Merci pour ta compassion Sabine! Soupir... J'avoue que je suis au bout de l'espoir.
Quand j'étais à 34 cp j'ai commencé à avoir des alertes de type infarctus. je suis redescendue vite fait à 32 et même si mon prescripteur me JURE que le baclo ne PEUT PAS être en être la cause, plus d'alerte depuis. J'ai pris rdv chez ma cardio entre-temps bien sûr.

Et sinon je travaille en psychothérapie, en étiothérapie et en EMDR. On échangera des nouvelles!

Merci Jéjé c'est gentil! Mais justement le problème c'est que ce n'est pas vraiment le cas...

Coucou Sabine!

Eh oui "partir en vrille"... notre spécialité à toutes hein?
Alors pour répondre à ta question, pour moi ce n'étaient pas de "fausses" périodes d'indifférence, juste (malheureusement) des périodes... limitées!
J'avais vraiment une relation apaisée avec la nourriture. Je n'étais plus dans le combat, ni dans le manque, ni dans le désir ni la compulsion ni plus rien de tout ça. Du calme. Du bonheur, tout simplement!

Je peux raconter une anecdote qui me fait encore soupirer de nostalgie! Une de mes amies était passée chez Ikéa et m'avait ramené des biscuits au chocolat, puisqu'elle sait que je les aime. Une caissette entière!!!

Donc j'avais tout ramené au bureau, et un jour où on était toutes hyper-stressées, j'ai ouvert la boite et je l'ai fait tourner. Je crois qu'on était cinq dans le bureau, et j'ai fait tourner 2-3 fois avant de poser la boîte derrière moi, tranquille, sans y penser.

Juste à ce moment-là ma collègue, à côté de moi, me dit : "Tu les aimes pas, ceux-là?". Je lui réponds "Mais si, je les adore!".
Et là, ça m'a soufflée. Elle me sort : "Tu n'en as pas pris un seul!"
...Je m'en étais MÊME PAS rendu compte.

Voilà ce que c'est quand je parle de périodes d'indifférence. Pas "fausses" du tout, comme tu peux voir. je n'ai pas "cru" atteindre l'indifférence, je l'ai atteinte. Touchée du doigt. En vrai!
c'est juste que ça n'a pas duré. Une quinzaine --trois semaines max--
C'est ce qui me rend dingue et me désespère.

Merci encore Velvet pour ton soutien!
Sylvie, je vais essayer de suivre ton conseil, (première version pour commencer) et voir comment ça tourne... Je vous tiens au jus!

En effet, pas de problème particulier pendant la journée, mais c'est le soir que les compulsions attaquent... Je n'ai pas hyper-faim, juste faim.

Je fais un repas normal mais avec quand même une très grande quantité de légumes, mais sinon rien de spécial Sauf que c'est pendant ce repas (ou plutôt à la fin) que je pars en crise avec une grande quantité d'amandes ou de fruits secs ou 1 plaque de chocolat... Donc oui c'est en cours de repas que le craving arrive. En général vers vers 21 ou 22h.

J'ai fait mon calcul, je mange 800g d'amandes (ou fruits secs) par semaine. Et j'arrive pas à m'en passer !

Mais surtout ce que je disais à la reprise de ce fil, je ne retrouve pas l'indifférence. J'ai eu une période (15 jours, 3 semaines) à 15 cp, une autre à 23 et encore une à 31, mais à chaque fois ça ne dure pas. Même si je reste à la même dose, l'indifférence ne revient pas. Et c'est la que c'est difficile...

Merci Sabine, Sylvie et Tchoupi ! Mon internet m'a fait des siennes ces quelques derniers jours, désolée pour mon absence...

Sabine la plupart du temps quand je suis au taff je me force à midi, comme Velvet. Mais quand je suis tranquille seule à la maison je n'ai vraiment pas envie de me forcer. Je commence à avoir un peu faim vers 17h, donc c'est plutôt raisonnable je trouve ! Des fois je mange une pomme à ce moment-là.

Mais mon problème reste quand même la question de l'indifférence. C'est quand que ça arrive ? Je sais, je sais: on ne peut pas prédire à combien de cp elle arrive...
Sylvie, un peu plus haut dans le fil tu me disais que 32cp c'est beaucoup... Et je suis d'acc avec toi, mais quelles sont mes chances de trouver le seuil d'indifférence si je diminue ma dose ? Comme je disais, je suis paumée. Merci d'avance !

Merci Tchoupi pour cet éclaircissement! Effectivement, pas facile à mettre en place quand on n'a pas faim du tout...

Sabine, je suis désolée de n'avoir pas été assez claire, en disant que je mangeais des protéines. Il s'agit bien de protéines animales: la moitié du temps jambon ou blanc de poulet, le reste thon ou sardines...

Ce que je n'aime pas, mais pas du tout du tout (ce que je hais de tout mon être en fait), c'est cuisiner.
J'ai beau savoir que ce serait mieux, je fais au minimum avec mon cuit-vapeur pour les légumes et des protéines déjà prêtes. A la réflexion, ça ne me semble pas si déséquilibré que ça... Manque juste des féculents et y'a juste (beaucoup) trop d'amandes! et à la base (enfin pour moi) c'est ça le problème.

Merci Velvet ça me rassure un peu de voir que je ne suis pas la seule! Et juste pour le plaisir des mots, ma nièce qui est étudiante en sociologie de l'alimentation (moi non plus je ne savais même pas que ça existait) m'a expliqué que la socialisation qui accompagne le repas s'appelle la "commensalité". C'est joli, hein?

