Karine, Sissi,

Merci pour vos réponses, je suis à l'heure actuelle toujours aussi surpris de ce qui s' est passé. Je suis comment dire pas guéri de l'alcool dans le sens physique mais je sais un peu plus pourquoi je bois, lorsque j'ose regarder au fond de moi même sans jugement et bien là mon interieur se réchauffe et je me sens bien.

En fait je crois que j'ai perdu confiance en moi à une certaine époque due à une rupture avec une "sorcière" qui maintenant que j'y repense était beaucoup plus tourmenté que moi.

On se fatigue tous à chercher un bonheur exterieur alors qu'il me semble qu'il se trouve au fond de nous, la société nous demande d'être comme ceci ou comme cela, plus performant, plus fort, toujours dans le profit et la performance alors on oublie l'humain et on essqye de se conformer aux autres alors que c'est tellement plus simple d'être soi même et d'oser le revendiquer.

Il y'a une période de ma vie où j'ai complètement couper court avec mon âme et mes ressentis surement due a une douleur qui m'a laisser sur le carreau et à partir de la je ne vivais que dans ma tête donc mon mental en occultant totalement mon moi interieur et ces appels, l'alcool m'aide pour ça et je regrette d'avoir perdu tout ce temps ainsi que ces soirées où j'ai eu honte.

Nous sommes des êtres humains doté d'une ame, d'un corps et d'un mental et nous devons les harmoniser tous pour être heureux. Je ne prétend pas detenir la vérité ultime mais ce moi intérieur que j'ai osé regarder et écouter apres des années de déni et bien je me sens comme quand j'étais enfant, plein de vie et d'énergie et d'imagination.

Après ça j'ai l'impression de découvrir les mécanismes de la dépendance, je noyais mon moi pour ne pas l'écouter mais en fait il ne demande que à être aimer et entendu, il a tellement de chose à nous dire et lui au moins au contraire du mental ne fait pas de jugement, il est tout simplement, et wow cela est tellemnt reposant de le laisser prendre le contrôle.

Merci de m'avoir lu, je vous tiendrais au courant de mon évolution mais je vous promets que ça m'est tombé dessus comme ça, j'arrivais à un ras le bol je pense et j'avais sois le choix d'avoir le courage de m'écouter ou de continuer à picoler encore plus fort car l'accumulation était telle que j'avais besoin de toujours plus pour m'oublier, c'etait ça mon problème, ignorer ma vie intérieur.

Bon mardi à tous.

Merci Pascal de ta réponse,

Et de la belle citation de Antonin.

J'ai il est vrai une horreur des psys en effet mais aucun souci rien contre toi. Je compatis pour ton papa et je sais que cela m'arrivera (mais on ne sait jamais ce que la vie nous réserve ou Dieu a prévu pour nous)

J'étais assez embrumé hier ou du moins ce matin ou je ne sais plus vraiment en fait au moment où je t'écris (il faufrait que j'aille vérifier),

Il s' est passé quelque chose d'étrange aujourd'hui et j'en ai les larmes aux yeux. Je ne sais pas si c'est le message de Josephine ou le destin qui a fait que.. Mais j'ai eu une connexion avec moi même, disons que je me suis découvert à nouveau à moi même, j'ai bien l'impression que l'alcool me faisait oublier mon etre qui ne réclamait que de l'attention finalement.

Tout ça pour masquer non pas mes problèmes mais mon moi à moi, celui que j'ai tant maltraité, celui que je n'écoutais jamais.

C'est assez incroyable de se redecouvrir et de s' aimer, ne plus marcher non pas avec sa tête, ni que avec son coeur mais avec les deux.

Je ne saurais te decrir plus mais je me sens bien et pour la première fois depuis longtemps je ne vais pas boire le samedi soir.

Juste être en paix avec moi même, j'ai l'impression d'etre redevenu ami avec moi même.

Avant je marchais avec la tête maintenant moi et mon coeur on roule ensemble.

Je sais que cela peut paraître curieux une si soudaine remise en question mais la vie est tellement pleine de surprise, je n'ais plus besoin fuire mes émotions.

