Bises à tous les copains

Perso, je pense que tu as besoin de rassembler des faits, des situations ou encore des expériences afin d'aller vers un but pertinent et juste.

Apporter une solution, une réponse, aboutir à une forme de synthèse et s'appuyer sur la physiologie et la science médicale pour comprendre et l'appliquer dans l'entre-aide afin de bien informer et aider autrui à l’indifférence grâce au baclo.

En fait, tu es un chercheur et tu veux comprendre pour être plus efficace. C'est tout à ton honneur, c'est humain et plus encore, fraternel.

Seulement, tout cela n'est probablement pas très cartésien et malgré de justes réponses cela peut peut être fatiguer à la longue.

Alors, probablement, il peut être intéressant de s'orienter vers quelque chose qui te tienne plus à cœur et qui soit bien équilibré.

C'est une vision...

Je vous propose le gîte et le couvert quand vous voulez en Amérique du sud.

Franck, je pensais même être ignoré, ce qui aurait été logique du fait de ma non participation. Çà rejoint la difficulté à s'exprimer et apporter des éléments constructifs pour tenter de trouver des solutions et fabriquer un mieux être.

Je crois que l'alcool me servait à effacer la peur, une anxiété, un manque de confiance en moi.

Je ne me sentais pas au niveau dans la société où il est question de performances, d'appartenir à une caste, de subir une uniformité, de devoir rentrer dans le moule de la majorité (même sur le forum, ceux qui rencontrent des difficultés, et c'est normal, c'est logique avec la maladie sous-jacente, pour exprimer leur mal être ne sont pas forcément bien écoutés ou compris et ne reçoivent peut être pas la réponse la plus favorable. Ce serait idéal, mais effectivement impossible, pourtant, nous en sommes conscient)

La désinhibition apportée par l'alcool me transportait dans un monde idéal où les contraintes n'existaient plus, où l'on peut rêvasser et imaginer des situations, des contextes idéaux.

Où finalement il s'agit de fuir, de s'échapper de quelque chose qui nous insupporte.

Aussi, mettre en place un projet et se rendre compte que ça fonctionne génère une prise de conscience, un étonnement au départ et puis un sentiment de bien être et forcément une forme de recul sur ce qui est important et ce qui ne l'est pas.

Finalement, c'est bon de se rendre compte que l'on est capable, c'est fondamental même.

Il faut peut être trouver sa voie.

Alors l'alcool apparaît secondaire, du moins non indispensable puisqu'il n'est plus nécessaire de fuir mais plutôt d'apporter de l'eau à ce nouveau moulin qui nous appartient, que nous avons construit, qui nous fait du bien, qui transforme la façon de vivre.

Maintenant qu'un cap semble passé, bien qu'il s'agisse d'une transition, je vais surement reprendre le baclo, mais léger, léger. Enfin, on verra.

Alors que je pensais pouvoir continuer tranquilou mon monologue avec un message tous les 3 mois, me voici signalé par la lanterne du clocher.

Je vois que tu reste fidèle au poste, c'est super de soutenir tous ceux qui en ont besoin. Pour ma part, je n'oublie rien des rencontres constructives de ce forum, au contraire.

Et puis j'ai une pensée pour les courageux participants de l'émission tv au sujet du baclo, je leur souhaite beaucoup de bonheur

Cher Frankolo, tu ne crois pas si bien dire

Ça va plutôt bien. Je crois que j'ai passé un cap, celui du repli sur moi même. J'ai démarré une activité supplémentaire et malgré le besoin de ce moment de détente quotidien le soir à travers la conso de qlqes verres pdt la gestion administrative, je ne picole plus jusqu'au milieu de la nuit. Résoudre les problèmes et donc satisfaire le client apporte de la confiance en soi. Ça fait du bien, beaucoup de bien. C'est une étape positive.

J'envisage de recommencer, mais avant cela, je voudrais, ou plutôt, je dois faire une synthèse de ce qui est possible d'atteindre ou non. A savoir, s'il s'agit bien d'un craving ou autre chose.

Merci de votre attention, à Franck, Gaday, Loup blanc et probablement à ceux qui lisent sans avoir de réponse.

Je n'ai finalement plus consommé que pendant ce laps de temps correspondant à ce ce qui m'apparaissait une libération. Lorsque je commence, je ne sais plus m’arrêter. j'ai arrêté le baclo malgré qu'il m'en reste un stock (et je me suis senti libre, mieux)J'ai pédalé cet été, je ne me suis rarement senti aussi bien. j'ai une vie en apparence normale (qu'est ce que la normalité ?) une famille (malgré les situations merdiques) adorable, malgré un tas d’événements inhérent au couple. Un équilibre à recentrer, des solutions à mettre en oeuvre au regard des difficultés rencontrées. Ce que je veux faire comprendre c'est qu'à lui seul, ce médoc ne répond pas à cette "pseudo-maladie" Il n'y a pas de bon psy, pas de psy du tout d'ailleurs ici. Je crois me souvenir d'une remarque du chat annotant et distinguant l’imprégnation/ciblage. Je n'ai pas testé le ciblage. Je vais devoir relire. Toute remarque constructive est bienvenue.

