Résultats de la recherche (25 résultats)

aea
20 Juillet 2011, 23:40
Je comprends bien ton coup de colère tant je pense que tu passes de temps à rechercher des médecins prescripteur, à en informer les malades et à les soutenir.
 
aea
19 Juillet 2011, 23:34
ES = effets secondaires
Moi aussi je me suis demandé au début !
 
aea
19 Juillet 2011, 23:32
Bonsoir,
ton témoignage me fait (malheureusement) écho. J'ai aussi 3 jeunes enfant, moi non plus je n'ai rien vu au début, moi aussi c'était pendant toute une période gérable, moi aussi il était en dehors de ces moments où il était alcoolisé adorable, amoureux, attentionné...
Et puis, il y a le moment ou ca ne devient plus gérable, et même inacceptable (violence) et là j'ai été obligé de faire en sorte qu'il quitte la maison. Pourtant mes sentiments reste immense et j'ai appris sur cette terrible maladie et mon souhait le plus cher est de l'aider.
Ici, il y a vraiment des gens rien, qui comprennent et qui sont à l'écoute.
Quel réconfort dans les moments difficiles !
Bon courage à toi !
 
aea
19 Juillet 2011, 11:09
Quelle aventure ce baclo !
Quel parcours !
Mais c'est plein d'espoir
 
aea
18 Juillet 2011, 23:09
Sirène, tu auras aussi Tres bientôt le traitement adapté et petit à petit tu vas y arriver. Courage et patience sont les deux maitres mots ! (même si c'est facile à dire)
 
aea
15 Juillet 2011, 19:42
bonsoir,
Je n'étais pas intervenu sur le fil mais je suis cette discussion qui m'interesse.
Je suis dans le même cas que niddhog, mon conjoint ets dépendant et j'espère en sa guérison et en des jours meilleurs.
J'ai raconté mon histoire sur mon fil (peut-être avez-vous lu) :
"baclofene : la violence comme effet secondaire ???"

Aujourd'hui, nous ne vivons plus ensemble car à un moment, je me suis rendue à l'évidence que la meilleure manière de le protéger de lui-même était de ME protéger moi. C'est difficile de rendre à cette évidence et mes sentiments pour lui sont immenses.
Je veux continuer à l'aider, quelques fois je suis perdue je ne sais comment faire.
 
aea
11 Juillet 2011, 13:24
Bonjour Sirène,
C'est vrai maintenant que je lis les posts des uns et des aitres Ca me revient : qd mon conjoint était sous baclofene il mangeait et me disait a un moment Ca ne passe plus. Comme s'il ne pouvait plus manger ou finir par gourmandise. Arrivé à satiété il devait stopper.
Courage à toi et à bientôt.
 
aea
10 Juillet 2011, 10:04
Bon rétablissement et prudence.
Amitiés
 
aea
10 Juillet 2011, 0:02
C'est important de pouvoir dialoguer, oui avec plaisir, ici ou en MP. Les personnes qui ont un vécu commun se comprennent mieux biensur.
 
aea
08 Juillet 2011, 15:58
Nidhogg,
Je reconnais une partie de mon histoire dans ton post. Mon conjoint est également dépendant et c'est tellement dur de vivre au quotidien avec quelqu'un de dépendant. Chaque jour, on a espoir que ca s'arrete, et puis chaque jour ca recommence. C'est difficile, vu de l'extérieur, de comprendre ; c'est pour cela aussi que le forum aide beaucoup. Et puis depuis que je lis les posts, je trouve qu'il y a ici de vrais bons conseils, de l'écoute et aussi beaucoup de bonne volonté et de gentillesse et ca c'est tout simplement énorme !
Plein de courage à toi
 
aea
07 Juillet 2011, 21:40
Bonsoir, <br />Je ne peux te dire à quel point je comprends ta douleur car je vis la même. Se sentir obligé de s'éloigner de celui qu'on aime Parce que l'alcool s'est mis entre nous. <br />Pein de courage
 
aea
05 Juillet 2011, 23:13
Un grand bravo !
Ce n'est rien que du positif pour ceux qui se battent au quotidien.
Comme je dis souvent : à force de semer, Ca finit par pousser et alors viens l'heure de la récolte.
 