Bonne soirée à toi et à tous et bon samedi soir serrein.

Josephine je te remercie

Oh Josephine, je t'ai oublié dans les remerciment et c'est toi qui me donne les bons mots.


Explique cela m'intéresse. ?

Mais en fait ça me fait peur..

Moi j'ai envie de vivre et pas de subir une frustration, des psys, et tout ces fous qui pensent que la vie est éternelle, comprenez vous?
Ça veut dire que vous vivez avec ces séances de psy, de medocs et la peur?

Je vous remercie pour tout vos messages car vous êtes sincères et vous me donnez de la sympathie.

J'ai une horreur des psys et des médicaments, tout ce qui fait passer l'humain pour un attardé me répugne, je connais des gens bi polaires extrêmement fabuleux par leur sensibilité mais "sur le papier" ce sont des bi polaires bon à cachetonner dans un hopital.

Merci Velvet, Alberic, Flocerise et Karine

Je pense que les vrais fou sont ceux qui pensent que les fous sont fous.

Voilà je vais m'ouvrir l'esprit ailleurs.

Cordialement.

Josephine que veux tu dire par lâ, je ne saisis pas très bien, sois plu précise s' il te plait.

Bonsoir,

Je reviens içi car c'est chaud pour moi en ce moment, je viens de passer un palier assez extrême et je bois maintenant cul sec mes bouteilles de rosés ou bien des flash de vodka, d'ailleurs je suis passé au rhum à 55º car 37, 5 voir 40 ne me suffit plus j'ai besoin de plus.

Puis un soir, la folie totale; plus d'alcool et un vidage de bouteille de vinaigre balsamique coupé à l'eau et aux glaçons puis un verre d'alcool à 90º pour soigner les plaies. Je me souviens avoir pisser orange voir marron le lendemain, j 'ai 26 ans et je sens que je vais crever si je continue ainsi.

J'ai une alcoolisation extrême et morbide, car dès que je récupère apres quelques jours et bien je me sens triste, depressif et nul. Et surtout je me sens vide, j'ai l'impression qu'il n'ya pas d'issue. Donc je n'ai presque pas le choix de m'y remettre.

Sous ethanol je me sens tellement bien et mon cerveau fonctionne, à mon sens, beaucoup mieux. Je suis drôle, je plait aux femmes et j'ai de la repartie, je me sens bien. Et sans ce poison je suis triste, faible, incompétent, coincé, peureux et j'en passe.

Merci de m'avoir lu, pour moi c'est vraiment chaud à l'heure où je vous parle, je commence doucement une énième cuite incroyable et j'ai déjà peur de demain.

Je ne venais plus içi car j'estimais ne plus avoir besoin d'aide mais là je me suis bien fourré le doigt dans l'oeil, je me sens mal mais le pire c'est que cela devient de plus en plus physique, je sais pa comment vous dire mais mon foie et mes reins j'ai l'impression qu'ils vont tres mal.

l'été a fait que je me suis lâché et ça y'est j'arrive au point ou je ne plus boire normalement, je suis un malade alcoolique et c'est pas tant ça qui me fait peur mais le fait que si je veux m'arreter,je ne pourrais pas reprendre sinon je sombre définitivement, je n'ai plus de marge de sécurité avec la bouteille, si je décide d'etre à jeun pendant 4 ou 5 jours apres bien sur 2 jours atroce de tremblement et de mal être et bien je me sentirais mal et là je vais reboire.

Voyez vous ce cercle vicieux ? On doit boire pour se sentir mieux, on arretes pour pas devenir une loque humaine puis on se sent mal parce que on est à jeun et on a pas d'autres solutions alors on repicole.

J'aurais aimer ne jamais croiser l'alcool de ma vie, c'est atroce comme dépendance, je connais des gens qui fument le cannabis depuis presque 10 ans et n'ont pas autant de soucis que moi pourtant l'un est légal et l'autre est illégal, allez savoir..

j'ai ce comportement tres addictifs qui fait que je n'ai aucune limite dans tout.

Je m'arrete ici, bonne soirée et désolé pour les fautes d'orthographe

J'ai besoin de conseils svppour ceux qui ostoppé définitivement la bouteille et qui se sentent mieux.

