C'est mon premier message, mais pas la première lecture des vôtres... J'ose à peine écrire après tout ces témoignages édifiants de vos souffrances, de vos espoirs, de vos victoires. je débute et je doute... Je bois le soir, c'est bon...au début. Les semis ivresses allèges le temps, cajolent mes doutes. Puis ce temps prend le dessus et me rappel l'heure...l'heure du début qui s'approche... parfois trop lentement... Et là vous connaissez évidemment la suite. Les bouteilles qui vous envahissent l'esprit et les poubelles. Que l'on cache aux autres et à soi. Les mots blessants, coupant comme des rasoirs, infligés sans raison aux gens qui nous aiment et que notre confuse arrogance a lancé comme des poignards. Et au matin ces réveils honteux parfois encore humides des larmes de celle que j'aime si mal... Alors des fois je vous lis... Je doute... J'attends demain...à l'heure, la fameuse heure...
Ce soir j'ai écris. C'est grandiloquent et pompeux. Mais à vous lire je me mets à rêver "Et si cette petite pilule pouvait sécher ses larmes et les miennes... "