1. Réussite
2. D'abord à 290, puis descente trop rapide. Actuellement à 470 depuis 1 mois.
3. 10 mois
4. 160 à 9h, 13h et 17.
5.Craving (ou plutôt pensées fortes) à 13h et 17\18h.
6. ES moyens (dystonies, nez bouché) mais insomnie sévère et somnolences diurnes. Anxiété, lassitude.
8. Concerta LP 54mg
9. 36

Salut Phil,

Je ressens une certaine anxiété parfois très inconfortable mêlée de palpitations que le sport n'arrive pas à supprimer depuis l'arrêt de l'alcool, anxiété non pas due à des pensées pour lui, mais la sobriété m'a vite ramené à la réalité concrète de la vie sans alcool : l'alcool régulateur d'humeur, l'alcool qui donnait de l'entrain pour affronter les déboires du quotidien...

Au lieu de me prescrire un anxiolytique (ce que je refuse), mon médecin m'a parlé d'un béta-bloquant (Advocardyl pour ne pas le citer). Qu'est ce que t'en penses ?

J'aime pas le nouveau titre du fil. Trop défaitiste.

:o)

Serrer les dents... Parfois, y a que ça à faire pour éviter de surenchérir dans son mal-être. C'est très courageux de ta part, Flo.

Eh ben, qu'est ce qui est arrivé à ce fil ?


Mon clafoutis maison aux framboises du jardin de ma maman :


http://img15.hostingpics.net/p...50713191011.jpg

J'aurais dû lui faire une garniture de Baclo avec un coulis de Noctamide.

'lut Manue,

J'y suis resté 10j. J'ai dû baisser pour les raisons que tu sais. C'était invivable.


Pour le Noctamide, s'il te fait effet comme moi il me fait effet, tu seras pas déçue. Encore une fois, le but est de se défaire de ces trucs-là. Parfois pas le choix. Qui peut le mieux prend le mieux, dit un vieil adage.

Alors pour les études...

Y a encore un truc nouveau chez-moi - décidément, ça fait beaucoup de chimie lourde pour un seul gars même qui mange comme deux.

Je suis allé au CHRU consulter un neurologue et un psy. Après un bilan de la mémoire d'une journée avec des alzheimeriens, IRM, entretiens fastidieux et tests, ils ont décidé, après plusieurs rencontres, de me prescrire ça :




Pour l'instant la dose est homéopathique, j'augmente dans deux semaines, le temps de me faire une tolérance. Apparemment c'est aussi une question de poids, à vérifier : je fais 1M85-86 pour 80KGs. C'est ma seule chance de soigner mon autre fardeau avec l'alcool : les TDAH.

Je redoute les éventuels ES, sensiblement les mêmes que le Baclo mais pas obligatoires (: bouche sèche, tachycardie, maux de tête, coupe-faim, insomnies, nausées [dans une valeur comprise entre : fréquents < peu fréquents < rares < très rares).

Encore une fois, je me suis renseigné au sujet des interactions - c'est systématique maintenant, vu que le Stilnox a été une perte de temps totale), et, à part une cohorte de médocs divers et variés (comprenant certaines BZD et antalgiques opioïdes notamment), a priori pas trop de soucis à se faire avec le Baclo. Le neurologue m'a affirmé par contre qu'une interaction sans danger mais emmerdante était possible : le baclo pouvant se substituer au méthylphénidate, être en quelque sorte "plus fort que lui" au sein des neurotransmetteurs et donc réduire considérablement chez certains sujets l'action de ce dernier. Pour l'instant donc, difficile d’émettre un jugement : les doses sont trop faibles et il faut que le corps s'habitue. Dans le pire des cas, j'en reprendrai lorsque j'aurai suffisamment descendu de Baclo. 2015 est, de toute façon, l'année de la Santé. C'est de là que tout va se jouer.

Le hic et j'en viens à ta question Manue, c'est qu'à cause de mon TDAH, je perds très facilement de ma concentration lors d'une tâche monotone comme étudier, de ma patience, de mon calme, je suis incapable de rester sur une chaise plus de 20mns et je suis irascible. D'ailleurs j'écris ce message debout accoudé au bureau avec une clope - baclo ça. En plus, les troubles du sommeil n'arrangent rien au tableau.


Mais pour le coup, contrairement à la montée, j'ai bon espoir malgré ces pensées pour l'alcool, qui finissent par s'envoler, comme volutes gitanes, comme disait Gainsbourg - rip. Une vague impression - pour le moment - de me retrouver enfin. En espérant aussi retrouver à terme ces effets subtils de bien-être baclofénique comme au début, à 80mg, où malgré l'appréhension, un palpable sentiment de zenitude se faisait ressentir - le même qui m'a fait reprendre le sport.
Content de te revoir aussi.
Mitya.

De retour ici-même, cette fois-ci en ce qui concerne ma redescente.


