Joyeux anniversaire cher compatriote!! gros bisous mumu

bon anniversaire, je te souhaite du bon du bon et encore un peu de bon.

Bonjour Albéric,
je viens de lire tout ton fil, je n'ai qu'une chose à te dire, tu as morflé mais chapeau !
Bon anniversaire
Complice

Bonsoir Albéric,
Je suis le mouvement général en te parlant d'anniversaire !
Très sincèrement, que ton année à venir te soit sereine, pleine de paix, de reconstruction et de confiance ! le résultat que tu as construit toi-même !

Ben, comme d'hab suis à la traîne !!!!!!!!!!

Joyeux anniversaire, plein de bizz !

Des voeux, tes voeux exaucés dans l'année !

Merci à toutes et tous pour vos voeux d'anniversaire

Je sais que c'est très lourd, je sais que je ne poste jamais sur ton fil que je lis pourtant, mais ça me fait l'effet des toons... J'ai un craving de la connerie...

Arf, je craque!

Albéric: Garde la frite!

Depuis hier je n'ai plus de somnolence diurne et je suis donc passé de 300 mg à 250.
Ce sera plus facile pour reprendre le travail lundi
On croise les doigts pour que le craving ne pointe pas le bout du nez.
J'ai été faire des courses ce matin et c'est toujours un plaisir de traverser les rayons alcool en toute indifférence, même pas une quelconque nostalgie.

Détente et Confiance ! Suis contente pour toi Albéric !
Bravo à toi !

courage Albéric, on souhaite tous que ton bien être se confirme, bravo pour ta persévérence. Merci pour tes messages d'encouragement quand je suis au plus mal.

Bon courage pour ta reprise demain Albéric !

Bonjour Albéric,

J'espère que ta reprise s'est bien passée. Je vois que le rayon-démon te laisse de glace : ça doit lui faire drôle au rayon que la glace l'emporte sur la chaleur de l'enfer !

Bizz

Bonjour à tous et toutes,

J'avais mal dormi la nuit de dimanche à lundi, du coup la reprise a été dure. Hier soir, je me suis couché à 20h30 !

Et ma journée de mardi c'est bien passée,


Merci pour vos gentils mots d'accompagnement

chouette alors Albéric! courage pour la suite alors! bizouille mumu

Hello Albéric...
Comme d'hab, je suis à la bourre,

bon anniv en retard donc ! Et bonne reprise...
C tout moi ça à la masse

bon courage pour la reprise, on est jeudi bientôt le week-end !
Bizz
Complice

Merci pour vos encouragements.

Cela a été dur lundi, mais okay les autres jours

Merci encore,
Albéric

Mon "indifférence" c'est trois choses

1/ ne pas se réveiller le matin en se demandant comment organiser la journée pour se réapprovisionner en alcool.
2/ Passer toutes les journées les unes après les autres avec l'absence de craving.
3/ Pouvoir passer dans les rayons vins et alcools sans ressentir le moindre besoin. Pouvoir parcourir ces rayons en toute indifférence du point de vue alcoolique, en toute normalité du point de vue de tout le monde.

Voilà ma définition de l'indifférence

Bonjour Albéric !

Je n'ai jamais été addict à l'alcool, mais en lisant ta définition, une immense émotion m'envahit ... j'imagine la libération et la paix que tu dois ressentir après une sorte d'enfer.
J'espère vraiment que mon mari ressente la même chose tout au bout de son chemin Baclo !
Tu as vraiment gagné ta victoire Albéric !

C'est bien pour cela que certains se disent "libérés" plutôt que "guéris" ou "indifférents"

Bonjour Albéric,

Un p'tit passage pour une p'tite bizz

A bientôt

Comme vous le savez, je suis descendu de 300 mg à 250 pour me défaire de la somnolence pour pouvoir travailler.

Bon plan pour le travail, mais mauvais plan pour le craving

Mon foutu craving de 17h est revenu tout à l'heure et la bouteille de rosé qui était dans le frigo depuis quelques temps y est passée.
Du coup, demain, je remonte à 275 mg.

Je ne suis pas heureux

Bonsoir Albéric !

