225 mg en 3 prises. 1 seul craving mais tout est bien régulé ...sauf excès. Dommage de ne pas pouvoir vivre en paix avec cette maladie. Mais que serait-ce sans le Baclo???

Et toujours pas de solution.

Mais quand guériras-tu (jamais)?
Mais au moins le sais-tu (que trop)?
Que le temps qui passe n'arrange guère... (air connu).

Mais la vie continue... d'où ce petit message d'encouragement, un p'tit bonjour, à ceux qui continuent à se battre sur ce forum (et ils ont raison) contre cette put... de maladie.

A Sylvie et aux autres, on vous doit beaucoup, il fallait que ce soit dit (en tout cas pour moi qui "survit". Ouf!)

Bonjour lolo 69,

Contrairement à ce qu'écrit Velvet, ton témoignage est bien à sa place ici puisque tu parles d'une descente et réalisée avec beaucoup de prudence. Merci pour ton témoignage et bonne continuation.

Bonjour Sylvie,
Je n'ai pas toujours été un bon élève mais je pense avoir fait ce que je pouvais pour éradiquer mes envies (montée en puissance, actions préventives, etc.).
Le fait est que dans mon cas, j'insiste "dans mon cas", le Baclo a atteint ses limites surtout après avoir, grâce à lui, avoir connu le stade de l'indifférence (oui, je n'insisterais jamais assez sur ce point : le Baclo peut procurer l'indifférence mais il ne faut pas laisser passer sa chance).
Depuis, il est un régulateur, c'est déjà ça de pris. Mais il me faut continuer le travail autrement.

En attendant, toujours ce craving... Help!

Renseignements pris avec mon médecin traitant et recherches fouillées à l'appui, aucune association entre Baclo et Gabapentine testées à ce jour. Fausse piste? A moins que quelqu'un puisse témoigner. Appel lancé...

Merci Phil,

Je teste et je reviens...

Merci Sylvie,

Oui, je suis intéressé par ce complément, utile au-delà (pour moi) des limites du Baclo et sans remettre en cause les vertus de celui-ci. Plus qu'intéressé.

Exit le nalméfène, ES insupportables dans mon cas, après 2 essais (toute la panoplie décrite dans la notice y est passée)même si mon médecin traitant y croit toujours... pour d'autres).
Reste le Baclo, avec ses limites (toujours dans mon cas)

Grâce ou non au Baclo (mais je crois que oui), ma conso est de plus en plus contrôlée (6 à 7 UA/jour en moyenne depuis 3 mois) hors ce craving pour lequel le Baclo n'a pas démontré son efficacité (je suis monté jusqu'à 375 mg). D'où l'idée de mon médecin de poursuivre avec le Baclo mais à doses plus modérées pour limiter les ES de plus en plus pénalisants (somnolence, mémoire, équilibre ...) et d'utiliser le nalméfène pour cibler le craving. That'it. That's the end? A voir.

Petite info "singulière" en passant : sur avis de mon toubib, descente progressive de 250 à 150-175 mg mais pour éradiquer le dernier moment de craving persistant(cf message précédent), adjonction de ... nalméfène, avec précaution (vu les nausées, envies de vomissement et vertiges comme ES possibles ... et constatés dès ma première et unique prise à ce jour) et ce, à titre de test. A suivre donc.
Quelqu'un aurait-il déjà expérimenté cette combinaison baclo-nalméfène?

Merci à tous ceux qui consultent cette page,

Merci surtout à ceux qui peuvent laisser leur témoignage.

Sylvie,

Depuis ma rechute, je pense avoir fait le nécessaire par rapport à ces périodes de craving (dans mon cas, une seule aujourd'hui, bien ciblée). Résultat: pour moi et, j'insiste, pour moi, le Baclo n'a pas été la seule solution pour juguler les excès. Il m'a fallu d'autres motivations.

Pas faute d'avoir essayé (ciblage, remontée progressive...) et, toujours, ce regret de ne plus ressentir l'indifférence que m'avait procurée le Baclo (à 125 mg et j'en suis aujourd'hui à 275, ayant même monté jusqu'à 350).

Voilà pourquoi j'estime que pour moi une page Baclo est tournée, une occasion manquée, même s'il reste l'effet régulateur. L'objectif de l'indifférence, ce n'est plus pour moi.

