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Elfe
05 Juillet 2016, 18:08
Merci Manue :D

Claude, Sylvie, grand merci pour votre aide.

Pression retombée depuis hier, je serai donc moins souvent en intervention et ai donc débuté cette nouvelle répartition il y a 24 heures.
Par contre, impossible d'être soft, passer de 4 à 5 prises ne pouvait se faire qu'en chamboulant tout !
Sylvie, j'ai fait le choix de la dernière : début à 11 heures et fin à 18 heures.
 
Elfe
27 Juin 2016, 12:53
Sans aucun doute pour les exigences que j'ai envers moi-même... J'y ai déjà beaucoup travaillé et réussis à réguler "au mieux" (mais parfois je n'ai pas le choix - ce mois de juin est très chargé)
Oui pour l'épuisement et la compensation.
La boulimie a d'ailleurs été longtemps une façon de me punir / purger de n'être pas assez bien alors que je me fixais des objectifs inatteignables et je ne pouvais qu'être déçue.

Je vais donc tenter une nouvelle répartition : je bouge de 10 mg par semaine ou un rythme plus rapide est envisageable ?

Thanx !
 
Elfe
27 Juin 2016, 11:08
Claude,
Merci pour ta réponse !

Je ne sais plus pour le passage de 170 à 200, ça remonte à un bail !

17 / 18.00, fin de la journée avec peut être ce sentiment de n'avoir pas assez accompli, ou, lorsque que je suis en formation (j'officie en tant que consultante), le début de ma deuxième journée (administratif, préparation de la suivante, etc.) et ce besoin de "recharger les batteries" car j'aimerais juste me reposer.
Je réalise en t'écrivant que c'est vraiment de la nourriture compensatoire pour m'aider à continuer alors que je suis fatiguée et que j'aimerais pouvoir décompresser.

La prise de baclo commence à me peser également : j'ai remarqué que les alarmes m'insupportent depuis quelque temps...
 
Elfe
27 Juin 2016, 10:22
Me revoilà quasiment un an après jour pour jour...

Les 170 sont devenus des 200 et je n'ai pas entamé la descente.
Mon année fut intense : j'ai monté ma boîte et le stress a de réels effets négatifs sur mon mental et mon physique (angoisse du travail à fournir et "nécessité" d'énergie pour tenir -> je mange)

Les cravings reviennent tous les soirs à partir de 17 / 18 heures et la seule solution que je connaisse pour éviter une prise de poids spectaculaire est de me faire vomir :fsb2_omg: ...

C'est extrêmement difficile psychologiquement, comme une sensation que je ne m'en sortirai jamais.
J'ai besoin d'aide pour un éventuel réajustement.

Heures de prise :
10:00, 40
12:30, 40
14:30, 40
17:00, 40
19:30, 40

Je n'ai pas d'ES et mon activité ralentit fortement en juillet et en août.
Merci pour vos suggestions et votre aide !
 
Elfe
09 Juin 2015, 12:07
D'excellentes nouvelles à partager avec vous 😊

A mon arrivée en centre de rééducation, j'ai demandé à rencontrer la diététicienne.
Consultation d'une heure où je l'"éveille" à certaines choses dont le recours au baclofène pour les personnes TCA.
Ce fut également pour moi ma première utilisation d'un impédancemètre.

Deuxième rendez vous aujourd'hui après dix jours et je pleure de joie...
J'ai perdu 2 kg (je suis à 1600 calories par jour), 4 points de masse grasse, 1 de graisse viscérale et gagné 2 points de masse maigre.
Et - 17 kilos depuis le début du traitement.

Mais surtout, je suis dans toutes les "normes", moi qui ai été mise au régime à 4 ans, ai commencé à manger en cachette à 8, à me faire vomir à 13, ai fait 120 kilos, ai tout essayé jusqu'au baclo...

Je pleure à chaudes larmes de toutes ces luttes, ces souffrances, ces désespoirs...

Aujourd'hui, mon seul objectif est de me faire du bien, de prendre soin de moi.

Il va falloir que j'entame la "descente". Je ne suis pas prête, tant que je suis en rééducation et que mon genou n'a pas retrouvé toutes ses capacités, à l'entreprendre.