Sylvie, merci également! Je pense que tu as raison, il faut que je repense ma répartition. C'est juste que c'est devenu compliqué de manger quand je n'ai pas faim du tout (le midi). Pour le coup, je ne sais pas trop quoi faire ni comment m'organiser... Faut que je réfléchisse!

Merci beaucoup Sylvie et Sabine...

Le problème Sylvie c'est que justement, je mange ce dont j'ai envie... A midi, j'ai rarement faim et plus de craving. Si j'ai faim, j'ai toujours des soupes dans mon tiroir et des pommes dans le frigo du Service. Mais comme je te dis, la plupart du temps je n'ai ni faim ni envie de manger.
Le soir par contre j'ai hyper-faim, et très très envie de légumes et de fromage. Je ne me restreins absolument pas! J'ai aussi ajouté depuis cette semaine des graines de lin et de sésame et de la levure.

Mais effectivement en écrivant cette nuit c'est ce que je me suis dit, que c'était pas très équilibré tout ça. Du coup, je ne sais pas trop quoi faire, quoi ajouter. Des protéines c'est sûr, peut-être des graisses végétales. Un filet d'huile d'olive, ça ne peut pas faire de mal. Et puis?

En tout cas je vais essayer de déplacer ma prise à 18h, on va bien voir ce que ça donne!
Et Sabine tu as raison aussi, ça n'aide en rien de rester toute seule dans son coin...
Merci encore pour vos conseils, à toutes les deux!

Merci Velvet pour cette lueur d'espoir ! On verra bien ma foi comment ça tourne avec tout ça...

Sylvie je ne sais pas trop comment répondre à ta question, c'est là aussi que je suis paumée! Mon ptit dej' est toujours très raisonnable parce que rapide, même le week-end. Le soir par contre, c'est là que le craving attaque.

Sauf que...
En bref, d'une manière générale, je mange une tonne de légumes, un peu de protéines, une/deux doses doses de fromage (j'arrive pas à m'en passer), un/deux fruit/s. Tout cela serait bien raisonnable, mais c'est quand j'en suis là que le craving est le plus violent : je me retrouve à grignoter des fruits secs (amandes en général), des tonnes. Sur une semaine, je mange en général 800g d'amandes minimum!

Et voilà qu'aujourd'hui midi, je suis allée au resto sushi avec mon amie d'enfance. On en a mangé plein plein, et à 19h je n'avais toujours pas faim. Donc j'ai pris ma dose de baclo, pas de repas du soir puisque pas faim... et pas de craving.

Là il est presque 1h du mat', et j'ai faim mais toujours pas de craving.
Ma conclusion serait que le craving vient le soir pendant que je mange.

Help ! Je ne sais pas comment lutter !

Merci Sabine de prendre des nouvelles! C'est vraiment super gentil de ta part.
En fait non pas de post parce que rien de nouveau... Je suis toujours aussi paumée!

Je ne comprends toujours pas comment ça se fait que j'aie eu trois "seuils" successifs et pas de succès. Je ne suis toujours pas indifférente, et ça commence à faire très très long...

Bref je perdrais espoir tout doucement, si ce n'est que tout de même avant le baclo je pouvais passer des journées complètes à ne faire que manger, alors que maintenant je ne fais que deux repas par jour (P'tit déj', repas du soir), sans forcer. Mais paumée quand même, parce que je ne vois pas de sortie du tunnel...

Salut Béné!

Je viens de parcourir ton fil, tu as effectivement une jolie plume, et un parcours atypique... un peu le genre de parcours que j'ai eu en fait, qui m'a donné envie de rebondir sur un sujet précédent. J'ai vécu en Angleterre plusieurs années quand j'étais peu plus jeune que toi.

En rentrant, j'ai fait une formation Afpa en secrétariat bilingue et trouvé plusieurs emplois qui m'ont menée à travailler pour un petit journal. Le petit journal en question m'a menée à écrire pour remplacer une journaliste absente, puis "faire" le CFPJ (centre de formation et de perfectionnement des journalistes) pour prendre un poste complet de journaliste.

A terme, un job stable m'a permis de reprendre mes études à zéro et me voilà titulaire d'un Master de Psycho et du titre de Psychologue, et je vais pouvoir enfin commencer à consulter... ce qui était mon but depuis l'enfance! Et sur lequel j'avais fini par faire une croix.

Enfin tout ça pour dire que le fait de parler anglais est un atout qui peut te mener... quasi n'importe où! Et peut-être même, là où tu devais te trouver. Je croise les doigts pour toi.

Des bises!

Argh, tu as tellement raison...

Je bosse dans une association, donc c'est le privé -- financé par l'Etat. C'est le travail que l'Etat devrait faire, mais qu'il délègue... Jusqu'à il y a un an, c'était une joie de venir travailler parce qu'on avant une Adjointe de Direction "ancienne formule", qui avait assez de bouteille pour nous protéger des histoires du Président. Là, on a une "jeunette" qui fait ce qu'elle peut, mais ne fait pas le poids par rapport au tyran, et c'est pour ça que nous nous sommes retrouvés à bosser comme des fous. Mais puisque ça ne fonctionne pas, on va prendre le contre pied, on n'a pas d'autre choix pour rester en vie.

Quant à trouver un autre taff, c'est là que je vois à quel point je suis arrivée à un cheveu du burn-out: je suis tellement fatiguée que je n'arrive même pas à être fière du travail que j'ai effectué. Il va falloir du temps, et comme tu dis, limiter très strictement notre temps de travail... Les horaires ont été refondus et acceptés, reste à être très vigilants sur leur application.

