Résultats de la recherche (31 résultats)

mu7
16 Septembre 2012, 9:55
mouais, ma maigre expérience, qui ne vaut pour personne d'autre, m'apprend qu'une descente trop rapide est synonyme de "replonge" ; là, pour moi, je ne sais si c'est physiologique ou psychologique (ahma et avis psy, ce sont les deux) ; je pense remonter temporairement à 120, il me semble que, parfois, l'envie revient ;
je vous tiendrai au courant, ça ne remet pas en cause le traitement, bien au contraire, il faut juste être précis sur la posologie de fin de traitement, qui semble être variable
 
mu7
15 Septembre 2012, 10:09
hello Sylvie :
j'aime bien le "cas par cas" ; tu connais beaucoup de toubibs qui prescrivent "en rafale" cad hors "cas par cas" ?

bon ceci dit, tu as raison, il n'y a pas d'amm sur le liorésal pour l'alcoolodépendance ; mais bon, vu que la prescription est autorisée, ça revient +- au même, mais ok pour la pétition afin de généraliser ce traitement, ô combien salvateur.
 
mu7
15 Septembre 2012, 7:01
j'ai signé, mais le baclofène est prescrit en amm maintenant, non?
 
mu7
14 Septembre 2012, 22:25
j'interviens à nouveau pour mentionner qu'à 100 mg/jour, l'effet baclofène est toujours présent : je suis allé dîner ce soir ; l'envie d'alcool n'est pas présente, ma consommation est totalement maîtrisée ; c'est une réussite - au delà de toute espérance -
 
mu7
07 Septembre 2012, 19:39
c'est vrai André ; tout à fait raison ; mais ma dispo est TRES limitée ; cordialement
 
mu7
02 Septembre 2012, 14:45
ce que je vois, c'est que les doses sont importantes ! et pourquoi ne pas se mettre à l'eau ? l'indifférence viendra sous peu, crois moi
 
mu7
02 Septembre 2012, 14:42
la réponse de Sylvie est correcte; 30 mg/jour est un bon point de départ, et ce, d'autant que la sédation en
début de traitement est souvent très forte !
 
mu7
02 Septembre 2012, 14:39
c'est vrai ; je vais m'efforcer de la faire ; je n'en ai guère le loisir, mais je vais tenter ; excellent conseil !
 
mu7
02 Septembre 2012, 9:03
tout à fait ! cependant, une personne en souffrance préférera un contact humain.
 
mu7
01 Septembre 2012, 15:15
à savoir ;
dans la mesure de mes possibilités, si quelqu'un le souhaite, je peux répondre aux questions concernant le traitement par baclofène ; me contacter en mp et UNIQUEMENT avec un numéro fixe (j'appelle de Mayotte) ; ce sera limité dans le temps, j'ai, moi aussi, un boulot ; pour ce jour, c'est ok
amitiés
 
mu7
01 Septembre 2012, 14:15
merci andré, c'est fait
 
mu7
01 Septembre 2012, 14:14
1) Réussite ou échec ?

=> il semble que ce soit une réussite

2) à quelle quantité de baclo étiez-vous ?

=> je suis atypique ; je suis monté à 250mg, j'ai tenté le plus haut possible sans savoir précisément à quel niveau la réussite état possible

3) au bout de combien de temps de traitement ?

=> j'en suis à un an, mais les résultats quantifiables ont été mesurés à 2 semaines pour l'effet antabuse, à 3 mois pour l'indifférence

4) comment cette quantité est-elle répartie sur la journée ?

=> également répartie

5) quelle(s) étai(en)t votre (vos) heure(s) de craving ?

=> tout le temps

6) votre quantité de baclo à ce jour ?
120 mg/jour, et je diminue à mon rythme

7) ES (effets secondaires):
au début : 60mg/jour : sédation très forte,
à 120 mg/jour : aucun : à 250 mg/jour : insupportables ; les pires : paresthésies et terreurs nocturnes, insomnies
 
mu7
01 Septembre 2012, 13:52
viva, c'est à moi de te remercier ; donne moi le lien pour le questionnaire, je maîtrise mal le site
 
mu7
01 Septembre 2012, 13:51
eh bien, je bois trop, une fois par semaine, le vendredi ; je ne suis pas à ramasser, comme avant le traitement, mais je bois beaucoup ; mais c'est la seule fois de la semaine ; pour info, hier, nous avons pris une bouteille de vin à 7, une autre à 4, ainsi que 5 apéritifs, ce qui fait que j'ai bu 8 verres environ ; ramené à la semaine, c'est raisonnable, mais pour un jour, c'est énorme ; ça me convient ; je suis peut-être un cas isolé, je ne recommande à personne d'agir de la sorte ; du reste, qui sait si cette situation perdurera ? Je reste vigilant
 
mu7
01 Septembre 2012, 13:19
c'est fait !
c'est à moi de vous remercier, TOUS !
 