50mg en moins d'un seul coup, c'est pas trop ? Il me semble que le cerveau doit s'en apercevoir et en profiter !
Demande à quelqu'un de plus au courant que moi, mais est-ce que pour lutter contre la somnolence, un médicament Coca-caféîne type GURONSAN ne te doperait pas pendant le temps du travail ?
Remonte vite à l'abri de tes 275 mg !

hello alberic
on ne se connait pas
mais je te souhaite d être heureux
quand tu veux en mp
dom

Bonsoir Albéric !

Alors, comment ça va ? Est-ce que tu es sorti de ton mauvais moment ?

Salut Albéric,

J'espère que les 25mg supplémentaires font leur boulot face à ton craving de 17h.

T'es pas heureux d'avoir craqué, mais bon, tu avais mesuré le risque ! C'est c... mais t'as immédiatement réagi et là "chapeau bas".

Respire et tranquillise toi, tu vas trouver le bon dosage et les bons horaires : tes "tâtonnements" enrichissent ton expérience et ça va finir par payer, même si, je le comprends, ça te gave !

Je te fais plein de bizz et t'envoie force et gaieté

Je vais vous étonner mais je n'ai toujours pas réaugmenté.

Les AA disent « La faim, la fatigue, la solitude et la colère sont nos ennemis. »

J'analyse et mon "craving" de 17h arrive à 18h justement quand je commence à avoir faim et que boire du jus de pomme à satiété calme furieusement ce "craving".

Je ne sais pas trop quoi penser surtout que je n'ai pas envie de retrouver ces somnolences qui ont quand même du mal à me quitter.

Hier par exemple fut une dure journée, la faute au décalage horaire : je me suis réveillé une heure trop tôt et j'avais pas mon compte de sommeil.

Du coup je me suis couché à 21 heures hier soir et aujourd'hui cela a été. Il faut dire que j'ai besoin d'au moins 8 heures de sommeil.

Voilà donc en résumé, il y en a qui tuent le craving avec un comprimé en sublingual, mois je le tue avec un demi litre de jus de pomme.

Encore faut-il que ce soit un vrai craving et pas un vieux réflexe d'habitude quand la faim survient. D'ailleurs un vrai craving pourrait-il être tué à coup de jus de pomme ?


Bien à vous

Bonsoir Albéric !
André disait il y a quelque temps dans son fil que des biscuits sucrés lui avaient déclenché un "craving", pourquoi le sucre du jus de pomme ne pourrait-il pas, inversement, satisfaire un craving ? C'est une simple hypothèse de ma part.
Bonne soirée Albéric !

Bonjour alberic.

Il y a une relation entre le sucre et l'alcool. Yves me l'avait dit. Boire de l'eau sucrée pour éviter de boire de l'alcool quand le craving arrive. C'est vrai que l'alcool est sucré.
Et depuis que j'ai commencé le traitement je mange beaucoup plus sucré..
Ce que je détestais avant.

On me reproche, à juste titre, de ne pas laisser assez de nouvelles sur mon fil.
C'est vrai que quand tout va bien ...

Pourtant il y avait ce retour du craving l'autre jour et puis ces verres de jus de pomme ...

Alors faisons abstraction du craving et voyons mon mode de fonctionnement depuis septembre.

Comme vous le savez, j'ai eu une indifférence en deux temps, le second temps à la mi-août à 300 mg.

Puis j'ai cherché une indifférence absolue, pour ne pas dire le dégoût, parce que j'avais peur de mes tests qui n'étaient pas si indifférents que cela.
Rappelez-vous, j'en avais même fait un fil : Au delà de la dose seuil, le dégoût ? (Peut-on dépasser la dose seuil pour aller jusqu'au dégoût en visant une indifférence complète, une consommation zéro ?)

Pour finir j'ai abandonné cette quête et fait mienne cette définition de l'indifférence :Et donc je fais « abstinence » sans effort la semaine et je picole gentiment du Week-End

Quand je dis « gentiment », c'est entre 40 et 50 cl d'alcool fort à un peu moins de 40°

Déjà, à ce stade je sens que je vais avoir des réactions

Et donc tout allait bien sauf qu'il me restait comme ES invalidants des somnolences diurnes assez importantes pour me gêner dans le travail.

J'ai donc décidé de baisser de 300 à 250 mg en deux semaines pour un résultat satisfaisant qui me permettait de reprendre le travail.

Mais voilà, il y a une dizaine de jours j'ai eu un craving du côté de 18h et une bouteille de rosé qui traînait dans le frigo y ait passée.