Mon seul but, au travers de ce forum et du Petit questionnaire Descente : mettre l'accent sur le maintien de cette indifférence acquise, se servir du témoignage d'autres pour préserver cette indifférence acquise grâce au Baclo et tellement précieuse.

Helas, le Baclofène ne peut pas tout. Ou du moins pas deux fois dans mon cas. L'occasion de retaper sur le clou: bien contrôler sa descente. Pas pour rien que j'ai créé ce forum Petit questionnaire Descente Baclo.
A 275 mg, j'y crois toujours au Baclo mais plus pour une guérison, comme à un régulateur. Toujours ça de pris. Pour moi, l'indifférence n'a pas repassé les plats.

Merci, Velvet, pour ton témoignage,

Mon médecin-alcoologue lui-même ne sait par quel bout prendre le traitement. Il approuve ma descente eu égard aux ES et à une consommation plus modérée.

Bref, retour à la case départ alors que l'envie est toujours là?

Le Baclo m'aide à ne pas dépasser un certain niveau. C'est un fait. Mais où est l'équilibre?

La montée, graduelle, jusqu'à 350 mg a été de courte durée: ES insupportables. Somnolence permanente et perturbation des rythmes de sommeil, perte d'équilibre, de mémoire, maux de tête... et pas de résultat sensible au niveau de la consommation. Bref, la totale, une vie insupportable pour moi, mon conjoint, mes proches, mon travail. Je redescends depuis, toujours par paliers.

Merci Lagon, bonjour Alberic,

Oui, je crois que ce fil a son intérêt car, même sous forme de questionnaire, peut-être un peu "sec", il permet de se repérer, de trouver des témoignages, des conseils, d'éviter peut-être des rechutes.

Merci à tous ceux qui y ont contribué.

Merci pour ce lien.

Peut-être des témoignages de ceux qui ont franchi ce cap pourraient m'éclairer?
Appel à témoins...

Bonjour Sylvie,

Là est la question. Il est sûr que l'équilibre ainsi trouvé n'en est pas vraiment un ni d'un côté ni de l'autre. Entre une consommation latente qui obère une partie de tes facultés et des ES qui en font autant, que choisir?

Dernière info sur mon Baclo-fil. Suite à de nouvelles lectures et, notamment à des communications récentes du Dr Beaurepaire, mon médecin, jusqu'alors opposé à franchir la barre des 300 mg, me pousse aujourd'hui à dépasser cette limite pour éradiquer une consommation (raisonnable ... à mon niveau ... mais) stagnante. Dont acte, je vais donc franchir le cap. Jusqu'à? Mon corps me le dira.

Oups! Je vois tous les messages s'afficher. Désolé pour les répétitions. Mais le contenu reste cohérent : merci au forum!

Apparemment, mes messages ne s'affichent pas sur mon fil.

Entre deux prises de Baclo (250 mg tout de même) et beaucoup de réflexions sur la suite du parcours, je voulais te remercier de ta présence, Sylvie.

On n'a jamais assez d'encouragements...

Merci à ceux qui me suivent dans mon parcours. J'avoue que je ferais bien d'en faire autant car ce forum aide, c'est sûr.

Sympa, Sylvie,

Merci d'être passée
.

Sympa,

Merci de ta visite, Sylvie

Bonsoir à tous,

Toujours heureux de vous suivre même si très peu présent. Comme déjà écrit, le Baclo ne peut pas tout mais il aide.
Tous mes encouragements à ceux qui me liront?

Bonjour,

Je crois que ce fil, né dans le prolongement de celui d'Yves (Brasey), a fait son temps. Il visait à aider ceux qui expérimentent la descente du Baclo à tirer parti de l'expérience d'autres Baclonautes. Mais sans doute est-il un peu trop "dirigiste", trop "questionnant". Le mieux serait de rediriger ceux qui le consultent vers d'autres adresses, d'autres voies plus dynamiques, plus participatives. Il en est certainement que je ne connais pas.

Message à tous pour conseiller ceux qui ont besoin d'un fil conducteur pour gérer leur descente et les accompagner.

Chouette pour la réussite et merci pour le témoignage.
Et même si rien n'est arrêté, c'est déjà un beau message d'espoir.

Bonjour Sylvie et merci pour ton intervention,

En effet, ma statistique (indifférence : 1 - confort : 0,7) n'est qu'une photo, un "instantané", par rapport auquel les répondants ont pu encore évoluer, vers le bas comme vers le haut. Je crois avoir bien insisté sur la nuance à ce point ("une simple balise").

