L’expérience des uns ne vaut pas forcement pour les autres.
Des addictologues, j'en pense la mĂŞme chose que Frank.
Ceci dit, prenons comme postulat qu'il ne soient tout simplement pas au fait du Baclofène et que leurs méthodes puissent être valables.
Bien que les chiffres parlent contre eux.
Allez.
Expérience personnelle: J'ai vu 3 addictologues dans ma vie d'alcoolo dépendant.
Ce fut 3 échecs. Et pourtant ce n'était pas en dilettante.
J'ai commencé à prendre du Baclofène au mois d'avril de cette année.
Et après 15 ans d'alcoolisme, je suis maintenant indifférent à l'alcool qui était le mauvais médicament à ma maladie.
Le Baclofène étant le bon.
Que tu puisses douter, c'est naturel.
De surcroit, cet addictologue a pignon sur rue. Il a des diplômes. Il exerce depuis quelques années surement.
De son côté, le Baclofène semble jeune.
Mais des médecins de renom le prescrivent et le défendent. Beaucoup de généralistes et de plus en plus, sont convaincus par ce traitement qui indéniablement fait ses preuves, lui.
Il est difficile pour des hommes et des femmes de se remettre en question après des décennies de pratique.
On peut comprendre le malaise et la difficulté a laquelle sont confrontés aujourd'hui les alcoologues, addictologues.
Le chemin se fera. Il commence a se faire. Du simple fait de la confrontation avec la réalité des chiffres.
Que risques tu a appeler, si ce n'est une probable victoire?
Bon courage.
Indifférent à l'alcool mais pas à un verre de Château Léoville-Barton St.Julien 2003, depuis la mi-juin 2012.