Je me suis longuement interrogé sur ce craving parce qu'il correspondait à une grande faim qui est un élément déclencheur de craving. Et que normalement il vient plutôt vers 17 heures. Je l'ai d'ailleurs, les jours suivants, chassé en ingurgitant un demi-litre du jus de pomme et/ou en n'ayant pas faim, tout simplement.

Et puis le WE, je suis en mode consommation ce qui fait que je n'ai pas de raisons pour avoir un craving.

Soit, je suis toujours à 250 mg et je crois qu'il faudra attendre le milieu de la semaine prochaine pour savoir si c'était un craving de type régulier ou un opportuniste profitant simplement de ma faim...

Bien à vous tous et toutes,
Albéric

Bonsoir Albéric,

Ta définition de l'indifférence est tienne, ce combat est le tien, ces choix sont tiens, j'espère que la semaine prochaine ils ne feront plus qu'un dans ta victoire !

Bizz

Bonsoir Albéric,

J'espère que tu vas bien et que ce milieu de "semaine de vérification" se passe comme tu le souhaite.

Des bizz de à tout bientôt

Bonsoir Vallespir,

Justement je pensais donner de mes nouvelles ce soir pour dire que tout va bien.

C'est bien la faim qui déclenche ce petit craving qui n'en est pas vraiment un : ce n'est pas une envie irrésistible, mais une envie tout court. J'y met fin en me remplissant l'estomac.

On encore de la prévention avec un dîner copieux et une pomme et petits biscuits à 16h00 comme aujourd'hui.

Je crois qu'à la longue l'envie disparaîtra sans devoir avaler un cachet supplémentaire.

Je n'amorcerais la descente que dans 4 mois, mais je vais devoir être très très prudent !

Bonsoir Albéric,

Contente pour toi !

Vive la petite pomme, la saveur et les bienfaits du goûter de nos enfances !

C'est marrant, enfin, façon d'écrire, cette non-différenciation enfin repérée. Dans un autre registre mais sur le thème de l'envie : longtemps j'ai cru à divers moment de la journée que j'avais faim et je mangeais. Puis un jour je suis tombée enceinte et j'ai frôlé un diabète gestationnel (grave le truc, pour le bébé et la maman), du coup le doc m'a dit : arrêtez de manger toute le journée, évitez le sucre et ne faites que 3 repas par jour. Du coup, à chaque fois que j'avais "faim" je buvais un verre d'eau et comme par "enchantement" je n'avais plus faim. ça m'a étonné et j'ai gardé ça dans un coin de ma tête. Quand j'ai eu mon bébé, j'ai fait l'essai du test inverse : quand j'avais "soif", je mangeais et je n'avais plus soif. J'y ai longuement réfléchi et me suis aperçue que je ne distinguais pas la faim de la soif et vice-versa. Depuis j'ai appris à repérer les deux et à les distinguer, comme quoi ...

Petite incartade, mais ton "anecdote" est super importante pour tous les baclonautes, en tous les cas, je vais y être vigilante en cas pour mon compagnon.

Des bizz

Bonjour Albéric,
Ah je suis soulagée pour toi de voir que tu as réussi à te passer de cette mauvaise envie, il faut écouter son corps et tant qu'il ne te réclame que des bonnes choses tout va bien, tant mieux
Bonne continuation
Bises
Complice

Il y a des gens qui ne rigolent pas de mon indifférence : ce sont les épiceries par où je passais.

Ils sont un peu déboussolés lorsque je ne prends que du fromage et de la charcuterie et aussi dépités, pensez donc : 10 € tous les jours cela leur faisait une belle rente et moi une belle fuite.

L'un comme l'autre voyons la différence et si j'ai toujours un sourire poli, le fond de leur pensée doit être acerbe.

Pour ma part, mon sourire est sincère et presque à la rigolade quand je quitte le magasin sans ma bouteille

ça c'est du tout bon !

A savourer sans modération !

Bizz

Hello Albéric

j'ai besoin de tes conseils...
Je pensais avoir atteint l'indifférence à 260... Plusieurs jours sans craving... assommée d'ES... dégoutée même par la bouffe... Bref, je me suis dit : ayé, c mon tour, je suis guérie
Puis baisse des ES, et de nouveau retour du craving et craquages depuis peu...

Je viens de passer à 270, mais craving encore là...

