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Al RJ
07 Janvier 2019, 20:50
Bonjour,


Je reviens à la suite de la consultation effectuée au service médical du centre de sommeil.

Le médecin, spécialiste des apnées et du sommeil, était assez perplexe sur les causes de mes apnées, dites centrales. Comme le médecin alcoologue qui me suit, il n’était pas informé de la possibilité d’une influence du baclo sur ce type d’apnées.

Fort prudemment, il m’a indiqué qu’il chercherait des sources médicales pour étoffer ses connaissances sur cet aspect précis.

Il ajoutait qu’il convenait également d’envisager d’autres causes possibles. Des examens complémentaires seront nécessaires.

Fil aurait-il quelques références médicales que je pourrais transmettre ? Il peut le cas échéant me les transmettre par message privé, ce qui serait peut-être plus prudent.

En attendant, je suis toujours confronté à une fatigue chronique qui s’aggrave… :fsb2_zzz: :fsb2_dead:

Si d’autres personnes avaient rencontré des problèmes d’apnées durant le traitement, merci de me revenir avec vos expériences.

Actuellement, je suis à 175 mg par jour. Je vais tenter de diminuer progressivement de 12,5 mg toutes les deux à quatre semaines. J'avais voici quelques mois tenter de diminuer mais peut-être un peu trop rapidement. Le craving avait repointé le bout de son nez, ce qui m'avait amené à remonter rapidement par sécurité.

Portez-vous bien.

Al
 
Al RJ
26 Décembre 2018, 22:06
Merci beaucoup.

Je reviendrai après mon rdv avec le médecin du sommeil, que je vois le 7 janvier prochain.

Al
 
Al RJ
25 Décembre 2018, 19:49
Bonjour,


Bien longtemps que je ne suis intervenu sur le site.

Actuellement, je suis sous baclo à 175 mg/j, traitement commencé en 2012.

Depuis plusieurs années, mon sommeil se dégrade ; fatigue chronique, perte de concentration, difficulté de mémorisation, somnolence, etc. J'en ai parlé régulièrement à mon médecin alcoologue, psychiatre qui me suit depuis 2012, ainsi qu'à mon médecin traitant qui est aussi au courant de mon traitement baclofène. Réponse : effets indésirables du baclo.

J'ai finalement décidé de consulter un centre du sommeil.

Le test vient d'être effectué. Légère apnée du sommeil obstructive. Je ronfle depuis bien longtemps, même bien avant le baclo.

Beaucoup plus embêtant, le médecin du sommeil constate présence d'un syndrome d'apnée du sommeil central sévère (autre sorte d'apnée non obstructive, apparemment le cerveau "oublie" de donner ordre de respirer...! Lien par exemple : https://www.resmed.com/fr-ch/c...eep-apnoea.html ). Je n’ai pas encoore revu depuis l'examen ce médecin somnologue. Rdv programmé début janvier 2019. Son courrier évoque une mise au point à faire, examens complémentaires, avec un traitement. Lequel ?


La copie du protocole m'a été communiquée par mon médecin alcoologue, que j’avais revu après le test. Il ne connaissait pas ce problème.

Les sites consultés évoquent fréquence d'insuffisance cardiaque ainsi que d'autres troubles sévères. Sauf erreur, ce n'est pas du tout mon cas. Quelques recherches m'apprennent interaction baclofène/ apnée.

Côté positif, je peux enfin trouver une cause à cette fatigue chronique. Mais comment traiter ? Masque et appareil respiratoire ?

L’alcoologue me confirme maintenant par e-mail l’incrimination du baclo… et me propose diminution de mes doses de baclo. J’avais tenté réduction voici un an. Retour du craving… !

Là, ça risque de devenir cornélien…

Je reviens sur le site et constate que ce problème semble ici bien débattu.

Je ne sais pas si je suis sur la bonne page. Merci sinon de me diriger.

Phil ou d’autres peuvent-ils m’éclairer et/ou m’aider ?

Merci.

Al
 
Al RJ
21 Septembre 2017, 19:02
Bonjour,


Comment vas-tu ? Un mieux dans ta situation ?

J'avais croisé ton fil qui m'avait interpellé. Similarité de situation.

Pour ma part, l'évolution est positive. Je demeure prudent mais je souhaitais te donner un peu de courage et d'espoir. Il est possible de retrouver une amélioration nonobstant rechute.

Porte toi bien.


Al
 
Al RJ
21 Septembre 2017, 18:56
Bonjour,


Je reviens exposer l'évolution depuis les difficultés qui sont réapparues dans les derniers mois. Voir mes messages ci-dessus de fin août et début du mois de septembre.

J'ai été confronté au retour d'une envie irrépressible au moment de mise en contact avec l'alcool : apéritifs, repas au restaurant, situations festives… En autre temps, pas de craving.

Mais la fréquence de consommation redevenue sans limite s'accélérait. Je me revoyais à nouveau comme dans la situation de fin d'adolescence, début de vie d'adulte, mais sans le moindre plaisir, avec une consommation d'alcool redevenue totalement excessive, sans contrôle. Les lendemains très pénibles, retour de la culpabilité. Avec la perspective d'un retour de la maladie !

Lors de la dernière consultation, fin du mois d'août 2017, chez l'alcoologue qui me suit depuis février 2012, il fut convenu de remonter les doses. J'étais à ce moment à 100 mg par jour en 4 prises.

