Résultats de la recherche (10 résultats)

Dimitri
25 Juin 2013, 19:17
Yes...
 
Dimitri
30 Mai 2012, 19:37
Bon, ce n'est pas vraiment un quizz mais une question d'actualité...
Quelle compil' voudriez-vous offrir à votre mère dimanche ?
Moi, j'ai des idées :
http://lagriotteanice.wordpres...fete-des-meres/

Qu'en pensez-vous ?

Dimitri
 
Dimitri
27 Avril 2012, 10:44
J'ai personnellement suivi une cure au service d'addictologie de Paul Brousse à Villejuif (par ailleurs très bien, hormis les traitement prescrits à l'époque).
Entendre Reynaud tenir ces propos est une sacrée avancée.
Je vous conseille également la lecture de cet article concernant les essais randomisés en double aveugle :
http://www.impact-sante.fr/Med...baclofene/22016

Oui, les amis, les choses avancent !
 
Dimitri
18 Avril 2012, 8:27
Bonjour D. !

Oui, je vais très bien.
Concernant la posologie, je continue à l'augmenter mais tranquillement, sans me précipiter.
Là, je crois que ça commence vraiment à faire effet.
Pour le boulot, j'ai des pistes et particulièrement celle de la fondation sénégalaise (négociations en cours).
J'espère que toi aussi tu vas bien dans la froidure moscovite.

D.
 
Dimitri
17 Avril 2012, 11:20
Oui Daniel et je suis aussi en contact avec les assos et fondations de Monaco.
Mais ça prend du temps.
En revanche, j'ai une bonne nouvelle : je suis en négociation avec une fondation sénégalaise qui aide les enfants des rues et qui voudrait avoir un ambassadeur en France pour l'organisation d'événements, de levées de fonds et de prise en charge de la com'. A suivre donc...
Le problème c'est qu'en attendant, je voudrais trouver un job alimentaire pour tenir et retrouver un rythme de travail.
Coucou Daniel
 
Dimitri
17 Avril 2012, 10:48
Merci pour ta réponse Mirza.
Je te contacte par MP.
Tu vas rire : si je viens de m'installer à Nice, je suis moi aussi Breton et j'ai l'impression de ne pas être le seul sur ce forum.
 
Dimitri
16 Avril 2012, 12:13
Bonjour,

Je viens de m'inscrire.

J'ai vécu une expérience traumatisante en Inde où j'étais directeur d'un orphelinat.
De fait après une années merveilleuses riche en rencontres humaines qui donnaient un sens à ma vie, j'ai débusqué un pédophile en série australien qui travaillait pour une fondation partenaire.
Après un dur combat (face à la corruption et diverses menaces de mort), je suis parvenu à le faire arrêter. Malheureusement, ce monstre est parvenu à sortir en payant la justice et la police. Interpol m'a expliqué qu'ils ne pouvaient rien faire dès lors que la justice indienne l'avait blanchi (il faut savoir qu'il a fui l'Australie sous une fausse identité et qu'il n'a pas de visa depuis 30 ans en Inde). Aujourd'hui, il est libre (les témoins ne se sont mystérieusement pas rendus à son procès).
J'ai dû quitter l'Inde par sécurité.

Ecoeuré, mon retour en France s'est traduit par une longue dépression et une dramatique plongée dans l'alcool.
J'ai essayé de contacter des médias et malgré de belles promesses, il ne s'est rien passé.
J'ai continué à m'enfoncer jusqu'à un séjour à Sainte Anne suite à une tentative de suicide. Sorti au bout de 15 jours avec un traitement de cheval j'ai rapidement repris mon alcoolisme pour calmer mes angoisses.
J'ai ensuite décidé de me reprendre en main et j'ai décidé de suivre une cure de désintoxication à Paul Brousse (Villejuif). Sorti sevré avec traitement Aotal + Deroxat, j'ai replongé 3 mois après.
Résolu à me battre une nouvelle fois, j'ai alors refait une cure en clinique où l'on m'a prescrit du baclofène sur ma demande (mon nouveau psychiatre, ami d'Ameisen, me l'avait recommandé) et j'ai consulté le Docteur Jaury à ma sortie (j'ai eu de la chance : je l'ai choisi avant sa médiatisation parce que c'était l'alcoologue le plus proche de chez moi).

Aujourd'hui, après avoir stupidement suspendu le traitement, je suis de nouveau en phase d'augmentation des doses (j'en suis à 210 mg/jour) en attente du fameux seuil d'indifférence.
Les ES sont minimes (des somnolences tout au plus) et je ne suis plus du tout sujet au craving depuis des mois même si intellectuellement l'ivresse me manque (on oublie un peu avec le temps les dégâts monstrueux qu'elle provoque).

J'avais essayé de retravailler à mon retour d'Inde et j'avais même trouvé un job très intéressant mais je l'ai plombé car, désespéré, je continuais à boire quotidiennement à cette époque.

