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Jveux du bonheur
17 Aout 2017, 0:28
Bonsoir,
Sylvie, en ce qui concerne la pétition, je l'ai signée depuis un moment, c'est important.
Et là dans l'immédiat, je poursuis mon petit bonhomme de chemin, en essayant de me sortir de la tête que je suis en sursis avec l'interdiction de l'ANSM...
J'espère que les choses se sont bien passées pour la majorité des baclonettes et en lisant certains sujets, j'ai l'impression que peu de personnes ont eu des soucis pour renouveler leur traitement en pharmacie. C'est tant mieux alors.
Quoiqu'il en soit, je pense que les choses vont changer en Septembre, lorsque tout le monde sera rentré de vacances.
En tous cas, je vous lis de temps en temps, je suis certains fils, sans forcément me connecter, ni avoir envie d'intervenir, parce que dans mon esprit, je ne suis pas encore complétement sortie d'affaire. J'ai l'impression d'avoir eu un parcours atypique pour une TCA, montée très haut, redescendue, trouvé un seuil, pas aussi costaud et radical que pour d'autres.
Bon courage à toutes et tous!
 
Jveux du bonheur
29 Juillet 2017, 0:56
Bonsoir à toutes et tous,

Je reviens vous apporter quelques news, inattendues et très positives.
Voilà donc que mercredi soir, j'ai passé une nuit infernale, à ressasser avec l'ANSM, les 80mg, j'ai même failli retrouver mes démons à un moment donné. Et puis résignée, j'ai commencé à rayer de mon esprit, toutes les choses bien que le baclo a apporté dans ma vie: Faire du sport ( certes à outrance parfois), retravailler et être motivée dans ce que je fais, passer du temps avec tous ceux que j'aime ( car plus obsédée par cette petite crise que je pourrais m'en aller faire toute seule), être au centre de ma vie ( ben oui, pas de brume qui m'entoure, je profite de tout ce qui est en dehors de la bouffe), recuisiner, faire des projets, partir en vacances ( ce que je ne faisais plus, car impossible de tenir une semaine sans crise, quand on en fait tous les jours)...
Je me réveille jeudi à 6H épuisée sans aucune envie et je me surprends à me dire " je m'en fous, bientôt je n'irai plus travailler...
Enfin voilà, j'en passe et des meilleurs.
Je tente d'appeler mon médecin et son secrétaire me dit que ma pharmacie a appelé pour savoir comment faire et que mon doc la rappelera.
J'attends stressée, décomposée car je ne m'imagine même pas diminuer mes 23 comprimés contre mon gré.
Et puis la pharmacie me téléphone, et me dit que je peux venir chercher mon traitement habituel, qu'on va continuer comme ça.
A cet instant, je suppose que l'ANSM a adoucit sa décision.
Arrivée à la pharmacie, on me dit que mon addictologue s'est vraiment investit et a pris le temps d'expliquer et de convaincre quant à la nécessité de ne pas réduire mon dosage, ce qui a convaincu les employés et surtout le pharmacien de ne rien toucher.
J'étais tellement stressée et désespérée depuis la veille que j'en ai versé ma petite larme. La pharmacienne était vraiment émue et a été d'une bienveillance exemplaire.
Du coup, j'ai pu récupérer l'intégralité de mes boites de baclo pour le mois et je suis repartie le coeur plus léger.
Mais l'épée de Damoclès plane toujours sur moi, je ne sais pas combien de temps cela va fonctionner.
Mon doc et le pharmacien ont pris leurs responsabilités et ont compris que les conséquences de la décision de l'ANSM me condamnerait.
Mais je ne vais pas laisser tomber pour autant.
J'ai tout de même l'impression, en lisant les autres post, d'être la seule a être complétement désespérée et catastrophée, quitte à envisager le pire, à cause de la décision de l'ANSM.
J'ai l'impression que les gens ne réalisent pas l'ampleur des dégats de cette interdiction, soit parce qu'ils sont en vacances, soit parce qu'ils n'ont pas eu le deuxième effet kiss cool en renouvelant leur ordonnance, ou alors pensent-ils que d'ici là, l'interdiction sera passée.
Peut être que je prends trop les choses à coeur, mais au risque de choquer certaines personnes, je n'attendrai plus rien de la vie si je retombais dans mon ancienne existence.
J'espère que les addictologues experts vont monter au créneau. Je pense écrire à la ministre de la santé, même si ça ne sera qu'une goutte d'eau dans l'océan. Peut-être y a t-il possibilité d'exercer un recours devant un T.A. contre cette décision? En dernier recours,si je ressombre dans mon ancienne existence qui n'avait rien d'une vie, je déposerai plainte pour non assistance à personne en danger.
 
Jveux du bonheur
27 Juillet 2017, 1:25
Merci Sylvie,
Le "je dis bien" y est toujours mais hors AMM ou pas, la pharmacienne a dit niet, pas au dessus de 80 mg, et je n'ai pas eu la possibilité d'essayer une autre pharmacie, il était tard.
Mon doc me suis et suis tout un tas de patients TCA ou alcool, du coup je ne suis pas arrivée à la joindre aujourd'hui, et je pense qu'elle doit être tout aussi furieuse que moi.
Et c'est vrai que cette décision est une honte.
Les médecins qui ont tranché n'ont pas conscience de ce qu'ils vont engendrer et dans quelle situation dramatique ils vont placer certains patients.
 