Je suis remonté progressivement, 12,5 mg de plus tous les 3 jours pour arriver depuis aujourd'hui à 200 mg, toujours en 4 prises (je rappelle que j'habite en Belgique et que nous n'avons, pour l'instant, pas de problème concernant des doses plus hautes que 80 mg/j ; mon médecin suit).

J'ai renoué avec les troubles du sommeil, des rêves hyperréalistes ainsi que, surtout, des migraines, fortes, assez nombreuses. Curieusement, et tant mieux pour moi, la fréquence des migraines s'est fortement estompée depuis une quinzaine de jours.. malgré un rythme soutenu de montée du Baclo. Le sommeil demeure agité, quelques solides coups de pompe :fsb2_zzz: durant la journée ou en début de soirée.

Les derniers jours étaient assez chargés en événements et ont constitué une belle période de test. Réunion familiale le vendredi soir. Un whisky à l'apéro, ensuite restaurant avec vin blanc et vin rouge. Consommation tout à fait réduite.

Le lendemain, invitation à un mariage avec vin d'honneur, repas et puis soirée. Un seul verre de champagne à l'apéritif, un peu de blanc et un peu de rouge et beaucoup d'eau, le tout avec un peu de raison mais sans effort.

En début de semaine, nouvelle réunion dans un restaurant. Aucune envie. Pas d'apéritif, juste un jus de fruits. J'ai trempé les lèvres dans le blanc et dans le rouge, sans attrait. Je n'ai pas bu l'équivalent d'un demi verre de vin.

Je pense que je vais maintenant rester à ce palier de 200 mg avec des effets indésirables redevenus tout à fait minimes et que l'indifférence est revenue. Je ne suis plus dans la situation « no limit » qui était revenue lorsque j'étais en situations festives.

Aucun craving durant la semaine ni le week-end. Je croise les doigts et espère être revenu dans une situation de contrôle et de confort. :fsb2_smile:

Ce petit message pour donner de l'espoir à ceux qui doutent quant à l'efficacité du traitement.

Il reste maintenant à confirmer sur la durée. Affaire à suivre donc...

Merci aux interventions de ceux qui ont pu réagir à mes appels et bon courage à tous les baclonautes.

Portez-vous bien.


Al
 
Al RJ
21 Septembre 2017, 18:47
Bonjour,


Comment vas-tu ? Une évolution positive ?

Personnellement, ma situation s'est améliorée. Je l'évoque dans un post sur mon fil. De l'espoir donc pour toi aussi puisque j'ai rencontré le même problème.

Porte toi bien.


Al
 
Al RJ
21 Septembre 2017, 18:43
Bonjour,


comment vas-tu ? Un mieux concernant les crises d'angoisse ?


Al
 
Al RJ
08 Septembre 2017, 0:13
Bienvenue,


Curieuse approche que celle de ton médecin addictologue. Mais malheureusement courante.

Tu devrais sans doute solliciter avis auprès d'un autre praticien. Des adresses devraient pouvoir t'être transmises, par messages privés (MP).Dans quelle région habites-tu ?

Tu évoques ton envie irrésistible de boire. Le baclofène permet précisément de maîtriser cette dépendance, ce que l'on appelle le "craving".

Tu trouveras ici une mine de renseignements et beaucoup de personnes très dévouées, désintéressées ...qui ont retrouvé qualité de vie.

Porte toi bien.


Al
 
Al RJ
07 Septembre 2017, 19:30
Bonjour,


Tu ne m'a pas répondu. Comment évoluent tes crises d'angoisse ?
 
Al RJ
07 Septembre 2017, 19:29
Bonjour,

Quelle évolution ?
 
Al RJ
07 Septembre 2017, 19:28
Bonjour,


Des nouvelles ?
 
Al RJ
07 Septembre 2017, 19:26
Merci Sylvie pour ton message.

Je te réponds. Pas de craving, même face à des bouteilles. J'étais à une réunion en soirée, bien arrosée. Je me suis abstenu sans effort.

L'envie ne me prend que si je consomme quelques verres alors que, après que l'indifférence se soit installée, un sentiment de satiété arrivait naturellement. C'est ce que je voudrais retrouver.


Grosses migraines pour le surplus de la journée. Pas cool...


Al
 
Al RJ
07 Septembre 2017, 11:14
Je poursuis la remontée, de 12,5mg tous les trois jours.

137,5 mg/j pour l'instant.

Abstinence pour favoriser le traitement depuis une grosse semaine. Mais retour de nuits assez agitées, coups de pompe de la journée et surtout fréquentes migraines !

Pas de problème, pour l'instant, de craving, même lors de repas au resto, arrosés de softs. Comment déceler retour de l'indifférence ?


Al
 
Al RJ
04 Septembre 2017, 21:02
Mais non, tu ne pollues pas !

Tu sembles stabilisé. Nous restons avec nos craintes...
 
Al RJ
04 Septembre 2017, 19:48
Merci.


Personnellement, j'ai également une approche gourmande. J'aime les bons vins… !

Il est clair qu'il est plus facile de s'abstenir devant une piquette :fsb2_smile:

Où en es-tu actuellement ?
 
Al RJ
04 Septembre 2017, 19:44
Bonjour,


Bon retour sur le forum. Je fais comme toi...! Retour à une progression visant à retrouver l'indifférence. C'est bon de ne pas se sentir seul.

