Auguste Derrière
11 Juin 2016, 23:20
11 Juin 2016, 23:20
Alcoolo-dépendance
» Alcoolodépendance - Postez vos messages ici » Fluctuations, victoires, guigne, adversité, résilience, etc.
Bonjour Pascal,
Tu fais partie des fils que j’aime suivre comme ceux de Karine, Gaday, Franck, Jack… pour ne citer qu’eux.
Je partage beaucoup de choses avec toi. J’irai jusqu’à dire que j’éprouve de l’empathie : « ta douleur dans mon coeur ».
Là où je te rejoins, et je parle en mon nom, car je n’ai pas « autorité » sur toi.
- Je suis dans « l’ Everest » des posologies. Et pourtant pas un nuage d’EI/ES à l’horizon…
- Il est aisé pour moi de modifier les répartitions, sans effets néfastes.
Là où j’apporterais une nuance :
- En ce qui me concerne, je ne trouve pas opportun de modifier ma posologie de façon brutale. Je m’autodiscipline en n’oubliant pas l’énergie cinétique de la molécule, surtout à hautes doses.
- Lorsque j’ai eu le privilège de rencontrer Renaud de Beaurepère à Villejuif, il m’a conseillé de ne pas faire l’apologie des hautes prescriptions. Car c’est souvent mal compris, malgré des efforts de pédagogie et de vulgarisation.
Pascal, je n’ai pas de préconisations à te prodiguer, mais pour ma part :
- Je tente de me concentrer sur ma maladie, et c’est déjà un travail en soi ;
- Je considère beaucoup de « coreligionnaires du baclo » comme bienveillants - ils sont en partie cité ci-dessus, sans omettre Sylvie, Yves et Samuel ;
- Je n’oublie pas que les « conseillers ne sont pas les payeurs » pardonnez mes propos ;
Alors voila, mon petit « grain de sel ».
Tu fais partie des fils que j’aime suivre comme ceux de Karine, Gaday, Franck, Jack… pour ne citer qu’eux.
Je partage beaucoup de choses avec toi. J’irai jusqu’à dire que j’éprouve de l’empathie : « ta douleur dans mon coeur ».
Là où je te rejoins, et je parle en mon nom, car je n’ai pas « autorité » sur toi.
- Je suis dans « l’ Everest » des posologies. Et pourtant pas un nuage d’EI/ES à l’horizon…
- Il est aisé pour moi de modifier les répartitions, sans effets néfastes.
Là où j’apporterais une nuance :
- En ce qui me concerne, je ne trouve pas opportun de modifier ma posologie de façon brutale. Je m’autodiscipline en n’oubliant pas l’énergie cinétique de la molécule, surtout à hautes doses.
- Lorsque j’ai eu le privilège de rencontrer Renaud de Beaurepère à Villejuif, il m’a conseillé de ne pas faire l’apologie des hautes prescriptions. Car c’est souvent mal compris, malgré des efforts de pédagogie et de vulgarisation.
Pascal, je n’ai pas de préconisations à te prodiguer, mais pour ma part :
- Je tente de me concentrer sur ma maladie, et c’est déjà un travail en soi ;
- Je considère beaucoup de « coreligionnaires du baclo » comme bienveillants - ils sont en partie cité ci-dessus, sans omettre Sylvie, Yves et Samuel ;
- Je n’oublie pas que les « conseillers ne sont pas les payeurs » pardonnez mes propos ;
Alors voila, mon petit « grain de sel ».