mu7
01 Septembre 2012, 13:04
oui, volontiers ; viva m'avait aidé pour le docteur Y ; le docteur X, je ne suis pas certain que ça intéresse le forum, pour des raisons prof, mais Z, oui, volontiers, comment faire pour contacter viva ? j'avoue ne pas maîtriser le site ;
merci
 
mu7
01 Septembre 2012, 11:25
Bonjour,
Je vais essayer, sur conseil de mon médecin actuel, spécialité es psychiatrie, de vous narrer mon expérience, quasi compète du traitement au baclofène :


je vais le faire concis :


le Début :
consommation occasionnelle, mais rare,dès 14 ans : mes premières « cuites »
baccalauréat tôt, fac :cuites régulières : le vendredi et samedi, sans conséquences,


armée : idem :
1er emploi : idem,


divorce :
les occasions se multiplient : je suis souvent saoul, mon travail s'en ressent, sans plus, je suis doué dans ma matière, mes employeurs le savent, mais je suis chaque midi au restaurant, et je bois plus que de mesure ; mon envie de boire commence dès la fin de matinée, j'éprouve les premiers symptômes de l'alcoolisme : insomnies, jambes qui trahissent,tremblements... Une echo du foie montre un foie hypertrophié, sans plus ; comme je mange beaucoup, une stéatose est détectée.


je suis muté,
je me mets en ménage avec une fille qui me correspond, je suis amoureux ; peu après notre mariage,elle s'en va, victime malgré elle de mon alcoolisme, cette fois bien avéré ; je consulte un, deux psychiatres : j'arrête l'alcool, mes constantes phy redeviennent normales, des echo du foie ne montrent aucune anomalie, une première montre une stéatose, une seconde est normale ;
je perds du poids,
je me fais opérer par laparotomie, une sigmoïdectomie : les echos et scanner ne montrent pas d'anomalie hépatique, normal, je ne bois que rarement.
Je renoue contact avec mon épouse, la relation n'est pas satisfaisante, mais nous vivons ensemble, je bois, mais moins ; je contrebalance mon appétence avec quelques benzodiazépines, sans excès.
J'apprends mon départ pour Mayotte ;
Grands pleurs avec mon épouse qui semble re-tomber amoureuse, les pleurs sont partagés, sur le quai de la gare de Montpellier, les larmes sont chaudes : cette période,je rebois beaucoup, mais je suis obligé, de par mon affectation nouvelle, de me restreindre, je bois en cachette, trop, mais pas excessivement pour que mes employeurs ne le remarquent pas.
Au téléphone, mon épouse est de plus en plus distante ; je bois, trop, mais me restreins, mes employeurs ne remarquent rien, normal, je ne suis pas saoul au travail, mais le soir...
1 an s'est passé, mon épouse,soi-disant amoureuse, enclenche une procédure de divorce ;entre-temps, j'ai poursuivi, en dilettante, mes études (je n'en dirai pas davantage) ; j'étudie les travaux d'Ameisen, les confronte avec d'autres travaux, et mes maigres connaissances sur le sujet, ils semblent prometteurs, et c'est un bien petit mot ; je rentre en métropole, mon épouse ne souhaite pas me voir, je consulte mon médecin traitant, le Dr X, dans la ville de X ; il me connaît, me fait confiance, n'est pas au courant des avancées du traitement de la maladie alcoolique par le baclofène, me prescrit 30mg/jour sur 6 mois ;
je file chez le Dr Y, dans la ville de Y, qui me prescrit sur ordo sécurisée du tranxène 20, pour me passer de ma dépendance (vous suivez, ma femme me quitte, je suis au bout du rouleau) ET du baclofène à raison de +10 mg/semaine sur 6 mois ; j'attaque donc à 40 mg/jour : les effets sont immédiats : le lendemain sur d'une surconsommation, je vomis ; je retourne à Mayotte :
J'augmente la posologie de +10 par semaine ;


ES : sédation très forte.