Comme l'écrit Chrysalide, l'abstinence, c'est bien mais l'indifférence est autrement plus agréable.

À quelle dose étais-tu auparavant ? Avais-tu des difficultés qui t'ont conduit à arrêter le Baclofène ?

Porte toi bien.


Al
 
Al RJ
04 Septembre 2017, 19:38
Bonjour,


Je croise ton fil.

Je suis dans une situation proche de la tienne. Je reprends le chemin d'une augmentation de dose afin de retrouver l'indifférence.

Consommes-tu tous les jours ?

Je te reviendrai.

Porte toi bien.


Al
 
Al RJ
04 Septembre 2017, 19:31
Merci JM84,


Ta réflexion est certainement intéressante et pertinente mais il n'est pas si simple d'établir son planning comme tu sembles le suggérer. Faudrait-il rester cloîtré chez soi et/ou éviter tout contact de circonstances susceptibles d'entraîner consommation d'alcool ou, à tout le moins, présence de consommateurs ? Cela me paraît difficilement vivable.

Les réunions familiales sont toujours entourées d'apéritifs, bons flacons et bonne ambiance. Même chose pour les repas entre amis.

Les conférences, vacations professionnelles, réunions d'associations diverses, (professionnelle ou extra-professionnelle, sociale, sportive, philanthropique, etc.) se clôturent bien souvent par le verre de l'amitié, ou se déroulent lors d'un repas dans un restaurant ! Pour ne citer que ces exemples.

Il ne s'agit pas, pour la plupart du temps, de sorties festives dont le seul objectif serait de descendre des verres.

J'ai connu, après l'indifférence, une époque où je me sentais tout à fait à l'aise en ces circonstances. J'éprouve maintenant des difficultés à retrouver le sentiment de satiété qui me permettait de rester tout à fait raisonnable.

Je devrais peut-être, pour rencontrer ta suggestion, décider de ne prendre un peu d'alcool que de manière épisodique, modérément, et pas à chaque fois même de manière limitée (cet exercice là m'est devenu très difficile).

À suivre donc.


Al
 
Al RJ
04 Septembre 2017, 11:01
Merci à tous pour vos messages.


Je vois que je ne suis pas seul dans la situation.

Je tente, autant que je le peux, de m'abstenir de toute consommation. La dernière étant intervenue mardi dernier, un repas de famille, de manière raisonnable mais avec un craving évident lié aux premiers verres de l'apéritif.

Les autres occasions, réunions, rencontres amicales et autres, m'auraient amené à consommer jeudi, vendredi, samedi et dimanche. Pour l'instant abstinence. Pas de craving.

Je tente, sur la suggestion de Sylvie, d'adopter une augmentation de 12 1/2 mg tous les trois jours.

Je vois déjà repoindre les troubles de sommeil, avec nombre de réveils nocturnes, cauchemars, somnolence marquée lors de la journée, alors que je viens à peine d'entamer une modification… Ce ne va pas être simple pour les prestations au boulot.

Affaire à suivre.

Merci encore pour vos soutiens.


Al
 
Al RJ
02 Septembre 2017, 10:07
Merci Pascal pour ta réponse.


Le sublingual, j'avais aussi essayé. Sans succès...

Le rythme festif est hebdomadaire. Ce week-end, mariage puis journée le lendemain entre amis. Tous les week-ends de septembre sont déjà pris pour des occasions diverses.

Ai-je des pensées à la vue d'une bouteille ? Un peu mais surtout si j'ai consommé quelques verres, auquel cas je songe déjà aux flacons ou verres suivants.

J'ai donc entrepris une remontée des doses, progressive et par tranche de 12,5 mg. Tous les cinq jours, à la réflexion, n'est-ce pas un peu trop lent ?

Je n'ai pas trouvé sur le site de cas qui s'approche(nt) de mon vécu. Il est vrai que ce n'est pas simple à retrouver.

Bien à toi.


Al
 
Al RJ
31 Aout 2017, 12:19
Retour de chez mon médecin.

Il a donc été décidé de remonter les doses, progressivement.

Je suis actuellement à 4 × 25 mg par jour, 10h30, 12h30, 15h30 et 18h30.

Il a été convenu de remonter de 12,5 mg (en Belgique, comprimé de 25 mg, sécable) par jour tous les cinq jours, jusqu'à… nécessaire. À tout le moins jusqu'à 200 mg jour.

Il m'a également été recommandé d'éviter autant que possible consommation d'alcool.

Il me sera peut-être plus difficile de sentir arriver le retour de l'indifférence dès lors que je n'ai plus de craving journalier mais bien lorsque je suis en situation festive, familiale ou amicale après avoir consommé un peu.

Si certains parmi vous ont eu une expérience de rechute un peu comparable à la mienne, leur expérience me sera bien utile. La progression est-elle raisonnable ? Pas assez ou trop rapide ?

Mon épouse a toujours peur que ces doses hautes me soient préjudiciables à long terme. Le revirement connu en France ne la rassure pas…

Merci.


Al
 
Al RJ
30 Aout 2017, 12:38
Bonjour Sabine,


Je reviens sur le site après longue période d'absence. Régression de mon indifférence et retour de dérapages alcool...

Je croise ton fil. Nous n'avons jamais échangé.

Apparemment, tu connais de graves problèmes d'angoisses.

Je n'ai pas parcouru toutes les pages de ton fil et écris peut-être une réflexion non appropriée. Merci en cas de m'en excuser.