Admettre que le baclo n'est pas seul pansement ou guérisseur. Autrement dit, considérer que l'on puisse se passer du "bonheur" apporté par l'alcool lorsqu'en s'en privant on se sente tellement mal à l'aise. Se dire qu'il serait souhaitable d'associer à la volonté légitime de "guérir" un ou d'autres éléments, tels: un "reformatage" ou encore un mode d'emploi de gestion de situation merdique dans un contexte sociétal décadent.
Est ce réalisable? qui sommes nous? que pouvons nous faire? comment considérer que le baclo, à lui seul, puisse résoudre les problèmes générant la prise d'alcool alors que nous sommes censés penser librement ? Faut-il consacrer son temps à ce forum pour gérer, entretenir le reflux de la conso ou/et de son mal être et ainsi esquiver les réalités ?
Chercher des réponses, des directions... toujours...plus que jamais...naïvement, chouette qualificatif.

Salut,


Comme d'habitude je me retrouve devant cet écran, cette page blanche qu'il faut remplir avec des arguments cohérents, une logique, un sens.
Avant tout, je veux vous dire que j'aime l'aspect humaniste, le partage, le non attachement formel. Je veux donner suite à ceux, qui dans leur temps m'ont aider. Puis-je dire que ce que vous avez fait, la communication que vous avez entretenu, ont été d'une grande aide et m'ont permis de passer une étape difficile de remise en cause de la vie. Cette formule m’apparaît prétentieuse en regard du soutient apporté. je fais de la forme, c'est vrai, mais je vous affectionne, chers "tous ceux qui le savent". Un retour de votre part me ferait le plus grand bien. Pour info, je vais bien, j'esquive les situations conflictuelles. Bises

Salut,

Je me sens bien maintenant, différent tout du moins. La vie normale m'habite de plus en plus. La vie au temps présent. Je me sens libre. Non je vie la liberté. L'expérience de vélo en solo cet été sur une trop courte semaine génère et confirme des aspects fondamentaux du bonheur et de simplicité. C'est naïf et pourtant réel. En tout cas c'est très plaisant et ça dure. Cela après arrêt baclo et continuation de conso mieux gérée. A plus

Bises à tous

Ce soir, je bois, un peu.
Bonne analyse Frankolo, à savoir retrouver une vie normale...
Je suis à 2X60/j. Ca aide.
L'euphorie de la réussite a laissé place à la réalité.
Je suis équilibré à mon sens et pourtant j'y reviens.
De nombreuses questions se forment et le nœud reste souqué.
L'absence d'angoisse, d'anxiété tend à disparaître, voire ne plus exister, c'est un sacré plus.
Et pourtant, je suis mal, pas à l'aise, mais beaucoup mieux tout de même.
Je cherche...
Je développerai...

Je pense à vous

Salut,

Juste pour dire que je trouve les échanges constructifs et intéressants sur ton fil que je lis depuis le début (désolé d'intervenir seulement maintenant)

Merci pour ton partage et ton intégrité, c'est utile et humain (avec Franck de surcroît)

J'avoue que la thérapie comportementale m'intéresse particulièrement. Est ce que cela représente une part importante dans le traitement de l'alcoolisme (ou autres troubles) chez toi?

A plus

Salut,

A plusieurs reprises, j'ai voulu expliquer ce que je ressentais afin d'apporter ma petite pierre à l'édifice.

Ca reste difficile à décrire et je laisse au final une page blanche (Ne m'en voulez pas svp)
J'ai commencé un petit texte que j'enregistre au fur et à mesure, mais il ne me convient pas encore pour le moment.

En gros, je suis entre effets bénéfiques et es.

J'ai diminué le dosage parce que c'était difficile à gérer.

J'essaye d'en dire plus, plus tard.

A plus

Salut,

Désolé de mettre autant de temps à répondre.

Je n'arrive pas à dégager d'idées suffisaments claires et stables pour exprimer ce que je ressens.

Franck, dans: "laisse pisser" je voulais dire que l'honneur n'a aucune place chez moi.

je me contrôle dans la conso, pourtant, en cas d'évenement, j'y retourne trop facilement, même si en temps normal, je ne consomme plus ou très peu.

Je me dégoute et j'ai du mal à me comprendre.

Pourtant, je vais de l'avant, je mets en place un projet qui me tennait à coeur, je suis bien relationnement avec le milieux pro.