Je voulais savoir si quand tu avais atteint ton 1er palier de guérison c'est ce qui s'était passé pour toi aussi ?
si oui cela me laisse de l'espoir d'une prochaine guérison vers les 300 ? Qu'en penses tu ?

bises

Bonsoir Didi,

Comme je l'ai répondu dans ton MP, oui j'avais constaté le retour du craving et je n'avais pas augmenté tout de suite espérant que cela passe.

Et donc j'ai monté jusque 300 pour retrouver l'indifférence.

Voili Voilou

Des bises,
Albéric

Bonsoir Albéric,
voilà j'ai lu ton histoire, je suis très émue
tu as un très beau profil :-)
merci pour tes réponses sur mon fil
énorme plein de courage pour toi
des grosses bises
happy

J'ai commencé à écrire mon histoire. Elle sortira dans un jour ou deux sur mon fil, ici, peut-être déjà demain soir

même si j'ai déjà parcouru ton ton fil j'ai hâte de lire ton histoire maintenant que l'indifférence est vraiement atteinte.
Bon courage pour la redaction.
BISES

Ma petite histoire.


À 11 ans, j'ai eu un instituteur véritablement méchant (que le diable ait son âme). C'étaient des brimades même physiques, des insultes cultivées avec une panoplie digne du capitaine Haddock
Je m'empêchais de dormir pour que les nuits soient les plus longues possible afin de retarder le lendemain matin
Mes parents ne voyaient pas mon malaise.
Deux amis ont quittés l’école cette année là, à cause du prof.
Je crois que c’est de cette époque que je suis devenu insomniaque


À 14 ans, j’ai perdu mon père. Traumatisme violent et j’ai eu beaucoup de mal à m’en remettre.


À 18 ans pour m’aider à m’endormir lors de mes insomnies, je me levais et m’enfilais quelques Martinis au goulot.
Je commençais à guindailler pour rentrer chez moi en me tenant aux murs


À 20 ans en attendant le service militaire, j’ai travaillé comme électricien en bâtiment (je suis électricien industriel de formation).
Mon collègue attitré était alcoolique et s’enfilait presque un casier de bière sur la journée de travail. J’étais entraîné et je ne disais pas toujours non


À 22 ans, service militaire et quasiment toutes les soirées arrosées.
Je me vois encore monter les escaliers à quatre pattes.

En plus, c’était un « quartier militaire » ouvert (pas une caserne emmurée), on pouvait sortir le soir et comme c’était à Bruxelles, on avait l’embarras du choix pour nos virées nocturnes.


Après l’armée j’ai travaillé dans la vente. Je m’alcoolisais quasiment tous les soirs sans que cela me pose problème.


Mariage, enfants, la vie continue son petit bonhomme de chemin.


Premier revers professionnel direction chômage suite restructuration. Après quelques années de galère je me retrouve navetteur comme formateur en informatique, avec parfois près de 3 heures de route pour arriver dans l’entreprise où je dois donner cours.


Ma consommation d’alcool devient problématique. Je consomme de plus en plus et j’ai de plus en plus de mal à me lever le matin bien avant l’aube.


À 40 ans, 1ère cure dans l’aile (fermée) psychiatrique d’un hôpital.
Tout est mélangé : dépressifs, suicidaires, drogués, demi-fou en pleine crise mystique ; alcooliques, etc.
C’est un choc « culturel » je ne m’attendais pas à cela.
C’était uniquement un sevrage de deux semaines et bien content de mettre les voiles.

La chute fut quasi immédiate.


Au boulot, je change de service et je ne donne plus de cours en entreprise mais en un endroit fixe. Je suis toujours navetteur mais les horaires sont plus faisables.


L’alcool est toujours problématique et je suis souvent absent.

Je fais une cure en hôpital neurologie, sevrage avec baxter et antabuse à la sortie.
Je ne le supporte pas : j’ai des flatulences énormes et je suis malheureux. J’arrête l’antabuse et je repicole.


45 ans et troisième cure hospitalière et de nouveau antabuse et même schéma de rechute


Deux ans plus tard, nouveau revers professionnel. Viré. Trop souvent absent


Boulot : des missions de ci de là


Alcool : toujours problématique
Positif à un contrôle routier, suspension de permis pour deux semaines.

Deux cures longues durées dans un hôpital psy « ouvert » spécialisé de la région. Sevrage en une/deux semaines, puis activités diverses.

