jupiterrienne
22 Février 2012, 19:46
22 Février 2012, 19:46
Alcoolo-dépendance
» Après la guérison de l'alcoolisme » Petit questionnaire posologie Baclofène
Tout d’abord merci à tous ceux de ce forum, que j’ai égoïstement un peu négligé, alors qu’il m’avait ouvert une voie royale ! Mille pardons, et mille mercis !
1) Réussite, depuis 3 semaines environ
2) 140 mg
3) Débuté le 30/08/2011, 7ème anniversaire de ma petite-fille, donc environ 5 mois. J’ai dû augmenter très lentement car ES dévastateurs…
4) 30 le matin, 30 Ã midi, 40 vers 17h, 40 vers 19h30
5) Le plus souvent, après le boulot, entre 17h et 20h, mais parfois aussi entre midi et 2
6) Toujours à 140 mg puisque ma guérison est très récente. Mon médecin propose de réduire progressivement d’ici quelques mois. Mais je n’appréhende pas de redescendre, car ma psychanalyse a bien progressé depuis le baclo, et je me sens apaisée, forte et confiante.
7) M au début, sudation, vertiges, insomnie et cauchemars hallucinants (qui m’ont d’ailleurs dans mon analyse), puis rapidement F : les sudations se sont calmés, car les prises d’alcool se sont rapidement espacées, mais j’ai eu des épisodes de confusion mentale assez incroyables, et surtout surtout, une fatigue IMMENSE, et des endormissements difficiles à réprimer. J’ai bien cru que je n’arriverais plus à bosser, à tenir mes audiences… j’ai dû en parler à mon chef (sans lui dire le pourquoi de ce traitement) pour expliquer que par moment, je fermais ma porte de bureau et dormais quelques instants en me calant dans mon fauteuil. En moto aussi, c’était l’horreur, j’avais peur de tomber (je ne suis que passagère). Cette fatigue est toujours là mais je la gère comme je peux et je n’envisagerais pour rien au monde de raccourcir le traitement. Autre effet secondaire : quand je lutte pour ne pas m’endormir, j’ai la tête qui bourdonne à un point difficilement descriptible. Egalement les mâchoires souvent serrées (mais ça m’était déjà arrivé il y a quelques années… Hélas aussi, baisse de libido, problèmes de vision, et j’en oublie sûrement… mais si je les oublie, c’est qu’ils ne sont pas insurmontables.
8) Je n’ai rien diminué. Sauf mon antidépresseur durant 3 semaine en décembre, et j’ai bien cru en crever : je ne faisais que pleurer du matin au soir, sans savoir précisément pourquoi… Je prenais déjà avant, un antidépresseur (DEROXAT) que je ne peux arrêter pour le moment, mais ça viendra. J’ai tenté aussi des gélules de Maca, mais ça me speedait sans m’empêcher de m’endormir… Très bizarre comme effet, et je n’ai pas continué. J’ai pu continuer à prendre mon THS, que je prends depuis l’âge de 37 ans !!! donc depuis longtemps.
9) 22
1) Réussite, depuis 3 semaines environ
2) 140 mg
3) Débuté le 30/08/2011, 7ème anniversaire de ma petite-fille, donc environ 5 mois. J’ai dû augmenter très lentement car ES dévastateurs…
4) 30 le matin, 30 Ã midi, 40 vers 17h, 40 vers 19h30
5) Le plus souvent, après le boulot, entre 17h et 20h, mais parfois aussi entre midi et 2
6) Toujours à 140 mg puisque ma guérison est très récente. Mon médecin propose de réduire progressivement d’ici quelques mois. Mais je n’appréhende pas de redescendre, car ma psychanalyse a bien progressé depuis le baclo, et je me sens apaisée, forte et confiante.
7) M au début, sudation, vertiges, insomnie et cauchemars hallucinants (qui m’ont d’ailleurs dans mon analyse), puis rapidement F : les sudations se sont calmés, car les prises d’alcool se sont rapidement espacées, mais j’ai eu des épisodes de confusion mentale assez incroyables, et surtout surtout, une fatigue IMMENSE, et des endormissements difficiles à réprimer. J’ai bien cru que je n’arriverais plus à bosser, à tenir mes audiences… j’ai dû en parler à mon chef (sans lui dire le pourquoi de ce traitement) pour expliquer que par moment, je fermais ma porte de bureau et dormais quelques instants en me calant dans mon fauteuil. En moto aussi, c’était l’horreur, j’avais peur de tomber (je ne suis que passagère). Cette fatigue est toujours là mais je la gère comme je peux et je n’envisagerais pour rien au monde de raccourcir le traitement. Autre effet secondaire : quand je lutte pour ne pas m’endormir, j’ai la tête qui bourdonne à un point difficilement descriptible. Egalement les mâchoires souvent serrées (mais ça m’était déjà arrivé il y a quelques années… Hélas aussi, baisse de libido, problèmes de vision, et j’en oublie sûrement… mais si je les oublie, c’est qu’ils ne sont pas insurmontables.
8) Je n’ai rien diminué. Sauf mon antidépresseur durant 3 semaine en décembre, et j’ai bien cru en crever : je ne faisais que pleurer du matin au soir, sans savoir précisément pourquoi… Je prenais déjà avant, un antidépresseur (DEROXAT) que je ne peux arrêter pour le moment, mais ça viendra. J’ai tenté aussi des gélules de Maca, mais ça me speedait sans m’empêcher de m’endormir… Très bizarre comme effet, et je n’ai pas continué. J’ai pu continuer à prendre mon THS, que je prends depuis l’âge de 37 ans !!! donc depuis longtemps.
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