Jveux du bonheur
27 Juillet 2017, 0:35
Bonsoir les Baclonettes,

Je suis une revenante et oui, en voyant la date de mon dernier post, on peut croire que j'étais partie en hibernation...
Et bien non, je vivais ma vie tranquillement, libérée des crises et complétement stabilisée à 230mg de baclo.
Une petite vie routinière dont je profitais réellement après de nombreuses années à criser et n'avoir que des oeillières avec vue sur la bouffe.
Je restais à 230 mg de baclo en ayant déjà essayé de réduire la posologie ce qui avait eu pour effet de me faire rechuter temporairement.
Tout allait bien, jusqu'à hier, où cette satanée agence du médicament a arbitrairement décidé que le dosage maximum de baclo ne devait être que 80mg.
Ne voulant pas y croire, j'ai longuement relu tous les articles des journaux faisant état de cette décision et j'ai été rattrapée par la réalité de cette décision, lorsque la pharmacienne a refusé de renouveler mon ordonnance aujourd'hui, m'expliquant qu'il devrait y figurer une baisse de posologie.
Depuis, je suis dans tous mes états, en colère et triste à la fois.
En colère que des médecins aient pu décider sans concertation, d'un dosage maximum, bien en dessous de ceux qui fonctionnent communément, et triste de ne pas savoir si je pourrai tenir avec un dosage à 80mg.
J'en suis malade d'avance, depuis hier, je ne vais pas bien, j'appréhende tout cela et j'ai peur de retrouver une vie de m....
Car dans mon ancienne vie de m...., je ne pouvais plus travailler, je n'en avais plus la force, ni aucune envie, à tel point que les médecins me disaient que j'étais éligible à une RQTH, pas envie de travailler, ni de rien d'ailleurs, je me laissais mourir à petit feu je crois, obnubilée par la bouffe.
Le baclo m'a permis de travailler à nouveau à temps plein,de retrouver l'envie de faire plein de choses, de me poser un moment pour penser à moi et de reprendre pieds dans ma vie.
Il y a encore qq jours, je me disais que j'avais perdu des tas d'années, gaspillé tout ce temps pour rien, le cerveau centré sur la nourriture et rien d'autre et j'étais prête à rattraper tout ce temps.
Car oui le baclo a calmé mes pulsions, réduit les crises à néant, et par conséquence m'a libérée.
C'est dingue mais tout ceci m'a beaucoup aidé à désembrumer mon cerveau, qui autrefois était uniquement centré sur la nourriture.
J'ai retrouvé cette liberté de penser à autre chose que de bouffer, a enfin voir tout ce qu'il y avait autour et que la maladie m'empêchait de voir.
Alors oui, cette décision arbitraire de l'agence du médicament me révolte, je ne veux pas retomber dans ma vie de m.... d'autrefois, je ne le supporterai pas.
Je sais aussi que je risque de me sentir mal en diminuant le dosage.
Je garde espoir que l'ANSM revienne sur sa décision, mais je me dis aussi que si tel était le cas, en ayant réduit le dosage, je n'aurai plus la force de recommencer à augmenter ( Pour celles qui se souviennent un peu de mon parcours jusqu'à 370mg).
Alors voilà ce soir, comme vous toutes et tous que le baclo a libéré, j'ai le moral dans les chaussettes et j'attends un miracle...
 
Jveux du bonheur
05 Mai 2015, 1:55
Merci les filles,

Mais pour l'instant, je n'arrive pas à parler de victoire, je suis encore sur la route, beaucoup de chemin à faire, de travail sur moi-même.
Parce que cette saleté de maladie envahissante est à combattre sur plusieurs fronts, parce qu'un mal pour un bien, beaucoup de choses comme mon boulot sont partis en éclat, à cause des crises, de la fatigue et du traitement qui m'a fait monter haut.
Je dois me remettre en selle, sans forcément en avoir envie, mais par nécessité, avec cette peur que le stress et la reprise des activités fassent tout capoter; avec cette fatigue qui me poursuit, comme si ces années de boulimie m'avaient épuisée durablement.

Mais oui tout est plus facile et différent, voire étrange parfois quand je n'éprouve ni de faim, ni d'envie de criser le soir.
Je commence à peine à savourer les choses, à lâcher mon doudou et lâcher prise.
Je souhaite plein de courage à toutes celles qui sont sur le chemin, court et facile ou plus long et semé d'embuches, il vous emmènera forcément vers du bon...
 
Jveux du bonheur
25 Avril 2015, 18:39
Merci Sissi et Claude.
Ah oui, je suis allée la chercher loin cette victoire comme tu dis.
Quand je repense aux soirées remplies d'EI et de crises que j'ai pu passer à 370mg et celles actuelles, sans crises, ni ES à 250 mg, je suis passée de l'enfer au paradis, et je peux enfin savourer le soir posée devant la télé ou autre.
Après toutes ces années, ce calme intérieur fait grand bien!
 
Jveux du bonheur
24 Avril 2015, 15:39
Bonjour les filles,

Je ne suis pas passée depuis un moment, non pas parce que "hop je suis guérie", mais parce que j'ai dû tester des choses, par rapport à mes nouveaux ressentis et parce que tout n'est pas aussi simple ni facile.
J'ai eu quelques rechutes, quelques vieux démons qui pointent le bout de leurs nez encore par moment, même si mes soirées se passent majoritairement bien depuis quelques temps.
Du progrès, il y en a donc beaucoup et ça me permet de passer des soirées tranquilles, détendues, sans penser à la bouffe.
Mais cela est très fragile, je le ressens par moments, avec moins de culpabilité qu'avant, avec toujours autant d'appréhension de rechuter.
Alors j'avance, malgré une petite dépression, mais grâce à beaucoup de soins mis en place à côté du baclo pour renforcer son effet.
C'est peut être cela qui me manquait au début, de la TCC, de la relaxation et tout un parcours de soins qui fait du bien.
J'ai entrepris d'essayer de comprendre le pourquoi du comment, gros travail sur moi-même, pour tenter de comprendre ces faiblesses que j'ai toujours compensées par la bouffe, pour changer ma vision des choses, et que ma recherche permanente de contrôle et de perfection ne me gâche plus la vie.
Le chemin est encore long, mais le baclo m'aide à libérer mon esprit et à me recentrer sur tout le reste, la vraie vie, sur moi-même et à entreprendre ce qui m'était impossible auparavant.
J'ai repris le chemin des restos, réouvert des boîtes de chocolats sans me jeter dessus, enfin mangé sereinement le soir.
Il me reste à chasser cette appréhension de rechute...
Je commence à être plus indulgente avec moi-même, surtout lorsqu'un petit démon tente de se rappeler à mon bon souvenir au moment du repas; il n'est pas aussi fort qu'avant et il s'en va parfois de lui-même car il sait qu'il n'a plus sa place.
J'ai toujours du mal à savoir comment occuper mes soirées car la disparition des crises me laisse beaucoup de temps.
Je commence néanmoins à retrouver des petits plaisirs, des activités sur lesquelles j'arrive à me concentrer un peu pour meubler tout ça, mais ce n'est pas facile toute cette nouveauté!
Voilà, nouvelles étapes, nouvelle vie à construire et continuer à avancer à petits pas avec le baclo et tout ce que j'ai mis en place.
A bientôt et bonne continuation à toutes.

 
Jveux du bonheur
10 Février 2015, 19:19
Merci Pascalberic,

J'attends de voir la suite, avec beaucoup d'appréhension, parce que je sens que c'est tout de même très fragile.
Alors je ne crie pas victoire, mais je profite de chaque jour de plus sans crise différemment.

