chadid33
25 Mai 2014, 19:46
25 Mai 2014, 19:46
Deux ans déjà ...
Il y a deux ans, je débutais mon traitement avec le Baclofène.
Je dis bien AVEC, comme un allié.
AVEC mes compagnons d'infortune, qui m'ont tant soutenu, sur baclofene.fr et baclofene.com
C'est à peine croyable le chemin parcouru.
Je croyais que je n'aurais jamais pu me débarrasser de cette saloperie d'alcool.
Que j'y étais lié à vie, depuis les premières années de mon adolescence.
Maintenant, je reprends espoir, je vois s'entrouvrir des portes que je croyais à jamais fermées à cause de mon ancienne addiction : apprendre, changer de boulot, faire compostelle, aller vers les autres ...
Je ne suis pas complètement abstinent : un verre par-ci par-là dont j'ai envie, sans que cela soit une compulsion, pas tellement plus parce que ça me saoûle vite, au propre comme au figuré.
Quand je revois mon médecin, celui qui avait si courageusement initié mon traitement, il me dit toujours "hé oui, il y a un avant et un après " comme dans le vieux dogme de l'abstinence : plus jamais, quitte à en souffrir toute sa vie, et gare au moindre dérapage car c'est la rechute assurée.
C'est évidemment différent maintenant, en dehors de cette moindre anxiété, je me sais épaulé par le Baclofène.
J'aborde avec confiance les événements de la vie où on a l'occasion de prendre un verre, et les moments de la vie tout court où on apprécie un verre de vin, comme du sel ou du sucre.
Tout simplement
Il y a deux ans, je débutais mon traitement avec le Baclofène.
Je dis bien AVEC, comme un allié.
AVEC mes compagnons d'infortune, qui m'ont tant soutenu, sur baclofene.fr et baclofene.com
C'est à peine croyable le chemin parcouru.
Je croyais que je n'aurais jamais pu me débarrasser de cette saloperie d'alcool.
Que j'y étais lié à vie, depuis les premières années de mon adolescence.
Maintenant, je reprends espoir, je vois s'entrouvrir des portes que je croyais à jamais fermées à cause de mon ancienne addiction : apprendre, changer de boulot, faire compostelle, aller vers les autres ...
Je ne suis pas complètement abstinent : un verre par-ci par-là dont j'ai envie, sans que cela soit une compulsion, pas tellement plus parce que ça me saoûle vite, au propre comme au figuré.
Quand je revois mon médecin, celui qui avait si courageusement initié mon traitement, il me dit toujours "hé oui, il y a un avant et un après " comme dans le vieux dogme de l'abstinence : plus jamais, quitte à en souffrir toute sa vie, et gare au moindre dérapage car c'est la rechute assurée.
C'est évidemment différent maintenant, en dehors de cette moindre anxiété, je me sais épaulé par le Baclofène.
J'aborde avec confiance les événements de la vie où on a l'occasion de prendre un verre, et les moments de la vie tout court où on apprécie un verre de vin, comme du sel ou du sucre.
Tout simplement