aea
02 Juillet 2011, 14:38
Je viens d'avoir Dr Annie Rapp au telephone.
Elle a été de bon conseil et très disponible.
Merci à elle
 
aea
01 Juillet 2011, 16:15
En tant que conjointe, je pense qu'en effet c'est un pas a faire, mais je pense que c'est le bon choix. Courage
 
aea
30 Juin 2011, 21:17
Bonsoir, je n'interviens pas mais je suis tes progrès régulièrement, c'est super !
Une question : comment répartis-tu les 160 mg ?
 
aea
30 Juin 2011, 14:17
Bravo!
C'est Tres encourageant
 
aea
27 Juin 2011, 19:22
Je lis tous les messages avec attention, qu'ils me fassent plaisir ou pas ... je suis venus ici chercher des avis, des témoignages. <br />J'entends ce que tu me dis, mais ce que j'ai vécu s'est produit de manière un peu différente à deux reprises mais toujours alors qu'il était alcoolisé. En dehors de ces "épisodes", c'est quelqu'un qui n'est absolument pas violent. Je n'ai jamais eu de doute la dessus. <br />Je reste à l'écoute de vos questions, vos témoignages de "victimes" mais également de personnes qui serait passer à l'acte. <br />Je cherche finalement à comprendre.
 
aea
27 Juin 2011, 7:28
Faut il etre fataliste avec la violence physique ? Et se dire que si elle a été elle sera ?
 
aea
27 Juin 2011, 7:13
J'ai souvent eu l'impression dans ce que j'ai lu qu'il se passait des "choses" importantes au alentour des 180 Mg. Veux tu aussi parler a ce stade d'un changement de comportement possible ?<br />Penses tu que ce changement soi du au baclofene ou a l'alcool ?<br />La violence physique reste pour moi dans tous les cas inacceptable.
 
aea
26 Juin 2011, 14:19
Tu penses que la violence envers toi (auto mutilation et tentative de suicide) sont du au traitement par le baclofene et pas directement à l'alcool ??<br />Penses tu que ca peut être du à une augmentation des doses trop rapide ?
 
aea
26 Juin 2011, 10:33
Encore une fois merci pour vos réponses et témoignages.
Si quelqu'un connait ou a vécu un lien entre "alcool et violence" ou entre "alcool, violence et baclofene" ne pas hésiter à poster.
 
aea
25 Juin 2011, 23:31
Pour répondre à vos 2 derniers posts : &lt;br /&gt;il a arrêté le baclofene depuis 1 mois suite à une hospitalisation, puis arret de l'alcool il y a 15 jours, sans manque aujourd'hui dit-il alors qu'avant il me parait de ce ressenti de craving.<br />En effet, quand il prenait du baclofène il y a eu au debut et lors des augmentations de doses, des moments de somnolence avec endormissement et réveil en sursaut un peu désorienté, des rêves un peu bizarres, ce que tu peux appeler des confusions mentales. Mais toujours et uniquement le soir, jamais en journée.
 
aea
25 Juin 2011, 21:51
J'ai tellement envie d'y croire mais la violence physique est quelque chose de terrifiant et inacceptable. La dernière fois, je me suis demandée comment j'allais me sortir de là. J'ai eu très peur. <br />Est ce qu'on peut ne ressentir aucun manque au bout de 15 jours quand on a eu une consommation d'alcool quotidienne ?
 
aea
25 Juin 2011, 21:36
Merci pour vos témoignages rapides. &lt;br /&gt;Il a aujourd'hui arreté le baclofène et est sur que c'est le traitement qui lui a fait faire tout ca. Il me dit que le psychiatre qu'il a consulté lui a dit qu'il avait deja vu ce genre d'effet secondaire. Moi, malgre tout ce que j'ai lu je n'ai jamais entendu parlé de violence.
Sans consommation d'alcool, depuis maintenant 15 jours il me dit ressentir aucun manque. Je ne sais que croire...
 