Est ce que c'est faisable ou c'est une utopie comme la paix dans le monde?

Serons nous toujours fragile face à de l'ethanol ou bien un jour on peut être vraiment heureux sans?

Moi personnellement je craque et j'en peux plus, j'ai peur de devenir quelqu'un de méchant et aigri avec le temps qui passe, rien ne s' arrange.

S' il vous plaît donnez moi un peu d'espoir et partagez moi vos expériences positives, j'en ai besoin.

Inconito

Bonsoir à ceux qui me lisent

Bonsoir tout le monde,

Voilà quelques semaines que je n'ai plus poster içi, à vrai dire je n'ai plus trop de motivation.

Après avoir eu cette envie de m'en sortir, j'ai subi des problèmes physique et notamment sexuels. En effet après des douleurs et une incurvation assez bizarre, j'ai pris rendez vous chez un urologue et là le choc, je me retrouve avec une maladie auto immune dénommé : maladie de la Peyronie. En clair une merde qui nous rend impuissant et dont on ne se debarasse jamais.

Je suis au bout du rouleau, j'ai vraiment l'impression que le sort s' acharne sur moi car il y'a un an j'ai egalement subit une operation raté qui m'a handicapé quelque peu meme si j'ai omi de le dire sur mon fil, et bien là une autre merde me retombe sur le coin de la gueule.

Je trouve que la vie me teste un peu trop. Cette foutu maladie fait de moi la moitié d'un homme, je ne peux presque plus faire l'amour, c'est un enfer.


J'essayais de reprendre confiance en moi mais non, le sort s'acharne sur moi. Je vais essayer de rester positif mais c'est vraiment dur encaisser.

Bonsoir Karine,

Alors non je ne suis pas encore aller au réunion et je vais mettre la deuxieme parce que j'ai tendance à tout remettre à plus tard.

Je vais y aller le plus vite possible, en tout cas avant le 5 Mars qui est le rdv avec mon medecin pour faire le point justement sur ces fameuses réunions et si on continue le Revia.

Je vous tiens informé.

Bonne soirée.

Salut tout le monde,

Je viens aux nouvelles, j'ai fait une legere rechute ce week end et evidemment c'est parce que j'avais pas pris le Revia. Donc j'etais parti pour me defoncer mais en reprenant la medication, j'ai de suite pu me recadrer.

Y'a pas à dire, l'alcool, arrivé à un certain stade, c'est incontrolable et ça c'est dur pour l'ego de savoir qu'on ne peux pas avoir le dessus sur cette merde. Alors oui je l'avoue sans ce site et sans l'aide qu'on m'a apporté içi je serais encore dans mon merdier.

Si on veux pouvoir consommer sans exces, il faut prendre le traitement car sans ça c'est l'abstinance totale qui est obligatoire si on veux pas rechuter.

Je suis beaucoup mieux que depuis le mois de Janvier et ça grace à l'aide de Karine, je le repeterai jamais assez, je continue mon chemin tranquillou comme tu dis Velvet et on verra par la suite, mais je peux le dire, je commence déjà à revivre.


Bon courage à tous sur la voie de la guérison et désolé pour les fautes j'écris sur un telephone car j'ai plus de PC.

Bonjour,

Non je ne suis pas sous Baclofene pour le moment. J'ai vu mon médecin hier et nous poursuivons le Revia 50 car il offre de bon résultat pour moi.

En effet les lendemains d'alcool le Revia me permet de ne pas ré enchaîner sur de l'alcool directement. Ça m'aide vraiment bien pour l'instant.
Là je compte me rendre aux reunions qui aident à surmonter les anxiétés et les angoisses qui, d'après la discussion avec le medecin, sont les causes de mon alcoolisme.

J'ai bon espoir pour le moment, déjà j'ai passé un cap grace à vous et votre site, et principalement à Karine qui m'a beaucoup aidé.
Actuellement je peux me permettre de boire une fois par semaine et ne pas enchainer pendant plusieurs jours grâce au medoc, ça me remet sur pied je sais pas comment mais ça marche.

je revois le medecin au mois de mars pour savoir si le Revia me suffit ou si on passe au Baclo.