Nous arrivons en novembre, chaque consommation d'alcool me fait vomir,parfois, la journée entière, l'effet antabuse est avéré, mais insuffisant en ce qui me concerne.


En décembre, pour les fêtes, je vais à Madagascar : j'en profite pour faire le plein de tranxène 10 (on ne fait pas davantage à mada, les officines délivrent tout, sans ordonnance, mais les médicaments inscrits à l'ancien tableau-b, c'est à dire, sur ordo s sécurisée, ne sont pas délivrés) ;
=> en fait, je n'en aurais pas besoin, le baclofène se suffit à lui-même ; ;
j
e fais du sport chaque matin, suis à 120 mg de baclofène ;


ES :Sédation qui va s'en s'amenuisant. La libido semble modifiée ; l'orgasme est fortement retardé.


le soir du réveillon de Npël, je suis seul, l'envie de fêter l’événement en pays chrétien (Mayotte est musulmane)est trop forte : en guise d'apéro, je commande une grande bière Malgache (excellente) ; je me fais plaisir et me dis que le baclofène ne fonctionne pas : à la seconde commande de bière,le dégoût s'installe : impossible de consommer plus !


J'en parle, par email avec le docteur Y, qui me prescrit de me désaltérer avec du Perrier : bonne recommandation, mais en ces périodes de fêtes,l'envie est trop forte : au réveillon du nouvel-an 2011 : idem : bière puis l'effet de dégoût s'installe ;
je reviens à Mayotte, continue à boire, mais cette fois, promis juré, BIEN MOINS, il semble que le baclofène se substitue à un des neurotransmetteurs (l'acide gamma-butyrique ?)
Je continue à augmenter la posologie : 160 – 180 -200 : les ES sont insupportables, notamment les paresthésies, je prends des décharges aux extrémités chaque dizaine de seconde ! Je décide d'arrêter l'alcool (soit dit en passant, am conso est devenue TRÈS raisonnable) : les ES s'amoindrissent, mais d'autre ES commencent à faire leur office : terreurs nocturnes, hypersudation, et INSOMMNIES ! J'essaye de contrebalancer ces effets avec du clonazepam (rivotril)(acheté à mada)aucun effet ; je décide de continuer le baclofène, mon envie de guérir prend le pas sur tous les ES, tant pis pour mon sommeil.

Parenthèse : je me fais opérer, ici à Mayotte, de la vésicule, cholecystectomie, toujours sous laparo : de fait, echo et intervention chir de visu font que mon foie est on bon état : ouf !

A250 mg/jour, je ne tiens plus, terreurs nocturnes (les cauchemars, en comparaison, sont de doux rêves), paresthésies chaque seconde vont m’empêcher de poursuivre plus avant, c'est trop dur, je descends de 20 mg par semaine, demande conseil à mon médecin Y, qui m'écrit qu'il faut que je me débrouille (il a raison).
J'en suis à plus de 120euros par mois de baclofène (les médicaments à Mayotte sont plus chers)


Je ne bois rien ;




Où en suis-je ?
Je consulte le docteur Z, du CHM Mamoudzou, me fait une ordonnance tous les deux mois ½ ; ce jour, je suis à 120mg/jour de baclofène ;je descends très lentement ; ma consommation d'alcool est la suivante:chaque vendredi soir, je bois plus que de raison, le samedi matin, j'ai encore envie de boire, mais, APRÈS 3 verres de bière, le dégoût s'installe et je ne rebois plus de la semaine à venir ;


ce traitement est, pour l'heure, une totale réussite ; j'ai bien conscience que la guérison est là, mais que le diable est derrière la porte, me tentant peut-être de reboire ;il n’empêche, que je vais en terminer avec cette mauvaise habitude par une conso irrégulière mais maîtrisée, de l'alcool, etil semble bien que le baclofène permette, pour moi, d'en finir avec cette souffrance.

Effets indésirables/secondaires : NÉANT

A l'heure à laquelle je rédige, j'ai fait la fête hier, ai bu ce jour 3 bières, sans avoir envie de poursuivre, MAIS : CETTE EXPÉRIENCE EST MIENNE : PEUT-ÊTRE NE S'APPLIQUE-T-ELLE PAS A VOUS !: si vous avez envie d’arrêter de boire, le baclofène est à coup sûr une aide précieuse, si vous souhaitez continuer, sachez que je ne peux me prévaloir des expériences des autres : le mieux est de ne pas consommer d'alcool, cependant, le baclofène ouvre la voie d'une thérapeutique nouvelle MAJEURE.