Suite aux messages polémiques ci-dessus - que je regrette amèrement tant j'ai eu des bons moment parmi vous - je vous ai écouté et j'ai baissé à 270 quelques jours plus tard. Sans aucun retour de craving, même si toujours quelques EI (oppression pulmonaire, "bruit de ventouse" dans les oreilles, myoclonies en position détendue, rien de nouveau sous le soleil).

Les effets sur l'insomnie se sont pas fait attendre : toujours selon vos conseils, j'ai balancé tous les médocs superflus (rohypnol, mogadon, pour ne citer qu'eux).

Aujourd'hui à 260, les EI se sont calmés, seule persiste cette impression de tête dans un étau. J'entame une redescente progressive et prudente à raison d'un comprimé toutes les 3 semaines même si bien évidemment comme certains d'entre-vous je suis tenté de baisser d'avantage, notamment afin de retrouver un sommeil paisible.

A ce propos; j'ai repris mon Noctamide, seul à même de me faire dormir. Je dors environ 5h/nuit, parfois + ou -, mais c'est sans compter les réveils en pleine nuit - moins en ce moment, intempestifs durant plusieurs jours -, que je mettrais aussi volontiers sous le coup de la chaleur.

A cela s'ajoute un état, que j'avais aussi durant la montée, de nervosité très palpable; je me frotte les mains, j'ai du mal à rester en place, ce n'est pas de l'angoisse et ce sans pensées particulières anxiogènes. Une impression surprenante que mon corps se rebelle, que je ne suis pas à l'aise dedans. Puis parfois ça passe.


Pas de craving, donc, je me suis testé il y a 3 semaines avec une bière forte que je n'aie pas finie et n'ai ressenti aucun effet de plaisir. J'en ai une dans mon frigo qui est là depuis plusieurs jours. J'accuse quand même des pensées sporadiques vis à vis de l'alcool, plusieurs fois par semaine, qui ne me convainquent pas d'aller en acheter, mais me font gamberger jusqu'à ce que je passe à autre chose.


Ces pensées fugaces ont pour objet ma vie avec l'alcool, ainsi je m'interroge quant à ce que je ressentais en buvant malgré tous les méfaits, l'euphorie qui va avec, et que je n'aie plus aujourd'hui. Je me demande comment "c'était avant"; la vodka ayant pris une place importante dans ma vie; régissant rituellement beaucoup d'étapes et de comportements de mon quotidien. Ce ressenti ne me manque pas aujourd'hui, mais les faits sont là; c'est maladif; surtout après ce travail laborieux :


Je m'emmerde sans alcool.

C'est pour ça que j'essaye de voir les choses avec un oeil plus neuf... et ça marche plutôt bien.
Dimitri.

En quel honneur ? On est sur un forum public sur un topic qui traite de questions médicales. J'ai du mal à saisir ces contentieux personnels.

Bon dimanche.

J'épiloguais quant au message de Flo. C'est une réalité importante.

Et ce ne sont pas des états-d'âme; ce sont des constats médicaux concrets.

J'arrête là. Bon dimanche à vous deux.

Je sens comme une pointe d'ironie ?

C'est une génération sclérosée de médecins, en espérant que la relève (dont j'espère faire parti un jour) sera d'avantage à la hauteur.

L'autre soir sur Arte je regardais un reportage sur les ordonnances à rallonge des patients hospitalisés en urgence. Des vieux pour la grande majorité.

On y voyait ce qu'on savait déjà : une incohérence totale au niveau des prescriptions, un manque de communication flagrant entre les spécialistes et les médecins traitants. Des ordonnances de complaisance, négligemment octroyées; où parfois figurent jusqu'à 17 molécules.

Parmi les plus graves interactions : l'utilisation de molécules dans le traitement de maladies cardio-vasculaires et des anti-inflammatoires; responsables d'un taux non négligeable d'hémorragies digestives, parfois mortelles.

Ou encore la prescription a-tire-larigot d’anxiolytiques et de neuroleptiques, d'anti-dépresseurs au moindre bobo psychologique, d'hypnotiques à un âge où les reins éliminent plus laborieusement les médicaments, responsables d'une majorité de chutes chez les personnes âgées nécessitant une hospitalisation en urgence, certaines pouvant s'avérer létales.


La mise au pas progressive et fataliste des malades d'Alzheimer à l'aide de neuroleptiques qui entrainent de sérieux problèmes comportementaux. Alors que des chercheurs ont démontré que cette maladie peut être largement évitée avec un traitement préventif adéquat : suppression de l'hormone de croissance chez l'adulte, la somathormone, qui a un effet délétère sur la démyélinisation (la myéliine est une gaine de longs filaments ayant un rôle dans le bon fonctionnement des neurones) des populations cellulaires neuronales. Pour cela, on pratique une hypophysectomie; intervention chirurgicale consistant à ôter partiellement ou totalement la glande hypophyse. Si on pratiquait systématiquement ces mesures, le taux de prévalence de la maladie d'Alzheimer se réduirait à peau de chagrin.