Et puis effectivement, je contrôle mieux mes émotions, je réfléchis mieux, alors la situation m'apparait contradictoire.

Bienvenue Faty, je ne sais te répondre, si ce n'est que les tensions ont parfois du mal à redescendre.

Mon Cher Franck

Générosité et objectivité te caractérisent vraiment.

Je ne mérite aucune attention, je n'en ai pas suffisamment pour les autres.

Je suis pour ma part dans le retour aux réalités, presque à la redécouverte de moi même et à une autre vision de l’environnement.

Est ce l'âge, l'envie de fonctionner autrement ou encore l'effet du baclo (qui me fait ne plus être anxieux) qui me font cogiter à fond les ballons ?

Je m'accroche à ne plus boire, pourquoi en ai je envie, certainement dans ce que tu décris.

Je suis monté à 230/j, ça va. Je ne bois presque plus, cependant je me sens en sursis.

Alors pour l'honneur, on laisse pisser, d'ac ?

Merci Franck

Salut,

Après un début d'indifférence en fanfare, je me suis mi à reboire, moins beaucoup moins, mais boire quand même tous les jours.

Je ne vais pas mettre mettre ça sur le dos de mon environnement, mais plutôt sur le fait qu'il ne faut pas que je prenne un verre, qu'il faut donc que je fasse intervenir la volonté.

Je ne ressens cependant pas de manque, pas de craving et le fait de ne pas boire n'occasionne pas de mal être.

Je suis remonté à 220/j au lieu de 200 par sécurité et je remontrai encore s'il le faut, je ne veux plus boire coute que coute.

Salut Poto,

Je suis un peu inquiet.
Depuis un apéro avec des amis jeudi, j'ai picolé vend et sam, presque seul (accompagné au début)
Ce ne sont pas des grosses quantités, mais 3 verres d'apéro tout de même, alors que je m'étais dit que je ne boirais plus seul.
La fin de semaine passée c'était un peu moins en quantité mais j'ai la trouille que les mauvaises habitudes reviennent.
Je voudrais surtout pas repartir dans les mauvais travers.

1) réussite
2) 200 mg
3) 7 mois
4) 20 matin, 30 à 11h, 50 à 14h, 50 à 16h, 50 à 18h
5) 19h
6) 200 mg
7) M et F
8) pas d'autre traitement
9) pas assez de recul

Oui tu as bien raison Franck.

Avec le temps, les choses changent et effectivement, on ressent une amélioration.

Il faut digérer, c'est tout à fait ça.

Mais le baclo, c'est vraiment énorme.

J'ai encore du mal à croire que ça puisse être possible.

Les bouteilles restent pleines, plus envie de boire, incroyable.

Justes les migraines et la fatigue, mais c'est rien à coté d'un tel résultat.

Du bonheur

Merci mon Pote

Bises et courage à tous

Non, je ne crois pas Julie.

Je me rends compte que je suis bien crevé, ça doit jouer sur la patience aussi.

Salut,

A part quelques petits écarts mesurés, je ne consomme plus du tout comme avant.

En fait, je ne bois plus seul, et en groupe, je ne me jette plus du tout sur la boisson.

Les migraines sont omniprésentes, le sommeil et la libido restent perturbés, je ne dors pas beaucoup et bizarrement j'ai de l'énergie la journée, c'est cool.

Par contre je crois que je suis encore en mode casse bonbon parfois.

C'est à dire que quand je vais bien, je voudrais que tout le monde soit dynamique.

Inversement, quand je suis agacé ou mal dans ma tête, j'envoie tout le monde balader.

J'attends trop de changement surement et finalement, j'ai peut être un comportement bi-polaire que je cherchais à camoufler avec l'alcool.

A voir.

En tout cas, le rendez vous est pris pour le thérapeute familiale.

J'espère qu'il en ressortira du constructif.

Ne plus boire c'est déjà une sacré victoire.

Ce médoc est incroyable.

Courage à tous.

Merci Celestin, Sylvie.

Encore une journée sans alcool, que dis-je, une semaine en fait.

Dernière conso: une bierre et un ricou dimanche soir lors de la visite d'une copine.

La semaine d'avant fût identique avec un samedi soir animé où ma conso fût plutôt modérée.

En fait ma conso avait bien diminuée avant les fêtes, je passais déjà quelques journées sans alcool sans que ce soit insurmontable et à part un ou deux moments (qui m'ont foutu la trouille) je buvais moins.

Casser le rituel, le remplacer, faire en sorte de gérer autrement semble une voie intéressante.

A plus

Pas d'inquiétude, hein, je suis lent à répondre parce que je ne mesure pas encore vraiment ce qui m'arrive.