Le baclo a eu sur moi un effet dépresseur fort marqué. Avec de grosses crises d'angoisse. Consultation de mon psychiatre alcoologue. La prise d'un AD, bien toléré avant, a été non seulement inefficace mais en contrariété avec la baclo.

J'ai retrouvé un état normal sur le plan des angoisses par la prise d'un autre AD, venlafaxine (diffusé notamment sous le nom Efexor).

Si cela peut t'être utile...?

Porte toi bien.


Al
 
Al RJ
30 Aout 2017, 11:10
Merci André et Pascal,


Je crois qu'il convient effectivement de remonter. A quel rythme ?

J'avais connu l'indifférence à une dose très faible. Puis, j'ai dû monter. Ce fut et cela reste assez compliqué à gérer.

J'en discuterai avec mon médecin.


Al
 
Al RJ
28 Aout 2017, 16:48
Bonjour,


Plus de trois ans se sont écoulés depuis mes derniers messages sur le forum. Quelques messages privés par la suite.

Je suis toujours actuellement à une posologie de 100 mg par jour en quatre reprises, 10h30, 12h30, 15h30 et 18h30.

Je suis toujours sous AD.

Je n'ai plus de craving journalier depuis bien longtemps.Je constate malheureusement depuis plusieurs mois des dérapages devenus trop fréquents au niveau de ma consommation d'alcool en situation « mondaine », ou au restaurant ou en famille.

Je (re)bascule en mode excessif voire parfois « sans limite ». Je ne retrouve plus le sentiment de satiété que j'avais connu antérieurement. Surtout si les vins sont de qualité... Même chose avec la nourriture, avec une reprise de poids !!!

Que faire ? Je revois mon médecin ce mercredi soir 30 août.

Au vu de la grande diversité de cas , des renseignements et conseils ou encore expérience partagée seraient certainement précieux pour moi.

Remonter les doses jusqu'à retrouver l'indifférence ? Je suis dans une situation nettement meilleure qu'avant le Baclofène mais je crains une descente de mon indifférence, voire une rechute alors que je suis stabilisé à 100 mg/j depuis plus de deux ans, sans ES.

Un grand merci d'avance.


AL RJ, plus vraiment guéri... :fsb2_dead:


Pour en savoir plus, voir Indifférence - cohabitation AD/Baclo
 
Al RJ
07 Octobre 2015, 8:24
Bonjour,


Je t'ai envoyé un MP mais j'ai constaté que tu ne l'as pas ouvert...

A+


Al
 
Al RJ
09 Avril 2015, 17:13
Bonjour,


Je suis sûr que tu arrives au bout.

Tiens nous au courant.


Al
 
Al RJ
03 Avril 2015, 15:53
Bonjour,


Un petit coucou en passant.

Comment te sens-tu ?

Gros ES mais ça ne partirait pas vers l'indifférence ???

Porte toi bien et tiens bon.http://yelims3.free.fr/Inclassables/Inclassable51.gif

Pour ce qui est régime, j'ai tâté du WW et ça marche...!


Al
 
Al RJ
20 Aout 2014, 18:42
Bonjour,

Je croise ton fil.

Si cela peut t'aider, j'ai également rencontré un problème de dépression et une très mauvaise cohabitation entre le Baclofène et les antidépresseurs.

Jette un œil sur mon fil : Indifférence - cohabitation AD/Baclo

Peux-tu en dire plus sur la nature des antidépresseurs qui t'ont été prescrits ?

Porte-toi bien.

Al
 
Al RJ
08 Aout 2014, 16:15
Bonjour Albert,

Bienvenue sur ce site.

Beau message que celui écrit hier lors de ton entrée hier sur ce site.

Difficile effectivement de reconnaître sa propre maladie.

Beaucoup de lucidité dans ta description, ce qui est particulièrement encourageant pour la réussite de ton traitement.

L'effet du Baclofène est particulièrement bluffant.

Tu as pu lors du dîner pour ton anniversaire résister fortement à la tentation. Super.

Si tu en as la possibilité, essaie de diminuer voire de supprimer ta consommation d'alcool, cela augmente les effets positifs du traitement. Si ce n'est pas possible, ce n'est pas grave mais augmente semble-t-il quelque peu la durée de celui-ci.

Le conseil de Claire 75 de lire les livres de R. de Beaurepaire et d'Olivier Ameisen est très judicieux. Pour ta compagne aussi.

Je te souhaite déjà une belle nouvelle vie.

Porte-toi bien.

Al
 
Al RJ
12 Juin 2014, 21:50
Bonjour,


Quelles sont les nouvelles ?

Al
 
Al RJ
07 Mars 2014, 17:34
Bonjour,


Bienvenue dans l'aventure.

Personnellement, j'ai ressenti très rapidement un effet euphorisant très net, dès la première prise.

J'ai rencontré l'indifférence au bout de 5 jours, à 30 mg.

C'est tout le mal que je te souhaite ! Ce genre de réaction est manifestement et malheureusement très rare mais il ne faut pas se focaliser sur cet élément.

Par la suite, le fleuve fut un peu moins tranquille mais, par rapport à beaucoup d'autres, je fais partie des chanceux.

J'ai raconté tout cela sur 2 fils : Guéri, et après... et Indifférence - cohabitation AD/Baclo

Les effets du Baclofène sont très surprenants et très variables en fonction des individus.