Ma gratitude la plus sincère au forum.
 
Elfe
03 Juin 2015, 18:24
Je viens de t'envoyer un MP avec mon numéro de tel.
Bises
 
Elfe
03 Juin 2015, 17:58
Bonjour April,

J'ai commencé à prendre du baclo à la mi octobre, suis passée par deux "faux seuils", mes crises ont doublées voire triplées par moment, ai pris du poids et n'ai commencé qu'à sentir un mieux à la mi mars (donc cinq mois après)
J'ai pris mon temps et n'ai jamais douté, en me référant au forum, du résultat : une réelle rédemption avec un parcours ressemblant au tien.
Crois en toi, crois en ce que tu lis ici et tiens bon la barre 😀

Du courage !
 
Elfe
28 Mai 2015, 21:49
Des nouvelles !

Bonsoir à toutes (tous ?)

Mon opération s'est bien passée.
Je m'inquiétais un tantinet des possibles ES des non prises durant l'anesthésie et finalement n'en ai ressenti aucun : opérée à 15.00, j'ai pu faire mes deux premières prises, ai "sauté" les deux suivantes, puis ai pu prendre la dernière (donc -60 mg sur 24 heures).

Je continue à surfer sur mes 170 mg depuis deux mois et demi, ai perdu 15 kg (en "forçant" au départ suite à la demande de mon chirurgien pour cause de rééducation du genou) et ai vraiment trouvé mon rythme au niveau des repas.
Il va me falloir manger plus : je viens d'arriver au centre de rééducation et vais donc dépenser plus d'énergie que ces derniers mois (mon genoux fonctionnant mal, je bougeais peu) et vois la nutritionniste demain.

Je redis à nouveau que mon seuil s'est installé sur quinze jours et que, alors que je sentais les prémices depuis quelques temps (trois semaines), j'ai préféré ne pas augmenter pour ne pas le rater.

Par ailleurs, depuis le début de mon parcours, j'ai "éradiqué" le gluten de mon alimentation (je suis fibromyalgique) et en ressens les bénéfices au quotidien : moins de fatigue, plus cette sensation d'être une "énorme tendinite", plus d'allergie, aucune maladie cet hiver et une baisse significative de l'apport de glucides "blancs et raffinés".

Le forum a été et reste une base de données non négligeable. Encore merci pour toutes ces précieuses informations.
Une belle soirée.
 
Elfe
26 Avril 2015, 10:30
Sophie,

Je vais mettre, dans la semaine qui vient, sur mon fil, une biblio / audio / weblo graphie de mes sources.

Et j'espère être toujours en chantier, longtemps encore ! 😊
 
Elfe
25 Avril 2015, 8:43
Bonjour Sophie,

Seuil atteint pour moi à 170 mg.
J'avais décidé, dès les 150 mg et pressentant le seuil, de rester quinze jours avant chaque augmentation (et j'ai eu raison car le seuil ne s'est pas installé du jour au lendemain mais sur la durée)
Comme le conseillent plusieurs personnes, j'avais moi aussi changé ma répartition en prévenant les crises de soirée (18.00 à 22.00 me concernant).
J'ai continué à grossir jusqu'au seuil et les crises étaient en plus grande partie faites pour contrôler ce poids et non plus comme un derivatif à un des émotions mal gérées et envahissantes.

J'ai appris la patience avec le baclo, moi, l'impulsive, la reine du "tout de suite maintenant" (typique des crises : vite vite mon shoot pour oublier), appris à m'écouter, me respecter. C'est un vrai chemin de vie, une philosophie d'existence (j'ai en parallèle fait bcp de développement personnel et commencer à méditer)

Plein de courage !
🍀
 
Elfe
25 Avril 2015, 8:17
Merci à toutes pour vos réponses 😀

Je suis passée aujourd'hui du statut "d'obèse" à "en surpoids".