A noter que la maladie d'Alzheimer touche environ 900k personnes en France et jusqu'à 1. million 300 000 d'ici 2020. Elle est un fardeau insupportable pour les patients et leur famille et aboutira, dans quelques années, à terme, à un sérieux débat sur l'euthanasie. Elle réunit à elle seule un nombre d'hospitalisations supérieure à celles des maladies cancéreuses et cardio-vasculaires.


Vous avez entendu parler de ces mesures en France, pourtant proposées par de nombreux neurologues et chercheurs, dont le pionnier a été le Dr. André Gernez et son équipe de biologistes et d'hystologistes ? Non ? Pourquoi ?


Eh bien, je vous laisserai à vos interrogations.

Bon, reviens-nous avec des bonnes nouvelles alors.

And take care of you.

Pour le Noctamide, ça coute rien d'essayer. Je dis ça, je dis rien. Le libre arbitre, tout ça...

Pour le Spifen, c'est connu : c'est efficace. Mais tu le supportes pas et le Codoliprane marche bien, alors ça va.

Pourquoi t'as peur qu'ils te gardent aux urgences - hormis l'attente ? Pour le Baclo ?

Dès que j'ai lu "dents", j'ai pensé "Spifen". C'est comme "pâtes" : "parmesan".

J'ai JAMAIS eu de problèmes dentaires. Jamais eu mal aux dents. La dernière fois que je suis allé chez le dentiste, c'était en 2008 - ce qui n'est pas du tout recommandé, au demeurant.

Mais c'est cool, ça a l'air d'aller mieux.

Why, warum ?

Oui, je sais pour l'Ibuprophène. J'ai édité plus haut.

Si t'as un ganglion (adénopathie), c'est un signal d'alarme lymphatique à l'origine d'une affection et la seule façon de le faire disparaître c'est de traiter la cause.

Si tu connais bien ta pharmacie (comme moi la mienne qui m'a déjà dépanné du Stilnox), tu peux y aller en rajoutant une couche. Tu dis que ton médecin a l'habitude de t'en prescrire et que là tu douilles ++. Que ça sert à rien d'attendre aux urgences alors qu'il suffit de ton traitement favori en attendant un rdv.

Le meilleur médoc pour ces choses-là, c'est le Spifen. Y a rien de plus efficace.

Ce que tu peux donc faire, Flo, c'est trouver un généraliste qui t'en prescrive en complément d'un antibio (?) en attendant le début de semaine. Tu peux y aller les yeux fermés, c'est un super médoc. Il soulageait les rages de dent terribles de mon ex, et il agit vite. C'est de l'Ibuprophène.

Si tu ne trouves pas de toubib, tu peux appeler le médecin de garde ce soir... je l'ai déjà fait en panne d'hypnotiques.

A ce propos : passe au Noctamide, comme suggéré plus haut. C'est le jour et la nuit.


Bonne nuit.
Enfin je veux dire : bon week-end.


EDIT: j'avais pas vu que tu supportais pas l'Ibuprophène.

Pour le coup je vais être partisan :

Noctamide - et son générique - a beau être une benzo, grâce à ce médoc, je fais des nuits de 5-6h, m'endormant 20mns plus tard et me réveillant frais le matin. Un thé, une douche, et les yeux ne piquent plus. Aucune somnolence diurne. Si on se réveille la nuit pour pisser, pas d'ES à la Stilnox : on est juste fatigué et on tangue un peu, mais on tient sur ses quilles. Pas de gout dégueulasse dans la bouche comme l'Immovane (saloperie).

Pour l'instant, même en descente, je peux pas m'en passer (dans le "bon" sens du terme). Il a la capacité, chez-moi en tout cas, de détendre complètement mon corps en position allongée. Il faut aller coucher 20 mns après en moyenne. Contrairement au Stilnox, il a une demie-vie de 8h, ce qui me permet de me rendormir sereinement. Il est aussi selon mon pharmacien plus puissant que le Stilnox. Selon mon toubib encore, c'est ce qu'on donne aux toxs pour dormir, c'est dire.

Je suis content de l'avoir trouvé. Après, c'est personnel. Une bonne expérience ne vaut pas forcément pour tout le monde. Mais je te conseille d'échanger ton Stilnox afin d'essayer, au moins.

Salut Phil.

As-tu une expérience du Catapressan (clonidine) dans le traitement des tics nerveux ? Cas échéant, as-tu constaté son efficacité par rapport aux neuroleptique ? Merci.

