Aura
02 Juin 2015, 13:15
02 Juin 2015, 13:15
Je ne trouve pas ma place avec le baclo.
J'en suis lassée.
Chercher la répartition, l'ajuster sans arrêt selon l'effet ou le non-effet. L'ajuster selon les EI, le comprimé du matin pour les nausées, finalement plus la peine, finalement si. Le comprimé du soir pour les suées nocturnes, finalement plus nécessaire, finalement si, puis non.
A un moment je cherchais plus à réduire les EI que la conso d'alcool.
Et puis la sensation qui complètement différente chez moi d'un jour sur l'autre. Un jour zéro envie, le lendemain beaucoup, le surlendemain encore +, et le jour suivant zéro envie.
Je n'ai jamais pu prendre de recul avec le baclo pour mesurer réellement son efficacité sur mon cas.
Comme j'ai dit, je pense qu'il a fait son boulot, nombre de fois où je n'avais pas du tout envie de boire. Mais je me forçais à me servir. Là c'est une autre histoire, et pas celle du baclo. Inutile de monter à 600mg, certaines choses sont à régler autrement que le baclo.
J'en prends petit à petit conscience.
Je ne vais pas arrêter le baclo brutalement, je le diminue gentilment.
En parallèle, un de mes gros souci psychologique que je n'aborde jamais parce que je hais ce sujet, c'est la mort : je n'arrive pas à l'accepter. Et là je viens de remettre le nez en plein dedans à cause du souci de ma grand-mère, et je ne sais pas ce que c'est, mais ça ne vas pas du tout depuis que je l'ai appris. J'ai un sac de nœuds dans la tête et le ventre depuis la nouvelle, comme une crise d'angoisse mais en continue. Je suis allée voir mon généraliste hier (qui n'est pas au courant pour l'alcool et le baclo), je me suis effondrée, elle m'a prescrit de l'alprazolam (0.25 à la demande). Maintenant j'ai peur de devenir accro à ce truc. Elle m'a bien entendu conseillée d'aller consulter un psy, parce que le médoc ne fait que masquer le mal-être.
J'en ai marre et je m'en veux d'être aussi torturée de l'esprit. Pourquoi je ne sais pas profiter tout simplement de la vie sans psychoter ,
Grave quand même.
J'en suis lassée.
Chercher la répartition, l'ajuster sans arrêt selon l'effet ou le non-effet. L'ajuster selon les EI, le comprimé du matin pour les nausées, finalement plus la peine, finalement si. Le comprimé du soir pour les suées nocturnes, finalement plus nécessaire, finalement si, puis non.
A un moment je cherchais plus à réduire les EI que la conso d'alcool.
Et puis la sensation qui complètement différente chez moi d'un jour sur l'autre. Un jour zéro envie, le lendemain beaucoup, le surlendemain encore +, et le jour suivant zéro envie.
Je n'ai jamais pu prendre de recul avec le baclo pour mesurer réellement son efficacité sur mon cas.
Comme j'ai dit, je pense qu'il a fait son boulot, nombre de fois où je n'avais pas du tout envie de boire. Mais je me forçais à me servir. Là c'est une autre histoire, et pas celle du baclo. Inutile de monter à 600mg, certaines choses sont à régler autrement que le baclo.
J'en prends petit à petit conscience.
Je ne vais pas arrêter le baclo brutalement, je le diminue gentilment.
En parallèle, un de mes gros souci psychologique que je n'aborde jamais parce que je hais ce sujet, c'est la mort : je n'arrive pas à l'accepter. Et là je viens de remettre le nez en plein dedans à cause du souci de ma grand-mère, et je ne sais pas ce que c'est, mais ça ne vas pas du tout depuis que je l'ai appris. J'ai un sac de nœuds dans la tête et le ventre depuis la nouvelle, comme une crise d'angoisse mais en continue. Je suis allée voir mon généraliste hier (qui n'est pas au courant pour l'alcool et le baclo), je me suis effondrée, elle m'a prescrit de l'alprazolam (0.25 à la demande). Maintenant j'ai peur de devenir accro à ce truc. Elle m'a bien entendu conseillée d'aller consulter un psy, parce que le médoc ne fait que masquer le mal-être.
J'en ai marre et je m'en veux d'être aussi torturée de l'esprit. Pourquoi je ne sais pas profiter tout simplement de la vie sans psychoter ,
Grave quand même.