Pour ton compagnon, a-t-il consommé également de l'alcool en même temps que sa prise de Baclo ?

Porte-toi bien et belle nouvelle vie.


Al
 
Al RJ
05 Mars 2014, 19:04
Bonjour,


Je te vois poster par ailleurs.

Apparemment, ton moral s'améliore visiblement.

Très bonne nouvelle !

Porte-toi bien.


Al
 
Al RJ
05 Mars 2014, 19:01
Bonjour,


Garde confiance et sois patiente.

Sans doute serait-il important que tu puisses stabiliser tes doses et rester un certain temps sur une même posologie, une fois l'indifférence retrouvée, afin que ton corps s'y habitue. Même si les effets secondaires sont au début fort présents.

Concernant les effets de ton AD, là aussi, il faut laisser un peu de temps au temps. Dans la première phase, comme le souligne avec pertinence PierreEau, une aggravation de l'anxiété peut se produire mais cela s'estompe avant de ressentir durablement les effets bénéfiques du traitement.

Sois vigilante aussi aux éventuelles interactions entre le Baclo et ton AD.

Les conseils sur la méditation ou encore la relaxation sont aussi précieux.


Al
 
Al RJ
05 Mars 2014, 18:48
Bonjour,


Le traitement fonctionne, de manière très satisfaisante, pour beaucoup d'entre nous.

La difficulté est qu'il est impossible de prédire ton seuil d'indifférence. Ni ta sensibilité aux effets secondaires et effets indésirables.

Tant que le déclic n'est pas réalisé, tu auras toujours des envies de boire et tu rechuteras vraisemblablement encore quelquefois.

Ce n'est pas une question de manque de volonté mais tout simplement l'effet de la maladie dont nous sommes atteints.

Garde ton calme et surtout confiance.

Ton conjoint a des doutes et parle de divorce. On peut le comprendre même si ce n'est pas agréable à entendre.

Tous les discours, en dehors du traitement par Baclofène, parlent en effet soit d'une maladie non guérissable, soit d'un manque de volonté dans le chef du malade.

Peut-être pourrais-tu l'amener à parcourir quelques fils sur le présent forum (certains sont rédigés par des conjoints d'alcooliques), à lire l'ouvrage « Le Dernier Verre » écrit par le Dr Ameisen et « Vérités et Mensonges sur le Baclofène » du docteur de Beaurepaire. Il pourra y trouver des informations qui devraient être de nature à le rassurer pour l'avenir.

Courage et porte-toi bien.


Al
 
Al RJ
27 Février 2014, 17:23
bonjour,


La réflexion d'Albéric est pertinente.

Quelles sont les explications qui t'ont été fournies par le médecin sur le mode de fonctionnement du Baclofène ?

L'important est que tu aies pu démarrer.

Porte-toi bien.


Al
 
Al RJ
27 Février 2014, 0:23
Bonsoir,


Superbe nouvelle !

Belle nouvelle vie.

A quelle dose le baclo t'a-t-il été prescrit ?


Al
 
Al RJ
25 Février 2014, 19:47
Estelle et Pierre bonjour,


Heureux d'avoir de vos nouvelles.

Des signes timides mais certains semblent encourageants.

Les effets du Baclo sont assez surprenants et fort divers.

Le caractère anxiolytique est manifestement variable selon les individus.

Il est vraisemblable que la diminution de l'alcool laisse la place à l'anxiété.

Une certaine sérénité semble poindre dans vos interventions. Cela est encourageant et agréable.

Persévérez. Votre chemin semble le bon.

Quels sont vos derniers ressentis ?

Portez-vous bien.


Al
 
Al RJ
25 Février 2014, 19:41
Bonjour,

Pour ce qui est du moral, je pense que tu dois faire preuve de patience.

L'effet de l'AD est assez lent.

Pour ce qui est la posologie du Baclo, il apparaît que tu n'as pas encore atteinte la dose seuil. Si tu bois encore, avec un effet de craving (envie irrépressible), tu n'as pas atteint l'indifférence.

Il est inquiétant de lire que ton médecin s'arrête normalement de prescrire au-delà de 90 mg jour.

La moyenne est bien au-delà, certaines personnes devant monter à des doses nettement supérieures.

Si ton prescripteur s'autolimite, cela semble montrer une méconnaissance du Baclo. Tu devras envisager de changer de médecin pour pouvoir être suivie correctement.

Les délais de rendez-vous sont parfois assez longs. Tu aurais intérêt à prendre rendez-vous chez un autre, fût-ce pour prendre un avis.

Porte-toi bien.


Al
 
Al RJ
21 Février 2014, 23:47
Bonsoir,


Sympa de donner ton témoignage.

Le septiscisme qui entoure le baclo a besoin de l'énergie de tous les soignés avec succès.

Donne de temps en temps de tes nouvelles.


Al
 
Al RJ
21 Février 2014, 23:41
Bonsoir,


Je te vois très active.

Bravo.

Tu fais part de ton souhait d'un retour sur ton fil. Avec plaisir.

Tca et alcoolos, même combat ?

Tu as très vraisemblablement raison.

J'ai abordé récemment, avec ma mère, mon problème d'addiction, soigné avec le baclo. Etonnée puis heureuse que je lui expose le pourquoi de mes tourments et le parcours de mon traitement.

Elle avait enfin une grille de lecture.

J'ai évoqué le caractère héréditaire de mon mal. Elle s'interrogeait sur nos aïeux alcoolo-dépendants... sans succès.