Je remercie toutes les personnes qui m'ont permis de guérir, mes médecins X,Y,Z (qui se reconnaîtront) ;
j'espère que cette contribution servira à d'autres
 
mu7
01 Septembre 2012, 11:25
Bonjour,
Je vais essayer, sur conseil de mon médecin actuel, spécialité es psychiatrie, de vous narrer mon expérience, quasi compète du traitement au baclofène :


je vais le faire concis :


le Début :
consommation occasionnelle, mais rare,dès 14 ans : mes premières « cuites »
baccalauréat tôt, fac :cuites régulières : le vendredi et samedi, sans conséquences,


armée : idem :
1er emploi : idem,


divorce :
les occasions se multiplient : je suis souvent saoul, mon travail s'en ressent, sans plus, je suis doué dans ma matière, mes employeurs le savent, mais je suis chaque midi au restaurant, et je bois plus que de mesure ; mon envie de boire commence dès la fin de matinée, j'éprouve les premiers symptômes de l'alcoolisme : insomnies, jambes qui trahissent,tremblements... Une echo du foie montre un foie hypertrophié, sans plus ; comme je mange beaucoup, une stéatose est détectée.


je suis muté,
je me mets en ménage avec une fille qui me correspond, je suis amoureux ; peu après notre mariage,elle s'en va, victime malgré elle de mon alcoolisme, cette fois bien avéré ; je consulte un, deux psychiatres : j'arrête l'alcool, mes constantes phy redeviennent normales, des echo du foie ne montrent aucune anomalie, une première montre une stéatose, une seconde est normale ;
je perds du poids,
je me fais opérer par laparotomie, une sigmoïdectomie : les echos et scanner ne montrent pas d'anomalie hépatique, normal, je ne bois que rarement.
Je renoue contact avec mon épouse, la relation n'est pas satisfaisante, mais nous vivons ensemble, je bois, mais moins ; je contrebalance mon appétence avec quelques benzodiazépines, sans excès.
J'apprends mon départ pour Mayotte ;
Grands pleurs avec mon épouse qui semble re-tomber amoureuse, les pleurs sont partagés, sur le quai de la gare de Montpellier, les larmes sont chaudes : cette période,je rebois beaucoup, mais je suis obligé, de par mon affectation nouvelle, de me restreindre, je bois en cachette, trop, mais pas excessivement pour que mes employeurs ne le remarquent pas.
Au téléphone, mon épouse est de plus en plus distante ; je bois, trop, mais me restreins, mes employeurs ne remarquent rien, normal, je ne suis pas saoul au travail, mais le soir...
1 an s'est passé, mon épouse,soi-disant amoureuse, enclenche une procédure de divorce ;entre-temps, j'ai poursuivi, en dilettante, mes études (je n'en dirai pas davantage) ; j'étudie les travaux d'Ameisen, les confronte avec d'autres travaux, et mes maigres connaissances sur le sujet, ils semblent prometteurs, et c'est un bien petit mot ; je rentre en métropole, mon épouse ne souhaite pas me voir, je consulte mon médecin traitant, le Dr X, dans la ville de X ; il me connaît, me fait confiance, n'est pas au courant des avancées du traitement de la maladie alcoolique par le baclofène, me prescrit 30mg/jour sur 6 mois ;
je file chez le Dr Y, dans la ville de Y, qui me prescrit sur ordo sécurisée du tranxène 20, pour me passer de ma dépendance (vous suivez, ma femme me quitte, je suis au bout du rouleau) ET du baclofène à raison de +10 mg/semaine sur 6 mois ; j'attaque donc à 40 mg/jour : les effets sont immédiats : le lendemain sur d'une surconsommation, je vomis ; je retourne à Mayotte :
J'augmente la posologie de +10 par semaine ;


ES : sédation très forte.


Nous arrivons en novembre, chaque consommation d'alcool me fait vomir,parfois, la journée entière, l'effet antabuse est avéré, mais insuffisant en ce qui me concerne.


