Résultats de la recherche (12 résultats)

marniejena
12 Avril 2012, 20:41
1 oui
2 150
3-20
4-20 à 10h 30 à 12h, 40 à 15h, 40 à 17h30, 20 à 20h
5- craving entre 17h30 et 20h
5- stabilisation
7- les 10 premiers jours
 
marniejena
11 Avril 2012, 17:46
Je vais brièvement vous raconter ma guérison, ma résurrection!
J’étais sur la pente glissante depuis plusieurs années, avec toutes les conséquences que ça pouvait impliquer pour [/font][/font]la famille, les enfants, le conjoint et moi-même. J’essayais de tenir pour eux et eux essayaient de tenir pour moi, dans l’espoir de……me voir arrêter.[/font][/font][/font][/font]
J’ai lu en avril 2009, deux ans déjà, le livre d’ Almeisen qui était bien en vue dans la bibliothèque de mon quartier. Ce fut une révélation !
Maintenant j’ai envie de l’exposer partout et de le distribuer à tous vents, ce sacré livre ou ce livre sacré. C’est la bonne nouvelle !

Je me suis procurée la première fois du BACLOFENE (il faut l’écrire en très grandes majuscules, ce mot) en Espagne. J’en ai pris pendant deux ans mais je l’ai mal dosé. J’en prenais lorsque je sentais que j’allais boire. J’ai vu mes cachets diminuer et je suis repartie de plus belle dans les cuites.
J’ai recherché dans le moteur de recherche BACLOFENE et j’ai vu les deux forums. Les deux m’ont aidée.
J’ai pu rencontrer un prescripteur, il y a un mois et demi et j’arrive quasiment à l’abstinence. Je suis cette fois sur l’autre pente glissante, à deux doigts de l’abstinence. Ce n’est pas plus dur d’un côté que de l’autre et ça va aussi vite pour les deux.
Ma vie a complètement changé. J’ai retrouvé mon mari et mes enfants et ils m’ont retrouvée. Ils se construisent plus sereinement, sans l’appréhension de nouvelles crises. Ca fait un mois et demi, c’est peu. Ils appréhendent encore lorsqu’ils me voient boire une bière, la descente aux enfers. Mais ils se doutent que maintenant, je vais m’arrêter à cette bière et ne pas vider les bouteilles d’apéro ou de vins qui sont dans l’armoire parce qu’il n’y en a plus !
Les effets secondaires ont été assez durs les débuts (somnolence et vertiges la journée ; insomnies, sudations et cauchemars la nuit). En y repensant, ce n’est rien à côté des cuites que je pouvais prendre mais quand on les a, ça parait insurmontable. Tenez bon, ça vaut la chandelle !

Avant mon cerveau était irrité, il partait en lambeaux, ma vie aussi. Maintenant, on dirait que mon cerveau se reconstitue et reconstitue son enveloppe protectrice, comme ma vie. Je vois clair en moi, en les autres. Je suis toujours la même mais je suis MOI. Je deviens indulgente. Je ne suis plus imbibée d’alcool mais de BACLOFENE.
Je comprends mieux l’expression « voir la lumière au bout du tunnel ». Je crois que je ressuscite.

Combien d’alcooliques et de drogués tentent de se suicider ou tuent ? Il n’y a pas d’études statistiques sur ce phénomène ? Chacun de nous sait de quoi je parle, il ne me jettera pas la pierre. Je choisis la VIE, le BACLOFENE m’a évité la mort.
Les drogués sont des malades. Certains sont plus sensibles que d’autres et tombent dans la dépendance. Pourquoi, parce qu’ils sont hypersensibles. On les dit très intelligents, c’est parce qu’ils captent tous. Ils ne savent pas se protéger. Une angoisse plus forte qu’une autre et c’est le caillou dans le pare-brise qui fait tout exploser en éclats. Les drogués (de toute sorte) sont des capteurs qui se protègent des sensations et de leurs nerfs à fleur de peau en se créant une carapace virtuelle contre leurs angoisses. Mais la drogue fait l’effet inverse. Elle détruit la protection originelle. Je parle de drogue car je suis certaine que les causes, les effets, les conséquences et les solutions sont les mêmes pour les alcooliques que pour tous les autres drogués.
Je suis sûre que le BACLOFENE rend normal, plus aussi kinesthésique. Ils donnent à tous (pour l’instant, on parle de l’alcoolisme mais un jour on parlera de la guérison de tous les drogués), la possibilité d’être SOI.