J'ai simplement évoqué ma grand-mère, accro aux pâtisseries, sauces en tous genres, replète, toute en rondeur. Tellement accro à la nourriture.

Mon fils est parti sur la même pente.

Je partage ton analyse. Même cause, parenté evidente de situations et potentialités du baclo pour soigner ces addictions voisines.

Bon courage.

Porte toi bien.


Al
 
Al RJ
21 Février 2014, 18:29
Bonjour,


Tout cela semble encourageant.

Qu'en est-il de tes angoisses ?

Porte-toi bien.


Al
 
Al RJ
21 Février 2014, 18:28
Bonjour,


Quoi de neuf ?

Une réflexion que j'avais exposée à mon toubib me revient à l'esprit.

Je lui avais dit que j'avais l'impression d'une progression positive et constante, mais particulièrement lente, comme un livre qu'il fallait reconstituer une page à la fois, comme un mille-feuille.

Ce propos simplement pour te dire de lâcher prise et de prendre patience tout en gardant confiance.

Pour l'instant, malgré des épreuves éprouvantes et particulièrement lourdes, je retrouve une légèreté que je n'avais plus connue depuis des décennies. L'humour revient au rendez-vous.

Porte-toi bien.


Al
 
Al RJ
21 Février 2014, 18:08
Bonjour,


Si tu es sur ce forum, j'imagine que tu as pris renseignements sur le baclo.

Tu reconnais tes difficultés, ce qui est un grand pas.

As-tu lu le livre d'Olivier Ameisen "Le dernier verre" ? La description de l'alcoolisme - du craving notamment - est très éclairante. Ouvrage facile à se procurer sur des sites de vente en ligne.

Tu apprendras que notre problème est réellement une maladie liée à un déficit ou un déséquilibre neurobiologique (pas un problème de [manque de]volonté) que le baclofène permet de soigner.

De manière bluffante !

A lire aussi si questionnement sur les effets directs et secondaires du baclo : "Vérités et mensonges sur le baclofène" du docteur R de Beaurepaire. Précieux également.

Nous sommes nombreux à pouvoir témoigner de l'efficacité du traitement.

Je te souhaite déjà une belle nouvelle vie.


Al
 
Al RJ
19 Février 2014, 19:08
Bonjour,

Super que tu aies pu obtenir un rendez-vous.

Le délai est encore assez court compte tenu de l'agenda du médecin.

Pour ceux qui hésitent, je reproduis quelques passages de nos échanges récents en MP, lorsque tu m'avais interrogé sur le Baclo.


«Dommage qu'il y ait autant de résistance et de méfiance contre le baclo.

Et pourtant, ça marche ! L'effet est proprement bluffant !!!

Exemple ? Soirée du 14 février, Saint-Valentin, champagne avec ma moitié et un excellent Sancerre pour accompagner le poisson.

En quantité raisonnable, pour le côté gourmand et convivial.

Sans aucun retour du craving, ni crainte...

Bref, le comportement normal de tout un chacun.

Jamais un adepte de l'abstinence ne peut agir de la sorte. Je respecte mais ce n'est pas mon choix.

La molécule désactive en quelque sorte la dépendance chimique.

C'est en cela que le traitement est révolutionnaire.»



Tu avais évoqué une approche par une aide psychologique pour comprendre le pourquoi, le fameux « pourquoi je bois, je bois pour quoi ? »

Je t'avais répondu notamment :

« Effectivement, la psychologue pourrait peut-être apporter un soutien mais certainement pas une solution.

L'approche, que j'avais personnellement rencontrée au mois de janvier 2013, lors d'un entretien chez une thérapeute spécialisée sous l'approche cognitivo-comportementale, alors que j'avais déjà réussi le traitement sous Baclofène, était nécessairement d'une explication logique, sur un plan psychologique, à la nécessité de se réfugier dans l'alcool.

J'ai passé près de 2 h 30 auprès de cette psychologue, honnête mais manifestement mal informée sur le Baclofène.

Elle me soutenait qu'il y avait des abstinents heureux. Cela est sans doute vrai, quoique j'ai de sérieux doutes.

Elle ne pouvait, par contre, pas comprendre que l'on pouvait, avec le Baclofène, redevenir normal, comme « désensibilisé » aux effets néfastes de l'alcool. Cela remettait en cause tout l'enseignement qu'elle avait pu acquérir. Elle estimait que l'alcoolodépendance devait nécessairement trouver une explication dans des traumatismes d'ordre psychologique et des mécanismes d'autodéfense, ainsi que semble le suggérer ta psychologue.

Je lui avais exposé l'existence d'expériences avec des animaux de laboratoire rendus alcoolodépendants, avec des taux de dépendance très proches de ceux obtenus chez les humains. Elle était complètement ébranlée mais je n'ai pas pu poursuivre avec elle.

Je te souhaite que tes entretiens avec la psychologue seront productifs. À jauger selon son ouverture d'esprit et la connaissance qu'elle peut avoir des effets du Baclofène.

Je rappelle, comme tu l'auras vu, que je suis suivi par un psychiatre alcoologue, qui, lors des premiers entretiens que j'ai pu avoir avec lui, était particulièrement sceptique. Son opinion est actuellement complètement changée en raison des effets manifestement bénéfiques pour un nombre important de ses patients.