D'ici là je vais essayer de faire de plus en plus d'expérience sans alcool pour reprendre confiance en moi et me ré habituer à une vie sans alcool grace aux réunions.

Bon après midi à tous

Bonsoir Karine,

Oui je pense que c'est un bon toubib, j'y retourne le 17 pour faire le point sur la médication.

je sais plus trop quoi penser en ce moment, je suis un peu dans le flou.

Je t'avoue que je trouve la vie triste à l'heure où je t'écris, et je sais pas trop, la vie c'est quand même chiant sans alcool, j'ai l'impression que tout les jours se ressemblent, il faut dire que j'ai pas une existence bien remplie ni très palpitante et d'ailleurs je commence à me poser la question que peut etre je peux boire par ennui aussi.

À vrai dire je sais plus trop où j'en suis, en ce moment je suis sous Revia 50 je sais pas si tu connais et ça m'aide un peu. Je bois plus depuis le rendez vous du 7.

J'ai expérimenté quelques sorties à jeun et j'ai pas trouver ça insurmontable même si je suis pas très ouvert. J'irais pas jusqu'à dire que je suis phobique..

En fait je suis en pleine remise en question en ce moment, l'abstinence me rend ma lucidité et je vois un peu tout ce qui cloche dans ma vie.
C'est vrai qu'après un verre tout va mieux mais c'est justement ça le problème.



.

Bonjour Karine,

comment vas tu?

j'ai arrêté de boire Dimanche et je suis sorti de mon mal vraiment Mercredi, là je me sens bien physiquement et donc en forme je pense pour Lundi.

Hier j'ai sorti en cachette tout les cadavres de bouteilles de sous mon lit, y'en a toujours tellement que je peux pas les mettre dans le bac à verres et puis je sors la nuit pour les larguer dans un coin tranquille, ça tu vois ça me fait toujours un choc quand je suis à jeun c'est là que je me rend compte.

J'attend le rdv impatiemment même si comme je t'avais dis, une fois sevré quelques jours je me considère guéri alors je vais pas tombé dans le piège cette fois çi.

Mais par contre qu'est ce que je me sens mou, je sors même pas de chez moi c'est dur d'affronter le dehors sans anesthésiant.

Porte toi bien Karine, je te tiens au courant,

Biz

Bonjour Axel,

Merci pour ta réponse qui me fait très plaisir, je suis toujours content de rencontrer des gens un peu comme moi, ça m'aide beaucoup.

Comme tu le dis si bien ce remède/poison est une belle farce un peu comme dans un couple où la relation est malsaine, on sait que ça nous fait du mal mais on y revient toujours en se disant que ça peut le faire, on laisse une dernière chance mais ça s' empire jusqu'à ce qu'on comprenne que seul la rupture est la solution.

Je commence à comprendre un peu d'où vient ce malaise sociale, j'ai toujours été quelqu'un d'extremement sensible et j'ai toujours refusé de m'accepter comme tel, jusqu'à maintenant et j'ai l'impression d'avoir mené ma (courte) vie sur la base d'une personne que je ne suis pas grace (ou à cause) de l'alcool et le fait d'arrêter me renvoi à la personne que je n'aime pas.
Mais tout doucement j'essaye de m'accepter et d'arreter de paraitre quelqu'un d'autre.


Toi comme moi nous devons ressentir les choses beaucoup plus et c'est dur parfois de vivre en société de cette manière.

En tout cas pour l'abstinence pure et dure, peut être que c'est ce que je devrais faire, j'attends d'essayer le baclofene pour voir et je verrais suivant les résultats mais une chose est sûre, je pourrais pas continuer ainsi à moins de sombrer encore plus.

Encore merci pour ton message

Salut Karine,

Tu es vraiment une femme bien, tu reponds toujours aux messages et tu donnes beaucoup de soutiens. Merci vraiment pour ça.

Je vais y'aller à ce rdv car de toute(s) façon(s) ..., (J'ai jamais su comment ça s'écrivait), j'ai pas vraiment le choix, je lis pas l'avenir mais j'ai bien compris que je suis en train de me saboter.