Comme je l'ai dit, elle ne sert que de repère pour aider ceux qui abordent leur descente. Elle vaut ce qu'elle vaut mais, au moins, est-elle basée sur 50 cas vécus.

Peut-être trop prudente mais l'est-on jamais assez lorsqu'il s'agit de consolider une indifférence enfin atteinte?

Quoi qu'il en soit, j'ai pensé, pour moi et pour tous les répondants, qu'une des utilités de ce fil pouvait être de fournir un indicateur à ceux qui nous suivent. Sans prétention scientifique (et sans vouloir épuiser le sujet).

En attendant mieux et là je te rejoins

Question : existe-t-il aujourd'hui des études/enquêtes sur le sujet qu'on puisse consulter (ou auxquelles participer)?

Peut-être n'ai-je pas été très clair dans ma définition.

Sur base de ma stat "indifférence-confort", je constate que pour 50 répondants, la dose de confort-équilibre ou comme on voudra la nommer, se situe à 70% de leur dose d'indifférence ressentie.

En clair, si quelqu'un a ressenti l'indifférence à 100 mg, sa dose de confort semble être de 70 mg (d'où le rapport de 1à 0,7). Avec toutes les variantes possibles par rapport à cette moyenne... mais au moins cela peut-il être un indicateur pour ceux qui se questionnent quant à leur descente.

Une simple balise mais si elle peut éviter des dérapages, au moins ce fil aura servi à quelque chose.

Bonsoir Phil,

Le seuil d'indifférence est celui déclaré par les répondants au point 2 du questionnaire, celui où ils ont ressenti l'indifférence. A partir duquel ils ont entrepris ou non - pour certains - leur descente.

Le seuil de confort est plus difficile à établir. Fondamentalement, je me suis basé sur la réponse au point 4 , le niveau de stabilisation déclaré par les participants, celui où ils pensent avoir trouvé un équilibre pour la suite.

Ce niveau est plus flou mais j'ai pensé qu'il pouvait être intéressant de le communiquer pour ceux qui consultent ce fil, à la recherche de leur point d'équilibre. Un simple repère, à nuancer par chacun, mais au moins un repère.

Bien à toi, bien à vous,

Baxter

Petite statistique qui vaut ce qu'elle vaut (mon cours de stat remonte à longtemps): sur base de 50 répondants, j'obtiens un rapport de 1 (seuil d'indifférence) à 0.7 (seuil de confort). Livré à votre réflexion...

Merci aux derniers répondants, Pierina, Alberic, Sucrinette et Phil_Nantes.

D'autant que, à travers des parcours très différents, chacun a exprimé le même message:

- Ecouter son corps
- Bien se connaître
- Faire très attention au ressenti
- Etre très vigilant sur la réapparition. Ne pas se focaliser sur la descente.

L'indifférence est une chose. Beaucoup ou un certain nombre l'ont atteinte. Et quel bonheur!

Mais dans la descente, c'est une autre chose, me semble-t-il.

On est moins dans l'enthousiasme de la découverte, du but enfin atteint.

Il faut consolider et les conseils exprimés ci-dessus reprennent toute leur valeur; vigilance, réagir au moindre ressenti, etc.

Réussite (dans les 4 derniers cas, oui!!!) et merci à ceux qui ont témoigné

Référence pour référence, en voici une des miennes:

http://www.youtube.com/watch?v=YQbgAMkG-uA

Le chant des cigales ... Mais ne rêvons pas, soyons ce que nous sommes.

Mon propos n'est sans doute pas très clair, c'est le moins qu'on puisse dire.

Pour essayer de le clarifier, avec une autre image, j'ai vécu une vie trop salée où les aliments ordinaires me paraissaient trop fades. et à un certain moment, l'alcool est devenu ce surcroît de sel qui me rendait l'ordinaire consommable, supportable. Un faux sel en quelque sorte.

J'ai décidé de m'en passer et j'y suis parvenu, jusqu'à l'indifférence que j'ai vraiment ressentie pendant quelques mois, mais sans vraiment retrouver et, surtout, rechercher le goût des aliments naturels pour autant. C'est pourquoi, lorsque je suis redescendu trop vite dans mon dosage de Baclo, le goût de ce faux sel m'est revenu, à la nuance près que je n'en attends plus qu'il soit le sel de ma vie.