Je suis dans une région où tous les laboratoires pharmaceutiques sont implantés. Il n’y a pas de prescripteurs et les pharmacies vérifient les dosages. Je vous le confirme, il y a une loi du silence des laboratoires voire un accord d’entente. Ils ont peur du BACLOFENE et ces gens sont riches et puissants comme vous ne pouvez pas l’imaginer ! Ceux sont les plus grandes fortunes mondiales.
Le médiator, ils l’ont laissé prescrire en toute impunité. A 15 euros la boîte, on comprend mieux pourquoi ils sont récalcitrants à la propagation du BACLOFENE qui vaut 5 fois moins cher. Le médiator, j’ai pu en prendre toutes les fois que j’ai voulu maigrir : après les grossesses, à la ménopause……..
[font=Arial][font=Arial]Les laboratoires pharmaceutiques ne cherchent qu’à préserver leur immense fortune. Ils veulent être les précurseurs d’un médicament onéreux, diffusable mondialement pour s’enrichir d’avantage. Leur protection est aussi virtuelle, ils le savent et ont peur. Je serais curieuse de savoir le nombre d’actionnaires ou de dirigeants des laboratoires pharmaceutiques qui se procurent du BACLOFENE. Je suis sûre qu’il y en a plus qu’on ne le pense. Mais ont-ils réfléchi, veulent ils le garder pour eux ? S’ils le diffusent, il faudra qu’ils y trouvent leur intérêt. Ils[font=NewsGoth BT]
[font=Arial]ne sont pas altruistes. Ils font partie de ceux qui voient « la poutre dans l’oeil du voisin et la paille dans le leur ».

J’en appelle à leurs bon sens. Ces laboratoires pharmaceutiques sont l’œuvre initiale d’une famille qui a travaillé pour mériter ce qu’ils ont et le leur transmettre. Les membres de leur famille ont eu à souffrir ou souffrent de la drogue et de l’alcool, il y en a même qui en sont morts.
Alors je leur crie « Penser aux autres et vous servirez les vôtres ! ».

Pour conclure, j’ose proposer une petite astuce ! Il y a toujours un membre de votre famille ou de votre entourage qui fera tout pour vous aider. La solution est peut être qu’il se fasse prescrire du BACLOFENE pour que vous ne dépassiez pas les doses légales !


On dit « L’espoir fait vivre », j’ajouterai « le BACLOFENE » c’est la vie !

Un grand merci aux mains qui se sont tendues pour me sauver ! Pour vous aussi, des mains se tendent !
[font=Arial][font=Arial]Bonne VIE à vous tous ! Propagez la bonne nouvelle !
 
marniejena
11 Avril 2012, 17:46
Je vais brièvement vous raconter ma guérison, ma résurrection!
J’étais sur la pente glissante depuis plusieurs années, avec toutes les conséquences que ça pouvait impliquer pour [/font][/font]la famille, les enfants, le conjoint et moi-même. J’essayais de tenir pour eux et eux essayaient de tenir pour moi, dans l’espoir de……me voir arrêter.[/font][/font][/font][/font]
J’ai lu en avril 2009, deux ans déjà, le livre d’ Almeisen qui était bien en vue dans la bibliothèque de mon quartier. Ce fut une révélation !
Maintenant j’ai envie de l’exposer partout et de le distribuer à tous vents, ce sacré livre ou ce livre sacré. C’est la bonne nouvelle !

Je me suis procurée la première fois du BACLOFENE (il faut l’écrire en très grandes majuscules, ce mot) en Espagne. J’en ai pris pendant deux ans mais je l’ai mal dosé. J’en prenais lorsque je sentais que j’allais boire. J’ai vu mes cachets diminuer et je suis repartie de plus belle dans les cuites.
J’ai recherché dans le moteur de recherche BACLOFENE et j’ai vu les deux forums. Les deux m’ont aidée.
J’ai pu rencontrer un prescripteur, il y a un mois et demi et j’arrive quasiment à l’abstinence. Je suis cette fois sur l’autre pente glissante, à deux doigts de l’abstinence. Ce n’est pas plus dur d’un côté que de l’autre et ça va aussi vite pour les deux.
Ma vie a complètement changé. J’ai retrouvé mon mari et mes enfants et ils m’ont retrouvée. Ils se construisent plus sereinement, sans l’appréhension de nouvelles crises. Ca fait un mois et demi, c’est peu. Ils appréhendent encore lorsqu’ils me voient boire une bière, la descente aux enfers. Mais ils se doutent que maintenant, je vais m’arrêter à cette bière et ne pas vider les bouteilles d’apéro ou de vins qui sont dans l’armoire parce qu’il n’y en a plus !
Les effets secondaires ont été assez durs les débuts (somnolence et vertiges la journée ; insomnies, sudations et cauchemars la nuit). En y repensant, ce n’est rien à côté des cuites que je pouvais prendre mais quand on les a, ça parait insurmontable. Tenez bon, ça vaut la chandelle !