Je reste connecté,

Biz

Bonsoir Karine,

J'ai RDV le 2 Février, je comprends mieux pourquoi tu me demandais si il n'y avait pas de rendez vous plus tôt.. Plus on attend, plus on a de chance de douter et forcemment de rechuter.

Voilà quelques jours que je n'ai pas posté sur le forum, ce rdv m'avait redonné des ailes, je me croyais presque déjà guéri et j'ai eu tort car évidemment pour moi une abstinence de quelques jours réussit à me leurrer et je me dis toujours que un petit verre comme ça ne peut pas me faire de mal et puis la suite on la connaît.

Je me demande comment on peut être aussi con, à chaque fois c'est pareil et je retombe dans le panneau.

Quoique à y regarder de plus prêt, je sais bien pourquoi je rechute, je me sens tellement vide et nul sans alcool, tellement triste et fébrile que si je veux avoir un semblant de vie sociale, je dois consommer. J'espere que le medicament pourra régler ça.

Vraiment Karine, j'attends ce RDV avec impatience même si j'aurais du demander plus tôt mais bon, je vais essayer de mettre le frein fin Janvier pour voir venir parce que souvent quand je suis en crise alcoolique j'ai tendance à ne pas honorer mes rdv et puis de toute manière je viendrais poster pour dire ce qu'il en ai.

À bientot Karine et à bientôt tout le monde.

Merci Karine, Volute et Jack-lofene pour votre soutien.

Vos messages me font plaisir vraiment, je sais depuis qie je suis içi je me plains beaucoup mais je cherche du réconfort car avant j'avais toujours refusé de l'aide. Je m'étonne de rester içi parce que souvent je lache l'affaire, j'ai pu côtoyer les AA pendant quelques temps, j'ai vécu des sejours en clinique et des RDV avec des professionnels mais toujours je refusais de poursuivre.

J'ai pris conscience de mon addiction et voila pourquoi peut être, aujourd'hui, je m'essaye à accepter la main que l'on me tend.

Je n'ai toujours pas de rdv avec le toubib mais je dois rappeler Lundi pour en prendre un.

J'ai hâte d'essayer le baclofene et de pouvoir me sortir de ce problème. J'ai beaucoup d'espoir içi et je voudrais vous remercier car on ne se connait pas mais je sens votre solidarité et ça aide vraiment.

Lorsque je commencerais mon traitement (oui j'en rêve déjà) je viendrais poster sur mes problèmes de "répartitions" ça seras toujours mieux que de venir pleurer sur le forum bourré en quémandeant du soutien


En tout cas merci à tous pour votre aide inconditionnelle et merci encore Karine de m'aider à trouver des contacts et pour tes vidéos inspirantes.

En tout cas j'ai remarqué que beaucoup nient leur alcoolisme et comme moi avant mais la clé pour accepter de l'aide c'est d'affronter la réalité.

Merci de me lire et bon courage à vous tous, je vous renvoie le soutien.

Bonsoir à tous je désespère un peu..

Je sais que j'ai que j'ai une adresse grâce à Karine mais je perd foi.

Je bois encore beaucoup et j'espère vraiment en ce RDV prochain pour l'instant la toubib a demandé que je l'a rapel Lundi pour un rdv officiel peut-être, je suis très accroché à ce forum car j'ai lu des gens s' en sortir.

J'essaye de m'accrocher comme je peux car je sens que je dérape, cette merde me prend au corps et lorsque je l'a laisse je retombe inévitablement dedans, voilà mon soucis.

L'alcool c'est presque plus fort que nous, je me doute bien que l'on peut arreter sans aide car je l'ai fait mais l'envie revient toujours, la chimie du cerveau est modifié c'est un poison qui nous pique à vie et voilà pourquoi je place mes espoir içi car j'ai bien compris que l'alcool ce n'est pas que dans la tête. (J'ai arrêté la cigarette il y'a 3 ans et jamais je n'ai repris)

J'espère des résultats et du courage à nous tous.