NB: Pour l'article, évoquer le Baclofène aurait été hors-sujet. Quant à savoir ce qu'en pense celui qui a pondu ce papelard...

http://www.zimagez.com/zimage/...10-13-08-46.php

J'arrive pas à la poster en vignette. Elle veut pas.

'jour Flo,


Ayant ajouté récemment un traitement à mon chapelet, je me suis renseigné à juste titre sur les interactions médicamenteuses avec le Baclo. Ce que je n'avais jamais fait.

Si l'ANSM (Agence Nationale de Securité du Médicament et des Produits de Santé) est assez laconique sur le sujet - une seule interaction médicamenteuse concernant les anti-dépresseurs anti-impraminique (risque d'augmentation de l'hypotonie musculaire), les sites anglo-saxons sont eux, beaucoup plus prolixes, compte tenu de leur expérience du médicament et des effectifs plus conséquents de chercheurs et d'universitaires par rapport à ici.


Ainsi, on apprend sur le site américain de référence des professionnels de santé et des patients que le Lyrica (pregabalin) est susceptible d'entrer en conflit avec le Baclofène. On peut y lire : "Contre-indication modérée".


http://img11.hostingpics.net/p...50710130846.png


Idem pour le Zolpidem. J'avais été assez surpris qu'en l'espace d'un mois, et à raison d'une augmentation de 10mg de Baclo tous les 3/j, j'ai été contraint de passer d'un comprimé de Stilnox à deux. Même chose pour les benzos en général lorsque j'ai atteint ma dose seuil : plus aucun ne marchait, même le Rohypnol, réputé pourtant être le plus puissant. Surprenant: le Noctamide ne figure pas parmi la liste des contre-indications, et c'est à ce jour le seul médoc qui me fait dormir.


Même rengaine pour le Prozac :


http://img11.hostingpics.net/p...50710131424.png


Certains anti-dépresseurs ne sont pas épargnés. Ni même certaines benzodiazépines : clonazepam, bromazepam, alpazolam...




Ces données des neurologues et psychiatres américains ne figurent pas dans les bases de données françaises par méconnaissance du produit.

Attention : ces contre-indications ne constituent pas une contre-indication absolue (hormis certaines substances, potentiellement mortelles, tels que le Subutex ou la naltrexone (agoniste des opiacés utilisé en cas de surdosage). Il s'agit de contre-indications modérées, à surveiller. Et subjectives.


Quelle alternative pour le Lyrica alors ? Je sais pô. Un autre produit, ou atteindre ta dose seuil, puis redescendre, reprendre le Lyrica... aucune idée.
Ca se trouve, je fais fausse route.

Parle-en à ton médecin. Je voulais juste te prévenir.
Courage.
Dima.

Je ne dors pas depuis mes 290mg. J'ai augmenté pour conforter mon seuil à 280, mais j'aurais pas dû. Je ne veux pas perdre mon indifférence. Je m'interroge sur 10 ou 20mg de baisse car c'est important à mes yeux. J'ai fait des sacrifices pour en arriver jusque-là, je ne veux pas les voir réduits à néant. Je ne sais pas quoi faire entre rester à 270 et risquer de reboire ou rester à 275. J'alterne depuis 3 jours. Je ne sais pas où je vais. Tout recommencer. Je ne veux pas replonger dans l'alcool, comme en janvier, mais je ne peux pas vivre éternellement avec ces insomnies. J'ai peur, je m'inquiète, et c'est normal, et c'est pas avec des réactions de ce genre que je vais m'en sortir. Mettez-vous à ma place : les insomnies ou le risque de replonger. C'est normal de s'interroger.

Pour le reste Sylvie, je sais pas, c'est tellement bas que pour en parler faudrait que je me fasse mal au dos. T'es loupé le coche.

De toute manière je ne viendrai plus ici et je m'adresserai qu'à Jack et Pascal.

Merci Martha, Manue, et les autres pour votre soutien.

Les autres, je vous oublie comme de mauvaises lectures.

Veillant, tu n'es pas à ma place, tu causes; tu causes, mais tu ne sais pas ce que je vis.

Je réitère mes propos :

J'avais mon seuil à 280mg. J'ai augmenté par acquis de conscience à 290. Pour causes d'insomnies, j'ai dû baisser. Mais la question de fond, à laquelle tu n'as pas répondu, à laquelle tu ne veux sûrement pas répondre, c'est trouver un juste milieu entre 270 et 275. Je tâtonne, je ne sais pas où je vais, je ne sais même pas où je suis, je n'ai pas envie de reboire. Pascal, Jack et Phil m'ont conseillé de descendre, à raison d'un cacheton toute slles 3 semaines environ. 270, 275 ? Je ne sais pas. De toute façon, j'ai atteint son seuil. Donc le plus gros est fait. Je ne pourrai pas rester éternellement à me cachetonner la gueule de Noctamide, il faut bien, à un moment, faire un choix. Le bon choix.