L'ironie veut que la psychologue que j'avais approchée m'avait été conseillée par cet alcoologue !

Une fois ma dépression maîtrisée, je dois te dire que je me sens un homme nouveau, avec une énergie que je n'avais plus depuis bien longtemps.

Je ne puis que t'en souhaiter autant. »


Raconte nous comment cela se passe.

Tu es dans le bon chemin.

Bientôt la libération !

Encore un peu de patience.

Porte-toi bien.


Al
 
Al RJ
19 Février 2014, 0:43
Bonsoir,


J'avais zappé ton message du 14 février.

Tu as pris une sage décision.

La dépression se soigne de manière efficace. Phil, médecin, t'a fait part de son point de vue sur le choix du traitement.

Avant de commencer la prise d'un AD, j'avais évoqué mon inaptitude ou mon incapacité au bonheur... Comme tu l'évoques !

Sois patient.

Je reprends réellement pied, avec délectation.

Raconte nous et prends soin de toi.


Al
 
Al RJ
18 Février 2014, 18:20
Bonjour Estelle,


Comme tu le dis, traverser des crises d'angoisse est particulièrement flippant.

Je n'ai malheureusement pas d'autres recettes à te proposer que de prendre encore un peu de patience. De faire le gros dos !

Essaie de faire un peu de sophrologie et de relaxation.

Personnellement, j'ai dû monter à 150 mg pour mon AD avant de commencer à trouver les bons équilibres.

Patience et régularité…

Comme toi, je pense que le fait de pouvoir déjà en parler fait du bien.

Je peux juste t'assurer qu'à l'heure actuelle, je me sens très nettement mieux. C'est un régal.

N'hésite pas à revenir.

Courage.

Porte-toi bien.


Al
 
Al RJ
15 Février 2014, 22:16
Bonsoir,


Je te souhaite à mon tour un très joyeux annivaiersaire !


Al
 
Al RJ
15 Février 2014, 18:08
Bonjour,


Superbe belle nouvelle. Beau témoignage.

Comme toi, hier, bon champagne à l'apéritif et excellent Sancerre pour accompagner le poisson avec mon épouse, pour fêter la Saint-Valentin. Pas de craving, juste du plaisir.

Le Baclofène permet en effet de devenir ou redevenir normal, de pouvoir profiter de plaisirs épicuriens, sans crainte du lendemain. Bluffant mais bien réel !

Ce plaisir-là se savoure et se déguste sans modération !

Porte-toi bien.


Al
 
Al RJ
14 Février 2014, 18:09
bonjour,

Quelles sont les nouvelles ?

Al
 
Al RJ
14 Février 2014, 18:07
Bonjour,

Apparemment, tu ne sembles plus déjà avoir les crises d'angoisse que tu évoquais auparavant.

Net progrès !

Il reste que tu es manifestement en état de dépression importante.

Je me souviens avoir dit auprès de mon médecin, avant de commencer l'antidépresseur, que j'avais le sentiment d'une incapacité au bonheur. Ce que tu décris avec d'autres mots, très justes.

Au bout de quelques mois, je peux te dire que je ne suis plus du tout dans cet état.

Maintenant, fais preuve de patience. Sois indulgente avec toi-même. Régulières dans les prises. Tant pour les AD que le Baclo.

La remontée se fera mais demande du temps. Je suis bien placé pour savoir que, lorsque l'on se sent dans cet état, ce temps semble particulièrement long.

Prends soin de toi.


Al
 
Al RJ
14 Février 2014, 17:58
Bonjour Estelle,


Tiens bon.

Sois patiente et indulgente avec toi même. Les premiers jours avec ton nouvel AD sont désagréables mais cela est tout à fait normal et temporaire.

Tu pourras te (re)construire. Pour recevoir des autres, il faut pouvoir donner. Tu vas y arriver.

Lorsque tu iras mieux, les choses progressivement rentreront dans l'ordre.

Je puis te dire qu'après avoir traversé des crises d'angoisse très flippantes, je suis actuellement beaucoup mieux.

Aucune raison qu'il n'en n'aille pas de même pour toi.

Porte toi bien.


Al
 
Al RJ
14 Février 2014, 17:42
Bonjour,


Pas mal du tout ces nouvelles.

Pour les ES, à cette dose déjà rien de plus normal que de réagir.

Habitue ton corps.

Tu as aussi des signes encourageants sur ta conso.

Si tu t'en sens la force, essaie de réduire au maximum cette consommation, tu accrois de la sorte les effets du traitement, mais ce n'est pas une obligation.

Comme je te l'avais écrit, tu verras, sous peu, que c'est bluffant.

Porte toi bien.


Al
 
Al RJ
12 Février 2014, 20:13
Bonjour,


Je croise ton fil.

Tes dernières interventions évoquent un coup de blues.

Soit prudente et vigilante.

Le Baclo peut, à terme, entraîner un effet dépressif. C'est un des effets secondaires connus pour un nombre non négligeable de patients.

Ne le laisse pas s'installer.

La parenté entre l'alcoolisme et les TCA est assez troublante.

J'avais une grand-mère manifestement atteinte de TCA. Elle adorait cuisiner, avec un goût prononcé pour les sauces et le beurre, revenait très fréquemment les bras chargés de pâtisseries et avait les rondeurs que son féroce appétit laisse deviner.

Ma mère n'a pas hérité de ce trouble mais, pour ma part, j'ai très rapidement connu des problèmes avec l'alcool. Dès mon adolescence.