Je réalise également que le baclo est une béquille non une fin en soi et qu'une alimentation saine ainsi que la pratique régulière de sport m'ont permis de me (re)connecter à mon corps (je m'aime et je me respecte, je suis ce que je mange).
En dehors des crises, j'ai petit à petit, à partir de la mi octobre, éliminer alcool, café, gluten, aliments raffinés, fritures... (je suis d'une chiantise en soirées ou au resto 😏, tout le monde se fiche de moi)

Je suis partie gagnante, dės le départ, persuadée du résultat (merci, merci le forum et les témoignages de réussite), ayant "épuisé" toutes les autres solutions (régimes à répétition depuis mon enfance, thérapie cognitive comportementaliste, sophrologie, analyse, opération gastrique)

La méditation m'a également beaucoup aidée dans sa vision "globalisante" de l'être : je suis désormais UN et ne dissocie plus esprit / corps. Mon esprit luttait en permanence pour que mon corps m'obéisse alors qu'il me suffit d'être bienveillante envers moi, d'accepter qui je suis, mes failles, mes doutes, mes défauts, mon passé et de vivre pleinement le moment actuel : être présente, à moi au quotidien sans questionner le passé (qui ne peut être changé) ou angoissée pour l'avenir (je ne SAIS pas qui je serai demain)

Les regards changent avec ces 11 kilos en moins, j'en étais dépitée la semaine dernière (je suis la MÊME qu'avant) et, après une discussion avec un ami, accepte cette superficialité de l'apparence sans rentrer dans ce jeu.
Abusée plusieurs fois à la sortie de l'enfance et adolescente, mes kilos m'ont longtemps servi de carapace, une enveloppe moelleuse de protection. Ma philosophie quand au futur me permet de ne plus avoir peur aujourd'hui.

Je vous embrasse, cyberfriends et vous souhaite de belles choses dans ce parcours engagé.
🌹
 
Elfe
18 Avril 2015, 12:03
Guérie 😀

Merci à toutes les deux pour vos réponses.

J'ai trouvé la mienne : les années d'analyse m'ont fait décortiquer mon passé et le comprendre. Je continuais pourtant à le trifouiller et à ressasser, à tenter de répondre à "pourquoi ?" alors que finalement c'est à "comment" que je dois me confronter.
Comment je gère aujourd'hui avec qui je suis ?

Assimiler mon passé aux cicatrices de mon corps est l'image qui me convient le mieux : beaucoup de souffrances sur l'instant, elles font partie de moi, renvoient à des moments précis, mais je ne les vois plus, ne les inspecte pas au quotidien.
Je m'applique donc aujourd'hui à vivre dans l'instant, sans nostalgie ou crainte du passé et sans frayeur du futur.

J'ai commencé à méditer, me recentrer dans l'univers, sortir du "trop", de la société de consommation et tout prend sens, même au niveau de l'alimentation (plus de crises, d'alcool, de café, de gluten), of course avec l'aide du baclo. car...

Une grande et excellente nouvelle : JE SUIS GUÉRIE !
Stabilité depuis trois semaines à 170 milligrammes. Presque six mois en suivant à la lettre les conseils de Sissi : une montée longue et toute en douceur (+ 5 mg tous les 7 jours puis + 10 mg tous les 7 jours à partir de 100 mg)
Aucun ES invalidants, seuls la longueur du traitement, le coucher avec les poules et les prises fractionnées à heure régulière furent difficiles.

Le forum est mon plus grand soutien. Même si je poste peu, la lecture des diverses expériences m'a toujours confortée et rassurée. Je n'ai par contre jamais douté du résultat,

Merci à tous.
 
Elfe
03 Avril 2015, 22:16
Sissi, quand je parle d'efforts, ce sont ceux pour le baclofène et les désagréments au quotidien que cela implique.
Aucun effort dans le fait de manger sain ou sans gluten.
Concernant les pulsions, je n'en ai plus depuis plusieurs semaines même si je continue, très ponctuellement (une ou deux fois par mois) à me "purger" dans une notion d'auto flagellation.

La perte de poids est effectivement "forcée" : j'ai une lourde opération du genou gauche (la troisième sur ce genou) fin avril et moins je pèserai, plus son succès sera garanti.