Il va falloir encore un peu de recul, mais, je ne sais pas comment ça c'est passé pour vous, j'ai envie d'aller de l'avant comme jamais.

J'espère aussi que ce n'est pas qu'une accalmie (ça arrive qu'il puisse y avoir de nombreuses journées de pétole)

J'avais un projet sous le pied depuis un moment, je ne m'en sentais pas assez capable du fait de la dépendance à l'alcool, de l'anxiété, de la timidité...

Maintenant, j'ai envie de foncer.

D'ailleurs, j'ai l'impression de m'emballer un peu vite sur tout ce que je fais, j'ai du mal à me calmer, je voudrais que cela se réalise de suite, j'ai envie de réaliser pleins de choses.

C'était sûrement un signe quand je tapais de la patte...

Cependant, comme je le disais précédemment, le mieux être ou plutôt l'absence d'anxiété est arrivé depuis un moment déjà et la motivation n'a pas baissé, alors...

Par contre l'envie de cigarettes s'est accentuée, on verra après...

Quel plaisir, quel réconfort, quel soutien humain j'ai reçu grâce à vous, je vous en suis et vous en serais éternellement reconnaissant.

Franck, mon Franck, je crois que tu m'as sauvé la vie.

Tu as su trouver les mots, me sortir de l'isolement, prendre sur ton temps, ne rien lâcher, rester motivé tout le temps, ton investissement ne sera pas vain et si j'en suis là aujourd'hui, c'est bien grâce à toi. Je n'oublie pas

Frankolo et Reiz, vous n'imaginez pas à quel point vos messages sonnaient juste, à quel point ils me réconfortaient, me rassuraient, votre perspicacité m'a vraiment touché.

Votre sérieux dans le dialogue (et dans la vie, j'en suis sûr) votre approche des autres, vous savez comprendre, partager, prendre le temps et susciter les bonnes orientations.

Je tamponne vos grandes capacités de pédagogue, si je puis me permettre.

Merci Frankolo d'avoir proposé de se tester en ne picolant plus un jour, puis deux et puis... C'est évident vu comme cela, mais quand on est installé dans le rituel ça l'est beaucoup moins.

C'est grâce à ta conviction, à ton tact si j'ai réussi.

Reiz, Cher Reiz, tu as été là dans des moments durs, tu as su écouter, comprendre et trouver les mots. Je ne sais comment te dire tout le bien que je te porte. Tu as un sacré talent d'écoute c'est très clair. Me laisserais tu une petite place dans ton panier pour ronronner en choeur?

Julie, douce Julie, merci de tes propos si tendres, tu m'as bien motivé aussi.

Marie, bienvenue sur ton fil, tu as pris une sacré décision, on va échanger.

Tom-Tom, Holderson, Jeanus, Seine et tous ceux qui sont passés par ce fil, merci pour vos gentils mots.

Sylvie et bénévoles de ce forum, grands bravos pour votre investissement, la réussite de ce lieu d'échanges qui sauve des vies.

Bon, c'est bien pompeux dira t-on. Et bien c'est encore en dessous de ce que je pense, je vous suis tellement reconnaissant, cette victoire c'est bien entendu aussi la vôtre.

Je ne m'en vais pas non plus, je voulais juste vous témoigner toute ma gratitude.

A très bientôt

Salut les amis,

Désolé de répondre si tardivement.

Le sommeil reste très perturbé avec des pics de fatigue intenses en soirée puis des difficultés à faire des nuits normales.

Ce soir, vers 18h, 19h le mal de tête m'oblige (me rappelle...) à m'allonger, trouver la parade pour l'atténuer.

Et ça marche, je tombe comme une masse, trouve un sommeil profond durant une heure et à l'issue me sent beaucoup mieux, juste endolori.

Je peux revenir derrière l'écran sans que les yeux me m'obligent à faire autrement, sans que ceux ci ne veuillent se fermer ou fuir la lumière.

D'autres jours cette situation est moins marquée, mais il subsiste toujours un coup de barre plus ou moins long, plus ou moins intense.

Sinon, coté conso, c'est du bonheur, je n'ai bu que lorsque les occasions se sont présentées, lors des soirée ou quand des amis sont venus.

Je ne me suis pas enivré à tout pris, je ne cherchais pas à atteindre l'ivresse "bienveillante".

Mon épouse m'a même fait la remarque: "dit donc, tu n'as pas trop bu ce soir?"

Je voyais les verres se vider devant moi, le miens restait "anormalement plein" se vidait lentement, je savourais, comme je savourais la soirée.

J'étais à l'aise, du bonheur. C'est clairement l'effet baclo, qui me permet cet état, j'en suis maintenant convaincu.