Je suis installé à Nice depuis 3 mois, je me sens très bien ; je suis parfaitement sobre et je recherche un emploi que je suis désormais à même d'assumer.
Je dispose d'une formation qui tient la route (Science Po), d'un vécu riche (j'ai vécu 2 ans en Afrique et 2 ans et demi en Inde) mais je ne trouve rien.
Je suis prêt à accepter toute type d'activités, pas forcément passionnantes, car il est essentiel dans mon parcours de guérison que je retravaille afin de me restructurer. Aujourd'hui, je suis prêt !!!

Quelqu'un aurait-il des pistes dans les Alpes Maritimes ? Quelque que soit l'emploi je suis preneur (entre 2 missions humanitaire, j'ai déjà été vendeur à la Fnac et manutentionnaire à Monoprix... les tâches les plus basiques ne me font pas peur).

Merci d'avance pour votre aide. L'oisiveté est aujourd'hui mon pire ennemi.
de plus, étant au RSA, je n'arrive plus à m'en sortir.
Merci aussi d'animer cet espace d'information et d'expression. Il est plus que réconfortant de ne pas se sentir seul dans ce qui est un combat de longue haleine.

Dimitri
 
Dimitri
14 Avril 2012, 14:39
Merci Dory.
Lire de tels encouragements fait du bien.
 
Dimitri
14 Avril 2012, 12:29
Merci Daniel.
Petite rectification : je suis actuellement à 310 mg/jour et non 210.
 
Dimitri
14 Avril 2012, 11:21
Bonjour,

Je viens de m'inscrire.

J'ai vécu une expérience traumatisante en Inde où j'étais directeur d'un orphelinat.
De fait après une années merveilleuses riche en rencontres humaines qui donnaient un sens à ma vie, j'ai débusqué un pédophile en série australien qui travaillait pour une fondation partenaire.
Après un dur combat (face à la corruption et diverses menaces de mort), je suis parvenu à le faire arrêter. Malheureusement, ce monstre est parvenu à sortir en payant la justice et la police. Interpol m'a expliqué qu'ils ne pouvaient rien faire dès lors que la justice indienne l'avait blanchi (il faut savoir qu'il a fui l'Australie sous une fausse identité et qu'il n'a pas de visa depuis 30 ans en Inde). Aujourd'hui, il est libre (les témoins ne se sont mystérieusement pas rendu à son procès).
J'ai dû quitter l'Inde par sécurité.

Ecoeuré, mon retour en France s'est traduit par une longue dépression et une dramatique plongée dans l'alcool.
J'ai essayé de contacter des médias et malgré de belles promesses, il ne s'est rien passé.
J'ai continué à m'enfoncer jusqu'à un séjour à Sainte Anne suite à une tentative de suicide. Sorti au bout de 15 jours avec un traitement de cheval j'ai rapidement repris mon alcoolisme pour calmer mes angoisses.
J'ai ensuite décidé de me reprendre en main et j'ai décidé de suivre une cure de désintoxication à Paul Brousse (Villejuif). Sorti sevré avec traitement Aotal + Deroxat, j'ai replongé 3 mois après.
Résolu à me battre une nouvelle fois, j'ai alors refait une cure en clinique où l'on m'a prescrit du baclofène sur ma demande (mon nouveau psychiatre, ami d'Ameisen, me l'avait recommandé) et j'ai consulté le Docteur Jaury à ma sortie (j'ai eu de la chance : je l'ai choisi avant sa médiatisation parce que c'était l'alcoologue le plus proche de chez moi).

Aujourd'hui, après avoir stupidement suspendu le traitement, je suis de nouveau en phase d'augmentation des doses (j'en suis à 210 mg/jour) en attente du fameux seuil d'indifférence.
Les ES sont minimes (des somnolences tout au plus) et je ne suis plus du tout sujet au craving depuis des mois même si intellectuellement l'ivresse me manque (on oublie un peu avec le temps les dégâts monstrueux qu'elle provoque).

J'avais essayé de retravailler à mon retour d'Inde et j'avais même trouvé un job très intéressant mais je l'ai plombé car, désespéré, je continuais à boire quotidiennement à cette époque.

Je suis installé à Nice depuis 3 mois, je me sens très bien ; je suis parfaitement sobre et je recherche un emploi que je suis désormais à même d'assumer.
Je dispose d'une formation qui tient la route (Science Po), d'un vécu riche (j'ai vécu 2 ans en Afrique et 2 ans et demi en Inde) mais je ne trouve rien.
Je suis prêt à accepter toute type d'activités, pas forcément passionnantes, car il est essentiel dans mon parcours de guérison que je retravaille afin de me restructurer. Aujourd'hui, je suis prêt !!!

Quelqu'un aurait-il des pistes dans les Alpes Maritimes ? Quelque que soit l'emploi je suis preneur (entre 2 missions humanitaire, j'ai déjà été vendeur à la Fnac et manutentionnaire à Monoprix... les tâches les plus basiques ne me font pas peur).

Merci d'avance pour votre aide. L'oisiveté est aujourd'hui mon pire ennemi.
de plus, étant au RSA, je n'arrive plus à m'en sortir.
Merci aussi d'animer cet espace d'information et d'expression. Il est plus que réconfortant de ne pas se sentir seul dans ce qui est un combat de longue haleine.

Dimitri
 



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