Bonjour. Je m'incruste rapidement pour simplement donner mon avis sur les sujets suivants :
- Dépendance alcoolique, les causes ;
- Hypomanie, virage maniaque ;
- Bipo, dépression
33 ans d'alcool jusqu'à environ une 20aine u/j minimum les dernières années. Une prédisposition selon les médecins. Depuis l'arrêt "miraculeux", je ne peux plus boire étant dégoûté. J'ai été socialement dépendant de l'alcool, ce qui permet une toute autre approche quand on veut arrêter.
L'arrêt s'en est suivi de trucs bizarres que l'on appelle hypomanie, manie ou virage maniaque, ça se rapproche plus du slalom mais sans descente.
Pendant ces quelques semaines, j'ai été diagnostiqué hypomaniaque, maniaque, Asperger, bi-polaire (de type Z, sous-catégorie 576). Et puis, et puis, ben rien. A moins de tomber sur un médecin qui "comprenne", je risquais bien de me retrouver malade. Il faut quand même bien vendre des médocs, non ? Oui, ceux qui sont efficaces pour des pathologies bien définies. La dépression, la bi-polarité, je constate que les médecins mettent très rapidement l'inconnu ou le peu connu dans ces petites cases.
Si j'avais écouté tout ce que les médecins m'ont dit, j'en serais actuellement à AD, anxio, thymo, et certainement d'autres merdes. Ma mère a été dépressive pendant 40 ans, depuis qu'on la sevrée de ces merdes d'AD et d'anxio elle revit. Elle n'a JAMAIS été dépressive.
Je ne prends plus aucun médocs mais je sais que j'ai beaucoup de chance avec l'alcool. La dépendance n'était pas celle qu'on croyait.
Quand les médecins savent, c'est parfait, dans le doute, il faut absolument qu'ils arrêtent de vouloir à tout prix refourguer des poisons inutiles. C'est pénible de devoir être considéré comme client plutôt que patient.
Concernant le Baclo, il est évident qu'il joue un rôle essentiel dans l'arrêt.
Plein de personnes sur ce forum peuvent vous aiguiller sur tout çà . Tout n'est pas que maladie ou pathologie dans la souffrance humaine...