Un de mes fils, 24 ans, a quant à lui des problèmes avec la nourriture, enchaînant tentatives de régime et reprises de poids.

Les chips ont un attrait tout à fait particulier. La description qu'il me fait des décisions prises le matin de s'abstenir et, le soir, de l'envie irrépressible de s'empiffrer est très proche, pour ne pas dire identique, de ce que j'ai pu connaître avec les bouteilles.

Je lui ai parlé du Baclo.

L'idée doit encore faire son chemin dans sa tête.

Je suis avec beaucoup d'intérêt vos interventions sur le fil des TCA.

En ce qui te concerne, où en es-tu ?

Porte-toi bien.


Al
 
Al RJ
12 Février 2014, 16:13
bonjour Estelle,

Je te réponds sur ton fil.

Al
 
Al RJ
12 Février 2014, 16:13
Bonjour Estelle,


Comme tu le dis, il faut effectivement être patiente.

Tu traverseras encore quelques jours difficiles.

Le savoir déjà permet de l'encaisser un peu mieux.

J'ai traversé comme toi des crises d'angoisse très fortes.

Essaie de lâcher un peu prise. Sois indulgente avec toi-même. L'amélioration sera lente mais constante.

Ton médecin te suit étroitement.

Tiens nous au courant.

Porte-toi bien.


Al
 
Al RJ
09 Février 2014, 18:44
Bonjour,


Super si tu changes ton AD.

Perspectives plus agréables à l'horizon.

Sois patiente et régulière. Laisse les équilibres s'installer. Il faut un peu de temps, de l'indulgence avec soi même, mais là, tu es dans le bon.


Al
 
Al RJ
07 Février 2014, 17:57
Bonjour,


Du nouveau ?

Bon week-end.


Al
 
Al RJ
07 Février 2014, 17:56
Bonjour,

Comment ça se passe ?

Raconte nous.

Al
 
Al RJ
07 Février 2014, 17:52
Bonjour Pierre,


Merci pour ton message.

Tu te questionnes et cela est bien légitime.

Chaque cas est évidemment différent.

Personnellement, je n'ai plus d'insomnies. Celles-ci sont aussi fréquentes lors d'épisodes dépressifs.

Ce type d'AD m'a bien convenu alors que mes insomnies avaient été très fortes avec le Baclo.

Concernant le sevrage "à la sortie" de l'Efexor, je puis en parler en connaissance de cause puisque j'avais déjà pris cette molécule voici près de 14 ans.

Le sevrage doit se faire en douceur mais je l'ai supporté assez facilement lorsque je l'ai stoppé.

L'efficacité à l'époque de cet antidépresseur a été limitée en raison de la combinaison de l'AD et d'une consommation trop élevée d'alcool. Il est bien connu que le cocktail alcool/AD réduit très fortement les effets positifs du traitement antidépresseur.

Mon alcoologue, psychiatre, m'indique que, pour ce type de molécule, une prise dans le long terme assurait une efficacité nettement meilleure, surtout sans alcoolisation massive. Une durée de l'ordre de 2 ans a été évoquée.

Je referai le point avec mon toubib, pour ce qui me concerne, vers le mois de mars ou avril prochain.

Comme pour le Baclofène, l'examen doit se faire selon la balance coûts/bénéfices. Pour les 2 molécules, le bénéfice est manifestement largement supérieur au coût.

Ceci étant, je ne suis pas là pour prêcher les bienfaits de tel ou tel type d'AD. Je ne puis que te faire part de mon expérience et de mes ressentis. La sertraline avait interagit très négativement avec le Baclo... Pas la venlafaxine. Et il m'a été nécessaire - et bénéfique - de prendre un AD.

Je ne connais pas le Trazodone.

Bonne réflexion.

Porte-toi bien.


Al
 
Al RJ
07 Février 2014, 16:23
Bonjour Estelle,


Je prends connaissance de ta réponse.

Ne te focalise pas sur les effets secondaires.

Ceux-ci sont beaucoup moins dérangeants que ceux générés par la prise de Baclofène.

Tu vis actuellement dans l'anxiété ce qui est très inconfortable.

Le médecin psychiatre qui m'a prescrit la venlafaxine, après la sertraline, est mon alcoologue.

Il a bien dû constater l'interaction entre le Baclofène et la sertraline.

Il m'a expliqué que cet AD - Ef(f)exor - devait se prendre pour une période relativement longue, que son mode d'action agissant sur la sérotonine et la noradrénaline avait une efficacité plus adéquate dans le long terme.

Comme je l'ai exposé dans des posts précédents, j'ai actuellement retrouvé un très bon équilibre.

Les ES sont temporaires. Plus grande difficulté de concentration, impression de flotter un peu dans le gaz, libido effectivement en berne mais cela reste limité à 15 jours à 3 semaines après la première prise et ensuite pour la même durée lors de montées par paliers.

Pour ce qui est du poids, j'avais fait un régime.

Or, tu prends le Baclo pour contrôler tes TCA. Tu ne devrais pas avoir de problèmes à cet égard. Sans doute devras-tu monter un peu le Baclo.

J'en suis actuellement, pour l'AD, à 150 mg par jour, en une prise le matin. Baclo : 100 mg/j.

Ton psychiatre est-il le médecin qui te prescrit le Baclo ?

Reviens raconter comment s'est passé ton rendez-vous.


Al
 




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