L'essentiel n'est donc plus de le combattre à tout prix. Il est là mais le Baclo me permet de le contrôler, d'éviter les excès.

L'essentiel est ailleurs. Dans ce ré-ordonnancement de ma vie dont le goût dépendra d'une alimentation davantage normale, sans que le faux sel y soit encore nécessaire. Bref, la vraie indifférence!

Rien que d'ordinaire finalement...

Le fait est que l'alcool n'est plus un maître mais il reste présent. Pourquoi?
Que masque-t-il ou quel manque comble-t-il par rapport à mon existence, aujourd'hui que je peux le regarder avec un peu plus de distance qu'au stade de la dépendance?
A quel refus d'être ce que je suis m'est-il encore utile?
Voilà où j'en suis de mon questionnement.
D'où l'allusion à l'ordonnance de soi.
Je ne sais si je réponds à ton souhait de clarification, Al RJ.

Bonjour Al RJ et merci de ton passage sur mon fil,

Pour ce qui est du ressenti, il est clair que ma montée en puissance avec le Baclo m'a été utile - et le reste - par rapport à la recherche d'indifférence (ou plutôt de non-dépendance car il n'est pas question d'abstinence à tout prix). Le solde pour l'obtenir ne peut toutefois se chercher dans les ordonnances (médicales) mais bien dans l'ordonnance de soi.
Au demeurant, n'est-ce pas le lot de la plupart ici?
Ce parcours, je suis prêt à le développer si cette expérience peut être utile à d'autres.
Sinon, bon vent à tous!
Et merci, Baclo...

Petite correction : à 250 mg (et pas à 25). Mais l'essentiel est ailleurs. Arrivé à un certain stade, il faut creuser jusqu'aux racines.

Merci, l'autre Christine (pour moi),toujours présente sur ce forum, où pour ma part je navigue peu, entre tempérance et indifférence (à 25 mg tout de même).

Un petit message en passant.

Bonjour,

Si tu veux éviter Bruxelles, je te conseille de contacter en MP Al RJ (guéri)

Je crois qu'il a un bon prescripteur/alcoologue du côté de Charleroi.

Baxter

Bonjour Balo,

Pas d'accord pour minimiser, comme Tiouleep.

Pour moi, il y a rechute comme il y a eu re-descente trop rapide avec trop de confiance en soi, une fois n'est pas coutume (cfr mon cas).

Cette rechute, je la voyais arriver : déjà le 26 août, sur mon fil, je t'ai demandé pourquoi tu n'avais pas publié ta poso d'août, comme prévu et comme fait les mois précédents.

De grâce, et ce n'est pas faute de t'avoir prévenue, mets-toi le plus vite à l'abri: tu n'es qu'à 100 mg, tu as encore de la marge (avant les ES vraiment indésirables). Augmente le plus vite possible pour retrouver l'indifférence et fais-le si possible sous contrôle! Et tiens-nous au courant de tes PROGRES!

Bonjour,

Et merci Balo, j'espère que tout va bien pour toi (pas vu ta poso du mois d'août, un oubli?).

Pour ma part, que de mauvaises nouvelles!

Indifférence obtenue à 125 mg en juin 2012, puis descente après 2 mois (merci, Docteur M.) jusqu'à 50 mg en novembre (à nouveau, merci Docteur M.) et rechute grave... Errements entre-temps au niveau poso Baclo (jamais abandonnée) et puis remontée, toujours sous contrôle médical, et reprise en mains par un autre médecin jusqu'à 245 mg!!!

Toujours pas guéri aujourd'hui (un mieux mais...). Par contre, tous les ES et au maximum.

Au passage :
- sensations d'étouffement,
- insomnies (2 à 3 h de sommeil par nuit),
- maux de tête,
- endormissements soudains, génial quand on travaille et merci pour les amis et surtout pour le conjoint (toujours là, Dieu merci et OH MIRACLE. MERCI, MERCI à TOI!!!)
- acouphènes,
- rhumes, allergies (jamais auparavant),
J'en passe et des meilleures... au point que mon médecin parle d'arrêter le traitement (il est pourtant alcoologue et convaincu des vertus du Baclo de longue date).

Au total, pas un jugement (si ce n'est d'être très, très prudent dans la descente d'où mon autre fil sur la descente) mais un constat.