 
Jveux du bonheur
10 Février 2015, 14:51
Ce qui est certain, c'est qu'en montant lentement jusqu'à 250mg je n'avais rien ressenti...
C'est bizarre, est ce que j'avais loupé qqch? Ou est ce l'association baclofène AD qui fonctionne?
A l'heure actuelle, je ne cherche plus la reponse, j'attends anxieusement de réitérer chaque soir sans crise :fsb2_yes:
 
Jveux du bonheur
10 Février 2015, 2:45
Bravo Sissi pour ta comparaison.

Du coup, si jamais je suis guérie, c'est un peu gâché par cette appréhension de criser à nouveau.
Et je n'arrive pas à sauter de joie comme je m'imaginais pouvoir le faire avant. Je pense que je vais avoir besoin de temps avant d'y croire vraiment.

C'est peut être aussi parce que je galère vraiment depuis le début du traitement comme tu dis Sylvie.

Alors je vais essayer de me déstresser, car avant j'angoissais à cause des crises et maintenant j'angoisse parce qu'il n'y en a plus, c'est un comble!
 
Jveux du bonheur
10 Février 2015, 0:50
Bon bon bon, tout ça à l'air de tenir, toujours pas de crise à l'horizon.
C'est ma sixième soirée coonsécutive sans envie de me goinfrer et sans vomissements.
J'ai tout de même eu quelques pensées, mais facilement surmontées.
Du coup, je cogite beaucoup: "j'y suis ou je n'y suis pas?"

J'ai fait quelques courses aujourd'hui, comme une vieille habitude, car au final, n'ayant eu envie d'aucun aliment de crise, je n'avais pas grand chose dans mon sac, je me suis même demandé pourquoi j'étais allée faire des courses...

Le soir, je ne sais toujours pas comment m'occuper, alors je tourne un peu en rond et je m'ennuie.
Je suis un peu trop à l'affût de mes sentiments et de mes envies, j'ai peur que l'envie de criser me reprenne.

Je croise les doigts pour continuer ainsi; en attendant ça me fait un bien fou de ne plus passer mes soirée et une partie de la nuit à manger et vomir, c'est reposant, même si j'ai cette impression désagréable de grand vide qui persiste.

Je compte les jours en espérant que ça tienne ainsi.

 
Jveux du bonheur
07 Février 2015, 14:27
Sissi, je n'ai pas trouvé quoi faire, alors j'ai tourné en rond, passant d'une lecture à la TV, du canap a internet.
C'est flippant en fait.
Quatrième jour sans crise, alors que j'ai encore quelques maigres réserves "d'aliments de crise", je mange normalement, peut être moins que d'ordinaire, je me sens rassasiée très vite.
Je suis stressée, tendue comme un string, à cause de cet équilibre que je sens fragile, je ne sais pas si ça va durer, s'il s'agit d'une trève, j'aimerais tant que ça marche enfin...

 
Jveux du bonheur
05 Février 2015, 22:36
Merci Calissandre, mais la tv, ce n'est pas assez fort pour m'occuper.
C'est bête à dire mais j'ai l'habitude d'occuper mes soirées et nuits avec la bouffe, alors ce soir, je me sens comme...désoeuvrée et je flippe de ne pas savoir quoi faire, c'est un comble!
 
Jveux du bonheur
05 Février 2015, 21:44
Bonsoir les filles,

Merci Sissi et Lyrica.

Je viens ce soir vous faire partager un petit moment de bonheur dans ma vie plutôt grise ces temps-ci, une parenthèse de répis que je ne cherche pas à interprêter et qui ne présage rien, ni dans un sens, ni dans l'autre.
Je suis descendue à 250 mg depuis 4 jours et sous AD depuis 2 jours, parce qu'avec ma baisse du baclo, qui s'apparente à un échec pour moi, et tout un tas de tracas qui m'arrivent en ce moment, ça n'allait pas trop.

Et bien cela fait deux soirs où je ne crise pas; hier soir, j'en ai eu envie, comme une envie de fumer qui s'est estompée en 5 mn, et ce soir, rien, j'ai pu manger normalement et à l'heure qu'il est tout est plié, je me demande ce que je vais faire de cette LONGUE soirée.

Cet après-midi, je suis même allée faire des courses, initialement pour me goinfrer, et finalement je n'ai pris aucun aliment de crise, pas envie.

Voilà, ce n'est rien, juste une parenthèse, je me contente de ces deux soirées zen, sans angoisses, ni crises, ça me fait un bien fou, des mois et des mois que ça ne m'était pas arrivé, un peu de répis...

Bonne soirée à toutes, je ne sais pas comment je vais m'occuper ce soir, c'est l'inconnu...
 
Jveux du bonheur
25 Janvier 2015, 16:01
Coucou les filles, 270 mg, rien de neuf dans la descente avec les ES, toujours de gros problèmes de sommeil, j'ai hâte de redescendre plus. J'ai choisi d'enlever 1 cp tous les 5 jours.
Les crises ben c'est comme d'hab, rien de neuf non plus...
Bonne continuation à toutes :fsb2_wink:
 
Jveux du bonheur
04 Janvier 2015, 20:10
Quelle qu'en soit l'origine, ça m'empêche de dormir.
Fatigue dûe à cet EI et aux grosses crises,sans effet bénéfique du baclo à ce jour, je préfère baisser, ce n'est pas comme ci ça faisait 2 mois que j'étais sous traitement.
Après plus d'un an, je suis fatiguée de tout ça, espérer, supporter; je vais redescendre sans rien attendre, pour au moins retrouver mes activités, mon boulot et ne pas saccager ma vie perso, parce que mon amie supporte mes états baclofèniques du soir depuis assez longtemps, qu'elle est toujours là et que c'est bien tout ce qui me reste.
On verra bien si je suis condamnée à vivre cette vie moche de boulimique encore longtemps, si un miracle se produit ( j'ai même essayé la bougie à Lourdes, si si) ou...pas.
Mais pour moi, seule la guérison est envisageable, d'une manière ou d'une autre, parce que la vie moche de boulimique vomisseuse,condamnée à des perpétuelles psychothérapies qui ne mènent à rien, je n'en veux plus.
 