Quand au fait de souhaiter perdre du poids, bien sûr que je le veux !
Le baclofène est une des dernières solutions qui s'offrent à moi après un long parcours débuté adolescente.

Mais j'ai cette impression amère de trahir ma famille, mon passé, en m'allégeant....
 
Elfe
03 Avril 2015, 20:19
Bonsoir,

Besoin (et urgence, vu l'angoisse qui "monte") de partager avec vous ce soir.

J'ai perdu 7 kilos en un mois, alimentation très saine, pas de gluten, des efforts, un long chemin depuis le début de l'aventure baclofène à la mi octobre.

Et ce soir, énorme angoisse en constatant que j'avais "encore" perdu du poids (situation se répétant inlassablement) : la petite fille de 5 ans qui est en moi parle "tout ne peut pas être si simple, tu dois souffrir, tu ne peux pas réussir. Être mince, c'est pour les gens biens. Tu dois payer car tu n'es pas conforme à ce que tes parents attendent de toi. Être grosse est ton fardeau afin que tu n'oublies pas combien tu es rebutante"

J'ai 44 ans, du travail psy derrière moi, un énorme boulot fait du côté du développement personnel depuis un an et j'en suis là...

Je lisais dernièrement un fil où une personne boulimique expliquait combien se faire vomir était une façon de se maltraiter et de se punir. Il en est de même pour moi avec mon surpoids.

Je sais que ce dont je parle n'a rien à voir avec le baclo, mais si certaines ont vécu des situations similaires, je suis preneuse d'idées pour débloquer ce nœud.

Merci pour vos réponses.
 
Elfe
13 Février 2015, 22:02
Quand j'ai lu "Tu as deux fils, mieux vaut en fermer un", je me suis dit (je me parle à moi même) "zut, un nouvel ES"
😉
(Je venais de lire ta présentation et ai assimilé "fils" à "garçons" !!)
 
Elfe
10 Février 2015, 23:40
Bonsoir Ursula et bienvenue à toi !

Bon courage pour ce début d'aventure.

Les ES énoncés sont "possibles" mais il se peut que tous ne soient pas cumulés : je suis actuellement à 130 mg, dors au moins sept heures d'affilée par nuit, ne "gonfle" pas, prends et reperds du poids mais reste finalement au meme que celui du départ, ai une libido (avec orgasmes) des plus épanouissantes, etc. etc.
Je dois par contre me concentrer plus, déplore un bourdonnement constant mais mes ES les plus "handicapants" furent très ponctuels.

Je me dis que de toutes façons, je n'ai pas le choix, que ces ES sont ponctuels et que dans un an tout au plus, ils auront disparu !

De belles pensées.
 
Elfe
07 Février 2015, 14:38
Une autre question :

Une fois le seuil atteint, certaines habitudes ont elles perduré quelques temps (chercher dans le frigo comment calmer une angoisse mais sans avoir envie de quoi que ce soit en particulier par exemple) ?
 
Elfe
07 Février 2015, 14:36
Merci de vos réponses !
 
Elfe
01 Février 2015, 19:36
Sissi et Sylvie, "indifférence" dans le sens ne plus grignoter, "trop" penser à la nourriture, devoir me restreindre.
Le terme est peut être inexact ;-) mais pour moi, l’indifférence représente une relation saine à la nourriture et non plus un état de dépendance.
 
Elfe
31 Janvier 2015, 23:32
Merci infiniment Fripoune !
Je suis rassurée 😀

J'avais peur que ces quatre mois de "montée" soient réduits à néant...

You definitely go on this forum !
 
Elfe
31 Janvier 2015, 20:59
Soleil, merci pour tes encouragements.

Je ne me fais aucune idée quant à mon seuil, accueille les crises si et quand il y en a sans penser que je chute.
J'ai acquis que cela fait partie du processus.
J'avance, confiante sans trop me poser de questions.
J'accueillerai le seuil avec une grande joie mais me réjouis déjà de ce parcours et de la bienveillance rencontrée ici.

Mon seul doute est une future opération du genou... J'espère ne pas devoir tout recommencer...
 
Elfe
31 Janvier 2015, 20:54
Sylvie, en lisant les posts, je vois que tu sembles être une pro des répartitions...