D'ailleurs je ne sais pas qu'est ce que tu fous mon fil si c'est pour me haranguer, avec ts diatribes et ta suffisance. Tu n'as jamais énoncé quoi que ce soit de constructif.

Va prendre l'air, et ne reviens plus ici. Va voir ailleurs si j'y suis.

Là je lis les "Méditations sur l'amour" du grand Ibn-Arabi. Lis-le, tu m'en diras ce que t'en penses.

D'ailleurs ça m'a fait penser pour diverger que j'ai revu le sublime reportage sur les bonnets rouges du Tibet du grand Arnaud Desjardins ("Le lac des Yogis") - qui a d'ailleurs fait un excellent reportage sur les soufis d'Afghanistan que je te recommande.

Le bouddhisme tibétain représente moins de 2% des bouddhistes du monde. Et même au Tibet, il existe quatre écoles bouddhistes séparées, le Dalaï-lama appartenant à l’une d’elles, la gelugpa (les ‘vertueux’ aux bonnets jaunes).

Quand je pense que cet homme a été financé par la CIA et a plaidé en faveur du dictateur fasciste Pinochet pour sa libération à Londres ou louait Bush pour ses "services rendus à la démocratie", que comme le disait si justement le grand René Guénon dans la revue la Gnose en 1910, avant que la Chine débarque, l'esclavage était encore monnaie courante au Tibet, je me dis, quand même, on est bien lotis en France...

MM parmi les choix, il y a les bons choix. Et les mauvais. Il y a mieux, le moins pire et le mauvais.

Je vais donc rester à 275mg.

Et si je reconsomme ben, tant pis...

270 en me disant que j'étais déjà indifférent, donc ça va le faire.

Mais du coup, j'hésite à remonter à 275 maintenant...

C'est un bordel pas possible, j'essaye d'écouter tout le monde mais j'ai des avis divergents.

Ou alors je remonte à 280, ma dose seuil...

Parce qu'en me disant 270, ça va le faire puisque je suis resté 10 jours à ma dose seuil et que je n'ai rien consommé.

Je fais quoi à votre avis ? Je remonte à 275 ou 280 dans l'optique d'y rester 1 mois puis de redescendre, ou redescendre tout de suite ?

Parce que j'ai pas mal d'avis divergents, certains me disent (comme Phil, Jack ou Pascal) de redescendre, vous me dites que je dois rester à mon seuil... je suis un peu paumé.

Ma dose de 13h, je la prends quand même ? Je rajoute 5 ?

Le problème, c'est que ça fait 2 jours que je suis à 270...

Demain je retourne donc à 275 ?

Qu'est ce que tu ferais à ma place Loup ?

Nota beignet : et comme j'ai oublié ma prise de 13h, je fais comment ? Je la prends quand même ?


Je sais que je pose beaucoup de questions. Mais vous savez bien que je suis inquiet. Je suis venu ici en janvier avec un foie malade, et deux flasques de vodka journalières et du tabac ++. Après moultes sacrifices, j'ai pas envie de tout rater. J'ai le désir de bien faire, et il n'y a que vous qui puissiez m'aider. Il en va de ma santé, de mes études, bref, de ma vie. Je peux pas tout rater à 21 ans. J'ai déjà tout raté à cause de l'alcool : mes études, ma famille, mes amours, mes amis...

Il m'a surtout dit "d'arrêter de douter de toi. Baisse, doucement, et ne remplace pas ton addiction par des doutes car sinon c'est invivable".

Ca m'a fait du bien d'aller le voir.


Ha! Et autre chose, même si je sens que ça arrive doucement :

Cet après-midi et en début de soirée, je n'ai presque eu aucune somnolence. D'habitude, je ferme les yeux tout le temps mais aujourd'hui, j'ai plutôt bien tenu. Mes yeux ont l'air d'aller mieux aussi.

Mon médecin me dit :

"Je vais me coucher à 1h et je me lève à 5h45 tous les jours".

Comme quoi, on peut vivre (survivre ?) avec 5h de sommeil par jour...

Bonjour à tous !


Alors nouvelles du jour :


Je suis à 270mg. Par contre, j'ai oublié de prendre ma prise de 13h ! (Au lieu de la prendre, je l'ai machinalement miise dans mon pillulier). Que faire ? La prendre à 20h ? Ou attendre demain ?


J'ai été chez mon médecin aujourd'hui, qui me suit pour le Baclo et pour mes insomnies.

Il a été très compréhensif et nous avons bien discutés.
mg
1) Il m'a assuré que j'ai atteint ma dose seuil. Il me conseille de redescendre de 10mg toutes les 3 semaines. Ce qui est déjà bien.

2) La "mauvaise" nouvelle, c'est que comme il me l'a dit, même si j'ai baissé de 20mg mon cerveau lui est toujours programmé sur 290. Il ne m'a pas assuré que même en baissant, je retrouverai cette sensibilité aux somnières que j'avais autrefois... comme je peux très bien la retrouver bientôt. Ou dans plusieurs mois...