Jveux du bonheur
04 Janvier 2015, 15:16
Oui je dors sur le coté, calée par une couette et la tête posée sur 3 ou 4 oreillers, bonjour le torticoli le matin, et avec les crampes dans les bras, c'est une installation minutieuse, mais quand je n'ai pas d'apnées, ça me permet de dormir.
Quand j'ai des apnées, j'atterris sur le canap, calée par le dossier avec mes tonnes d'oreillers,devant la tv, mais ça ne me permet pas de dormir pour autant,juste de ne pas stresser, m'énerver toute seule et attendre le lever du jour ...
Malheureusement ni la position, ni la répartition n'influent sur ces satanées apnées, la seule chose qui fonctionne, c'est de retomber en dessous de 320 mg, c'est triste mais c'est comme ça.
A chaque fois que je franchis le palier de 330 mg, les apnées réapparaissent, je ne crois pas que ce soit un ES du même acabit que les autres. Car entre nous soit dit, je veux bien prendre tous le autres ES de la terre dont certains ne m'ont pas abandonnée depuis le début, parce que comparés à cette histoire de souffle, ils sont largement supportables et surtout se calment ou se modifient dans le temps.
Je suis redescendue à 310 mg et la respiration va mieux, vu le temps exécrable, je vais passer l'après-midi sous la couette à dormir et hiberner.
 
Jveux du bonheur
03 Janvier 2015, 17:09
Merci pour vos messages de soutien.

Albéric, je prends déjà un produit apparenté, pour m'aider à destresser et trop cogiter, mais avec les apnées c'est encore pire, sensation de relâchement terrible et sursauts le souffle coupé alors que je tombe de fatigue.

Velvet, ce n'est pas juste un problème de sommeil, je suis tellement fatiguée que je dormirais 3 jours d'affilé si ces apnées ne m'en empêchaient pas, l'envie de dormir je l'ai, c'est la possibilité de m'endormir sans sursaut et souffle coupé, sinon je dormirais très bien.
C'est difficile à expliquer à qq qui ne l'a jamais ressenti, Alberic sait parfaitement de quoi je parle, c'est comme si tous les muscles se relâchaient tellement que tu arrêtais de respirer, tu te réveilles en sursaut et en inspirant comme si tu étais en train de te noyer.
Ce ne sont pas des insomnies, preuve en est qu'à 320 mg, je m'endors sans rien prendre et je passe une nuit très correcte, car sans apnée...
Enfin bref, c'est une véritable torture nocturne et ça m'empêche d'augmenter à chaque essai, même en ayant changé de répartition,donc j'arrête les frais, j'arrête de m'entêter à vouloir augmenter, je n'y arrive plus, c'est trop frustrant.
Je crois que c'est le dosage total que mon organisme ne supporte plus, quelle que soit la répartition testée.
 
Jveux du bonheur
03 Janvier 2015, 0:07
Bonsoir, bonsoir
Tout d'abord, meilleurs voeux à tous et surtout bonne santé!
Si ma première résolution est de guérir, la seconde est que je me résous cette fois à arrêter les augmentations que je ne supporte plus.
Ce ne sont pas QQ vertiges ou vomissements qui me font abdiquer. Après un nouvel essai d'augmentation, j'ai ces satanées apnées qui reviennent.
Alors après 3 nouveaux jours sans dormir du tout, la fatigue des crises puissance mille avec tous ces mets de fête, je n'en peux plus.
De toutes façons, on ne peut pas vivre sans dormir, le choix s'impose à moi.
Et pourtant, la maladie me pourrit tellement la vie que je voudrais continuer quels que soient les autres ES, mais ne pas s'endormir à cause de ces apnées qui réveillent en sursaut au moindre assoupissement, puis s'empêcher de dormir par peur de ces apnées, c'est trop dur.
Alors je vais redescendre à un dosage qui me permette de reprendre mes activités sans ES et surtout de dormir, avec le maigre espoir de croiser un seuil raté. J'ai assez supporté pour 2014.
Ce soir, je suis profondément désespérée face à l'injustice du Baclo, j'aurais tellement voulu guérir et j'ai tout respecté scrupuleusement pour que ça fonctionne.
La girlfight n'est plus sur le ring mais au fond de son canapé en train de finir les boites de chocolats qu'on lui a offertes...


 
Jveux du bonheur
24 Décembre 2014, 0:25
Merci Sissi, bonnes fêtes également.
A bientôt. Bisous.
 
Jveux du bonheur
23 Décembre 2014, 19:23
Bon ben Sissi, personne n'aura eu l'occasion de dénigrer le Baclo aujourd'hui.
Je me suis bien rendue à mon rdv, j'étais même en avance, 90 km aller retour...
Sauf qu'une fois garée, je reçois un appel du centre qui me dit qu'il y a eu un problème de rdv, que le mien est annulé, et qu'on reprendra contact avec moi en janvier 2015.
Moi furax, ce n'est pas comme si je restais passive et que je refusais de me soigner, j'ai la poisse dans tout ce que j'entreprends pour lutter contre la boulimie.
De quoi se sentir bien vide en cette periode.
Bonne excuse pour se taper une méga crise...
Et en prime, cette nuit, j'ai rêvé que je montais jusqu'à 400mg de baclo, au prix d'effroyables EI mais que rien ne se passait...
 
Jveux du bonheur
23 Décembre 2014, 1:29
Je te dirai ça demain, et quoiqu'il en soit, même si je n'ai aucun bénéfice pour l'instant, je sais que le Baclo fonctionne...
 
Jveux du bonheur
23 Décembre 2014, 1:17
T'inquiète Sissi, s'il doit y avoir une baisse de Baclo, c'est moi seule qui le décidera, et je n'en suis pas bien loin...
 
Jveux du bonheur
23 Décembre 2014, 0:15
A 2 jours de Noël, je n'ai pourtant pas l'impression d'y être, si ce n'est cet étalage de bouffe dans les magasins...
Je n'ai pas acheté de chocolats parce qu'ils ne survivraient pas à une soirée et que ça serait du gâchis.
Et un jour sur deux, j'ai envie d'arrêter le Baclo, selon les ES, selon mes nuits. Sauf que je n'arrive pas à me décider, ni à réduire ni à augmenter.
J'enchaîne les crises le soir, parfois avec des aliments improbables, si je n'ai plus rien sous la main, c'est épuisant.
Je devais mettre en place des soins, comme trouver un thérapeute en tcc, mais après trois refus de prendre de nouveaux patients, je suis fatiguée et je laisse tomber, c'est trop compliqué et au dessus de mes forces.
Demain, j'ai rdv dans un autre service d'addictologie, je verrai bien ce qu'ils me proposeront.
J'ai retrouvé un peu le sommeil, même si ce n'est pas fabuleux, c'est toujours mieux que des nuits blanches et ça fait du bien.