Sorties et rechutes, la dernière en 2008


Toujours la problématique de l’alcool


19 novembre 2011, inscription au forum www.baclofene.com et sortie de la boucle infernale

Toute une vie, comme ça, en quelques lignes, avec toutes ses souffrances... je pense que ça va boulverser beaucoup de lecteurs Albéric !
Bonne route maintenant, alors, puisque c'est toi qui diriges !

Un anniversaire ce jour : celui de mon inscription

Quel parcours.
Quelle force pour continuer a vivre malgré tout.
Tu ne dis rien par la suite de ta femme et tes enfants.

1 ans pour le départ de l'aventure. Un peu plus de trois mois de liberté (2eme indifférence).
Cela fait du bien a lire. Alors a vivre...

Toujours a 300?

bonjour @Albéric

ton message du 16 est magnifique et bouleversant
ton bilan est positif

bravo ,
ca aide les "nouveaux" que j'ai été

et ca fait tellement plaisir de te cotoyer
ici ou sur le tchat

bonne anniversaire

isabelle

Bises Albéric !

Cette indifférence tu l'as bien mérité
Tu t'es battu, accroché, tu n'as jamais baissé les bras !
Rappelle toi de ça tous les jours

MERCI !!!

Merci aussi pour tout !

Bonjour Albéric,

Mes respects ! Chapeau bas !

Bizz

Albéric,

Presque honteux de n’être que trop rarement venu poster sur ton fil.

je m'aperçois que tu as toujours fait ton possible pour aider ton prochain, malgré tes propres problèmes.

ton parcours,ta générosité d'âme,ta rage de vaincre,et ta modestie forcent l'admiration.

félicitations pour ta belle réussite.

amitiés

Ludo

ps : tu devrais passer sur xchat,l'absence de bip contribuerait à la qualité de ton sommeil ^^

Merci Ludo,

Mais ce sont trop de compliments

J'ai un problème :

Le week-end j'aime bien continuer les "tests". Mais j'y aspire et je commence même le vendredi.

Au lieu d'avoir un craving quotidien, voilà que j'ai un craving hebdomadaire.

Qu'en pensez-vous ?

Je crois qu'il y a un lien avec ma baisse de posologie (pour ceux qui ne suivent plus je suis passé de 300mg à 250 pour pouvoir reprendre le boulot)

bien à vous tous,
Albéric

Bonsoir Albéric

Je n'ai jamais entamé de descente donc impossible de te donner un conseil
Simple passage sur ton fil pour te souhaiter bon courage

Merci Daniel,

Je ne sais pas si on peut vraiment parler de descente.
En tout cas ce fut une brève (2 semaines) et courte (17%) descente ...7

Dur de répondre.
On ne peut pas dire que ton parcours soit classique à quelque niveau que ce soit

Bonsoir Albéric,

Pour ce "craving" hebdo : est-ce que tes "aspirations" sont des pensées d'alcool ? Y penses-tu toute la semaine ou seulement dès le vendredi matin ou le vendredi soir après le boulot ou juste au moment "habituel" du test ou la pensée ne t'habite pas mais l'habitude, le rituel est là ?

As-tu essayé de différer d'une heure ou d'une demi-journée ? Et si oui comment cela se passe-t-il ?

Enfin tout cela pour essayer de comprendre avec toi ce phénomène et que tu trouves une solution acceptable sachant que ta posologie actuelle ne peut augmenter dans l'état actuel des choses

Plein de bizz et de courage

bonsoir Alberic,

as-tu trouver qqchose toi pour cette conso du we?
dis -moi...
Je peux aussi me faire violence et m'empêcher d'en avoir chez moi...
mais si tu as une idée,
partage,,
bises,
isabelle

Je n'ai rien trouvé et je ne m'en fait pas trop :

cette consommation de WE semble en baisse et quelque chose me dit que le WE prochain je consommerais encore moins

et pour finir plus du tout.

Ceci dit, je crois bien que c'est cette "mini descente" qui a déclenché ce craving hebdomadaire puisque je ne l'avait pas auparavant.

Je crois que c'est un craving quotidien que je refoule inconsciemment jusqu'à ce que je lâche prise le samedi et dimanche

Mais il est hors de question pour moi de raugmenter pour perdre le bénéfice des ES diminués.

Là dessus, je vais dormir

merci,
bonne nuit
je te dirai si ca recommence le we prochain