L'anxiété disparue bien avant les fêtes me laissait à penser que tout allait s'améliorer aussi rapidement que je l'aurais souhaité, que nous allions vite nous remettre pour prendre le chemin que nous recherchions depuis si longtemps, celui de la sérénité.

Je pense que j'étais encore le seul à y croire vraiment (j'ai beaucoup promis sans aboutissement réel...) aussi quand des tensions sont venues tout entacher, la frustration n'en a été que plus grande.

On en a discuté et chacun a assumé sa part de responsabilité.

Ce fût l'occasion de faire un bilan, de tout déballer, de repartir vers ce chemin souhaité.

Je me sens bien, volontaire, entreprenant, un peu shooté en fait, sans les es ce serait le top. J'essaye de compenser avec l'activité physique, ça m'aide bien.


A bientôt

Salut les amis,

Je suis dans une situation de mieux être en ce moment.

Je vous en dis plus prochainement.

A bientôt

Hier, ça a été mieux, j'ai couru 1/2h à 18h, ça a bien appaisé le mal de tronche, je me suis couché tôt, j'étais bien, je me suis réveillé une seule fois avec cette fois la tête à l'envers, j'ai marché un peu puis réussi à retrouver le sommeil jusqu'au matin, où ça allait pas trop mal.

Sylvie, ma tension est normale.
Julie, je regarde pour trouver des somnifères.

A plus

Salut Camarade,

Toujours pas lu ton fil, suis branleur pour le coup.

Se serrer les coudes, bien entendu

En fait, les migraines sont revenues.

Les maux de tête du soir sont intenses.

Hier, je n'ai pas bu, je me suis pieuté à 21h (c'est un exploit) je n'en pouvais plus, j'accumule l'absence de sommeil des nuits précédentes qui se limitent à 2 ou 3h de sommeil réel, je pensais que j'allais m'endormir vite (je vacillais, les yeux me rentraient dans le crâne)j'avais mal à la tête, je voulais que ça cesse.

Malgré le lit, le noir, la situation normalement apaisante, les maux ne se calmaient pas.

Je me suis reveillé à 23h avec la tête que je voulais décrocher, me suis allongé par terre, tourné dans la maison, repieuté, rereveillé à 2h (recoucher sur le dos, à ce moment, je sentais la douleur uniquement du coté droit du cerveau...) rereveiller plusieurs courtes fois, puis levé à 6h45.

C'étais une nuit longue, malgré cela, j'aurais voulu rester au lit, me faire porter pâle, j'étais fatigué, encore, avec des douleurs dans la nuque...

Je fume comme un sapeur, je fume comme jamais j'ai fumé.

J'ai la trouille de ce qui m'arrive en ce moment (je passe pour le blaireau de base, je m’en fou)

Je suis repassé de 210 à 200, désolé c'est trop dur.

Julie, tu sembles avoir vécu ces migraines, comment se caractérisaient elles ? (STP)

Du coup, je suis expéditif, impatient et avec les tensions existantes, le climat est explosif.

Et en même temps, il y a toujours cette espèce de clairvoyance.

A plus

Désolé, pas trop la forme ces derniers temps.

A bientôt

En fait, hier j'ai bu deux verres, j'étais bien, je n'avais pas envie de plus.

Avant hier, j'ai eu la trouille parce que je les enfilais comme ce que je faisais avant (ça semble être passé)

Et puis, ce n'est pas toujours évident de trouver des moments de plénitude pour penser vraiment à soi, pour faire le point, pour communiquer sereinement avec les autres.

L'arrêt de l'alcool, ou du moins une modération importante semble proche, ça reste l'objectif n°1.

Ma conso a belle et bien baissée, c'est un fait.

Désolé Julie, Greend et Holgerson, j'ai parcouru votre fil rapidement (ils sont longs) je n'ai pas encore pris le temps de bien les comprendre. Je le ferai.

Se serrer les coudes c'est plus que sûr. J'aime cette expression.

Ma poso:

matin 20
11 30
14 50
16 50
18 60

Je penses à vous, souvent

Bises les amis

Je suis très ému par vos gentils messages, ils me touchent beaucoup.

Ça me motive pour effectivement continuer à grimper, je vais passer à 210 demain.

Je suis un peu crevé ce soir, je vais manger et me reposer dans la foulée.

Douce nuit

Marie, merci pour ton message.

Tu penses aux autres, mais, toi?

Tu sais que tu dois aller plus loin, parle nous de ta situation, que nous puissions échanger sur ce qui nous amène ici.
C'est le but du jeu (si on peut appeler cela ainsi...)

l'alcoolisme provoque des dégâts, c'est évident. Pourquoi, comment ?

Je veux le quitter, ce soir je bois (hier, rien) ça me fait chier, mais j'en ai trop envie, je me sens pourtant normal, qu'est ce qui me pousse à picoler, putain de merde ?