 
Jveux du bonheur
19 Décembre 2014, 22:06
C'est tout de même dingue, il aura fallu un seul tout petit comprimé de moins pour que je puisse m'endormir sans rejouer le grand bleu...
Du pur bonheur malgré QQ réveils nocturnes, réveillée par...le réveil, ça fait du bien!
Il m'en faut peu pour retrouver le sourire :fsb2_yes:
 
Jveux du bonheur
19 Décembre 2014, 1:27
Non aucune proposition, tant que je n'ai pas les soucis respiratoires de la dernière fois, je peux continuer et je gère, mais bon là, je ne gère plus rien en fait.
Donc je vais me poser à un dosage où je peux dormir dans un premier temps, j'envisagerai la suite plus tard, sachant qu'il faut que je sois capable de travailler...
 
Jveux du bonheur
19 Décembre 2014, 0:10
Sur le ventre j'étouffe et j'ai la même sensation. Je pense que c'est plus dans la trachée ou un muscle des poumons qui se relâche. La seule position où je suis à peu près bien couchée c'est sur le côté avec un bras en hauteur, car en plus j'attrape vite des crampes dans les bras et mains.
Voilà comment ne plus avoir envie de se coucher et tourner toutes les nuits en regardant les heures défiler...
 
Jveux du bonheur
18 Décembre 2014, 23:54
Merci les filles.
Sissi, quelle que soit la position, c'est dès que je me relâche pour m'endormir.C'est plus lié à l'endormissement qu'à la position
Et à force de me réveiller en sursaut comme si je sortais de la piscine, et bien j'appréhende de fermer les yeux, jusqu'à lutter pour ne pas dormir et ne plus ressentir cette horreur de sensation qui empêche de dormir de toutes façons.
Grosse torture épuisante associée aux crises après plusieurs jours...
 
Jveux du bonheur
18 Décembre 2014, 20:24
Quelle chance... Je ne pense pas être en mesure de monter jusqu'à 400 vu les EI alors 500... Mais franchement, vu comment j'en c..., l'indifférence pourrait venir me voir, je ne l'ai pas volée...
 
Jveux du bonheur
18 Décembre 2014, 20:07
Merci Albéric, mais je ne sais pas si j'aurai encore le courage et l'envie de réaugmenter, j'ai l'impression que je serai tjrs bloquée par ce satané EI d'apnée.

Parce que sincèrement, je suis prête à supporter tous les autres ES de la terre comme je l'ai fait jusqu'à présent version vomissements, vertiges, tremblemements, chute de tension, yeux qui se croisent, fatigue, jambes gonflées, je m'y suis adaptée mais alors sans sommeil, c'est impossible

Et quand ces saletés de crises arrivent, je n'ai pas assez de jus pour aller faire autre chose que de rester à côté de mes placards et m'empifrer. C'est vraiment pas une vie ça.
 
Jveux du bonheur
18 Décembre 2014, 19:49
Bonsoir,
La répartition n'a rien changé à la torture de l'endormissement. Je n'ai même pas droit à une sieste pour me requinquer car le même phénomène se produit tout au long de la journée...
Ça plus des crises puissance mille en ce moment, décision radicale: je baisse pour pouvoir dormir après tant de nuits et jours éveillés, tant pis, j'arrive au bout du bout du rouleau...
 
Jveux du bonheur
16 Décembre 2014, 21:18
Merci Albéric j'ai aavancé mes prises, je croise les doigts, juste envie de dormir 2j d'affilé :fsb2_yes:
 
Jveux du bonheur
16 Décembre 2014, 21:01
Oui Velvet je connais, mais peu efficace pour moi. J'ai qqch d'un peu plus costaud mais comme le dit Albéric et pour l'avoir testé moi- même, c'est encore pire.
Car les spasme font, qu'au bout d'un moment, tu apprehendes de t'endormir et tu luttes pour ne pas les ressentir.
Donc c'est une véritable torture...
Le problème n'est pas d'arriver à s'endormir, mais d'échapper aux spasmes...
 
Jveux du bonheur
16 Décembre 2014, 0:41
Merci Tchoupi, c'est vrai que c'est très difficile, moi qui ai tjrs eu un excellent sommeil, ces derniers mois m'ont épuisée et chaque jours je me remets en question pour savoir si je continue , tellement ces ES sont terribles.
Mais je sais que si je redescends, je n'aurai plus jamais l'occasion, ni le courage de remonter aussi haut un jour et je veux absolument monter jusqu'à 400mg.
Après quoi, j'accepterai plus facilement de réduire, en me disant que j'ai peut être raté ce fichu seuil.
Mais tous les jours, depuis plus d'un an, c'est loin d'être une partie de plaisir.
J'en arrive presque à regretter ma vie d'avant, faute d'effets bénéfiques, celle où j'avais un bon sommeil, pas plus de crises qu'aujourd'hui, où j'étais en forme pour sortir, faire du sport, skier, travailler, avec un meilleur moral qu'en ce moment...
Je n'arrive tellement plus rien à gérer avec cette fatigue que je songe même à une hospitalisation pour débrancher et lacher prise.
C'est dire à quel sous sol je suis tombée entre la fatigue des crises et du traitement..
Merci Sissi... Pour ma part je me couche sur le côté avec 4 oreillers et si je pouvais, je resterais debout lol..
 
Jveux du bonheur
15 Décembre 2014, 23:07
Et bien on verra bien si l'imprégnation est miraculeuse sur mon sommeil. Actuellement, je ne me couche pas avant 3h et je vois les heures défiler jusqu'à 8-9 h ou je parviens à dormir une heure ou deux.
Et faute de miracle, la torture aura suffisamment durée pour moi et je laisserai tomber...
 
Jveux du bonheur
15 Décembre 2014, 22:47
Oui je l'ai bien compris, mais personne ne m'a proposé de cpap, tout juste de réduire quand ça ne va pas et passer plusieurs nuit et journées ainsi c'est difficile et super angoissant.
Je vais changer un peu la répartition mais si ces apnées ne s'arrêtent pas malgré tout, je ne pourrai pas aller plus loin car c'est trop insupportable
 
Jveux du bonheur
15 Décembre 2014, 19:55
Bonsoir,
En fait il ne s'agit pas de réelles insomnies, car je tombe de fatigue, mais dès que je m'assoupie, je me réveille en sursaut comme si je me noyais. A part ça, j'ai bel et bien sommeil et je dormirais volontiers...
Je ne pense pas que la répartition soit la cause de cela, car ses apnées sont egalement présentes si j'essaye de faire une sieste.
Je vais essayer de décaler légèrement mes prises en les laissant telles quelles.Car le matin, c'est le seul moment de la journée où je suis à peu près nette, et la prise du soir est utile pour mes crises qui se prolongent; tout est bon à prendre au point où j'en suis, avant que j'arrête tout, car je pense que mon corps ne parvient plus à supporter les augmentations, comme si j'étais en surdosage.
Je ne crois même plus être capable d'aller jusqu'à 400 mg.
 