Peux tu me donner ton avis sur les miennes (que j'ai modifié cette semaine)

11.00 : 20
13.30 : 30
16.00 : 30
18.30 : 20
20.30 : 20
=120 mg

Cravings la plupart du temps en fin d'après midi et soirée.
Je pensais mon seuil atteint à 105 mg, ce qui n'est pas le cas.
Quasiment plus de crises, de vomissements (minime, une fois tous les quinze jours et encore), plus de grand attrait pour la nourriture mais pas encore d'indifférence.

Merci pour t'es conseils ! Bonne soirée 🌹
 
Elfe
31 Janvier 2015, 20:10
Bonsoir, je vais prochainement me faire opérer du genou (date non fixée pour le moment), qu'en est il de mon traitement baclofene dans ces conditions ?
Merci de votre réponse.
 
Elfe
25 Janvier 2015, 18:31
Merci de tes indications, Jam !
 
Elfe
25 Janvier 2015, 18:30
Le syndrome pré-menstruel (+ nouveau traitement hormonal) peut il incider fortement ?
Aucune augmentation de ma part, et l'indifférence réapparaît aujourd'hui.
 
Elfe
25 Janvier 2015, 10:17
Merci de ta réponse, Sissi.

Je ne pensais pas à une "rechute" mais me questionnais sur la signification de ces deux "faux" seuils.

Bon dimanche !
 
Elfe
24 Janvier 2015, 19:50
Bonsoir,

Par deux fois, j'ai cru avoir atteint mon seuil :
- la première, à 75 mg
- la seconde, à 100 mg

A chaque fois, plus de grignotage, d'envies et ce, durant au moins cinq jours. Et à chaque fois, patatras, retour à la case "j'ai envie de grignoter toute la journée, mais surtout après 22.00" (et sans gagner 20.00 francs !)

Est-ce déjà arrivé à certains d'entre vous ?

Merci de vos éclairages !
 
Elfe
19 Décembre 2014, 20:04
Merci, Sissi, de ta réponse :D

Les crises ont disparu depuis trois semaines mais restait le grignotage.
Je ne finis plus mes assiettes depuis deux jours par contre.
Comme nous étions au resto hier soir, je me suis un peu forcée, ce qui a entrainé des nausées.
Rebelote ce midi : à 1/3 de mon assiette, plus envie de rien, à nouveau, je me suis forcée (je réalise combien cela est stupide en l'écrivant)et je n'ai eu envie de rien depuis.
 
Elfe
19 Décembre 2014, 13:48
Bonjour,

Les premiers signes de "zone atteinte" sont ils

- une aversion pour la nourriture ?
- le sentiment d'être rassasiée beaucoup plus rapidement ?
- des nausées ?

C'est ce que je vis depuis deux jours et me questionne.

Merci de vos retours :D
 
Elfe
13 Décembre 2014, 17:46
Merci pour vos réponses !
Ma question portait plus sur un déplacement eventuel des prises (plus tôt) pour éviter cet endormissement.

Sissi, pour le cancer, j'ai déjà donné !
Je ne m'estime aucunement malade en étant boulimique mais l'assimile plus à mon hypermétropie par exemple.

Ma question de ce jour est : fybromialgique, mon doc me prescrit du Lyrica
http://m.sante-az.aufeminin.co...nts/lyrica.html
pour mes douleurs.
Est-ce "safe" et sans interaction avec le baclo?

Bon weekend 😊
 
Elfe
03 Décembre 2014, 12:13
Finalement, il y a ES !

Mais je ne l'avais pas analysé ainsi : deux soirs que nous sortons (cinéma et théâtre) et... je m'endors du sommeil du juste vers 21.30...
C'est juste horrible de devoir lutter ! Mon mari me pince pour que je reste éveillée, mais c'est quasi de la torture !
A la maison, je fais un bon somme de 45 minutes puis reprends mes activités habituelles.

Pour info, mes doses :
14.30 : 20 mg
17.00 : 20 mg
19.30 : 15 mg

Des conseils pour éviter cet endormissement ?
Merci !
Elfe
 
Elfe
30 Novembre 2014, 15:14
Merci à tous pour vos réponses.

