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laur
26 Juillet 2013, 17:08
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Écoute ton corps et ton esprit : ils sont la manifestation de tonmal-être.

Et sois patiente avec toi-même : C honorable de vouloirlutter sur tous les fronts mais vu ton état actuel (dépression), tu te mets desobjectifs un peu lourds à mon sens. Un sevrage brutal peut s’avérer pireencore : si tu craques, ça renforcera ton sentiment d’échec, et ce seraencore plus dur à supporter.

Surtout n’attends pas que ton état se dégrade : il tesera plus difficile de batailler sur 2 fronts en même temps, ce que je fais etC très délicat.

Agis par priorité : fais-toi suivre, j’insiste, car situ trouves un bon psy, tu te sentiras déjà mieux au bout d’une ou 2 séances, etça t’encouragera pour le reste.

Car que tu sois dépressive et/ou alcoolique, ce ne sontque des conséquences de ton mal-être : il faut d’abord en chercher lescauses, et prendre le problème à la base, si tu veux que tes traitements soientréellement efficaces.
C comme soigner une carie par antibiotiques : ça tesoulagera, mais si tu ne soignes pas ta dent, la douleur reviendra..

Le souci, en France, C qu’on peut se faire prescrirefacilement des AD, mais pour qu’ils soient efficaces, ils devraient êtreobligatoirement accompagnés d’un suivi psychologique.

Quant à ton hypersensibilité, et ton hyperémotivité, ce nesont pas des défauts à supprimer.
Ils font partie de toi, et font de toi ce que tu es.
Il faut savoir les transformer en atouts, et cela nécessiteun travail sur soi. Pour ma part, Gtoujours été hypersensible et très émotive, mais quand ça allait bien dans mavie, je vivais bien avec, et les utilisais à bon escient …ils faisaient de moiune belle personne, ouverte, tolérante, à l’écoute, gentille mais pas stupideetc..
Ils m’ont aussi permis d’être appréciée à ma juste valeur,et de transformer mes « connaissances » en ami(e)s sincères et qui sont toujours là pour mesoutenir aujourd’hui .

Laure
 
laur
26 Juillet 2013, 15:58
Hello Babs !!

Je me permets d'intervenir par rapport à ton post.
A chaque fois dans ma vie que G senti venir une dépression, elle est bien arrivée, mais comme j'étais dans le déni (encore des AD à prendre), G attendu.

La dépression s'est installée, mais entre temps, j'étais passée à côté de plein de choses qui auraient pû me faire du bien. J'étais saisonnière l'été, et chaque hiver de solitude, je replongeais. G U la chance que mes patrons me rappellent plusieurs saisons de suite car j'étais incapable de faire des recherches d'emploi.

En 2011, la crise était installée et mes patrons n'ont pas voulu embaucher.
Du coup, G passé 4 mois horribles à attendre que mon état s'améliore, pour finir par aller consulter mon médecin mi-juillet car j'étais au plus mal.
Mais j'avais déjà loupé ma saison.
De même quand je lis que ta vie est un échec, que tu ne te reconnais plus, que ton passé ressurgit, je te conseille par expérience d'aller consulter un psychiatre : d'abord, ses séances sont remboursées, à la différence d'un psychologue, ensuite, il peut te prescrire un traitement d'AD, enfin, d'après ce que tu dis, tu as besoin de te libérer de tes soucis, pour aller mieux et te soigner au mieux, notamment avec le Bacloféne.

Une bonne thérapie doit te permettre d'évacuer tes malaises, t'apprendre à reprendre confiance en toi, et surtout à t'aimer de nouveau. Et sortir progressivement de ton isolement, une des conséquences principales de la dépression.

Quand au changement de physionomie, je me lève aussi depuis longtemps avec le visage gonflé et bouffi, mais ce n'est qu'une des conséquences de l'alcoolisme. Il faut en chercher les causes.

Je te donne tous ces conseils, car je ne les ai pas suivi (comme quoi http://www.baclofene.com/images/smileys/fsb2_goutte.gif) et C pour ça que j'en suis là aujourd'hui : AD, anxiolytiques, Bacloféne, et tant de choses à régler. Aussi, ne fais pas comme moi, n'attends pas !!

Courage !!
Laure
 
laur
26 Juillet 2013, 14:29
Bonjour Chrystelle !!