Jveux du bonheur
15 Décembre 2014, 5:22
Bonjour Ju,
Je suis au même point que toi, j'essaye de réaugmenter malgré des gros EI, en prenant mon temps mais ça ne passe plus.
Je suis repassée à 330 mg mais je recommence à ne plus respirer la nuit, à me réveiller en apnée dés que je m'assoupie, une véritable torture qui m'épuise. Et lorsque je prends qqch pour dormir c'est pire, car avec cette oppression respiratoire, je lutte de fatigue de peur d'étouffer.
Deux nuits que je ne dors pas et comme toi je fais le yoyo à une semaine d'intervalle pour contrer les EI mais rien n'y fait.
Ce soir, j'ai baissé de 10 mg pour espérer trouver le sommeil..mais toujours réveillée, je dormirai peut être une heure vers 8h...
Je n'ai pas de conseils à te donner, on est dans la même mauvaise période. Courage!!!
 
Jveux du bonheur
01 Décembre 2014, 23:46
Voilà c'est fait Sissi, mais je n'ai pas augmenté rapidement, je l'ai fait façon diesel, tranquillement.
Et Sissi, sois sympa, ne me range pas dans la case des échecs, je n'ai pas encore dit mon dernier mot avec le baclo :fsb2_yes:
 
Jveux du bonheur
01 Décembre 2014, 23:23
N'en ai pas honte Sissi, tu as eu droit à une sacrée victoire avec un parcours qui a été le tiens, des ES et des difficultés.
Pour l'instant, je suis en plein doute et n'arrive pas à me décider quant à la direction à prendre.
J'ai juste envie de dormir et me réveiller avec LA bonne décision, celle qui changera ma vie.
Je sais que ce n'est pas facile à comprendre et que je dois sembler hyper lourde, mais le renoncement est difficile, quels que soient les EI, après un an d'espoir. C'est se dire que si rien ne se passe en descente, il n'y aura jamais de guérison, et il faudra vivre encore comme ça, parce que des malades qui sont en perpétuelle psychothérapie pour de la BV, ça court les rues et je ne veux pas en faire partie.
C'est pour ça que quels que soient les EI, j'ai quand même envie de continuer, même si la raison me dit l'inverse, même si certains jours, c'est une véritable torture.
Il y a quelques jours, c'était l'anni des 1 an de mon traitement baclo, anni que je n'ai eu aucune envie de fêter...
 
Jveux du bonheur
01 Décembre 2014, 22:57
[b]J'y pense Babaclo, mais ce n'est pas aussi simple que cela.
En réduisant le dosage, il se peut que j'y perde qqch, comme la chance de trouver mon seuil, s'il s'avère qu'il est légèrement plus haut qu'actuellement.
Heureusement que j'ai un parcours atypique et que celui des autres baclonettes semble plus facile, j'aurais aimé guérir en quelques mois à un faible dosage, sans autant d'ES, ni me poser tant de questions...
 
Jveux du bonheur
01 Décembre 2014, 14:42
Merci Claude, c'est ce que je pensais encore hier, mais je suis repartie en augmentation, même si ça risque de ne pas durer longtemps avec les EI.
Baisser, c'est une trop lourde décision pour moi actuellement.
Mon amie est certaine que j'ai dû rater mon seuil quelquepart, j'y pense un peu, mais je me dis aussi que si je redescends maintenant, je ne remonterai jamais pour tester les hautes sphères du baclo susceptibles de me faire guérir...
J'ai peut être simplement besoin de plus grosses doses de baclo que d'autres?
C'est compliqué, pas évident d'aller dans un sens ou l'autre, mais je sens que je suis à un moment charnière du traitement.
Accepter de descendre en effaçant de son esprit la possibilité de guérir à 380 par exemple, arriver à monter malgré de sacrés EI, je vous avoue que j'ai du mal à me décider et à renoncer.
 
Jveux du bonheur
01 Décembre 2014, 14:09
Sissi,
je suis à 320 mg après un passage à 310. Je suis à ce dosage depuis mardi dernier et j'ai toujours pas mal d'EI, comme si mon corps n'arrive plus à assimiler le baclo.
J'ai déjà essayé de multipler les prises en journée, toutes les deux ou trois heures, mais ça ne me convient pas, je suis mal en continu dans la journée. Je ne pense pas que la prise de 22h soit à l'origine de mes insomnies, je t'expliquerai pourquoi en MP
Pour ce qui est du ressenti par rapport à la nourriture, rien de nouveau, je crise parfois à midi mais c'est rarissime, sinon c'est le soir, avant, pendant ou après le repas, jusque très tard voire très tôt le matin.
Concernant mon alimentation hors crises, je mange bien, normalement, voire plus qu'il ne faudrait parfois, surtout quand je ne suis pas seule, mais après, je ne vomis pas.
Seule, je cuisine souvent, je mange beaucoup de légumes, des féculents, de la viande ou du poisson à midi; disons que pour les gens qui ne me connaissent pas vraiment, je suis un modèle à ce niveau là.
J'arrive même à manger des patisseries sans trop de culpabilité quand je ne suis pas seule.
 
Jveux du bonheur
01 Décembre 2014, 6:03
Bonjour,
Sissi, le sport c'est un peu comme la nourriture pour moi;ça me permet de souffler un peu, de me défouler, de ne pas prendre de poids.
Vendredi, je me sentais un peu moins fatiguée que d'ordinaire, et comme cela fait plusieurs semaines que je n'ai rien pu faire avec tous les EI, j'ai eu envie de courir.
J'ai surestimé ma forme, d'autant qu'en courant tout allait bien et que 10km, c'est bien moins que d'ordinaire. On ne m'y reprendra plus.
Mais je peux dire que je mets toutes les chances de mon côté pour le Baclo depuis le début, j'ai renoncé à tout un tas de choses pour y arriver, et depuis peu, à mon salaire.
Sauf que depuis QQ temps, rien ne m'est épargné. Encore cette nuit, je ne dors pas et je ressens un malaise général sans rien pouvoir y faire.