Avant mon cerveau était irrité, il partait en lambeaux, ma vie aussi. Maintenant, on dirait que mon cerveau se reconstitue et reconstitue son enveloppe protectrice, comme ma vie. Je vois clair en moi, en les autres. Je suis toujours la même mais je suis MOI. Je deviens indulgente. Je ne suis plus imbibée d’alcool mais de BACLOFENE.
Je comprends mieux l’expression « voir la lumière au bout du tunnel ». Je crois que je ressuscite.

Combien d’alcooliques et de drogués tentent de se suicider ou tuent ? Il n’y a pas d’études statistiques sur ce phénomène ? Chacun de nous sait de quoi je parle, il ne me jettera pas la pierre. Je choisis la VIE, le BACLOFENE m’a évité la mort.
Les drogués sont des malades. Certains sont plus sensibles que d’autres et tombent dans la dépendance. Pourquoi, parce qu’ils sont hypersensibles. On les dit très intelligents, c’est parce qu’ils captent tous. Ils ne savent pas se protéger. Une angoisse plus forte qu’une autre et c’est le caillou dans le pare-brise qui fait tout exploser en éclats. Les drogués (de toute sorte) sont des capteurs qui se protègent des sensations et de leurs nerfs à fleur de peau en se créant une carapace virtuelle contre leurs angoisses. Mais la drogue fait l’effet inverse. Elle détruit la protection originelle. Je parle de drogue car je suis certaine que les causes, les effets, les conséquences et les solutions sont les mêmes pour les alcooliques que pour tous les autres drogués.
Je suis sûre que le BACLOFENE rend normal, plus aussi kinesthésique. Ils donnent à tous (pour l’instant, on parle de l’alcoolisme mais un jour on parlera de la guérison de tous les drogués), la possibilité d’être SOI.

Je suis dans une région où tous les laboratoires pharmaceutiques sont implantés. Il n’y a pas de prescripteurs et les pharmacies vérifient les dosages. Je vous le confirme, il y a une loi du silence des laboratoires voire un accord d’entente. Ils ont peur du BACLOFENE et ces gens sont riches et puissants comme vous ne pouvez pas l’imaginer ! Ceux sont les plus grandes fortunes mondiales.
Le médiator, ils l’ont laissé prescrire en toute impunité. A 15 euros la boîte, on comprend mieux pourquoi ils sont récalcitrants à la propagation du BACLOFENE qui vaut 5 fois moins cher. Le médiator, j’ai pu en prendre toutes les fois que j’ai voulu maigrir : après les grossesses, à la ménopause……..
[font=Arial][font=Arial]Les laboratoires pharmaceutiques ne cherchent qu’à préserver leur immense fortune. Ils veulent être les précurseurs d’un médicament onéreux, diffusable mondialement pour s’enrichir d’avantage. Leur protection est aussi virtuelle, ils le savent et ont peur. Je serais curieuse de savoir le nombre d’actionnaires ou de dirigeants des laboratoires pharmaceutiques qui se procurent du BACLOFENE. Je suis sûre qu’il y en a plus qu’on ne le pense. Mais ont-ils réfléchi, veulent ils le garder pour eux ? S’ils le diffusent, il faudra qu’ils y trouvent leur intérêt. Ils[font=NewsGoth BT]
[font=Arial]ne sont pas altruistes. Ils font partie de ceux qui voient « la poutre dans l’oeil du voisin et la paille dans le leur ».

J’en appelle à leurs bon sens. Ces laboratoires pharmaceutiques sont l’œuvre initiale d’une famille qui a travaillé pour mériter ce qu’ils ont et le leur transmettre. Les membres de leur famille ont eu à souffrir ou souffrent de la drogue et de l’alcool, il y en a même qui en sont morts.
Alors je leur crie « Penser aux autres et vous servirez les vôtres ! ».

Pour conclure, j’ose proposer une petite astuce ! Il y a toujours un membre de votre famille ou de votre entourage qui fera tout pour vous aider. La solution est peut être qu’il se fasse prescrire du BACLOFENE pour que vous ne dépassiez pas les doses légales !


On dit « L’espoir fait vivre », j’ajouterai « le BACLOFENE » c’est la vie !

