S'informer et rechercher ce qui provoque les dysfonctionnements métaboliques n'a rien de fanatique ou d'une quête de la perfection.
En revanche, cela permet d'éviter les erreurs qui nous conduisent plus précocement à la maladie et qui ne nous permettent pas de vieillir en bonne santé justement parce qu'elles nous font crever avant même d'avoir pu vieillir.
Et puis, il faut être réaliste et ouvrir les yeux sur les constats faits par les médecins : il y a de plus en plus d'enfants diabétiques, de nourrissons qui naissent déjà en surpoids et qui développent des dysfonctionnements métaboliques.
Libre à chacun de ne pas vouloir faire d'efforts supplémentaires au niveau alimentaire pour se préserver soi-même et ses gamins. Mais c'est important de diffuser les informations qui peuvent nous donner la possibilité de choisir son camp justement. Choisir en connaissance de causes, ça me paraît primordial. Je vais répéter ma petite phrase, tiens : un patient bien informé est un patient à moitié guéri. Et ça commence avant tout par ce qu'on met dans sa bouche, les études sont claires là -dessus.
Le coca light ou autres aliments à base d'aspartame ou autres édulcorants sont à proscrire dans une diète cétogène car ils provoquent une montée de l'insuline. Il y a, là aussi, eu des études sur le sujet.
Or, l'un des facteurs importants dans une diète cétogène, est de minimiser la montée de l'insuline (et donc les sucres ou autres déclencheurs de l'insuline) car cette dernière empêche l'utilisation des triglycérides en acides gras et donc en carburant pour l'organisme. En gros, vous conservez votre masse grasse et pire, vous l'entretenez.
Un autre point crucial est l'importance des lipides pour entrer en cétose. Voilà la meilleure forme de métabolisation des nutriments par l'organisme.
Si vous mangez graisses et sucres mélangés dans vos repas et cela quotidiennement, certes vous ne serez peut-être pas systématiquement addicts aux produits en question mais vous préparerez lentement les diverses pathologies métaboliques qui explosent depuis des décennies et de plus en plus jeune.
Il faut donc limiter ces associations gras+sucre et les produits hyper concentrés en sucres comme l'alcool (qui est le pire après fermentation des sucres) et tous les autres produits alimentaires aux sucres transformés et donc concentrés (gâteaux, pâtes+gras, etc...).
Il n'y a pas qu'en bouffant gras et sucré qu'on prend plaisir à manger. Mais faut avoir essayé pour s'en rendre compte peut-être !
Et puis, à chacun de savoir si il veut prendre une pilule à vie pour continuer à boire ou à mal bouffer au point de s'en rendre malade à court terme. C'est juste une réalité.