Y'a une quinzaine, avec mes collègues on calculait : les heures sup' qu'on avait fait fin 2015, celles de 2016, les congés qu'on n'a pas pris, et quatre récup' de jours fériés qui tombaient un dimanche (oui je sais c'est bizarre, c'est un truc de Convention dans le secteur social). Ça fait un paquet d'heures et de jours que l'association nous doit, et qu'on va prendre. Parce qu'au point où on en est, c'est finalement une question de vie ou de mort.

Par contre, pour le baclo, c'est vraiment vraiment compliqué. Cela fait 4 ou 5 jours que j'ai divisé en deux ma prise du soir. Je me retrouve pour la première fois depuis des mois à rêver de sucreries, alors que ça faisait super longtemps que j'avais complètement arrêté d'en manger! Et même d'y penser. Argh. Je vais donc retourner à ma "grosse" dose en une seule fois, tant pis.

Merci pour ton soutien, Velvet, je suis complètement paumée...

Bien vu Velvet, merci! Je suis déjà une grande fan de bananes, je vais essayer le reste aussi. Rien à perdre!

Par contre, quand tu parles d'une prise plus harmonieuse dans la journée, j'avoue que je suis pas sûre de comprendre. De mon côté, j'ai un craving monstrueux le soir, en général il commence vers 19-20h et peut durer jusqu'à minuit, ça dépend (je ne sais pas de quoi!). Donc si je ne prends pas une très grosse dose de baclo juste avant le craving, comment le prévenir?

Le problème avec le taff, c'est que le président de notre assoss' a fixé des objectifs intenables, donc on s'est défoncés pendant plus d'un an. Pour un résultat... disons décevant. Il n'est toujours pas content et il a recommencé! Donc avec les collègues on a une seule résolution pour 2017 : zéro heure sup'.
Sachant qu'on a bien des chances de se retrouver au chômage, mais c'est pas sûr qu'en se défonçant on garde notre boulot quand même.

Le problème d'aller voir dans le privé, c'est que je suis énorme (l'hyperphagie n'a jamais cessé) et que j'ai 47 balais, et surtout comme tu le disais, je suis à un cheveu du burn-out. J'ai obtenu le titre de Psychologue (Master de psycho tout en bossant à plein temps) juste avant cette année horrible. Je voudrais au minimum arriver à monter mon site, mais je suis tellement KO...

La trouille du chômage n'aide pas non plus, forcément. Bref, situation inextricable, surtout que comme je suis à 32 cp et que quand j'augmente ne serait-ce que d'une moitié j'ai l'impression de faire un infarctus 50% du temps, je ne vois pas comment je peux trouver mon seuil. Tu es à combien toi? c'est rude ce qui t'es arrivé, et c'est tellement la galère de gérer le boulot en plus du reste! En tout cas je comprends ta déception...

Ah, je ne le savais pas ça! C'est rassurant, merci.
Au niveau des EI, ça devient très très embêtant: non seulement je dors assez mal, mais j'ai des palpitations qui augmentent avec la dose, même quand j'augmente très, très lentement (1/4 de cp par semaine!). J'ai donc arrêté d'augmenter pour le moment. C'est pas comme ça que je vais trouver l'indifférence, mais c'est trop difficile sinon...

Merci Jack-Lofène! Le problème est que ma dose d'indifférence, comme je le disais, elle a l'air plutôt fluide puisque j'ai eu une période d'indifférence à 15, puis 23, puis 31 cp. On verra dans les jours qui viennent, ma foi... Je ne sais pas s'il faut encore y croire.

Merci Bene, effectivement on est à tâtons tout le temps. La question que je me pose est au bout de combien de temps voit-on les résultats des changements qu'on fait? Moi je dirais une dizzaine de jours, mais est-ce que je me trompe du tout au tout?

Pour ce soir, j'essaie de prendre 20 cp à 20h et 4 à 22h, pour voir si ça calme un peu les choses. Il vaudrait sans doute mieux 19h et 21h, mais ce soir je suis rentrée tard. Je vais essayer ça pour le moment, on verra ce que ça va donner.

Pour mon (mes) seuil(s) par contre, je ne sais toujours pas quoi penser...

Merci Jack-Lofène et Bene! ... et Martha à nouveau!
Alors en fait ma répartition est celle qui se trouve dans ma signature:
11h: 40 mg
17h: 40 mg
19h: 240 mg
total: 320 mg
La prise de 11h gère bien les cravings du déjeuner et du début de l'après-midi, celle de 17h escamote le début de la MEGA-crise du soir... la prise de 19h est tout juste suffisante pour éviter la KATASTROFE absolue habituelle. Et parfois le craving revient vers 22-23h, parfois même minuit!

Ca me rend d'autant plus cinglée que y'a 3 semaines j'étais dans l'indifférence totale. Autant dire dans la paix!!!
Je suis désespérée...

Merci Martha! Bises aussi...

Bonsoir tout le monde,

Je suis en train de craquer et de perdre espoir, j'ai besoin d'un coup de main.
J'ai de nouveau ce problème de seuil élusif, troisième fois depuis le début de mon traitement.

Je ne l'avais pas vraiment réalisé à l'époque, mais j'ai eu une première période d'indifférence à 15 cp, qui a duré une quinzaine, et puis je suis revenue à mon hyperphagie habituelle... Je pensais que je m'étais trompée et que j'avais juste dû avoir une "bonne" quinzaine. J'étais en congés, à la montagne, et j'étais en paix... je me suis dit que ça devait être ça. Du coup j'ai continué à augmenter, mon médecin prescripteur était d'acc.