aea
25 Juin 2011, 20:48
Bonjour,&lt;br /&gt;Voila cela fait quelques mois que je viens m'informer régulièrement sur le site et j'ai fini par me décider à m'y inscrire pour avoir votre avis. &lt;br /&gt;J'ai rencontrer un homme merveilleux, charmant, attentionné et agréable à vivre, il y a maintenant 2 ans. Tout est allé très vite, nous sommes partis en vacances ensemble puis à notre retour nous avons décidé de nous installer ensemble. Tout se passait très bien. Je me suis rendue compte au bout de quelques mois d'une attirance pour l'alcool. Nous en avons parlé d'abord difficilement puis plus librement car il avait la ferme volonté de se sortir de cette dépendance. Les mois suivant se sont passés avec des hauts et des bas. L'alcool était selon les périodes présents quotidiennement toujours le soir jamais en journée avec son lot de désagréments. Le reste du temps il est resté quelqu'un d'attentionné, tendre et passionné. Et puis un jour, pour lui, pour moi, pour nous il a décidé de dire stoppe. D'arrêter l'alcool. Cet arrêt a duré 1 mois. J'étais heureuse de cette décision, de cette nouvelle vie, nous en discutions souvent ; sans que je me rende réellement compte de la difficulté puis lui de dire non chaque jour. Et puis, la chute est arrivée avec une consommation plus importante régulière et toujours uniquement en fin d'après-midi et soirée. Cette période a été difficile à vivre et tendue. J'ai eu l'impression de vivre quelques fois avec 2 personnes différentes. Celle de la journée tendre, attentive, agréable et celle du soir fermée, cherchant les histoires et le conflit. C'est alors que nous sommes tombés sur un article parlant du baclofène. L'évidence s'est imposée : trouver un médecin prescrpteur et commencer le traitement ; ce qu'il a fait, plein d'envie, plein d'espoir. Je l'ai soutenu, écouté. J'ai été présente lors de l'augmentation des doses, les soirées n'ont pas été toujours faciles loin de là, mais j'avais compris que c'était une étape pour aller vers une vie meilleur pour lui, pour nous. Pendant son traitement au baclofène, il a continué à consommer de l'alcool ; puis avec l'augmentation des doses, la consommation d'alcool a commencé à diminuer. C'était encourageant. Il était à 120mg. <br />Et puis, un soir l'enfer. Un soirée de printemps qui a commencé comme tant d'autres, un apéro sur entre nous sur la terrasse. Est ce que la consommation a été trop rapide, trop importante, est ce du fait de la prise du traitement ? Je ne sais pas. Mais j'en senti que ca dérapais, il cherchais les histoires, le ton est monté jusqu'à ce que je me prenne un coup de tête et qu'il devienne très énervé, incohérent. Tout est allé tellement vite. J'ai très peur, il y a eu des dégradations à la maison et le black-out sur une bonne partie de la soirée. Il a quitté la maison un temps en me jurant que ca n'arriverai plus, qu'il avait du consommé trop rapidement qu'il m'aimait plus que tout et que ca ne se reproduirait plus. Il a augmenté son traitement. Nous avons beaucoup discuté et avons repris la vie commune. Aussi dur que ca peut être pour une personne malade, je le sais, j'ai dit ok, mais plus une seule consommation d'alcool. Il a en même temps augmenté les doses de baclofene pour arriver à 180 mg. Et puis quelques semaines plus tard, le ton monte a nouveau alors qu'il avait consommé de l'alcool. Et là à nouveau violence physique. Je lui est demandé de quitter la maison, il ne voulait pas. Il est parti, j'ai eu des menaces de mort pendant des jours, la justice s'en est mélée, malgré tout mon amour ca devenait impossible, il fallait que je me protège. Aujourd'hui, il me dit qu'il m'aime plus que tout au monde. Il me dit que c'est le baclofene qui lui a fait perdre la tête. <br />Dans tout ce que j'ai pu lire sur le traitement au baclofene, je n'ai jamais rien lu sur des troubles du comportement. J'aimerai avoir vos avis, vos témoignages. Est ce que ca fait parti des risques, des effets secondaires ? Est ce que le baclofene peut êre responsable de tels actes ??<br />Merci de votre aide et de vos réponses.
 



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