En décembre, pour les fêtes, je vais à Madagascar : j'en profite pour faire le plein de tranxène 10 (on ne fait pas davantage à mada, les officines délivrent tout, sans ordonnance, mais les médicaments inscrits à l'ancien tableau-b, c'est à dire, sur ordo s sécurisée, ne sont pas délivrés) ;
=> en fait, je n'en aurais pas besoin, le baclofène se suffit à lui-même ; ;
j
e fais du sport chaque matin, suis à 120 mg de baclofène ;


ES :Sédation qui va s'en s'amenuisant. La libido semble modifiée ; l'orgasme est fortement retardé.


le soir du réveillon de Npël, je suis seul, l'envie de fêter l’événement en pays chrétien (Mayotte est musulmane)est trop forte : en guise d'apéro, je commande une grande bière Malgache (excellente) ; je me fais plaisir et me dis que le baclofène ne fonctionne pas : à la seconde commande de bière,le dégoût s'installe : impossible de consommer plus !


J'en parle, par email avec le docteur Y, qui me prescrit de me désaltérer avec du Perrier : bonne recommandation, mais en ces périodes de fêtes,l'envie est trop forte : au réveillon du nouvel-an 2011 : idem : bière puis l'effet de dégoût s'installe ;
je reviens à Mayotte, continue à boire, mais cette fois, promis juré, BIEN MOINS, il semble que le baclofène se substitue à un des neurotransmetteurs (l'acide gamma-butyrique ?)
Je continue à augmenter la posologie : 160 – 180 -200 : les ES sont insupportables, notamment les paresthésies, je prends des décharges aux extrémités chaque dizaine de seconde ! Je décide d'arrêter l'alcool (soit dit en passant, am conso est devenue TRÈS raisonnable) : les ES s'amoindrissent, mais d'autre ES commencent à faire leur office : terreurs nocturnes, hypersudation, et INSOMMNIES ! J'essaye de contrebalancer ces effets avec du clonazepam (rivotril)(acheté à mada)aucun effet ; je décide de continuer le baclofène, mon envie de guérir prend le pas sur tous les ES, tant pis pour mon sommeil.

Parenthèse : je me fais opérer, ici à Mayotte, de la vésicule, cholecystectomie, toujours sous laparo : de fait, echo et intervention chir de visu font que mon foie est on bon état : ouf !

A250 mg/jour, je ne tiens plus, terreurs nocturnes (les cauchemars, en comparaison, sont de doux rêves), paresthésies chaque seconde vont m’empêcher de poursuivre plus avant, c'est trop dur, je descends de 20 mg par semaine, demande conseil à mon médecin Y, qui m'écrit qu'il faut que je me débrouille (il a raison).
J'en suis à plus de 120euros par mois de baclofène (les médicaments à Mayotte sont plus chers)


Je ne bois rien ;




Où en suis-je ?
Je consulte le docteur Z, du CHM Mamoudzou, me fait une ordonnance tous les deux mois ½ ; ce jour, je suis à 120mg/jour de baclofène ;je descends très lentement ; ma consommation d'alcool est la suivante:chaque vendredi soir, je bois plus que de raison, le samedi matin, j'ai encore envie de boire, mais, APRÈS 3 verres de bière, le dégoût s'installe et je ne rebois plus de la semaine à venir ;


ce traitement est, pour l'heure, une totale réussite ; j'ai bien conscience que la guérison est là, mais que le diable est derrière la porte, me tentant peut-être de reboire ;il n’empêche, que je vais en terminer avec cette mauvaise habitude par une conso irrégulière mais maîtrisée, de l'alcool, etil semble bien que le baclofène permette, pour moi, d'en finir avec cette souffrance.

Effets indésirables/secondaires : NÉANT

A l'heure à laquelle je rédige, j'ai fait la fête hier, ai bu ce jour 3 bières, sans avoir envie de poursuivre, MAIS : CETTE EXPÉRIENCE EST MIENNE : PEUT-ÊTRE NE S'APPLIQUE-T-ELLE PAS A VOUS !: si vous avez envie d’arrêter de boire, le baclofène est à coup sûr une aide précieuse, si vous souhaitez continuer, sachez que je ne peux me prévaloir des expériences des autres : le mieux est de ne pas consommer d'alcool, cependant, le baclofène ouvre la voie d'une thérapeutique nouvelle MAJEURE.