Même chose à 23 cp, j'ai eu une période d'indifférence, et wahooooooooooooo! que j'étais contente! j'ai cru que ça y est j'y étais enfin! Sauf que... ça n'a duré qu'une quinzaine. J'avais dû diminuer la dose à cause d'effets secondaires, et quand je suis remontée tout doucement à 23 cp... ben rien. J'y suis même restée pendant des mois (à 23), et l'indifférence n'est pas revenue. C'était dur mais j'ai pas perdu espoir, et je me suis encore dit que j'avais dû me tromper. Mon prescripteur est gentil et soutenant, il me dit qu'il faut tenir le coup et maintenir le cap. J'ai maintenu!

Mais là, voilà que ça a recommencé. A 31 cp, avec à donf d'effets secondaires (dont des palpitations, c'est vraiment pénible et ça fait peur et puis surtout ça ralentit mon processus de pensée. En gros, je deviens idiote), ça y est, l'indifférence et revenue. ça y est enfin! quelle joie!!!!!!

Sauf que... pareil.
Une quinzaine.
Un p'tit tour et puis s'en va...

Deux ans que ça dure. Deux ans que je tiens le coup, que je tiens le cap et que je m'accroche.
Mais maintenant je suis paumée. Et si je faisais partie des gens sur qui ça ne marche pas? C'est vrai que je viens de passer, professionnellement, l'année la plus difficile et stressante de ma vie. Un an à faire des semaines de 50h (sans un sou de plus, faut pas déconner on bosse dans l'associatif, hein! Faudrait pas qu'en plus de se sentir utiles on ait le droit d'être payés raisonnablement...), bref je vous épargne les détails, c'est pas tellement le sujet.

Mais là, je craque. J'ai peur d'avoir passé tout ce temps, tout ces efforts et toutes ces difficultés pour rien. ça fait des heures que je pleure et que je ne sais pas quoi faire. Je vois ma psy demain, mon prescripteur le 25 (je vais sûrement l'appeler avant) et j'ai une séance d'étiothérapie prévue le 31. J'espère que tout ça va aider, mais je suis en train de perdre espoir.
Est-ce que quelqu'un a vécu quelque chose de similaire et peut me conseiller, s'il vous plait?

Merci d'avance...

Merci Velvet! Je vais essayer ça, en espérant que c'est pas trop cher?
Lyrika bien vu, mais jusqu'à présent j'ai prix du stilnox et ça marchait plutôt bien. C'est juste à présent que ça ne fonctionne plus...

Merci Carabus, je n'arrivais plus à les retrouver! Le prochain coup j'essaierai mieux...
Bonne continuation!

Merci beaucoup Sylvie!
J'ai pas mal pensé à la répartition ces temps-ci, mais tant que ça marchait à peu près... Ce n'est plus le cas, en effet!

Je vais donc essayer :
11h: 30 mg
14h: 20 mg
17h: 60 mg
19h: 200 mg

J'espère que ça va marcher aussi bien... Mdr voui en effet je m'accroche!
A bientôt, je te donnerai des news!

Bonjour l'équipe!
Je n'ai pas retrouvé mon ancien fil, du coup j'essaie une nouvelle tentative. Ma dernière connection c'était autour de février 2016, il me semble.

Bref, à ce moment j'étais à 230 mg, et j'avais trouve l'indifférence pendant qqs semaines, puis j'avais eu une frayeur et j'avais baissé la dose puis remonté à 230 mg et l'indifférence n'était pas revenue. Plusieurs mois et, toujours rien! Mon prescripteur m'avait encouragé à rester à cette dose pour voir si ça revenait... et toujours rien.

J'ai fini par ne plus déjeuner à midi, ce qui ne me gênait pas, mais la GROSSE CRISE du soir ne diminuait pas. Donc j'ai ré-augmenté jusqu'à 280 mg (doucement, mais toujours rien), puis 300 mg pendant des mois, puis aujourd'hui 310 mg.

Je pense avec à nouveau trouvé l'indifférence! Je suis soulagée...
Mais par contre je ne dors pas du tout la nuit, et j'ai de fortes douleurs articulaires, en particulièrement aux coudes. Qui m'empêchent encore plus de dormir!
Et dans la journée je suis pas vraiment claire.

Je ne sais pas quoi faire. Retourner à 300 mg? parce que là c'est pas vivable...
Merci à celles qui ont une idée...

Merci beaucoup Sylvie!
Pour le moment je vais tenter d'être patiente, voir si tout rentre dans l'ordre...
Merci à toutes pour votre soutien Je vous dirai si y'a du nouveau!

Merci beaucoup Claude pour tes conseils!
Je suis allée voir le post de Nefertiti, pas trouvé celui de Believe...

En fait je ne suis pas tout à fait nouvelle en matière d'exploration psycho ;-) Mais aucun des "travaux d'exploration" que j'ai effectués ne m'a aidé avec l'hyperphagie, même si pour le reste tout a changé.

Mais je continue à explorer par le biais de la psychothérapie, tout en réfléchissant à comment démarrer une pratique de psychothérapeute à mon tour. Ceci dit, je ne me sens pas de recevoir des patients tant que je n'ai pas été au bout de ma phase de stabilisation avec le baclofène. Pas encore arrivée donc!

Merci pour le conseil Sylvie!
En fait depuis toujours j'ai une "crise du soir", qui peut durer (ou pas) entre 19h et minuit. En général c'est 19-22h, mais si je prends ma dose du soir trop tôt, je fais une "crise de minuit".