Bonne soirée

Bonsoir Volute,

Bravo, c'est extrêmement bien trouvé, j'ai adoré

Bonjour ou bonsoir,

Je ne sais pas si je peux t'aider mais en tout cas les promesses que votre fils peux vous faire ne sont je ne pense pas pour vous mentir mais pour vous rassurer.

Je suis moi même alcoolique âgée de 25 ans et je me retrouve dans vos inquiétude de maman.
Ma mère s'inquiète beaucoup pour moi et est très consciente de mon problème, je minimise souvent le problème pour éviter de lui infligé du stress.
Je ne connais pas votre situation ni l'age de votre fils mais si je peux vous aider à moins vous sentir coupable je serais ravi.

Personnellement, lorsque ma famille me faisait remarquer que j'étais alcoolique et me le reprochais je me sentais encore plus mal et plus honteux alors je ne me permettrai absolument pas de vous conseiller mais je crois qu'il est assez conscient de son addiction et qu'en acceptant simplement qui il est, peut être il se sentira moins "aggressé".

Ma famille connait mon problème mais reste assez discrète sur le sujet, parfois comme vous ils me font des remarques mais peut être avez vous un manque de communication avec votre fils et du mal à le comprendre?

Il ne veut peut être pas se livrer à vous je ne sais pas je suppose, en tout cas je suis persuadé que ce n'est pas cette voie là qu'il cherche, personne ne veux être alcoolique je vous l'assure.

Rassurez vous quand au comportement de votre fils, j'etais pareil avant et très secret vis à vis de ma mère mais en lui laissant de l'espace et en evitant de le brusqué peut etre il viendra vers vous de son plein gré.

Je vous parle de mon ressenti et je me trompe peut être sur toute la ligne car je ne connais pas votre vie mais j'espere vous avoir aidé un peu ou sinon je vous souhaite beaucoup de courage et de patience et surtout du bonheur car c'est vers quoi l'on aspire tous finalement..

Merci Jacques pour ton message d'encouragement.

Je découvre petit à petit le forum et je commence à lire certains fils très intéressant.

Bon courage et au plaisir de te relire.

Salut Dim,

J'ai lu ton parcours et je m'y retrouve absolument malgré notre différence d'age et qui plus est j'ai touché au milieu de la musique comme toi car j'ai été technicien son quelques temps et il est vrai que j'ai rencontré beaucoup de groupe adepte de psychotrope (alcool, cocaine, mdma et j'en passe.)

Comme toi j'oscille entre alcoolisation et sevrage, j'ai cru comprendre que tu vivais en Ukraine (désolé si je me trompe) et ayant quelques amis d'origine de l'est je sais que l'alcool est quelque chose de très répandu voir trop accepté cependant je ne voudrais pas faire de préjugés n'ayant jamais visité l'Ukraine, je me base sur ce que l'on me dis.

J'espère que tu supporte la tentation.

Bon courage Dim

Merci Manue

Oui j'ai ce mode d'alcoolisme très dur ou je bois fort pendant 3 ou 4 jours ça dépend, je commence le vendredi soir parfois le jeudi et je me déglingue litéralement la gueule.
C'est une bouteille de vodka par soir et quand il y'a plus rien, je bois tout ce qui est à base d'alcool, (calvados, porto, vin, martini, whisky, bière, cognac, grand marnier, et d'autres trucs dégueulasses que je bois pour tenir)

Pour tout te dire il m'est déjà arriver de casser des meubles pour avoir ma dose, je ne compte plus les fois ou je fracturé le bar de chez moi et là je peux te dire bonjour l'image que tu renvois à ta famille et toutes les contrariétés que ça leur donne.
Chaque alcool est sous clé dorénavant alors je dois prendre le volant pour trouver de quoi boire parfois en pleine nuit, je hais ce mode de vie.

Je bois avec mes amis en soirée et je reste correct et ensuite quand je rentre j'ai toujours la bouteille à la maison pour me "terminer" puis je bois le lendemain quelques heures après le reveil car il y'a le manque qui revient (c'est chimique) et je passe le week end à picoler puis le dimanche ou le lundi je m'arrête pour 2 ou 3 jours et c'est reparti.