Je viens de lire ton message. Moi aussi, je suis nouvelle sur ce forum.
Et pour toi qui me trouve courageuse, saches que je n'ai jamais réussi comme toi, à passer 48H sans alcool, aussi tu peux t'en féliciter. C'est un bel exploit, et C aussi une grande marque de volonté, volonté qui me fait défaut depuis longtemps, aussi je suis confiante pour toi, car le plus difficile n'est pas la prise du Bacloféne, mais la volonté qui va de pair avec ce traitement.

Je ne connais pas ton parcours, le mien est très particulier : G connu beaucoup d’événements difficiles, tout au long de ma petite vie, mais la chose que G compris très jeune, C que chaque souffrance est particulière, personnelle, mais toujours légitime, quelle qu'elle soit. Aussi ne te sous-estimes pas, chacun a son propre tempérament, son propre vécu, ses propres limites.

Pour revenir sur les ES que G U la semaine passée, ils n'étaient pas dû au Bacloféne, mais à de mauvais dosages. Jusqu'alors, passer les différents paliers s'était fait en douceur, mais cette fois, par manque de connaissance, G fait un peu n'importe quoi, et j'en ai payé le prix; mais G compris, et C l'essentiel.

Je me suis battue contre diverses addictions (et G la fierté de m'en être sortie seule), mais G le moral dans les chaussettes depuis longtemps, aussi, je suis comme beaucoup d'entre nous fragilisée, et mon mal-être n'étant pas dû seulement à l'alcool, il est encore plus difficile de se battre sur plusieurs fronts à la fois.
A cause de ma sensibilité extrême, de mes émotions exacerbées, de la perte de mon travail, de la bataille avec ma famille qui ne me soutient, ni ne me comprend, je suis arrivée à un point où chaque action, chaque décision est pénible, mais je m'accroche, à quoi, je ne sais pas, certainement ce qu'on appelle l'instinct de survie : mon plus gros soucis est un manque affectif profond, ancré en moi depuis longtemps : G perdu mon compagnon, l'amour de ma vie en 2005, et même s'il est toujours vivant, ce n'est plus la même personne. Notre vie a basculé du jour au lendemain.
Ensuite, à cause de mes bêtises, je me suis réveillée mais un peu tard pour me rendre compte que je n'avais et n'aurai peut-être jamais d'enfant, mon instinct maternel de toujours en a pris un sacré coup, et G mis du temps à cicatriser.
Mon père m'a rejeté à plusieurs reprises avant de disparaitre, alors que j'avais été la seule à ma battre pour lui. Et ma famille ne m'a pas soutenu dans mon combat pour lui, et est allée jusqu'à me rabaisser plus bas que terre, alors que j'étais au plus mal, et qu'ils n'ont jamais voulu le voir.
Bref, pour dire que le plus difficile est de me retrouver, mais comme je n'en ai pas U la force, G noyé mon chagrin dans l'alcool, pour oublier.
J'aurai dû commencer par entreprendre une thérapie pour maîtriser mes démons et surtout exorciser tout ce que G vécu, car tout ce qu G cité plus haut n'est que la partie émergée de l'iceberg. C la violence de mon vécu, la violence de mes émotions , qui m'ont conduit(e) à aujourd'hui, aussi, si G un conseil à donner, C de ne pas attendre de toucher le fond trop longtemps, et d'accompagner chaque traitement, chaque descente aux enfers, d'une thérapie.

Pour finir, G aussi beaucoup appris sur ce forum, je relativise moi-même mon vécu quand je lis certains posts ou suis certains fils. Il y a toujours pire, il y a toujours mieux, l'essentiel est de trouver son propre équilibre.

Je te souhaite force et courage, et garde cette volonté que tu as déjà montré.
Bisous
Laure
 
laur
25 Juillet 2013, 18:15
Bonjour Sylvie !!

Oui, C reparti ...
Je vais continuer à me renseigner sur le Bacloféne, sur les expériences de chacun. Et essayerai d'être plus active sur le site, les encouragements sont bons dans les 2 sens : ça fait du bien d'en recevoir, mais surtout d'en donner..

Bonne continuation Sylvie et à très vite !!

Laure
 
laur
25 Juillet 2013, 13:35
Bonjour à toutes et à tous,

Je n’ai rien posté depuis une semaine.
Aussi, je reprends ma discussion pour vous tenir au courant,et surtout vous remercier de vos conseils, réactions et soutiens, car sans vous, je n’en serai pas là aujourd’hui.

