai tellement de chose dans la tête que lorsque je transporte un victime je me dis "si la victime savait dans quel mal-être je suis par rapport à eux", je m'en fou complètement d'être performant dans mon métier maintenant... C'est fou quand même, c'est censé être ma passion, moi qui était perfectionniste dans mon travaille et qui voulait être au top du top....


Je suis dans tous mes états, à chaque garde je crise, forcément à chaque crise je me dis que c'était la dernière.. Je n'achète aucun gâteaux ou de produits sucrés pour éviter d'avoir ce qu'il faut dans mes placard ou à la caserne. Je réussi malgré tout avec une grande motivation à de temps en temps ne pas craquer pendant 4-5 jours souvent à la suite de nouveaux rendez-vous qui me donnent de l'espoir mais c'est encore pire, je ne veux plus y croire pour ne plus être déçu à chaque échec. C'est horrible j'en viens même à faire des rêves la nuit de crises, je me réveille en sueur en me demandant si j'ai vraiment craquer la nuit ou si c'était un rêve..

Septembre-Octobre 2016 :

Je n'ai pas de mots pour décrire mon état, je suis en autodestruction totale, plus rien ne compte dans ma vie, je profite de mes derniers instants de vies en quelques sortes.. Je ne comble plus et l'hyperhagie est bien installé et est devenu une habitude.
Visite médicale annuelle, le verdict tombe, 84 kilos, 17 kilos de plus en 6 mois, le médecin ne comprends pas, je me déteste, j'ai honte de mon corps, le moindre petit effort m'essouffle, je sens que mon corps souffre. Je fais n'importe quoi, je me laisse aller complètement, je fume aux soirées (cannabis), je bois plus qu'avant, je crise limite sans culpabiliser puisque dans ma tête tout est prévu.. Je fume seul alors que je n'ai jamais fumé de ma vie, je sens que je commence à être accros à la clope, c'est n'importe quoi à mon âge mais je m'en fou c'est la cadet de mes soucis.. j'arrête le massacre dans quelques temps en mettant fin à mes jours j'en ai marre, je suis à bout de souffle !!!

Novembre 2016 :

Je prends vraiment conscience après ma visite médiale et mon dernier rdv thérapeutique du mal que j'ai fait subir à mon corps et de la vie que j'ai à vivre encore, j'ai trop de chose à perdre et je veux m'en sortir, je suis déterminé mais il faut vraiment que je trouve la solution...
Je me renseigne encore et encore sur internet et je décide de passer le cap, tester le baclofène que j'avais déjà entendu parler plusieurs fois.
Je m'inscris sur un groupe fb en demandant des conseilles à une des responsable du groupe qui m'accueille très gentillement. Elle me transmets son numéro de téléphone pour que je puisse avoir un entretien téléphonique et me redonne totalement espoir pour guérir grâce à ce traitement. J'avoue que j'ai essayé tellement de chose, j'ai tellement eux de faux-espoirs que j'y crois sans y croire de peur d'être trop décu mais je n'ai pas le choix c'est mon dernier espoir de toute façon.
Hier je ne perds pas de temps, je suis décidé j'essaye le traitement, la femme du groupe fb me transmets un contact d'un médecin au plus près de chez moi (150km) qui prescris le baclofène puis je me rends sur place le jour même en ayant pris rdv, le médecin très gentil semble très bien connaitre ce traitement et me le prescris. Sans plus attendre je me rend à la pharmacie et je commence le traitement vers 16h, 20 minutes plus tard j'avais des nausées mais c'est peut être une juste une impression. Je suis au courant des effets secondaires mais de toute façon j'irai jusqu'au bout c'est mon dernier espoir, les effets ne sont rien par rapport au mal que je subi pendant mes crises. Je vais prendre mon temps et ne pas brûler les étapes dans la durée du traitement, j'espère ne pas encore trop d'ES et guérir définitivement.
Je vous tiendrais au courant pendant la durée de mon traitement, n'hésitez pas à me soutenir ou me conseiller.
Ne ne veux pas de jugement c'est déjà très dur de s'exprimer sur un forum..

Merci beaucoup
 



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