Jem
20 Septembre 2012, 20:51
20 Septembre 2012, 20:51
Bonsoir,
Excusez-moi, je manque à mes devoirs de publicité et je contourne les trucs qui me faisaient boire comme s'installer devant un clavier.
Je suis actuellement 4 / 4 / 4 / 4 et je monte tranquillement à 200 mg.
Lundi, 1 bière
Mardi, 2 bières
Mercredi itou.
Aujourd'hui, 2 verres de rosée et une bière.
Sur les deux dernières semaines, 2 "pseudos cuites" (comme un test, pour voir si je peux encore picoler) les dimanches.
Je suis dans les vaps tous les jours, du matin au soir. Les ES sont puissants. J'ai l'impression d'être bourré tout le temps.
J'ai arrêté les anxiolytiques, depuis 1 semaine et continue le Prozac 2 x par jour jusqu'à fin janvier.
Je ne pleure plus sauf quand mon mec me regarde et me dit son amour et toute sa fierté de mon combat : je lui réponds que ce n'est pas moi, c'est le baclo.
J'ai repris mon travail dans le milieu scolaire, mes collègues ne me regardent plus de la même façon, moi non plus. D'ailleurs je me regarde dans la glace sans honte, je ne fuis plus mon reflet dans les portes vitrées, je commence presque à m'aimer, je découvre ma force de séduction. Je vais faire des UV 2 fois par semaine. Je marche 2 heures par jour. Je songe sérieusement à refaire du jogging, car physiquement je tiens sur mes deux canes. La semaine prochaine, je vais refaire de la guitare avec mon cousin.
Chaque jour apporte des nouveautés ou des redécouvertes.
Je me sens bien, à part cet état vaporeux qui me quitte rarement. Je m'endors bien, sans les suées dû au manque d'alcool, je me réveille souvent mais je me rendors assez vite.
Excusez-moi du style décousu de ce message, mais je suis tellement dans les vaps que j'ai dû mal à me concentrer. Je suis encore en pleine montée pourtant. Quand j'explique à mon amie Lulu ce qu'est le baclo, je le compare à une sorte de castration chimique. Ca va pas être simple mais je préfère pour l'instant être une légume qu'un poivrot.
Excusez-moi, je manque à mes devoirs de publicité et je contourne les trucs qui me faisaient boire comme s'installer devant un clavier.
Je suis actuellement 4 / 4 / 4 / 4 et je monte tranquillement à 200 mg.
Lundi, 1 bière
Mardi, 2 bières
Mercredi itou.
Aujourd'hui, 2 verres de rosée et une bière.
Sur les deux dernières semaines, 2 "pseudos cuites" (comme un test, pour voir si je peux encore picoler) les dimanches.
Je suis dans les vaps tous les jours, du matin au soir. Les ES sont puissants. J'ai l'impression d'être bourré tout le temps.
J'ai arrêté les anxiolytiques, depuis 1 semaine et continue le Prozac 2 x par jour jusqu'à fin janvier.
Je ne pleure plus sauf quand mon mec me regarde et me dit son amour et toute sa fierté de mon combat : je lui réponds que ce n'est pas moi, c'est le baclo.
J'ai repris mon travail dans le milieu scolaire, mes collègues ne me regardent plus de la même façon, moi non plus. D'ailleurs je me regarde dans la glace sans honte, je ne fuis plus mon reflet dans les portes vitrées, je commence presque à m'aimer, je découvre ma force de séduction. Je vais faire des UV 2 fois par semaine. Je marche 2 heures par jour. Je songe sérieusement à refaire du jogging, car physiquement je tiens sur mes deux canes. La semaine prochaine, je vais refaire de la guitare avec mon cousin.
Chaque jour apporte des nouveautés ou des redécouvertes.
Je me sens bien, à part cet état vaporeux qui me quitte rarement. Je m'endors bien, sans les suées dû au manque d'alcool, je me réveille souvent mais je me rendors assez vite.
Excusez-moi du style décousu de ce message, mais je suis tellement dans les vaps que j'ai dû mal à me concentrer. Je suis encore en pleine montée pourtant. Quand j'explique à mon amie Lulu ce qu'est le baclo, je le compare à une sorte de castration chimique. Ca va pas être simple mais je préfère pour l'instant être une légume qu'un poivrot.