Etant arrêtée pour un problème de genou, j'ai fait le choix d'augmenter un peu plus vite cette semaine (+ 5 mg Mercredi et re + 5 Samedi)
 
Elfe
30 Novembre 2014, 15:11
Bonjour à tous,

Avez vous déjà entendu parler du possible lien existant entre TCA et douance ? TCA et TDAH (trouble de l'attention et hyperactivité)?

Qu'en pensez-vous ?
Merci de vos retours !
Elfe


Douance et troubles alimentaires
Source : Douance

Anorexie et boulimie, tendance à l’intellectualisation, perfectionnisme, incapacité de reconnaître ses émotions, refus de grandir… Clichés typiques, largement répandus dans le domaine médical, cette vision classique des troubles du comportement alimentaire (TCA) détermine à l’heure actuelle l’orientation du suivi thérapeutique des jeunes filles qui en souffrent…

Malgré le taux d’échec important des traitements psychologiques existants, les médecins et psychologues semblent persister dans la voie prise depuis de nombreuses années sans penser à envisager la question sous un autre angle… Et si certaines jeunes filles douées « utilisaient » les troubles alimentaires pour répondre à leurs besoins non reconnus (sécurité, reconnaissance, passion, perfection, limites, frustration…) ? Et si elles s’étaient tout simplement fait piéger sur le chemin de leur quête d’identité par ces maladies complexes qui les éloignent un peu plus de leur être véritable ?

1° Affamée de reconnaissance

D’une adolescente anorexique ou boulimique, on dira qu’elle refuse son corps, qu’elle n’accepte pas les changements liés à la puberté, qu’elle a un problème affectif… Elle est en conflit, elle ne s’aime pas ; normal, c’est la crise d’adolescence ! On lui renvoie d’elle une image qui ne lui correspond pas, on l’enferme dans les stéréotypes d’une maladie que même les médecins ont encore du mal à comprendre aujourd’hui… Troubles alimentaires : le désespoir a un nom, il est justifié, il pourra être soigné… Mais on passe à côté de l’essentiel : derrière le symptôme, il y a cette jeune fille affamée de reconnaissance, passionnée, débordante de vie, mais ne sachant comment vivre.

2° Se construire une armure

Lorsque les troubles alimentaires surviennent, le corps devient une armure, un rempart, une protection vitale pour tenir à l’écart de l’esprit le monde extérieur. A l’adolescence, l’équilibre précaire dans lequel l’enfant doué non reconnu avait pu évoluer jusque là vient souvent à se rompre : l’image qu’on lui renvoie d’elle ne lui convient plus… Entre banalité et conformisme, les malentendus deviennent trop douloureux. Désarmée et vulnérable, trop consciente de toutes les étapes à franchir pour atteindre l’âge adulte, la jeune fille se sent exposée à des dangers qu’elle ne peut maîtriser.

Son corps-muraille… Elle grossit pour renforcer sa carapace, pour se donner un peu d’épaisseur, de consistance… Elle maigrit pour atteindre l’essence de sa personnalité, pour toucher du bout des doigts cette perfection et cet absolu qui lui sont chers… Anorexique ou boulimique, l’adolescente cherche désespérément qui elle est. Son corps-identité... Différentes des autres, elle se gave ou elle se prive. Son symptôme justifie ses particularités.

3° L’intolérable frustration

Classiquement, les crises de boulimie sont considérées comme un moyen de remplir un vide affectif, de lutter contre l’ennui et le désoeuvrement, de gérer une trop grande frustration… Comme s’il ne s’agissait que d’un caprice de petite fille gâtée !!!

