(suite de ma petite expérience personnelle)
quand j'ai arrêté le shit, c'était il y a 4 ans, pour créer mon entreprise, en fait j'ai juste arrêté d'en acheter et d'en fumer 4 par jour
par contre, chez mes amis préférés, parfois le samedi soir, je continuais allègrement
si j'en avais chez moi, c'est sur, je fumais à outrance…jusqu’à ce qu’il n’y en ai plus

; incapable de me tenir à 1 ou 2 joins par soir ou mieux « juste le week-end »
quand j’allais chez eux, ils m’en offraient et jamais je ne sentais la tête tournée.
Comme avec l’alcool, jamais « défoncée », j’étais quelqu’un quoi tient très bien ».
Parfois je m’en rachetais… et le cycle recommençait
Lorsque j’ai commencé le baclo en aout 2012, au début rien de spécial ; je pouvais continuer à boire de temps en temps et à fumer comme décrit plus haut ; c’est vers le mois d’octobre ou novembre (faudrait que je relise mon fil -ma mémoire-)
Allez savoir pourquoi
Je fume un soir un joint chez mes amis et paf : scotchée sur le canapé à ne plus pouvoir me relever, même pour manger ; je n’étais pas malade mais c’était comme si j’en avais fumer 10.
La fois suivante, je fume deux ou trois tafs sur leur joint, sans en prendre un entier : et paf, rebelote : limite évanouie sur le canapé.
Pour savoir, je m’en suis procuré : je le dose comme des granules homéopathiques : ca va mieux, mais je sens un dégoût.
Depuis, je n’en fume plus du tout.
Lorsque j’avais arrêté d’en acheter il y a 4 ans, j’ai été surprise, comme disait Bébert

, de la facilité dont on peut s’en passer ; et je confirme

, que l’on y est attaché de manière psychologique plus que physiologiquement. Pas comme le tabac ou l’alcool.
Le baclo m’a calmé sur l’alcool, le shit et sur toute la façon que j’ai d’entreprendre les choses ; même les mots fléchés ne sont plus fait de la même manière : avant j’en commençais un et je me disais : je ne m’endors pas tant qu’il n’est pas fini ;
Bon, pour l’amour, faut pas rêver : je reste Stop, c'est-à -dire que c’est encore un peu passionnel….
Maintenant, quand je pense au shit, j’ai d’abord cette impression que vous connaissez tous, celle du dégout de l’odeur quand on a trop fumer (et qu’on continue quand même).
Et je n’ai plus cet infime sentiment de me dire, « la, à cette soirée, je vais pouvoir fumer et me défoncer » ; je n’y pense plus parce que je n’en ai plus envie en fait.
Bon j'arrête la,
c'était mon pavé...
isabelle