Un grand merci aux mains qui se sont tendues pour me sauver ! Pour vous aussi, des mains se tendent !
[font=Arial][font=Arial]Bonne VIE à vous tous ! Propagez la bonne nouvelle !
 
marniejena
22 Mars 2012, 13:34
Bonjour à tous

ça fait trois semaines que j'ai vu le prescrpteur et je suis à 120mg. au début les effets secondaires étaient terribles, sueurs, réveil la nuit, cauchemards la nuit et somnolence le jour. maintenant ils s'estompent et j'arrive à ne pas boire le dimanche.
par contre, j'ai deux questions.
mes analyses CDT montrent que je ne suis pas alcoolique ( O,7) ceci dit le prends du baclofène de façon intempestive depuis deux anset j'ai fortement réduit mes cuites. est ce pour cette raison ?
le prescripteur me conseille de m'inscrire à la croix bleue ou toute autre association pour avoir un suivi. il veut que je sois aussi suivi individuellement par un psy. j'avoue ne pas en ressentir le besoin, par manque de confiance.
j'ai téléphoné à plusieurs psy, aucun ne veut prendre le risque de prescrire du baclofène
que feriez vous à ma place?
 
marniejena
22 Mars 2012, 13:26
Tu as choisi la bonne solution, contacte Viva, elle va t'aider
 
marniejena
22 Mars 2012, 13:17
Bonjour à tous

ça fait trois semaines que j'ai vu le prescrpteur et je suis à 120mg. au début les effets secondaires étaient terribles, sueurs, réveil la nuit, cauchemards la nuit et somnolence le jour. maintenant ils s'estompent et j'arrive à ne pas boire le dimanche.
par contre, j'ai deux questions.
mes analyses CDT montrent que je ne suis pas alcoolique ( O,7) ceci dit le prends du baclofène de façon intempestive depuis deux anset j'ai fortement réduit mes cuites. est ce pour cette raison ?
le prescripteur me conseille de m'inscrire à la croix bleue ou toute autre association pour avoir un suivi. il veut que je sois aussi suivi individuellement par un psy. j'avoue ne pas en ressentir le besoin, par manque de confiance.
j'ai téléphoné à plusieurs psy, aucun ne veut prendre le risque de prescrire du baclofène
que feriez vous à ma place?
 
marniejena
05 Mars 2012, 0:29
je me suis tromée, ce n'est pas le cercle bleu mais la croix bleue?
 
marniejena
03 Mars 2012, 16:50
soyons honnête, j'avais du baclo en stock, j'ai essayé sans prescripteur mais je suis passée de la bouteille de whisky aux bières et pas... à rien. hier, j'ai vu un precripteur. prise de sang ce matin et démarrage du traitement. Je me prends en mains, je vais rechercher sur les conseils du prescripteur, un psy près de chez moi. avez vous entendu parler du cercle bleu pour vous aider? merci de vos messages.
 
marniejena
03 Mars 2012, 14:56
avez vous déjà eu ce générique? est il efficace comme le Lioresal?
 
marniejena
19 Décembre 2011, 21:58
bonsoir<br />j'ai téléphoné à Viva, il y a à peine une semaine; franchment n'hésitez pas, elle vous orientera, vous aidera, et peut vous indiquer un prescritpeur. j'ai suivi ces conseils, deux jours sans craving et sans boire. je poursuis et vous tiendrais au courant.
 
marniejena
13 Décembre 2011, 23:00
bonsoir<br /><br />je démarre dans ce forum mais je ne peux pas me connecter tous les soirs;je n'ai pas encore compris comment celà fonctionnait mais je sens qu'il peut m'aider; je suis très volubile en réeel mais très pudique et complètment néophyte sur les forums; je ne sais même pas comment lire les mails que vous pouve écire. merci de m'aider, je vais y arriver mais il me faut beaucoup d'explications;
 
marniejena
09 Décembre 2011, 19:06
ça y est je me suis lancée sur les conseils de Viva :grand merci à elle !
j'ai mis du temps à me l'avouer que j'étais dépendante à l'alcool et il est vrai que ça se cache. J'ai lu le bouquin d'Olivier Almeisen qui était en évidence dans la médiathèque de mon quartier et ça était le déclic.
sauf que je me suis procurée le baclofène en Espagne où il est en vente libre à un prix plus que raisonnable mais je ne l'ai pris qu'occasionnellement. et ça ne suffisait pas.il faut être épaulée, orientée dans sa posologie.
lorsque j'ai voulu en parler à mon généraliste, elle avait tellement peur que je lui demande un arrêt de travail, qu'elle m'a dit que je n'étais pas dépendante en buvant quelques bières tous les soirs. j'ai vu une psychologue en couple et lorsque mon mari parlait de mon problème, elle lui faisait comprendre que tant que j'arrivais à me lever pour aller travailler, il n'y avait pas de dépendance. j'ai vu un jeune généraliste pensant quil serait plus ouvert, il m'a dit que le problème ne venait pas de moi.
mon père est alcoolique également. quand il a parlé de ce médicament à son généraliste, il lui a répondu qu'il n'y avait que la volonté pour s'en sortir!
dans ma région, il n'y pas de prescripteur m'a dit Viva. un comble!!par contre pour me prescrire du médiator, j'en ai toujours trouvé.
j'aimerais savoir quand même pour certains d'entre vous, s'ils ont pu s'en sortir sans prescritpeur?
 



forum baclofene