Je m'attends donc à supporter ces insomnies insupportables pendant plusieurs jours, semaines, mois...

Après, reste à trouver ma dose de confort. Mais "ça, on en parlera en temps voulu".


J'ai décidé aussi de jeter mes cochonneries de somnifères à la poubelle, ne gardan tque le Noctamide qui m'avait fait du bien.


voilà...

Bonne soirée à tous.
Dit-mie-trie.

Bonne journée Tchoupi. Tiens le coup.

J'ai dû m'endormir vers 6h jusqu'à 10h. C'est toujours ces heures-là d'ailleus ça m'impressionne... Je suis crevé comme pas possible, je prends mes médccs à 23h, et je m'endors toujours à 5h. Comme disent les Anglo-saxons : what's the f*** ?!

Déjà 3 jours aujourd'hui que j'ai baissé. J'en suis à 275mg - j'ai préféré baisser de 15 pour être sûr d'avoir un sommeil confortable, mais même si c'est à 4h aujourd'hui, faut dire que j'ai pris mon Rohypnole à 23h ...

Mes questions sont journalières :

Ayant atteint ma dose seuil, Pascal m'a dit que je pouvais baisser à 270mg, c'est à dire 20mg d'un coup. Donc 270 - puisque j'étais à 290 pendant 10 jours - cette fameuse dose qui m'emmerde tellement aujourd'hui.
Sans remettre sa parole en doute mais il est toujours de bon augure d'avoir plusieurs avis, baisser de 20mg d'un coup, ce serait pas trop ? De toute façon j'en suis à 275 là, alors bon...

Par ailleurs, une autre baclopote très gentille qui est descente aussi et que vous connaissez bien (son pseudo commence par un F) m'a donné un autre son de cloche : la redescente peut se faire à 10mg tous les 15 jours. Votre avis ?


Le gras l'italique et toute la panoplie ne fonctionne pas chez-moi ça vous faciliterait l'avis, je m'en doute...

C'est vrai...

C'est malsain, mais je suis content de ne pas être seul.

Putain, je suis crevé...

J'espère que cette baisse de 15mg sera effective vite, très vite, parce que là... Faut combien de temps à peu près ?

Ca y est. Encore une nuit d'insomnie. Rien ne fait effet. Et mon médecin consulte que l'après-midi...

J'ai pourtant baissé de 15mg il y a deux jours. Quand est-ce que ça va faire effet... ?

7H de ommeil depuis une semaine...

Je ne sais plus quoi faire.

Je me souviens que fin mars encore, je suis allé voir une copine, et sur place, je dormais 8h avec 15 gouttes de Théralène. Pas de somnolence, rien. Par contre j'en étais à 2 flasques par jour... J'en étais genre à 200mg, un truc comme ça...

Ca va me faire bizarre de redormir sans somnifères, naturellement. Et sans envies d'alcool.

J'ai hate. J'espère vraiment que la redescente se fera sans encombres. Là, à 290, et même à 280, je n'en avais plus envie.

Merci à tous pour vos conseils, je vais donc entamer ma descente, étant à 275mg depuis 2 jours, doses où je consommais encore, mais là même si j'ai peur de reconsommer, pas de craving, rien. En espérant que ça aille mieux niveau insomnie.

Puis j'enlèverai 10 chaque mois. Et comme me l'a suggéré Pascal et d'autres, si les envies se repointent, 10mg en sublingual.

Mais c'est marrant quand même... il suffit d'atteindre sa dose seuil pour que l'on puisse redescendre ? C'est un peu comme une "suture" neurobiologique en fin de compte ?

:o)

Il y a plusieurs questions qui me taraudent :

Si je descends, admettons à 275mg (exemple), à cette dose je buvais encore. Moins, mais je buvais encore. Le fait que j'ai atteint ma dose seuil, ça changerait complètement la donne ? On peut dire que chimiquement, "le travail" est fait ? Donc je serais pas obligé de reboire si je descends ?

Une autre question :

Si je loupe le coche en descendant, je serai obligé de tout recommencer ? Ca me fait flipper.
Merci.

Loup :

Quand tu dis "ne pas banaliser" une consommation quotidienne" qu'entends-tu par là ?

Tu es en descente toi aussi ?

Merci pour vos réponses les filles.

J'en ai discuté avec Phil et Pascal et en effet, vu mes ES, il est préférable de commencer doucement la redescente. 10mg toutes les 3 semaines est en effet correct.

La question c'est : je peux commencer maintenant ?

Parce que là j'ai baissé de 10mg hier donc bon, ça ferait 20 mg... C'est jouable ?