 
Jveux du bonheur
30 Novembre 2014, 6:13
Bonjour les filles,
Voilà voilà, j'essaye de réaugmenter tranquillement mais c'est très dur, j'ai vraiment l'impression que mon corps ne supporte plus le Baclo.
Retour des vomissements sans rien dans le ventre, gros vertiges et nuits complètes d'insomnie, oppression respiratoire.
Vendredi, j'étaistellement en manque de sport, que malgré toutes cette fatigue, je suis allée courir 10km, comme pour me prouver que j'en étais capable, ça a été difficile mais après l'effort, c'etait pire: EI de folie, suis tombée.
Malgré l'épuisement, je n'ai pas fermé l'oeil de la nuit, deux nuits que je ne dors pas, la troisième sera la dernière et je serai obligée de redescendre pour rendormir un peu.
A l'heure qu'il est, j'ai juste envie de redescendre pour que ces EI disparaissent car je suis au bout du rouleau...
Je sens que mon corps est incapable d'encaisser les augmentations.

 
Jveux du bonheur
17 Novembre 2014, 23:53
Courage cvmotard, j'ai connu cela il y a qq jours et je vois bien par quel enfer tu passes.
J'ai perdu 70 MG d'un coup et suis remontée de 20.
Je me remets petit à petit alors patience ( encore et toujours), ces effets affreux vont s'estomper lentement...
 
Jveux du bonheur
14 Novembre 2014, 1:54
Sylvie,
les comprimés ont été retirés sur plusieurs prises, mais ce retrait brutal a été difficile à supporter aussi rapidement et j'ai eu de sacrés EI surnaturels que je ne souhaite à personne.
Suite à une erreur de ma part dans le nombre de comprimés,vu que je ne savais plus où j'en étais, j'ai rajouté deux comprimés,je me sens beaucoup moins "en manque" et en accord avec mon doc, je reste à 320mg.
La suite, je ne la connais pas, moi qui voulais monter encore un peu pour ne rien regretter. Je n'ai pas envie de jeter l'éponge malgré tout, et j'ai vraiment envie de guérir.
Je crois que malgré la durée du traitement et tous les bobos qu'il m'arrive, j'ai envie de continuer si mon organisme le supporte encore un peu.
 
Jveux du bonheur
12 Novembre 2014, 2:15
Sissi, j'en fait au moins une par jour et parfois plusieurs, tout le temps le soir.
Cela fait juste deux jours de répis au niveau nourriture car je suis super mal, mas les crises et la maladie sont toujours là malheureusement...
 
Jveux du bonheur
11 Novembre 2014, 23:48
Pour l'instant je ne sais pas si je vais pouvoir continuer, si on va me laisser poursuivre ou si je vais devoir tout arrêter.
Et à ma place, toutes celles ici auraient fait la même chose, augmenter dans l'espoir de guérir, parce que c'est le principe même du baclo.
Merci Believe, c'est gentil.
Pour l'instant je n'espère plus grand chose et ne suis pas encore en descente choisie, je n'ai pas encore abdiqué ou ne me suis pas faite à l'idée d'arrêter la seule chose qui me donnait un peu d'espoir.
Je n'ai pas l'esprit pour réfléchir à tout cela, j'essaye juste d'encaisser ces 48h.
Dans quelques temps, si je redescends, j'aurai, bien sûr, ce petit espoir caché de guérir "par surprise" :fsb2_wink:

 
Jveux du bonheur
11 Novembre 2014, 22:47
Manue,
La baisse des 70 mg a été faite dans l'urgence, c'est mon doc qui l'a décidé et vu mon état, il n'était pas possible de prendre le temps de faire cette baisse progressivement.
Cela fait deux jours que je baisse et je suis bien à 300mg. Côté ressenti sur la bouffe, rien, je n'ai pas eu le temps d'y penser, trop occupée à m'inquiéter de ma respiration, à angoisser la journée et la nuit, et écrasée par la fatigue.
Coté ES, ben j'attends de voir si je vais enfin pouvoir fermer l'oeil sans m'étouffer, sinon j'ai les ES de la baisse, c'est à dire les mêmes que lorsque j'augmente, gros accouphènes, vertiges, nausées, j'en passe et des meilleures, voilou...
 
Jveux du bonheur
11 Novembre 2014, 22:15
Merci Claude,
Effectivement je connais le fil de Didi Par coeur, parce que son dosage haut était un des rares à ressembler au mien...
Sur les forums des alcoolos dépendants, j'ai lu aussi certains fils de guéris qui ont redécouvert leur seuil en descendant, mais vu la poisse que je me trimballe, je t'avoue que ce soir, j'ai perdu tout espoir de quoi que ce soit...
Merci pour tes gentils mots qui mettent toujours un peu de baume au coeur.
 
Jveux du bonheur
11 Novembre 2014, 21:45
Bonsoir les filles,
pas de bonnes nouvelles, ce soir je suis désespérée.

Depuis plusieurs jours, j'étais passée à 370mg, avec cet espoir de guérir avant les 400 mg.
Cette augmentation a été très difficile pour moi, et après plusieurs nuits sans dormir, des difficultés à respirer nuit et jour, mon doc a craint une décompensation respiratoire et il a été décidé de baisser mon dosage.

En deux jours, je viens de perdre 70 mg. Et ce soir, je réalise que j'ai perdu deux mois d'augmentation difficile en 48 pauvres heures et qu'avec tout ça, la guérison s'éloigne.
Je suis très triste, je ne sais pas ce que je vais faire par la suite, s'il va falloir que j'arrête ou si je pourrai reprendre les augmentations dans un petit moment, ou si j'ai atteint mon maximum de tolérance au baclofène.
Je ne sais même pas ce que j'ai envie pr rapport à tout ça.
Y a t'il des personnes à qui cela est arrivé? Ou suis-je la seule à avoir autant de malchance depuis le début?
Des témoignages me feraient grand bien ce soir...
 
Jveux du bonheur
03 Novembre 2014, 23:04
Merci les filles, moi aussi je croise tout ce que je peux croiser, y compris les yeux, ah non ça c'est un des ES du baclo ptdr
J'y crois encore un peu, et un peu de baclo tous les jours ça rapproche de la guérison. Elle doit être à portée de mg...
 
Jveux du bonheur
03 Novembre 2014, 22:31
C'est gentil Claude, si tu savais combien je l'attends cette guérison et combien j'aimerais pouvoir venir écrire ici que j'y suis ENFIN!
A chaque augmentation, j'attends j'espère j'observe et...rien.
A cette date, je ne pensais pas que je serais encore dans l'expectative il y a un an et heureusement, je ne me doutais pas que les bonbons d'Halloween restant me feraient encore de l'oeil cette année....
 
Jveux du bonheur
03 Novembre 2014, 22:10
Voilà voilà, 360 mg et grosse pensée pour Didi et sa guérison à ce dosage...