Je remercie toutes les personnes qui m'ont permis de guérir, mes médecins X,Y,Z (qui se reconnaîtront) ;
j'espère que cette contribution servira à d'autres
 
mu7
01 Octobre 2011, 19:06
il faut que tu lises attentivement le site, et trouveras la procédure pour trouver un médecin pour qui la prescription de baclofène ne pose pas de souci ; pour des raisons évidentes, la liste de ces prescripteurs n'est pas publique.
 
mu7
01 Octobre 2011, 18:51
j'augmente la dose de lioresal de 10 mg par semaine ; c'est ce que m'a conseillé le médecin ; j'en suis à 60 mg/jour et mercredi, ce sera 70 ; je viens de commander une bière (la seconde), mais elle ne passe pas ; j'ai toujours envie de boire, mais je suis plus rapidement lassé ; hope thid will continue !

cordialement
 
mu7
19 Septembre 2011, 19:26
je suis surpris d'une augmentation de la posologie du lioseral si rapide ;
mon toubib, qui semble habitué, m'a dit +10 mg/7 jours ;


bon, il est vrai que j'étais sous bzd, mais quand même ;

du reste, j'éprouve une grosse fatigue à 40mg/j

amicalement
 
mu7
19 Septembre 2011, 18:06
merci pour ce réconfort ; je me demandais si l'effet des bzd ne s’ajoutait pas ; mais aujourd'hui, j'ai fini le tranxène, (qui lui, fait faire dodo), comme préconisé par mon médecin ; mais l'envie de dormir persiste ! et puis, avoir envie de dormir, c'est pas mal, non ?
bises
 
mu7
19 Septembre 2011, 17:43
hello,
c'est bizarre, je suis toujours accro, mais les envies diminuent ; je ressens vite une gêne à continuer à boire ; effet de lioseral ?

cordialement
 
mu7
15 Septembre 2011, 16:20
eh bien, si je ne trouve pas de prescripteur à Mayotte, ce médecin me fera parvenir une ordonnance ; vraiment très sympa !
 
mu7
15 Septembre 2011, 4:36
Salut tout le monde ;
j'ai vu avec le docteur en médecine de Montpellier ; il a triplé la dose de lioresal initialement prescrite par mon médecin traitant, posologie à atteindre par paliers de 10mg par semaine ; il a pris le temps de bien m'expliquer, toubib sympa et à l'écoute, à recommander ; voilà, maintenant, il faut laisser le temps au temps ; pour l'instant, pas trop d'effet secondaire, mais je vomis dès que je bois une seule bière ; tant mieux, au fond, même si c'est dur, car l'envie reste présente, mais le résultat est immédiat : 1 verre = 1 dégueulis (désolé pour le manque de poésie) ;

merci à ce forum, je continuerai de vous tenir au courant,
cordialement
 
mu7
11 Septembre 2011, 13:54
je vais voir avec un praticien de Montpellier ;
la suite bientôt,
bises
 
mu7
11 Septembre 2011, 10:49
oui, il y a précaution d'emploi du lioseral dans le cas d'ulcère ; que ton médecin te prescrive un ipp dans ce cas (y'a le choix : pantoprazole, omeprazole etc etc)
cordialement
 
mu7
11 Septembre 2011, 10:38
Bonjour,
je vous tiens au courant, comme promis ; je suis finalement allé consulter mon médecin traitant qui, me faisant confiance, a accepté de me délivrer du baclofène pour 30 mg/jour pendant 6 mois ; il m'a demandé de la doc, que je lui ai fournie : il n'est pas exclu, dans un proche avenir, qu'il accepte de prescrire ce lioseral à un plus large public, ça dépendra un peu de ses lectures et de mon retour, sous forme de comptes-rendus que je lui enverrai par email ; retournant à Mayotte dans 1 semaine, j'irai peut-être voir un prescripteur "recommandé" par le site pour obtenir une posologie plus élevée, je verrai ;
pour l'heure, au troisième jour de traitement, il ne se passe rien en négatif ; je n'ai pas bu depuis quelques jours, mais c'est sans doute dû aux benzodiazépines que je prends ; par contre, je fais de longues nuits, il n'est pas impossible que l'effet sédatif des bzd se cumule avec celui du baclofene ; je vous tiens au courant de la suite des événements ; cordialement à toutes et tous
 
mu7
06 Aout 2011, 17:54
Merci ;
c'est fait


bon week-end
 
mu7
06 Aout 2011, 17:44
merci de cette réponse ; le fait est que je ne serai dans l’Hérault que quelques jours et je souhaiterais prendre rendez-vous.
 
mu7
06 Aout 2011, 17:08
bonjour, actuellement à Mayotte, je rentre dans l’Hérault d'ici un mois ; je cherche un prescripteur sur ces départements ; merci beaucoup
 



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