Dernière question : vous pensez que lorsque l'on baisse de 10mg comme j'ai fait hier, en combien de temps ça fait effet à peu près (bien que j'imagine que ça dépend des personnes) ?

Merci.
PS: à cause de la fatigue j'ai chopé des aphtes sous la langue... ça n'arrange rien !

Cet échange tourne au ridicule, je me tire.

http://img11.hostingpics.net/p...50601010641.jpg

Et ça c'est réel ?

Et non, pour les protocoles de redescente, je ne sais pas. Je ne suis pas un inculte, je suis un profane : je ne sais pas connaître quelque chose qui ne me concerne pas encore.

Bien-sûr, je fais vivre le fil par plaisir. Vous pensez que ça me fait rire ? Allons, un peu de sérieux ! Si vous le souhaitez, je ne posterai plus, comme ça c'est dit. J'ai certainement pas besoin de ça et je tiens ce topic depuis janvier ! On y a vu mes insomnies, mais aussi ma guérison.



Je suis évidemment ouvert aux conseils de Martha, Loup, et consorts. Mais j'ai posé des questions sur la descente, et personne ne m'a répondu. La seule solution que j'ai trouvée, c'est de baisser de 10mg. Retrouver ma dose seuil.

Donc, pour le futur :

Comment gérer une descente ? Si craving il y a, comment faire ? Tout recommencer depuis le départ ou, comme me l'a signifié Sylvie; 10mg tous les 15 jours/3 semaines suffisent ?


Dire que je fais vivre ce fil pour le plaisir, c'est vraiment la goutte de trop.
Dimitri.

Même ma mère avec qui je ne suis pas très proche a tellement eu de peine qu'elle m'a proposé de dormir chez elle sur un futon.

j'ai bien refusé, ne voulant pas que ma tristesse soit contagieuse.

Merci MM.

J'ai déjà essayé avec un, Velvet, même le premier jour : je ne dormais pas... Le Baclo est plus fort que tout et j'ai eus les EI les plus forts. Inhumains. J'ai toujours dit que je ne lâcherai pas. Mais là...


Je vous envoie le message que j'ai envoyé à Pascal :


"Depuis que j'ai augmenté à 290, tous les hypnotiques ne fonctionnent plus. J'imagine donc que j'ai fait une surcharge de Baclo, ou quelque chose comme ça ?

Par ailleurs, je ne bois plus et n'ai plus envie de boire. Les insomnies me pèsent, et j'aimerais reprendre des études en septembre. C'est pour ça que j'envisage de descendre, lentement mais sûrement. Mais est-ce que j'aurai un craving ? Si oui, comment faire ? Tout recommencer ? Ca me fait peur... ou y aller tout doucement ?

Parce qu'une fois que cette "suture" (grossièrement) en acide gaba est faite, après c'est bon, on peut descendre, pas besoin de rester des mois à sa dose ?


Je t'avouerai que depuis une semaine - date de mon augmentation - ça ne va plus du tout. Je ne mange plus, je ne dors plus, et ça ne me ressemble pas, mais je passe mes journées à chialer comme un con dans mon lit.

J'ai décidé de retourner à mes 280mg, ma dose seuil, mais combien de temps ça prendra avant de revenir à la normale ? C'est ça la question...

J'ai soustrait 10mg sur la dernière prise.

Ainsi je fais : 9h : 90 / 13h : 100 / et enfin 17h 90 (100 il y a encore quelques jours).

Ca va pas putain..."

En effet tu ne piges pas bien.

Il me semble pourtant avoir été clair :


Le Rohypnole comme tous les hypnotiques ne sont pas une solution curative viable. Ce n'est pas une fin en soi et on s'en fout de ça. Je me suis dirigé par acquis de conscience vers cette molécule étant réfractaire aux autres depuis peu - et j'insiste là-dessus : depuis peu.

En tout et pour tout, cela fait semaines que je prends des hypnotiques, sans ça, je ne dors pas. J'ai beau essayé; me targuer d'une bonne hygiène de vie et de la pratique assidue d'un sport, le fait est que sans hypnotiques, je ne dors pas. C'est d'ailleurs à cet effet qu'ils ont été inventés. C'était ça, ou l'arrêt du Baclo et donc retour à l'alcool.

A 280mg, ma dose seuil a priori, mon Stilnox faisait effet. Il y a encore 10 jours, je dormais plutôt bien. Vraisemblablement pour corroborer mon seuil, j'ai augmenté à 290 mg il y a une semaine. Depuis, plus rien ne fait effet, je ne dors plus. Ou 1h par nuit. Je fais donc la relation : il s'agit donc de ces fameux 290mg qui m'empêchent de dormir. J'imagine - je ne sais pas - que j'ai fait une surcharge de Baclo.


Comme désormais il faut agir: j'ai donc décidé de baisser de 10MG.