Toujours pas au boulot, impossible, malade comme un chien, vomissements, nuits blanches complètes, sensation d'étouffement.
J'arrive tout de même à criser sans aller jusqu'au bout, mais ce n'est pas un signe avant coureur de guérison, juste le fait que le baclo me retourne le ventre je pense.
Comme je ne peux pas rester aussi mal, je songe à redescendre un peu pour rester avec les insomnies mais sans cette sensation affreuse de souffle coupé à chaque tentative d'endormissement.
Je l'attends cette guérison et je trépigne d'impatience

Bizarrement le moral va mieux car je suis sur la dernière ligne droite et ne reprendrai pas de virage par la suite, trop compliqué, impossible de travailler dans cet état, et impossible de se passer de travail et surtout de salaire.
Je continue encore un peu pour ne rien regretter, je suis cetaine que ça va fonctionner d'ici peu, il le faut.
 
Jveux du bonheur
21 Octobre 2014, 21:13
Merci Believe, en tous cas, tu me fais rêver avec ta guérison à 135, bravo!
Et bonne continuation :fsb2_yes:
Je m'obstine encore un peu pour ne rien regretter des fois que la guérison se soit perdue en route :fsb2_wink:
 
Jveux du bonheur
21 Octobre 2014, 21:04
Merci pour vos réponses les filles, je sais que mon parcours doit être désespérant pour certaines, mais bon je suis là et j'espère de tout mon coeur que ça fonctionnera avant 400 mg.

Oui Claude, je connais bien, mais c'est vrai que ce qui me manque en dehors du suivi du baclo, c'est un bon psy avec lequel ça passe, car j'ai arrêté le dernier qui n'avait qu'un quart d'heure à m'accorder et du cabinet duquel je ressortais, ni mieux ni moins bien, avec le sentiment d'avoir perdu du temps et gaspillé de l'argent.

Tiens rien à voir, mais je voulais savoir si certaines d'entre vous ont eu un changement des goûts alimentaires pour criser sous traitement au baclo, comme passer du salé au sucré ou inversement?
 
Jveux du bonheur
21 Octobre 2014, 0:46
Merci pour le lien Velvet.
Je suis bien consciente qu'il faut parfois de gros dosages de Baclo pour guérir, mais pour ma part, je n'arrive plus à concilier le travail avec les ES du Baclo et la fatigue des crises et je suis vraiment au bout du bout.
Se lever très tôt avec 2 ou 3 heures de sommeil, enchainer une journée avec une grande amplitude horaire, ne pas arriver à se concentrer avant 11h, s'endormir en parlant à son collègue ( oui oui véridique, ça m'est arrivé), devoir s'arrêter sur une aire d'autoroute pour dormir alors qu'on ne fait qu'un trajet d'une heure, avoir l'air complètement ivre par moment avec des vertiges de dingue sans avoir consommé une goutte d'alcool depuis près d'un an.
Et la plus grosse torture, c'est devoir choisir entre prendre un médicament pour grapiller quelques heures de sommeil en plus et ne pas se réveiller le matin, ou ne rien prendre, passer une nuit rikiki entre coupée de plusieurs réveils et arriver tant bien que mal à se lever, sans s'attirer les foudres de son patron.
Pour les autres ES du moment me concernant, c'est vomissemnts, hypotension, gros problèmes de circulation dans les extrémités, et je ne parle pas de fourmillements ou crampes, mais de se réveiller en ne sentant plus du tout ses pieds ou mains et devoir attendre un bon quart d'heure de massage avant de pouvoir s'en servir à nouveau.
L'idéal serait de ne pas travailler pour augmenter les chances de succès du traitement, alors cela est peut être possible sur de courtes durées, mais je vais devoir vite reprendre pour ne pas prendre le risque de perdre une partie de mon salaire.
Et je sais qu'après quelques jours de travail, je vais me retrouver dans le même état qu'avant mon arrêt.
Au même titre que d'autres maladies, on devrait avoir droit à des congés maladie longue durée sans perte de salaire pour se soigner efficacement.
Sissi, pour ce qui est de mon mode d'alimentation en dehors des crises, je suis un modèle pour ceux qui ne me connaissent pas réellement, repas très équilibrés, beaucoup de légumes, des protéines et quelques céréales, même si j'ai conscience d'être restrictive; le soucis, c'est que lorsque je mange un repas normal, je veux dire comme quelqu'un qui n'est pas malade, je juge que c'est trop et ça part en vomissements. Alors j'essaye de manger accompagnée de temps en temps, mais là, problème, j'ai tendance à me resservir de tout ce que j'aime, et forcément par la suite, je dois trouver un moyen de m'en débarrasser. C'est sans fin et épuisant...
Et le plus usant, c'est de ne pas savoir à quel dosage on va guérir, si on guérit et de se démener comme on peut pour concilier traitement et vie normale.

 
Jveux du bonheur
18 Octobre 2014, 0:12
Coucou, me revoilou!
Toujours au même point...mort... Toujours pas repris le boulot...Toujours pas trouvé le seuil...
Je suis à 340 mg.
L'autre jour, je me suis surprise à penser que j'arrêterai à 400mg tellement j'étis fatiguée par les crises et le baclo.
Je me rapproche lentement mais sûrement d'un an de traitement et je dois dire que cette perpective me rend tristounette.
Voilà voilà, Jveux du bonheur en attente d'un miracle...
 
Jveux du bonheur
01 Octobre 2014, 21:32
Et oui Velvet, toujours des crises le soir, très exceptionnellement en journée, mais le soir quelle horreur...
Merci pour la courbe, car j'ai voulu regarder aujourd'hui mais le graphique disparait après avoir mis le dosage.

Claude, je te laisserai me remettre personnellement la médaille!

Aujourd'hui petite ballade au soleil, ça fait un bien fou, même si en rentrant, j'avais de sacrés oedèmes aux genoux, ben oui plus de course à pied vu mon état, c'est la déconfiture!

Autre petite blaguounette de la pharmacienne aujourd'hui: " Heu on n'a pas le droit de délivrer plus de 30 boîtes de baclo par mois... Moi: Ben comment fait-on?, elle: Je ne sais pas..."

Au travers de leurs études cliniques, j'espère que les médecins trouveront vite comment remédier à cette injustice du baclo, je parle des grosses différences de dosages nécessaires pour arriver AU seuil selon les individus, pour éviter que les patients ne se découragent et ne stoppent le traitement prématurément avant de guérir.

Allez hop, j'attends la suite et surtout ce fameux réveil du premier jour où tout change.


 




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