J'ai tenté à une période de prendre moins de baclofène en début de soirée (120-140mg) pour faire une 2ème prise vers 22h. Mais du coup ma prise du soir était insuffisante. De fait, c'était jusqu'à mi-décembre un assez bon compromis de prendre 180mg à 18 voire 19h.
Puis c'est là que tout a déraillé...

Merci beaucoup à toutes pour vos réponses! Ça me fait bien réfléchir tout ça.

J'ai eu mon doc prescripteur aujourd'hui au tél, il me dit que c'est normal qu'un tel niveau de stress ait fait dérailler la machine. Il m'a dit de revenir à 230mg, le niveau où j'avais les meilleurs effets, et d'attendre que ça se calme, que ça va forcément revenir.

Vos interventions et la sienne m'ont beaucoup rassurée!
Je vais donc commencer par redescendre doucement à 230mg (1 cp par jour en moins, pendant 3 jours).

Pour la répartition, Sylvie et Jehannie, vous m'avez fait réfléchir. Je me dis qu'à la limite il vaut mieux que je garde une prise à 19h (ou plus tard?) pour éviter la "crise de minuit".
Donc soit peut-être essayer 17h, 60 mg, et le reste à 19h.
Ou alors moduler, tout simplement, en fonction de mes horaires de travail. A tester... mais j'avoue que pour le moment je ne sais pas trop par quel bout la prendre, cette répartition. Des idées?
Merci d'avance!

Merci beaucoup Jehannie, Claude et Velvet pour vos réponses attentionnées!

Claude et Jehannie, j'ai eu le temps de réfléchir entre cette nuit et aujourd'hui. Et effectivement c'est toujours le stress qui a l'effet le plus pénibles sur moi, y compris sur d'autres parties de mon comportement et sur mon corps (mal au dos, etc...).

Velvet, pour le moment le craving de midi est bien couvert par la prise de 11h et le début du craving du soir est couvert par la prise de 16h. Le problème est le craving du soir, qui apparait à des heures aléatoires. Comme mes horaires de travail: je suis dans le social, et on fait deux soirées par semaines. Seulement rien ne garantit qu'on ne se retrouve pas à gérer une crise à 17h et finir à 19 ou 20... Bref c'est compliqué. 18h à 19h se sont pour le moment montrés une bonne moyenne pour couvrir la crise du soir...
Ceci dit, je réfléchis à une autre idée: est-ce que ça fait sens d'attendre le craving du soir, prendre ma dose à ce moment et attendre une heure? Et aussi: est-ce que je suis capable d'attendre une heure?

J'ai supplié mon médecin prescripteur de me recevoir exceptionnellement avant la date, et j'ai rdv téléphonique demain. Je vous dirai ce qu'il m'a dit, peut-être que ça peut servir à d'autres!

Merci tout plein en tout cas!!!!! votre soutien me fait chaud au coeur. Je me sens moins seule avec mon problème...

Merci Claude!
Tu as tout à fait raison de mentionner ces choses, je n'y pensais pas...
Quand j'ai eu la sensation de libération à 230mg, c'était un immense bonheur, un soulagement incommensurable. Enfin libre!

Par contre énorme frayeur quand j'ai fait de l'hypertension et de la tachycardie/des palpitations. Et deux mois d'attente pour voir la cardio.

Ce qui se passe en ce moment chez moi, c'est surtout un stress monstrueux de la part de la direction de notre association, qui a donné des ordres impossibles à atteindre et nous a amenés, mes collègues et moi, à faire des semaines de 50h pendant 2 mois (pas payées, bien sûr). On vient juste de revenir à des semaines normales.
Ensuite le deuil du départ en retraite de notre chef de service bien-aimée, et par dessus tout ça, une gastro de 15 jours.

Peut-être que ça fait beaucoup pour mon organisme et ma petite tête...
Bon, en gros faut que je sois patiente, non?

Salut Jehannie,

Je suis hyperphagique, j'ai des pulsions vers 12h30 et entre 20h et minuit... pour le soir ça varie!
Les pulsions du midi sont très bien couvertes par les 50 mg, et le début de celles du soir par les 30mg de 16h.

Ma question est plutôt d'ordre générale, comment la dose optimale peut-elle varier? et comment la retrouver après l'avoir perdue?
Merci d'avance...

Bonjour à tous/toutes,
...et mes excuses aux modérateurs/trices pour avoir créé un nouveau fil alors que j'aurais dû raccrocher au précédent. Sauf que ça fait si longtemps que je ne me rappelle même plus quand c'était!

J'écris car je suis paumée et plutôt découragée, et j'espère que quelqu'un aura une idée voire une réponse pour moi.

En gros, ça fait un an et demi que je suis en traitement car j'ai commencé le baclofène pendant ma dernière année de fac (je précise, j'ai 45 ans) et arrivée à un certain seuil je ne pouvais plus penser, donc j'ai passé plusieurs mois à 130mg pour garder l'acquis minimum.

Après la fin de mes études, j'ai repris l'augmentation. Arrivée à 230mg, j'ai eu la sensation de libération que j'attendais, et j'étais ravie .
A ce moment là je prenais aussi 1 lysanxia le soir, pour le sommeil.
J'ai demandé au médecin si on pouvait remplacer le lysanxia par autre chose, car il me rendait atone la journée. Il était d'accord, et j'ai donc arrêté le lysanxia pour éventuellement prendre du stilnox si c'était nécessaire.

Sauf que, après deux jours d'arrêt du lysanxia, j'ai fait des palpitation, un pic de tension (j'étais à 19!), et j'ai eu la trouille de ma vie! Mon réflexe a été de reprendre le lysanxia et de diminuer ma dose de baclofène à 180mg.
Entre temps ma tension est sous contrôle et la cardiologue dit que mon cœur va bien, donc j'ai remonté la dose de baclofène. Sauf que arrivée à 230mg, rien. Et là, je suis à 260mg... et pas grand chose.