Bah Flo, il faisait encore effet il y a 6 jours lorsque j'étais à 280... puis j'en ai pris qu'un mois, en changeant de molécule. Un seul ne m'a jamais fait effet. Dès que je suis à 290 je ne dors plus. Je réduirai lorsque je descendrai, pour l'instant pas le choix.

Martha : aucun risque je sors d'une cure de levure de bière et de magnésium.

J'espère seulement que ça ne prendra pas longtemps à faire effet cette diminution...

Flo : lis bien, je ne dors plus depuis que je suis à 290, soit 10mg de plus que ma dose seuil !

Surdose de Baclo, c'est possible ça... ?

J'ai enlevé 10mg déjà hier, je vais le faire sur la dernière prise...

Après je me demande si j'étais pas indifférent à 275, en fait... Je me souviens plus. Mais il me semble qu'à 280, en plus de ne plus boire, je dormais ! Pas beaucoup certes, mais je dormais !

Merci pour ta réponse.

Dans la mesure où l'insomnie et la somnolence sont inhérentes au Baclo, j'accepte les règles du jeu depuis le départ. Sans les benzos, je ne dormais pas. Et si je ne dormais pas, j'arrêtais le traitement. Aujourd'hui, j'ai trouvé ma dose seuil, mais par acquis de conscience, j'ai ajouté 10mg de plus. Depuis, je ne dors plus. J'ai donc décidé de repartir à ma dose seuil (280), où là, je dormais 5h/nuit et m'en sortais pas trop mal.

Mon seul soucis dorénavant, c'est de dormir. Car là c'est un cauchemard : j'en ai eu des insomnies, notamment pendant les augmentations, mais un demi-stilnox et hop, c'était reparti comme en 40. Là, pour te donner une idée : avec tous les hypnotiques, je ne dors plus !

J'aimerais aussi, si c'est possible et étant donné que j'ai trouvé ma dose seuil, commencer à baisser doucement, de l'ordre de 15mg toutes les 3 semaines environ.

Là aussi j'aimerais que l'on me réponde.

Pour finir : l'hospitalisation en clinique du sommeil ? J'y ai pensé. Mais avant le Baclofène, je dormais très bien. Et il y a une semaine aussi. Ils vont me faire des examens, vont se rendre compte que c'est le Baclofène, et après ? Ils ne me donneront rien pour dormir. Il n'y a rien de plus puissant que le Rohypnole, et je dors pas.

J'ai déjà glissé le mot à mon médecin : ça servirait à rien.


A votre avis. Ca pourrait faire effet ce soir ces 10mg de moins ? Parce que je vais peter un cable.

Chère Martha,

J'ai déjà essayé le Donormyl. Dis-toi, je prends du Rohypnole, le plus puissant somnifère en Belgique et autrefois en France, il équivaut à dix fois le valium ! Eh bien, je ne dors même pas avec ça...


Je suis fatigué la nuit, je titube, je n'arrive même pas à garder les yeux ouverts, mais si je me couche, j'entends mon coeur battre, je me lève en sursaut, j'ai du mal à respirer (EI), je ressens comme une grosse oppression pulmonaire et là c'est tout bonnement impossible de dormir. On a l'impression de crever, on se frotte les yeux et ils tombent de fatigue...

C'est insupportable. Et ça fait 1 semaine.

Du coup comme personne m'a répondu :

Les prises j'ai fait 11h (pas le choix), 14h h et la dernière 17h. 280 donc.

Demain je suirai le conseil de Manue, dernière prise à 16h.


La grande question c'est ; est-ce ça ferait effet ce soir ?

Ouais mais là j'ai commencé à 11h ! Exceptionnellement.

Qu'est ce que tu ferais à ma place ?

Tu sais, je ne peux pas dormir du tout dans cas-là Manue...

Pour les prises t'en pense quoi ?

Dormi de 8 à 11, c'est ce qui est déjà un peu mieux...

Du coup j'ai pris ma prise à 11h. Comment je pourrais faire pour les suivantes ?

Et j'enlève 10 sur la dernière, comme le suggère Loup Blanc ?

Et ça prendra effet demain ? Je vais baisser de 20 mg plutôt.

Là ce soir, impossible de dormir : coeur qui bat, impression d'étouffer... Impossible de dormir.....

Putain IMPOSSIBLE de dormir ! Aucune phase d'endormissement, rien. Je suis tellement mort que j'entends mon coeur qui bat dans mes oreilles, mal à respirer... Chez le toubib en Belgique : tension à 15 100 pulsations/mns...

Pourtant je suis crevé, j'arrête pas de me prendre la tête dans les mains...

J'ai des bouffées de chaleur mais j'ai froid.

Je vous jure que si ça va pas mieux demain j'arrête le Baclo. Je diminue de 15 en 15, je sais pas, mais je fais quelque chose...

Merci Manue, t'es une chef.

J'espère que Sylvie passera par ici.