J'ai ressenti des améliorations de mieux être avec les autres. Ne seraient-ce que des soubresauts ? Un effet placebo ?

Je croyais avoir abouti, je me rends compte ce soir que je picole comme avant, j'espère que ça restera ponctuel.

Il y a eu tellement d'animosité, tellement de tensions, tellement de pertes d'espoir et de confiance.

Nous en avons discuté calmement plus tard, nous nous sommes entendu sur la nécessité de nous faire entendre par une personne neutre.

Nous avons encore du travail de consolidation à réaliser pour aller vers un mieux être qui pointe le bout de son nez.

Pas d'alcool ces derniers jours, malgré, une altercation très sérieuse.

Ce soir, je me laisse un peu aller, je bois un peu par plaisir, dans une ambiance calme et douce.

Tu as raison Julie, c'est de cette dernière dont j'ai vraiment envie.

A bientôt

En fait, je suis monté à 200 depuis hier.

Un aniv d'enfant s'est agréablement prolongé jusqu'à tard dans la nuit, on a bien discuté c'était cool, j'ai bu pas mal, mais avec plaisir non de besoin (enfin, je crois...)

Ce que je ressens, c'est en tout cas une plus grande faculté à ne plus être autocentré sur moi, sur les émotions, sur les craintes et donc j'ai pu m'exprimer plus clairement, c'était plaisant.

Ce soir je suis à l'eau citronnée, ça me va, pas envie de boire.

Et puis les maux de tête, sont surement aussi liés au fait d'être trop longtemps devant l'écran. A confirmer.

A plus

Et ce repos fut salutaire (malgré les maux de tronche jusqu'au réveil) ce soir je me sens bien.

Gros Béta que je suis,
J'étais fatigué, d'ailleurs je me suis pieuté rapidement avec les yeux qui me demandaient le noir.
Disons que je me situerais entre 1 et 6 selon l'ambiance avec des passages plus fréquents à 0 et des pics à 10 quand tout va mal
Désolé de ne pas avoir tout capté dès le départ

Salut Julie,

Je ne comprends pas la question. Pourquoi la référence au bac ?

J'ai modifié comme suit:
matin 20
11 30
14 40
16 50
18 50
L'avant Noël et le réveillon de Noël ce sont mal passés, j'avais besoin de m'exprimer, je l'ai mal fait, il y a eu des conséquences.
Maintenant ça va un peu mieux, je suis dans la réflexion, elle aussi je crois, je suis un peu speed, je tape de la patte.
Le baclo semble me faire aller vers quelque chose, un état différent que j'ai du mal à définir.
Les maux de têtes sont omniprésents (ils sont moins douloureux) je ne récupère pas bien
L'impression que mon équation ne comporte pas qu'un seul inconnu, et qu'en plus ce ne sont pas des constantes.
Faut que je me calme, j'aurai envie de déposer le cerveau, d'être dans un environnement idéal, de faire tourner les choses comme je l'entends (malgré mes oppositions propres) je suis trop exigeant. J'attends l’apaisement, je le cherche, veux l'identifier et le gérer mieux.

Bonne et heureuse année Chers Amis

Ce soir, je picole, j'en ressens le besoin, besoin de m'assommer, d'oublier.
J'ai modifié ma poso comme suit(pour limiter les maux de tête)
matin: 30
11h: 30
14h: 50
16h: 40
18h: 40
Je crois que je vais devoir recentrer le craving

Bizarre, le dernier message n'apparaissait pas avant que je post celui ci

C'est vraiment cool ces échanges entre galériens et sorti de tôle, ça apporte tellement.

Hier, j'ai bu 2 ti-punch, j'étais fracassé, le pire c'est que je n'en avais pas envie.

Ce soir 2 ti-punch, j'ai mangé sans attendre, lorsque les pizs étaient là (alors que je continue à picoler habituellement)

Je suis reparti sur de l'eau additionnée de citron vert.

Effectivement, j'entrevois de plus en plus ce que j'ai manqué, fait manquer, ce que j'ai laissé de coté...

Fraternellement

Bises

Salut Seine, je te comprends, je te souhaite beaucoup de courage, on va y arriver.

Je me suis allongé avant le repas du soir (normalement le rituel, c'est de boire pendant que tout le monde mange, donc de manger après) à cause des mots de tête (un peu moins fort), du besoin de noir. Je crois que je suis parti dans un micro sommeil réparateur de quelques instants.

Hier, pas bu (j'y ai pourtant pensé) mais je crois que je n'en avais pas envie. Nuit très courte, couché 0h, réveil 1h, clopes, recouché 5h, levé 8h (vacances)
Je ressasse les conflits, je les démêlent, les remets bout à bout et me rend compte qu'il y a des soucis profonds à régler.