Pendant les fêtes j'ai été réveillé systématiquement par le manque vu que je picolais tout les jours et je devais boire dès le matin.

Je peux me permettre ce rythme car je suis sans emploi et j'ai la chance d'avoir une famille compréhensive. Je crois vraiment que si je devais travailler je picolerais sans arrêt.

Je souhaite sincerment pouvoir te dire un jour que tout çela est fini.

Bonne soirée

Bonjour Petit Ange,

Merci pour ton message car chaque fois que je parle de mon addiction ici je me rend compte que l'on vit tous le même problème et finalement on a tous vécu les memes étapes. C'est tres rassurant et ça aide beaucoup dans le fait de prendre conscience.

Oh que oui je vais contacter un medecin, Karine m'a donné une adresse.

Vos messages me booste vraiment merci beaucoup, l'espoir c'est ce qui me manquait car comme on le sait c'est très honteux d'évoquer le sujet avec des gens qui ne sont pas alcoolique.

Bonne année encore à tout le monde

Re Bonjour Karine,

Je souhaitais juste preciser que mes proches sont les gens que je fréquente mais ma famille sait bien qu'il y'a un problème et ne m'encouragent pas dans l'alcoolisme bien au contraire, d'ailleurs j'ai même peur de les entrainer malgré moi car je sens bien qu'ils augmentent leurs consommation à cause de moi et j'en ai honte.
Vous savez lorsque l'on boit beaucoup, les personnes autour de nous se rassure inconsciemment et se permettent de faire plus d'exces comme dans la pub ou chacun se rejettent la faute de l'alcoolisme.

Je m'excuse car je me suis mal fait comprendre et c'est de ma faute, mes "proches" etait le mauvais mot, j'aurais du dire mes "amis".

À l'heure où je te parle, je suis embrumé et je ne suis peut etre pas cohérent.
J'essaye d'amortir les fêtes chez moi tout seul (une semaine de beuverie) pour me recentrer et subir le manque sans emmerder personne.
Je bois ma derniere bouteille et j 'entame le sevrage puis je contacte le medecin au plus vite lorsque je me sentirais mieux.

Excuse moi si parais bizarre ou quoi mais j'ai besoin de me sevrer pendant 2 jours chez moi sans voir personne pour commencer mes démarches car je m'alcoolise tellemnt fort parfois que j'ai honte de sortir ainsi alors je subis et lorsque je vais mieux j'entreprends car j'ai cette forme d'alcoolisme periodique comme en parlais Dim et avec ce qu'il m'a dit j'ai bien compris que je risque de sauter un palier.

Je suis assez jeune et j'ai pris conscience il y'a peu de mon alcoolisme et avant je pensais que comme je n'etais pas alcoolique depuis une vingtaine d'années alors je ne devais pas me plaindre car ayant fréquenté les AA et ayant vu des cas beaucoup plus grave que le mien je pensais que je me plaignais pour rien.
Seulemenut je viens de comprendre que l'on commence tous de cette manière, petit à petit.
Alors je voudrais éradiquer le mal avant qu'il ne progresse.

Merci encore de ta patience et désolé pour les fautes.

Cordialement.

Merci Dim pour ta réponse et conseils, je vais regarder ton parcours car ça m'intéresse, j'ai effectivement quelques soucis de phobie sociale.

Karine, je ne vais pas te mentir, j'ai passé des fêtes très alcoolisées mais mon problème c'est que mes proches me trouvent bien et moi même je me sens heureux et moi même lorsque je bois, voilà où est le probleme, sans alcool je suis triste et fade mais je comprends bien que je me fais du mal.

Je vais prendre RDV avec le medecin cette semaine et je te dirais ce qu'il en est.

Je vous souhaite à tous beaucoup de bonheur pour cette nouvelle année et je vous remercie pour vos encouragements et votre consideration.

Merci beaucoup Karine pour tout ce que tu fais pour moi. Merci Manue pour ton message.