Comme je l’ai expliqué, vendredi dernier, j’étais au plus mal depuis une semaine : un besoin vital que tous ses ES s’arrêtent, mon cerveau étant sur le point d’éclater, enfin, C une image http://www.baclofene.com/images/smileys/fsb2_smyle.gif
J’ai mis ma fierté de côté, de toute façon au point où j’en étais, c’était le dernier de mes soucis, G appelé mon médecin, pour un RDV au plus vite. Il a compris que ça n’allait pas du tout et m’a calé un RDV 4h après mon appel …4h à passer dans cet état, C long, mais G pris sur moi, et ai tout fait pour m’occuper, malgré mon état apathique.

Quand je suis arrivée, j’étais décomposée, aussi, je lui ai tout raconté : mes ES toujours présents et insupportables, le fait que G continué le Bacloféne, alors qu’il me l’avait arrêté, etc, etc…
Et là, G retrouvé le médecin que je connaissais, à l’écoute,prêt à m’aider.
Il a enfin compris les ES que j’avais U après augmentation massive du traitement, et ceux qui avaient suivi après un arrêt de 2jours, et une reprise à 120mg d’un coup, de ma propre initiative.
Moi, je lui ai parlé de votre forum (dont il connait le sérieux), des infos que j’avais U, et qui m’en avaient beaucoup appris sur le Bacloféne, et dans mon K, sur la nécessité de prises régulières.
Le seul que je prenais correctement était mon AD, la Paroxetine, pour répondre à vos questions, Daniel et Bidibulle : G repris le Stablon en juillet 2011, puis changé avec un autre, qui ne m’a pas convenu du tout, et enfin suis passé sous Paroxetine, qui me va bien, si tant est qu’un AD soit dans l’absolu un traitement acceptable pour moi, trop de médicaments, depuis trop longtemps…
En effet, je suis différents traitements depuis une dizaine d’années : AD, Buprénorphine, générique du Subutex (mais ça C une autre histoire), anxiolytiques et j’aimerai tant arrêter tout cela mais il m’a expliqué, que comme je vais très mal, et suis très fragile actuellement, il ne sert à rien pour l’instant, de réduire à mon gré certains d’entre eux, le but étant d’arriver à une stabilité psychologique, à un mieux être pour espérer enfin aller mieux.
Il a insisté sur la prise de tous les traitements qu’il me prescrit sans chercher à les réduire, pour éviter ces montagnes russes :un jour, très haut, le lendemain, au plus bas.

Il m’a donc prescrit du Valium, pour freiner les ES, et encore une fois, je l’ai contré, en lui demandant du Xanax, que je prendrais quand ça n’allait pas, je ne voulais pas d’un nouveau traitement. Réponse amusée de sa part : C moi le médecin, je sais ce que je fais. OK, Doc http://www.baclofene.com/images/smileys/fsb2_oui.gif

Pour conclure, je vais mieux depuis la fin du WE, on continue le Bacloféne mais j’augmenterai progressivement les doses.
Et surtout, je continue à aller sur le forum, car G tant de choses à apprendre de vos expériences. Peut-être vous confierai-je un jour la mienne.

Encore mille merci …
Laure
 
laur
19 Juillet 2013, 17:32
Pour faire suite à tes conseils, Daniel, je suis déjà sous AD depuis un certain temps...
http://www.baclofene.com/images/smileys/fsb2_larme.gif
 
laur
19 Juillet 2013, 13:44
Merci à toutes et à tous!

C vrai que je suis en pleines interrogations depuis mercredi.

En allant sur votre forum ce même jour, G U plein d'infos, et des réponses à beaucoup de mes questions.

G compris plusieurs choses:
- le Bacloféne fonctionne par paliers
- il doit être pris régulièrement
- il y a un seuil à atteindre pour chacun

Bref, ça m'a rassuré et donné envie de continuer.

Seulement, je reste perplexe quant à l'attitude de mon médecin.