La clairvoyance du baclo ?

Salut mon Franck, Reiz, Franckolo,

Hier, je n'ai pas bu, je n'en ai pas ressenti de manque, je me sens vaseux, surtout le soir, mais aussi, je n'ai plus souvenir, de me sentir aussi clairvoyant, posé dans la réflexion, calme (dans la limite de l'entendement aussi) sûr de moi, capable de prendre du recul, d'écouter mieux, d'apporter ou non des arguments cohérents, plutôt bien dans ma tronche en fait, malgré les mots de tête, la bouche sèche, la nuit courte et perturbée (avec des mots de têtes moins forts aussi)

Avant hier, j'ai bu, alors que j'avais sobrement démarré la soirée, les nerfs ont été ensuite mis à rude épreuve, alors j'ai brisé la glace de la bouteille de rhum, jusqu'à 5h du matin. Avec le recul, je me dis que c'était presque pour m'accompagner dans mes pensées, celles où on veut du changement dans la vie, qu'il devient urgent de redresser, plutôt que pour pallier à l'émotivité.

Il y a trois jours, je n'ai rien bu non plus.

J'aurai du faire le test du "sans alcool" plus tôt.

Je sais que rien est gagné, encore, mais je ne peux m’empêcher.

Je vous embrasse

Oh que oui, je suis bien entouré, j'en les yeux qui se brouillent, c'est une expérience énorme que je vis avec vous, avec Franck qui ne me suit sans relâche, qui argumente sans cesse, avec logique, bon sens, partage d'expérience. Franckolo et Reiz qui prennent un recul salvateur, qui comprennent aussi parfaitement, qui proposent des ajustements justes... Je me sens vraiment épauler, c'est fantastique.

Oui, c'est bien une tortue luth, on peut les contempler ici.
J'en profite pour te dire que je trouve tes interventions très justes sur ce forum.
Tes encouragements me touchent.
Les trois habituels sont formidables aussi.

Ce soir, je suis à l'eau avec jus de citron (je bois beaucoup d'eau sur de bons rappels...) je suis saoulé par le baclo, si je m'écoutais, je m'allongerais dans le noir(en fait, je me suis allongé mais la chambre était gavée de moustiques, j'ai gazé et suis revenu derrière l'ordi)
Et puis, j'ai remplacé l'ampoule du projecteur halogène sur pied, il éclaire maintenant le plafond de la terrasse, ça parait un peu couillon, mais ça change tout, en tout cas ça ne flache plus les yeux.
Bon, je divague là.

Ça serait peut être bien effectivement, d'étaler les prises.

Salut,


Aujourd'hui se répète, 18h, dernier 40, la tête qui monte en pression.
Je vais aller courir une demi-heure voir un peu ce que ça donne.
Je suis à 190, j'essaie de m'accrocher à:

Matin 20
11h 30
14 50
16 50
18 40

Pourtant, ma compagne m'avait indiquée qu'il s'agissait de propos réconfortants....

Mon nouvel objectif: Ne boire qu'en cas d'absolu besoin

Joyeux Noël et bonnes fêtes à tous

Salut Franckolo, mon honnêteté avec moi et les autres? je crois n'en n'avoir jamais douté. Je veux bien que tu développes si cela ne t'embête pas trop?

A tous et Franck qui me suit de près,

Cette nuit entre dans les plus désagréables que j'ai connu ces derniers temps.

A 20h, j'étais fin saoul avec le baclo, j'en ai pris vraiment conscience, je n'ai rien bu, je n'en avais effectivement pas besoin pour me torcher (je l'étais déja) mais ça m'aurait bien appaisé, mal de tête et nuque carabiné.

Après plusieurs résistances à me pieuter, j'y vais enfin (pas douché, pas brossé les dents, une loque) je tombe comme une masse.

Puis je me réveil plusieurs fois ponctuellement, jusqu'au moment où, je suis obligé de me lever à 3h, je titube, avec la tête explosée comme jamais, j'ai cru que ça allait jamais me quitter, que c'était irréversible, que j'allais crevé, j'ai flippé grave, je me suis dirigé vers les biscuits des enfants pour m'en goinfrer, pour tenter d’apaiser, tels les fois où j'ai besoin d'éponger quand je bois trop.

Mais là, rien y a fait, j'ai tourné, me suis repieuté, fini par redormir dans des rêves, des pensées allucinantes et me réveiller avec des putains de reste, mais tolérables.

Ce matin, je reprends mes 20, faut pas que je lâche. Ce qui est certain, c'est que le baclo me défonce la tête et qu'il n'est pas question de revivre cela, j'envisage de repasser à 180, voire, 170 aujourd'hui.

A plus

Je ne m'inflige plus pour tout et pour rien.