Je dois vous avouer que pour les fêtes je me laisse aller, je sais que je ne pourrais pas prendre d'initiative d'ici le mois de Janvier car c'est vraiment pas le bon moment pour moi.
Je ne compte pas pour autant sombrer, vos messages me font plaisir car je me sens moins seul.
Je prendrais contact avec le medecin début Janvier, j'y compte bien.

Merci encore à vous, bonne fêtes et beaucoup de bonheur à vous tous, à bientôt.

Bonsoir,

Je vous remercie tous pour vos réponses qui font beaucoup de bien, en effet il est tellement difficile de se confier sur cette honteuse maladie.

Je regrette d'etre tombé dans le panneau de l'alcool mais ce qui est fait est fait.


Dim tu m'as dit que tu as vécu ces crises alcooliques avec des periodes d'arrêt enfermé chez toi, dis moi en plus s' il te plait, as-tu augmenter ta consommation au finale poour ne plus du tout te passer d'alcool?

Bonjour à tous,

Je suis alcoolique depuis pas mal de temps mais je m'en suis rendu compte depuis peu.

Étant de nature introverti et timide, je me suis naturellement tourné vers ce poison qu'on appelle l'alcool. J'ai toujours beaucoup bu et tenu plus que les autres car dans l'alcool je n'ai aucune limite, je suis un puit sans fond, je sais quand je commence mais jamais quand je m'arrête.

Ce produit m'a aidé et m'aide toujours pour affronter mes angoisses mais et y regardant de plus près j'y ai perdu plus que j'y ai gagné.
Apres 2 licenciements et 3 retrait de permis, je ne me rendais tounours pas compte que l'alcool me dominait.
Mais à cette époque je pensais contrôler car ne buvant pas des le matin, je ne me considerais pas alcoolique.

Puis un jour, une deception amoureuse et là c'est la descente aux enfers, je me retrouve seul, sans emploi et sans permis et là évidemment qui est toujours là pour moi?
Et s' en suit 2 année d'errance et d'alcoolisme aigu, freqentation d'alcoolique, je me degrade physiquement et socialement.
Et un jour mes parents ont pris peur et m'on envoyé en clinique pour une cure, c'est là que j'ai pris conscience de mon problème et de mon envie de m'en sortir sans ce poison.

Pour tout vous dire j'ai fait 3 cliniques déjà et à chaque fois c'est la même chose, le cycle infernal, cette foutue envie de picoler car oui j'aime l'alcool même si ça me fait du mal. Donc je sors et je reprend et ainsi de suite.

Jusqu'a aujourd'hui ou j'essaye de me stabiliser, j'oscille entre crise alcoolique et abstinence, bien sur je ne travail pas depuis 3 ans sinon je serais déjà replongé pour de bon.
Donc je vous disais j'oscille entre des periodes alcooliques d'une semaine voir 10 jours et d'abstinence d'une semaine et pendant que j'essaye d'arreter c'est l'enfer, je reste chez moi volets fermés pendant 2 à 3 jours le temps que le manquee s'en aille, que le poison sorte et pendant ces 2 jours, c'est tremblement, transipration, angoisse, maux de ventre, insomnie, bref l'enfer puis quand physiquement je vais mieux je me promet de tout arreter mais malheureusement c'est presque impossible, je me dis un verre juste comme ça et c'est la rechute

Je suis fatigué de tout ça et je souffre énormément, j'ai besoin d'aide et grace à certain témoignage sur ce medicamet "miracle" je reprend peu à peu espoir, car jusqu'à présent j'ai toujours entendu qu'on était malade alcoolique à vie, une sorte de condamnation où la moindre erreur parfois 10 ans après peut nous coûter une rechute instantanée.

Merci de m'avoir lu et pardon d'avance pour les fautes.

Bonjour,

Merci beaucoup pour ta réponse rapide et tes conseils.
Je vais prendre le temps d'expliquer mon histoire en détail.

Inconito

Bonjour,

Je recherche un prescripteur de Baclofene dans l'Essonne, je souhaite débuter un traitement avec ce medicament qui semble fonctionner au vu de beaucoup de témoignages, ce qui mi redonne espoir.

Merci par avance.

Bonjour, je recherche egalement une prescrption dans l'essonne pres de Evry. Pouvez vous me donner un contact svp.