tribu-c
12 Juin 2018, 16:24
12 Juin 2018, 16:24
Le père de mes enfants est mort de son alcoolisme, il a fait une chute, ce qui n'est pas rare avec cette maladie, et est décédé 48 heures plus tard. Nous avions divorcé à cause de sa maladie, il a refait et brisé par la suite plusieurs fois sa vie pour la même raison : l'alcool.
Les cures ont été inefficaces, il recommençait toujours à boire, et il était violent, très violent quand il avait bu. Le jeune homme si beau et si brillant qu'il a été est devenu un vieil alcoolique oublié de tous ses amis, seul ses proches étaient à ses obsèques.
J'ai appris plus tard, ce qu'elle a toujours caché, que sa mère était aussi alcoolique, et que les cures avaient été aussi sans effet sur elle.
Pourquoi ne proposer qu'une seule alternative : la cure, alors que c'est sans effet sur un grand pourcentage des alcooliques ?
Je soutiendrai cette association aussi longtemps que je vivrai, s'il y a d'autres alternatives que la cure, elles doivent être connues du grand public, et non pas dissimulées, et écartées par le corps médical pour des raisons injustifiées, voire sans raison. Le public et les malades ont droit à l'information et au choix de leur traitement.
Je n'ai eu connaissance de cette association que lorsqu'une autre personne de mes proches a été atteinte à son tour par cette maladie. Pourquoi cache-t'on l'existence de ce remède aux familles et aux grands alcooliques condamnés à mourir de leur maladie ?
Sylvie G.
Les cures ont été inefficaces, il recommençait toujours à boire, et il était violent, très violent quand il avait bu. Le jeune homme si beau et si brillant qu'il a été est devenu un vieil alcoolique oublié de tous ses amis, seul ses proches étaient à ses obsèques.
J'ai appris plus tard, ce qu'elle a toujours caché, que sa mère était aussi alcoolique, et que les cures avaient été aussi sans effet sur elle.
Pourquoi ne proposer qu'une seule alternative : la cure, alors que c'est sans effet sur un grand pourcentage des alcooliques ?
Je soutiendrai cette association aussi longtemps que je vivrai, s'il y a d'autres alternatives que la cure, elles doivent être connues du grand public, et non pas dissimulées, et écartées par le corps médical pour des raisons injustifiées, voire sans raison. Le public et les malades ont droit à l'information et au choix de leur traitement.
Je n'ai eu connaissance de cette association que lorsqu'une autre personne de mes proches a été atteinte à son tour par cette maladie. Pourquoi cache-t'on l'existence de ce remède aux familles et aux grands alcooliques condamnés à mourir de leur maladie ?
Sylvie G.