Petite précision: je suis toujours sous Baclo (à 245 mg)

Bonjour,

Suis les conseils de gaday et surtout informe-nous de ce qui t'es arrivé depuis le 6 juillet (nous sommes le 25 août) comme tu l'avais promis (posologie, ES, conso...). Comment t'aider autrement?

Bonjour à toi et, vraiment, merci pour ton témoignage qui me semble éclairant pour tous les candidats à la descente.

En effet, celui-ci m'impressionne à 2 titres:
- la redescente "vertigineuse" de 310 à 50 mg (en 7 mois certes), soit un rapport de 6+ à 1,
- (sur base de ton fil), le délai de mise en route de cette descente, 3 semaines, si je ne me trompe, après l'atteinte de l'indifférence.

N'y a-t-il pas eu là une course à la vitesse en descente (jusqu'à parler d'objectif 0) qui vous oblige aujourd'hui à remonter dans le dosage, contraints et forcés? Car tes dernières observations me laissent à penser que l'envie est bien revenue. Et le retour à l'indifférence (la sérénité pour le conjoint) d'autant plus difficile, après 18 mois de tranquillité.

Pour ne mentionner que mon cas personnel, j'ai ressenti l'indifférence à 125 mg. J'ai "stabilisé" pendant 2 mois (mon médecin était pour redescendre plus tôt). Je suis redescendu à peu près au même rythme que ton ptit mari jusqu'à la moitié de ma dose. Les premiers signes de reprise des envies de consommation se sont manifestés alors, très anodins. Mais, passé un court moment de flottement, de semi-contrôle, la replongée a été rapide, d'autant plus difficile à juguler que difficile à admettre.

Aujourd'hui, je suis remonté et au-delà, puisqu'à 235 mg et toujours en attente du retour à l'indifférence (j'espère n'en être pas trop loin). Un prix cher à payer (merci les ES!!!).

Bref, mon conseil toujours "personnel" (d'autres peuvent commenter), ne tarde pas à agir pour, comme tu le dis, que la sérénité revienne.

Bien à toi et encore merci de ton témoignage!

Bonjour et bienvenue sur ce forum où tu trouveras, j'espère et je le crois, l'aide que tu attends.

Pour ce qui est de ta demande de prescripteur sur Bruxelles, je ne sais pas si le mien est compétent en matière de boulimie mais, en matière de Baclo, je n'en connais pas de meilleur sur la place. Si tu souhaites avoir ses coordonnées, envoie moi un MP.

Pour info, il n'est pas dispo dans les prochains jours mais bien accessible par mail.

Au passage, entièrement d'accord avec Sylvie pour ce qui est du magnésium, en complément.

Bonne m... Balo. Au fait, quel est ton objectif en descente (dosage, timing)?

Tiens-nous surtout au courant de ton évolution. Le forum c'est aussi fait pour ça!

Bonjour Balo,

J'interviens peu, tu le sais bien (comme toi).

Simplement pour t'encourager et te conseiller la plus grande prudence dans ta descente.

Expérience à l'appui, au moindre doute, ne te dis pas que c'est un accident; n'hésite pas à remonter.

Avoir ressenti l'indifférence et devoir se dire qu'il faut tout recommencer: rien de pire, crois-moi!

Bien à toi,
Baxter

Bonjour Phil,

Je ne suis pas expert comme Yves, Sylvie et d'autres sur ce forum mais il me semble que tu pars sur de bonnes bases: 6 mois de stabilisation, descente de 10 mg tous les 2 mois sous contrôle de ton prescripteur ...
Une seule question : quelles sont tes motivations pour redescendre, arrivé à l'indifférence à une dose des plus raisonnables (120 mg), sans ES contraignants?

Un petit ajout par rapport aux points 1 et 4:
1 - Semi-réussite
4 - 215 mg. Ouf, la conso est sous contrôle et l'indifférence "semble" revenir... mais à quel prix (ES, etc.)!
Un conseil dès lors et toujours le même (perso, certes): prudence, prudence dans la descente, si descente! Et comme écrit sur un autre fil (à Balo), avant d'entamer le processus et même si le médecin traitant semble compétent, en parler ici, sur le forum, à ceux qui ont davantage d'expérience (Yves, Sylvie, Viva, etc., etc.).
Bonne route et bon courage à tous!
Je vous laisse la parole pour continuer à alimenter ce "Petit questionnaire"!