G commencé et interrompu la rédaction de ce message
Et entre temps, je viens d'appeler mon médecin pr un RDV en urgence :ça fait une semaine que je me sens super, super mal, un très mauvais bad trip dû je pense aux ES : je pleure, G des coups de blues intense, je suis super fatiguée, et je ne peux plus rester comme ça, ne serait-ce qu'un WE de plus.
Seuls le xanax me calme un peu. Sinon, pour le moment et sur vos conseils, G continué depuis mercredi à 12Omg.
J'aimerai me sentir mieux pour réflechir "à froid".
 
laur
17 Juillet 2013, 16:35
merci Sylvie !!
Je suis d'accord avec toi, ça manque de professionnalisme.
J'étais déjà dans un drôle d'état après ce WE catastrophique, et en stoppant mon traitement, C comme mon médecin baissait les bras. ça m'a remis un bon coup au moral.
Je réfléchis depuis ce matin, j'ai encore du Bacloféne : est-ce que je le prends pour diminuer en douceur, et éviter le "bad trip", ou bien pour continuer.
ça fait quand même 5 mois, et je n'ai pas vu d'amélioration.
Merci pour tes conseils
Laure
 
laur
17 Juillet 2013, 12:57
Merci pour toutes ces précisions !!
Elles me permettent de mieux comprendre et d'accepter les ES du Bacloféne.
J'aurai aimé que mon médecin m'en parle : ça m'aurait évité d'être déstabilisée par ces ES que je ne comprenais pas. ça m'aurait aussi éviter de prendre ce traitement pendant 5mois, avec tous ces aléas, pour en arriver à ce jour, où il vient de me stopper net le Bacloféne, sans aucune solution réelle à me proposer, et en me laissant complétement démunie..
Merci à vous
 
laur
17 Juillet 2013, 12:33
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Bonjour,

Mon 1er message s'étant effacé, je recommence mon histoire.
Suite à des événements de vie très difficiles depuis 10ans,je n’arrive plus à rebondir.
G été mise sous Paroxetine en avril 2012, puis sousBacloféne en février 2013.
J’ai quitté ma région d’adoption en septembre 2011. Unretour aux origines pour un travail, rémunérateur, en famille. Très rapidement,G été confrontée à 2 pressions conjointes : professionnelle et familiale.C là que G commencé à boire. Puis, G perdu mon travail, alors que j’étais enBurn Out total depuis quelques mois, G ensuite perdu mon père, ma grand-mère,et les choses se sont compliquées davantage.
Je suis sous Bacloféne depuis 5mois, à raison de 4cp4fois/jour, soit 160mg.
Mercredi dernier, 10 juillet, G refait un point avec monmédecin, je lui ai dit que j’avais du mal à prendre mes 16 cachets par jour,j’en prenais plutôt 12, soit 120mg (je suis devenue insomniaque depuislongtemps et mes réveils ne sont jamais les mêmes). Et G aussi beaucoup dedifficultés à prendre autant de médicaments dans une journée …
Aussi, il m’a passé à 5cp 4fois/jour soit 200mg/jour. Jusqu’alors,je n’avais pas vraiment intégré le fait que je devais prendre ces cachets defaçon si régulière, mais dès ce jour, je m’y suis appliquée, je me suis mêmemise une alarme sur mon tél. !! Et au bout de 2jours, le vendredi suivant,le 12 juillet, G commencé à ressentir des effets secondaires déroutants :un état plus que second, une envie de dormir à tout moment, un mal-êtrepsychologique infernal, des pleurs continus et non justifiés.
Ça m’a rappelé les débuts du Bacloféne, puissance 10.
G stoppé, à tort peut-être le Bacloféne, samedi et dimanche,mais pour éviter un arrêt brutal, j’en ai repris dès le lundi. Et aujourd’hui,mercredi 17 juillet, quand G parlé de tout ça à mon médecin, il a stoppé netmon traitement, disant que ça n’avait aucun effet, et m’a laissé comme ça, avecpour seule solution, une cure, qu’il m’avait lui-même déconseillé avant leBacloféne.
Je suis repartie, perdue, démotivée, abattue. Malgré mesinterrogations sur un arrêt brutal et ses ES, il m’a dit que comme je l’avaisstoppé 2jours, ça n’avait plus d’importance…
Voilà, je me retrouve de nouveau devant un mur, sanssolutions !!
Quant aux effets secondaires ressentis pendant la prise duBacloféne, je pourrais les détailler (douleurs fortes à toutes lesarticulations, sommeil perturbé, effet décuplé avec la prise d’alcool,sensations de chaleur, transpiration excessive etc.…), mais je reste persuadéeen lisant vos tchats, qu’il vaut mieux essayer le Bacloféne, plutôt que decontinuer l’alcool... jusqu’à la destruction.
 



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