Je me surprends (depuis quelques temps proches) d'être constructif, audible, sur des discussions que j'évitais auparavant en milieu familiale, pro et associatif. J'ai beaucoup moins d'a priori, de craintes.

J'écoute mieux aussi, je ne suis plus centré sur la forme, sur moi, j'en ressens les bienfaits.

Ces derniers jours, j'ai été lire quelques fil (ce que je ne faisais plus suffisamment) j'en mesure ma suffisance apparente, mais non moins réelle et peut-être passée, cette micro société intéressante composée de tous les genres (faut pas que je me plante, ça pourrait être lu...) qui recherche sa voie (c'est sobre, je sais, c'est voulu)

Et puis je prends du recul, je gère les priorités, je comprends et retiens le concret, j'ai une approche plus équilibrée.

Mais je suis à l'ouest en vivacité, en équilibre physique, j'ai mal à la tête, la lumière de l'écran associée aux lampes écos (que j'aimerai remplacé par un éclairage indirecte) me minent les yeux.

Alors le soir, je picole et effectivement, ces effets disparaissent.

Là, j'entame un deuxième ti-punch, alors qu'hier, à un pot, je me suis raisonné. C'était à midi, et contrairement à d'autres époques je ne bois pas (ou rarement trop) en journée.

Tiens à propos, je me suis souvent posé la question dans mes phases de réflexion inuto-utiles, peut-on être influencé par la tombée de la nuit, par le noir de celle ci?

Je suis à 190, j'ai le bide qui regonfle (enceinte de 3 mois le ventre relâché) je tremble plus qu'avant (avant je ne tremblais pas) le sommeil court et perturbé, alternance d'hyper activités (besoin de bouger, de faire quelque chose, taper de la patte) et coups de fatigue intenses.

Alors, je me dis que j'ai peut-être loupé le coche avec ma montée horizontale, que finalement l'effet escompté est là depuis un moment déja (disparition de l'anxiété) que je n'ai pas su le prendre en compte, prendre le temps et que finalement je picole à d'autres fins comme l'atténuation des maux de tête, le rituel du plaisir duement installé.


Je penses aussi, au fait, que de devoir écrire sur le forum (de devoir réfléchir et construire quelque chose de lisible) de faire une démarche de recherche, de questionnements (si il en est) puisse être, sinon constructif, au moins une phase de sa vie où vraiment, on se donne les moyens, où on veux vraiment changer et que donc la volonté se concrétise.

Je suis donc à 190, je m'interroge sur mes montées prochaines, vais je voir un drapeau agité dans ma tête, pour me dire: maintenant, c'est abstinence totale, tu as gagné?

Je m'interroge encore et toujours...

Versatile que je suis, faut vraiment que j'arrête la boisson.

Salut,

Je ne bois pas la journée, je bosse, ça arrive à 19h, suis à 180.

Je ne veux rien précipiter, Reiz, mais je me sens bien ces derniers temps, je maîtrise mieux mes émotions.

En phase de bonheur actuellement.

Je bois en écrivant.

J'avais écrit un "long" texte, il ne me ressemblait plus...

Aller, je me lâche un peu sur les émotions
Quel plaisir, quel bonheur de te voir ainsi si réactif, un putain de soutient, merci poto
Mais, stop, hein!
Il faut rester pragmatique, rester sur le but fixé, laisser la science, le médoc, agir...

Je suis à 180 avec: 20 le matin 30 à 11h, 40 à 14h30, 50 à 16h30, 40 à 18h30.

Je me rends compte, effectivement, que je bois, en partie au moins, pour apaiser les troubles de vertige, maux de tête, qui arrivent proportionnellement avec la prise du baclo.

Pour l’anecdote, dernièrement, alors que j'étais à 150, on a fêté la naissance du petit d'un pote (assez sobrement) on a ensuite pris les vélos pour en rencontrer d'autres. Alors qu'en temps normal (alcoolisé mais sans baclo) j'aurais roulé droit, là, je titubais grave, je me prenais les trottoirs, j'ai failli faire tomber le copain.

En fait, dès que je bouge un peu vite, j'ai du mal à me repérer spatialement.

Par contre, je contrôle mieux mes émotions.

Je comprends bien, pas de soucis, je vais juste lui passer un coup de téléphone comme il me l'a proposé, je ne veux pas que la sécu puisse se poser de questions...

Pas tout à fait tropical, mais hors métropole, effectivement.
Remplacer appris par déduis plutôt, non?

Je suis passé à 180 aujourd'hui.

Pour le pharmacien, je vais lui en toucher deux mots, ça serait effectivement mal venu de semer la discorde avec ce médoc.

La confiance bon dieu, la confiance, il n'y a rien de mieux.

C'est une blague, hein, je te suis redevable...
Je n'oublie rien...