Comme le dit Jeanne Siaud-Fachin, « l’intolérance à la frustration correspond toujours à une fragilité émotionnelle. Ne pas pouvoir tolérer qu’un plaisir, qu’une satisfaction soit différé correspond à une impossibilité à gérer le doute et l’incertitude. » Or, chez la jeune fille boulimique, il semblerait que toutes les situations quotidiennes se transforment en épreuves insurmontables. A chaque instant, la distance entre un désir et sa satisfaction la plonge dans un abîme d’angoisse… Entre l’envie de réaliser quelque chose et la concrétisation de ses projets, il y a un espace-temps durant lequel la pensée va se mettre en marche pour attendre… Or, chez les enfants doués, penser est un processus complexe et sans limite. L’incertitude devient dès lors trop inquiétante et pour s’en protéger et maintenir son équilibre, il faut que les choses se passent immédiatement.

La frustration apparaît donc ici comme une peur intense de penser. En venant court-circuiter la réflexion, les crises de boulimie agissent comme un « interrupteur de pensée » : en se gavant, la jeune fille boulimique « oublie » provisoirement ses projets, ses désirs et surtout, tous les obstacles qui pourraient se mettre sur la route de leur réalisation et qu’elle ne manque pas d’évoquer. Il n’y a plus que l’acte alimentaire (ou le refus de se nourrir, dans le cas de l’anorexie) qui compte.

4° Une petite fille perdue dans un corps de femme

Le refus de grandir, de devenir adulte et d’accéder à la sexualité est fréquemment invoqué pour justifier l’apparition des troubles alimentaires. Or, si la perte ou la prise de poids induisent bel et bien un aspect corporel androgyne, pourquoi considérer d’emblée que celui-ci est recherché pour fuir à tout prix ses responsabilités d’adulte et sa féminité ?

De nombreuses études ont démontré que les adolescentes anorexiques ou boulimiques avaient généralement été des enfants responsable et matures, ne reculant devant aucun devoir et toujours prêtes à rendre service. Tout se passe comme si, à un moment, elles avaient cessé de croire en leur capacité d’affronter les situations de la vie de tous les jours, comme si elles avaient essayé d’être grandes, mais estimaient ne pas avoir réussi, comme si elles rêvaient de vivre pleinement leur rôle de femme, mais qu’elles craignaient d’y échouer.

Connaissant les caractéristiques de la douance (hypersensibilité, empathie, lucidité…) et les difficultés qui peuvent en découler (manque de compréhension, sentiment de non-appartenance au groupe des pairs, isolement…), on peut s’interroger sur l’influence de ces facteurs dans l’apparition des TCA. Avant de devenir anorexique ou boulimique, l’adolescente est généralement passée par une période durant laquelle elle se trouvait tiraillée entre son besoin d’autonomie et son incapacité à s’éloigner du cocon familial lié au manque d’identification possible aux autres jeunes de son âge. Durant cette période où elle aurait dû vivre différentes expériences plus ou moins fructueuses et les confronter à celles de ses pairs, cette jeune fille se sera sentie étrangère aux préoccupations des ses camarades, éloignée de leurs centres d’intérêt et de leurs façons de vivre le quotidien. Dès lors, il lui est quasi impossible de s’identifier à eux et de construire ainsi son identité propre. Aux yeux du monde extérieur, sa difficulté à assumer le passage à l’âge adulte passera pour un manque de maturité… Qui pensera à relier cette crainte à son extrême lucidité, à ses interrogations sans fin et à son perfectionnisme ?

5° Echapper aux réponses toutes faites

A l’abri dans leur armure de graisse ou derrière leur apparence d’extrême fragilité, les jeunes filles douées souffrant de troubles alimentaires continuent à rechercher désespérément la reconnaissance et la compréhension de leur entourage. La plupart du temps, elles ne trouvent malheureusement que quelques solutions toutes faites en guise de réponse. Elles finissent bien souvent par se perdre sous l’afflux des symptômes et des hypothèses qu’on leur offre pour justifier leur malaise. Seul un dialogue attentif avec une personne sensibilisée à la douance et capable de pressentir en elles la force des passions qui les animent pourra les aider à déployer leurs ailes et à atteindre l’épanouissement.
 
Elfe
28 Novembre 2014, 20:37
Je viens de la changer ! Suis à 45 mg
 
Elfe
28 Novembre 2014, 20:35
Je ne peux me permettre aucun ES, vu mon boulot, donc, j'y vais doucement ! 5 mg / semaine.
 