J'avoue que je ne sais pas quoi faire. Ni pourquoi la dose optimale devrait changer selon le moment?
Bref si quelqu'un a une idée, je suis preneuse, parce que je suis fatiguée et confuse, et au bord du découragement...
Merci d'avoir bien voulu me lire.

Merci Claire, Velvet et Sissi!

Claire, le théralène et la mélatonine n'ont aucun effet . Côté crises, elles sont modérées, ce que j'apprécie, mais ne sont pas finies. Je sais qu'il faut continuer à augmenter mais pour le moment je ne le sens pas: trop crevée!
Je verrai la semaine prochaine si je le sens mieux...

Velvet et Sissi, merci pour les encouragements! je crois que je vais en effet faire une pause, prendre mon temps... Je vous tiens au jus en attendant!

Merci tout plein à vous trois!

Salut à toutes!

Un petit mot parce que j'aimerais avoir votre avis...

Depuis trois ou quatre semaines j'ai dû lutter contre des effets secondaires vraiment pénibles: somnolences, vertiges, insomnies. Le truc habituel, quoi!
Le problème est que je commençais vraiment à ne plus pouvoir fonctionner, avec seulement 0 à 3-4h de sommeil par nuit. Très souvent 2, et souvent 0 aussi.

Il y a un mois, j'étais à 140 mg, et mon prescripteur m'a fait redescendre à 130 en espérant que ça irait mieux. ça a marché. Il ne restait que les insomnies, mais pour moi c'était impossible de continuer comme ça! Du coup, comme il m'a dit que j'étais en totale autonomie pendant ses congés (ce qui me semble logique), j'ai décidé vendredi dernier de re-diminuer d'un demi-cachet, et refait la répartition de ma prise de l'après-midi.

Ce qui est chouette, c'est que depuis samedi je re-dors 5 à 6h par nuit! Même si je préférerais 8, c'est tellement mieux! Je n'ai pas l'impression que le Circadin ait un quelconque effet.
Ce qui est moins chouette, c'est que je ne me sens pas de recommencer à augmenter. Je vais sûrement rester à ce seuil pendant qqs jours, qu'est-ce que vous en pensez?

Les effets bénéfiques sont toujours modérés, et pour le moment ça me va. Si j'ai le choix, je préfère un peu d'effet bénéfique et pas trop d'ES... Je pense que dès qu'elle revient de congés je vais aller voir mon homéopathe.

En attendant, est-ce que vous avez des conseils? Parce que je suis un peu paumée, pour le coup.
Merci d'avance!!!!!!!!

oui!!!

Merci Claire!!!
C'est sûr que je m'en sors pas mal, même si je dois pédaler comme une dératée... Dans l'ensemble je suis plutôt fière!
Plein de bises

C'est une bonne question Believe!
En même temps, j'ai pas mal déminé le terrain avec une longue psychanalyse et qqs années de thérapie.

Finalement il ne me manque pas grand chose dans la vie pour être bien! Je suis en train de réaliser mon rêve (j'ai toujours voulu être psychologue, et je le serai en juillet 2015 si tout va bien), j'arrive à faire de l'exercice régulièrement (piscine), et comme je suis une solitaire je ne souffre pas de me retrouver chez moi... au contraire!

Au boulot je suis à l'aise même si j'ai assez de boulot pour deux... Je stresse évidemment pour le mémoire que je dois écrire ainsi que le stage que je dois faire, tout ça en même temps qu'un emploi à plein temps, mais je ne souffre pas trop de ça, enfin pour le moment.

Bref tout va plutôt bien, sans parler de la joie que j'ai encore à penser au traitement baclo!!!!
bises

Merciiiiiiiiiiiiiiii Claire! je t'avoue que ça commence à faire long même si j'ai jamais perdu espoir un seul instant
merci beaucoup pour les encouragements, ça fait un bien fou!
Plein de bises...

merci Cvmotard!
Je suis entièrement d'acc avec toi (et avec Claire 75) sur la question de la sleeve. Pour moi ce n'est même pas imaginable. Je sais que je n'irai pas là, et je le dis. Et ces médecins me mettent quand même la pression. Comme ils m'exaspèrent!!! Ils n'entendent pas.

Pour une rencontre, je trouve que c'est une très belle idée, Ninon!
Et un prescripteur sur Alès, il faut que je réfléchisse parce que je peux quand même faire le trajet en scooter, ce n'est pas loin. Et ton prescripteur, tu le vois tous les combien?

Claire, je suis d'acc avec toi sur le fait que deux fois par mois c'est exagéré mais il a refusé de négocier... Moi c'est financièrement que je souffre. Entre les consultations à 30€ et les A/R à 25€, ça me fait quand même 110€ par mois... remboursés 30.

Au niveau des crises/pulsions, j'ai l'impression que ça s'est un peu calmé sur les quantités. Dans la journée je suis super sereine, même que j'ai une collègue qui a posé une plaque de chocolat sur mon bureau ce matin: je n'y ai pas touché, même pas pensé!

Par contre le soir c'est toujours un peu difficile. Le truc c'est que ça n'est pas aussi violent que ça l'était avant le baclo, mais ça n'a pas disparu pour autant. Je ne suis pas encore à la "vraie" indifférence.

Ce qui est un peu contradictoire c'est que les effets secondaires ont rendu ma vie bien difficile ces qqs dernières semaines, et du coup mes crises sont revenues plus fort. Avec la diminution des effets secondaires et un retour à une vie normale, j'ai l'impression de pouvoir revenir à des crise moins régulières et moins fortes, mais l'avenir nous le dira...