Petite précision : Ferrat mais chantant un poème d'Aragon.

Merci Zabou.
Un témoignage à mon tour ou plutôt un re-témoignage.

1 - Echec
2 - 125 mg, 50 jours
3 - 2 mois
4 - 175 mg
5 - Pour la redescente par paliers de 10 à 15 mg, tous les 15 jours. Pour la remontée, beaucoup plus rapide!!!
6 - Oui
7 - Depuis la remontée:
Fatigue, endormissements + insomnies, sensations de refroidissement, difficultés à se concentrer, problèmes respiratoires, quelques acouphènes...j'en oublie sûrement
8 - Plus d'objectif si ce n'est celui d'en sortir
9 - Rester vigilant. Le Baclofène m'a procuré au moins 4 mois d'indifférence vraiment totale (ouf, après 20 ans de dépendance, quel bonheur!). Mais attention, cette indifférence peut raviver la réflexion sur d'autres problèmes, ceux qui ont précédé (justifié?) l'alcoolisation. Il faut parfois être fort pour résister à ces retours . Pour ma part, je ne l'ai pas été...Mais je continue à croire au Baclo!
Dernier conseil : ne pas hésiter à parler de ses rechutes, que ce soit ici ou sur d'autres fils de ce forum. "J'en ai tant vu qui s'en allaient, ils ne demandaient que du feu" (Jean Ferrat).

Christine, Arnaud, Sissi,

Merci d'avoir relancé ce fil.
A vous lire et à lire d'autres témoignages (je peux ajouter le mien, remonté à 175 mg pour retrouver l'indifférence), je crois qu'il a son intérêt ne serait-ce que - je paraphrase Arnaud - pour se dire que "parfois juste un mot ou une réaction lue permet de ne pas replonger parce qu'on pense...à tel ou tel post qui nous a touché".

Encore merci et bonne route à vous!

Je n'avais pas vu le message (pas beaucoup sur le forum) mais suis toujours à l'écoute si le cœur t'en dit.
Quoi qu'il en soit, courage!

Merci aux visiteurs de ce "Petit questionnaire Descente Baclo" mais surtout n'hésitez pas à laisser votre témoignage. Réussite, échec, doute... le but est d'en sortir. Si l'expérience d'un membre de ce forum peut aider d'autres à éviter les mêmes erreurs ou à le guider, ce petit questionnaire aura rempli son rôle.

Merci Soph,

Oui j'espère que ce questionnaire reste d'actualité. Il ne dépend que de ceux qui veulent l'alimenter et s'entraider sur base de leur expérience car je crois que la descente (ou non) est un problème au moins aussi difficile à gérer que la montée jusqu'à l'indifférence.

J'ai oublié de te féliciter. Sincèrement heureux pour toi.
J'espère que toi et ton mari allez fêter cela bientôt à Venise.

Merci.
Au revoir à tous. Encore merci, l'après-baclo ce sera pour plus tard. Dans une autre vie.
Continuez votre combat, il en vaut la peine.

Dis, quand reviendras-tu?
Dis, au moins le sais-tu?
Ce serait bien de te lire, Oliv' (autrement qu'en MP).
Ce serait bien mais à toi de voir.

Bonjour Seb,

J'ai lu ton long post. Aussi lourd soit le passé - je n'ai pas dit le passif -, il faut essayer de se concentrer sur le présent. Ton objectif est de t'en sortir, avec le Baclo, ne te laisse pas tirer en arrière, au moins pour l'heure. Garde ton objectif!
Tu es un type bien, tu as pris la bonne décision, tu en ressens déjà les effets bénéfiques, avec certes quelques ES et un peu (beaucoup?) d'anxiété voire de peur du vide, OK. On n'a rien sans rien.
Mais tu es en train de t'en sortir et tu es déterminé à y arriver: c'est l'essentiel.
Viendra alors, comme pour Franck, le temps où tu pourras mieux contrôler tes émotions et assumer qui tu es: un type bien - je me répète -, sensible et qui le restera, avec son lot d'avantages mais aussi de difficultés à vivre.
Pour les spasmes aux poignets et aux mains, pas ressenti avec le Baclo, personnellement, mais bien des picotements et des lancements suite à un surcroît de tension nerveuse et musculaire (cela partait du cou pour se prolonger jusqu'aux extrémités des mains). Éliminés après quelques bonnes séances de kiné-ostéopathe.