Elfe
27 Novembre 2014, 9:28
Merci Velvet, pour cette réponse !
 
Elfe
26 Novembre 2014, 14:26
Bonjour,

Je suis actuellement à 45 mg.
Augmentation de 5 mg par semaine.

Après un mois et demi :
- Aucun ES notable (parfois très ponctuellement, insomnie ou bourdonnement dans l'oreille), une libido en dents de scie (génial au plus haut, plus hard au plus bas)
- Des effets positifs dans les "cravings" et perte de poids puis basculement inverse (mais j'étais prévenue et donc, ne panique pas)depuis une semaine.

Grâce au forum, j'avais anticiper tous ces désagréments et n'en suis pas surprise : MERCI !

Est-il entendable d'augmenter de 5 mg tous les cinq jours ou continue-je sur ma lancée hebdomadaire ?

Merci de vos réponses !
Elfe
 
Elfe
26 Novembre 2014, 14:17
Bonjour,

Je suis actuellement à 45 mg et, après une entorse du genou, dois prendre un traitement :
- Ixprim
- Ketoprofène

Merci de me dire si ces médicaments sont compatibles avec la prise de baclo.
Bonne journée !
:D
 
Elfe
19 Octobre 2014, 16:57
Cs76, l'éjaculation est-elle "indispensable" ?
On peut prendre beaucoup de plaisir sans également!
C'est une des caractéristiques de l'un de mes amis (à l'opposé de l'éjaculateur précoce) et je m'y suis très bien faite !

Bon courage à toi !
 
Elfe
19 Octobre 2014, 16:35
Ok ! Je ne différencie donc pas et reste sur les mêmes horaires que je sois en semaine, weekend ou vacances.
Merci !
 
Elfe
19 Octobre 2014, 9:44
Merci pour vos suggestions !
Je n'augmenterai donc que de 5 grammes sur une prise, j'ai tout mon temps !

Par ailleurs, peut on ajuster ses heures de prise le weekend ?
Est il entendable d'avoir une répartition en semaine et une autre le week end (ou en vacances) ?
 
Elfe
18 Octobre 2014, 10:31
Bonjour Manue,

Le terme de "doubler" n'est donc pas le bon ;-)car ce n'est pas du dosage qu'il s'agit mais de comprimé.
"augmenter d' 1/2 comprimé" serait plus juste : 15 mg puis 30 mg puis 45 mg puis 60 mg.

Cela te semble-t-il plus pertinent ?
Merci de ton retour.
 
Elfe
18 Octobre 2014, 9:58
Bonjour !

C'est en lisant un article sur la guérison de personnes alcooliques grâce au Baclofène que j'ai fait le parallèle avec mon quotidien et entrevu des possibilités d'adaptation aux TCA. Le résultat Google de l'association Baclo + TCA a confirmé mon intuition et m'a tout naturellement amenée ici !

Prise de contact avec Sissi qui m'a rappelée dans la foulée pour m'expliquer les spécificités du traitement et me donner les deux adresses des médecins prescripteurs parisiens. Mon choix s'est porté rapidement sur le Docteur RO dans le cinquième, nutritionniste de son état.
Rendez-vous fut pris rapidement.

Une heure de consultation, non seulement pour parler baclo, régime crétois, mais aussi bien-être, relations avec les autres, comportements.
Enfin un nutritionniste qui écoute, fait preuve d'empathie et tient compte de la globalité de la personne pour en cerner la complexité.

J'ai commencé le traitement il y a deux jours :
15.00 : 5 mg
17.00 : 5 mg
20.00 : 5 mg

Doublement des doses tous les cinq à dix jours suivant mon ressenti et des effets secondaires.

Concernant mon rapport à la nourriture, un résumé ici (les commentaires sont édifiants...), écrit il y a presque trois ans.

J'ai beaucoup travaillé (thérapie cognitivo comportementaliste, analyse, hypnose, actuellement gestion de soi), aime qui je suis et suis quasiment sortie des TCA. Le baclo sera ma béquille pour arriver au bout de ma démarche.

Je donnerai des nouvelles de mon avancée dès qu'il y en aura !
 



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