Salut Ninon!
Bien sûr ce n'est pas indiscret, j'habite à Nîmes...

Salut tout le monde!

ça fait un long moment que je ne suis pas venue sur le forum... il y a comme pour tout le monde des hauts et des bas! je suis à 130mg. J'étais à 140 mais mon prescripteur m'a dit de diminuer pendant une quinzaine à cause des effets secondaires qui commençaient à être un problème... vertiges le soir, somnolences l'après-midi et le soir, crampes, et surtout problème de concentration!
Du coup là ça va mieux, même si c'est rude d'avoir dû diminuer au lieu de continuer à augmenter régulièrement. J'imagine que ça a dû vous arriver à presque toutes, non?

En plus, il m'est arrivé une expérience flippante: la semaine dernière un de mes protégés (je travaille dans un service mandataire) est arrivé en disant que son généraliste lui avait prescrit du baclo. J'étais contente pour lui, ça fait longtemps qu'il ne s'en sort plus avec l'alcool!
Du coup, je me suis dit que ça serait chouette si je prenais contact avec ce généraliste pour voir s'il peut devenir mon prescripteur, ce qui m'éviterait de devoir courir à Montpellier deux fois par mois (ce qui me coûte une fortune en train). J'ai pris rdv, j'y suis allée... et argh! Il a commencé a me mettre la pression pour que je fasse une sleeve. Encore un! sérieux, j'en ai MARRE!
il m'a fait une ordonnance pour un mois, mais pour *une seule* boîte (il m'en faut une tous les deux jours)... et surtout il ne connaît pas le protocole! franchement, il m'a fichu la trouille. Il a commencé par me dire que j'en prenais beaucoup trop, que le maxi c'était 100mg/jour etc. Et quand je lui ai dit qu'il se trompait, il m'a cité son ordi qui, manifestement, n'était pas à jour. J'ai maintenu mon propos mais il est reparti sur la question de la sleeve.

Inutile de dire que je ne change pas de prescripteur, tant pis pour le prix du train. Mais est-ce que vous avez une idée de ce que je peux faire pour mon protégé? Franchement, c'est flippant et je ne vois pas comment il peut s'en sortir dans ces conditions. Ceci dit, ce n'est pas mon rôle de lui dire de changer de généraliste...
Merci!!!

Merci Sylvie, me voilà rassurée!
je file au dodo...
bonne soirée tout le monde

Mlou

Désolée Believe, j'étais persuadée de t'avoir répondu! Honte à moi... et merci c'est effectivement bien vu!

Maintenant une question:
Cet aprem, j'ai été malade, sûrement un méchant coup de chaleur.
Je vous passe les détails, mais en gros j'ai vomi à peu près 2 minutes après ma dernière dose de baclo de la journée, donc sûr sûr que je n'ai rien digéré.

La question, c'est est-ce que c'est un GROS problème si je fais l'impasse pour aujourd'hui? Parce que je ne me sens pas de mettre quoi que ce soit dans mon estomac, à l'heure qu'il est...
Est-ce qu'il faut que je me force?

Merci les copines!
Bises,

Mariloulou

Merci pour tes encouragements, Sissi!

Je n'avais pas pensé à l'effet myorelaxant, en effet... et c'est vrai que avant de reprendre la fac j'allais tous les jours à la piscine. Mais avec la fac (boulot + fac) je n'ai plus eu le temps d' y aller.
Je comptais reprendre pour l'été, au moins jusqu'à la reprise des cours, mais va ptêt falloir que je songe à y aller régulièrement pendant les cours quand même (même si je sais pas comment, mais la perspective de la sciatique pourrait bien me motiver )

Vivi je rassure, la doc m'a filé des anti inflammatoires à haute dose, et j'espère que ça va passer vite!
Sinon pour le moment le stress ne me fait pas manger, c'est plutôt la douleur. Alors que jusqu'au baclo c'était plutôt le stress!

On garde le cap en tout cas. Bisouxxx et encore merci Sissi

Oups! désolée Claire je n'y pensais pas... le ferai plus!
Je ne pensais pas du tout que la sciatique était un ES du baclo, mais je me demandais si d'autres avaient eu ce problème avec la douleur. Jusqu'à présent je gérais assez bien le stress et la fatigue. Bon, faut bien avoir des expériences différentes!
Merci Claire, et bonne soirée!

Mloulou

salut tout le monde!

Je n'ai pas vu de fil dans ce sens, je me demande si je suis la seule...
Rien de très grave mais cette semaine j'ai une sciatique. Pour ceux et celles qui en ont l'expérience, vous savez comment on déguste!!!! argh.
Moi c'est seulement ma deuxième, et je m'habitue pas

Bref, mon problème c'est surtout que plus je souffre, plus je mange. J'étais ravie d'être dans la modération, mais je n'y suis plus du tout. Crises toute la journée! malgré la douleur de marcher jusqu'au frigo.

ça vous est déjà arrivé?

Bises,

Mloulou

Salut Sissi!

C'est la première fois que je "tombe" sur ton fil à toi, et comme la première page sur laquelle on tombe est celle du début, c'est celle que j'ai commencé à lire...

J'espère que tu ne vis pas cette attitude comme intrusive. J'ai bien aimé découvrir ton attitude du début, ton attitude de "prête à tout", avec des moments de grande joie, de grandes victoires! C'est très réconfortant quand on débute comme moi.

Moi j'ai aimé le fait que tu sois disponible pour ceux/celles qui ont besoin d'aide, et que tu sois présente dans le forum pour soutenir, et parfois aiguiller. Evidemment les gens pensent ce qu'ils veulent mais je comprends mal l'agressivité. On a le droit de ne pas être d'accord, évidemment, mais pourquoi réagir mal? Les anglais ont une jolie expression pour ça: "agree to disagree". Ca veut dire qu'on peut être d'accord pour ne pas être d'accord, et ça n'empêche pas d'être amis...

J'espère sincèrement que tu continueras à intervenir quand le coeur t'en dis...
Bises,

Mariloulou

Quel beau témoignage Didi! Merci...

Ce pourrait donner un écrit intéressant, pourvu que la (jeune) autrice fasse preuve de maturité!
Je ne suis pas (encore) guérie, donc pas (encore) de témoignage pour moi, mais je suis curieuse de voir le résultat...

Hello!
Moi aussi je trouve ce fil très intéressant! Après, chacun trouve midi à sa porte, c'est toujours pareil, et il n'y a pas de raison de penser que tout le monde devrait toujours suivre les mêmes préceptes.

Après, je me dis que comme nous sommes toutes TCA et ex-TCA, nous sommes tous hypersensibles sur la question de la bouffe! On trouve tous moyen de se gérer comme on peut, et tous différemment.

L'important, c'est de trouver un équilibre qui convienne à ce qu'on est, à ce qu'on cherche, et aussi à ce qu'on PEUT!

Bises à toutes,

Mlouou

C'est chouette Believe si la fatigue s'atténue!
J'espère que ça va continuer dans le positif comme ça...

Lol Sissi j'avais pas mis à jour ma signature, en fait je suis à 80 mg...
je réalise que j'ai de la chance que ce soit progressif comme ça. J'ai le temps de m'y faire :-D
Les ES sont pour le moment très supportables, pourvu que ça dure!

Plein de bises toutes les deux!

Que c'est gentil Believe de demander des nouvelles!
Pas grand chose de mon côté, la dose monte lentement...

je prends 10 mg le matin, 20 à 11h et 50 à 18h. Pas de miracle, les effets se font sentir doucement, doucement... pas de réelle indifférence pour le moment, même si les "craquages" sont tout à fait ridicules par rapport à ce qu'ils étaient il y a qqs semaines, et c'est déjà pas mal!

Et toi, et vous, comment ça va?
Bises!

Génial! Merci Sissi!
J'espère que tu vas bien :-)
Bisettes du mardi soir

Trop cool, merci Believe!
D'une part je suis contente de ne pas être toute seule, et c'est une bonne idée le magnesium!
Je vais tenter ça...
Bises!

Salut à toutes!

Pour moi, ça a commencé, tout doucement, mais déjà à 20 mg j'étais soudainement capable de ne pas vider le frigo le weekend, même si je continue à manger trop...
Maintenant, à 50, je suis hyper sérieuse toute la matinée, à midi aussi, l'aprem sans problème. Par contre le soir, aïe aïe aïe! Le soir, ça craque de partout!

Mais je ne m'inquiète pas, parce que déjà tenir la journée ça tient du miracle... et à partir de vendredi je rajoute 10 mg le soir.

Je suis ravie. Cet après-midi, au travail, j'observais curieusement cette bête qui habitait dans mon estomac et qui disait "ARGH! j'ai la dalle!!!" et moi qui lui disais c'est vrai, et c'est pas drôle, mais j'ai mangé à midi, et là c'est pas encore l'heure de re-manger...
C'était vraiment bizarre comme sensation, de pouvoir parler à mon estomac!

Et pour le moment petits effets secondaires: fatigue légère ce weekend, et des sortes de mini-crampes la nuit. Rien de grave ni de particulièrement douloureux... mais ça me réveille (cette nuit 4 fois!). Il y en a parmi vous qui ont eu des crampes? si oui, qu'est-ce que vous avez fait???

Bises à toutes!

Mlou

Merci Claire 75 et Believe!
Hahaha, midi du matin, c'est bien vu!

En tout cas merci de me rassurer, j'espère en effet qu'il va espacer rapidement : 20€ aller-retour (si je prends les trains les moins chers), ça va faire beaucoup très vite...

Pour l'autonomie, je vous tiendrai au courant!

Plein de bises...

Hello tout le monde!

J'ai vu le médecin de Montpellier ce matin... il est assez sympa, et m'a prescrit un traitement débutant, enfin normal, quoi. Pour le moment 10mg le matin et 10mg le soir. Héhé, comme je suis sortie du cabinet à 9h30, j'ai pris le premier cachet tout de suite... Ben quoi, c'était encore le matin, non?

Par contre il m'a dit que si d'ici deux ou trois mois je n'obtenais aucun résultat, il me reparlerait de la chirurgie. Gah! Inutile de vous dire que ça, j'ai pas du tout du tout envie de l'entendre. On verra bien, hein?

Bref, re-rdv la semaine prochaine. Rassurez-moi, les filles, vous allez pas voir le médecin toutes les semaines, quand même?

Bises à toutes,

Mlou

Merci les filles... je l'imagine être passée sur ce que les anglo-saxons appellent "rainbow bridge" (le pont d'arc-en-ciel, même si la traduction est moche) et heureuse et libre au paradis des animaux... en tout cas elle est libre et ne souffre plus, et c'est déja un confort.
bises à toutes

Ma minette est morte dans la nuit.
Je savais qu'elle était une mamie et qu'il y avait toujours le risque qu'elle ne supporte pas l'opération...
N'empêche, n'empêche...
bises à toutes et bon long weekend.