Reprise du dernier message
Bon jour Ă tous.
je vous livre une partie du post que j'ai déposé sur un autre océan le 07/07/11 sur les ES.
Depuis quelques semaines, mon quotidien est très perturbé.
La prise du baclofène en est la cause mais je ne le regrette pas du tout.
Ce post va être limite prolixe, je m’en excuse d’avance, mais il essaie de résumer quand même une grande partie de ce qui se passe à bord.
Je voudrais toutefois avertir que le début parait négatif,mais lisez jusqu’au bout si vous êtes courageux, vous verrez que c’est positif.
J’ai besoin de retour d’information sur ce qui va suivre, vous comprendrez pourquoi à cette lecture.
J’en suis à l’heure actuelle à 180 mg/jour répartis en 5prises :
30 à 9h30 et 11h30 - 40 à 14h00 – 16h00 – 18h00
Mon quotidien est devenu un combat permanent envers les effets secondaires suivants et sachant que j’ai une activité professionnelle plus qu’intense et dans laquelle je m’éclate pourtant, je vous laisse imaginer les conséquences pour certains d’entre eux, sachant qu’ils me perturbent aussi dans les prises que je loupe alors que je suis plutôt une personne rigoureuse:
- une sorte de somnolence quasi permanente après la 1èreprise
- effets de casque et picotements cérébraux, beaucoup moins marqués maintenant
- des micro-coupures du cerveau associées à ces somnolences : si je suis perturbée(le téléphone qui sonne, ou une sollicitation quelconque) alors que je pense à quelque chose, je perds ce à quoi je pensais mais le retrouve de toute façon plus tard,du coup je note toujours dans l’urgence ce a quoi je pense
- oui mais, comme j’ai perdu le goût d’écrire, j’écris super mal et ne peut souvent me relire : dans le genre on peut faire plus simple
- je découvre à contrario le goût pour parler et suis devenu volubile
- Je ne suis plus capable de gérer l’immédiat, ma concentration est quasi impossible
- Mes yeux me jouent des tours, les troubles m’empêchent donc de lire correctement, moi qui ai retrouvé le goût de la lecture, je suislà aussi pénalisée.
- J’ai du vent dans les oreilles lorsque je ferme les yeux,
Je vais essayer de m’expliquer :lorsque je rentre dans un tunnel à bord d’un train j’ai une compression brutale dans mes oreilles.
Ici c’est légèrement différent car je n’ai pas cette impression physique, mais une sorte de vent, je ne trouve pas d’autre représentation.
Ce qui me surprends (je m'observe attentivement depuis plusieurs jours), c’est qu’il se produit debout, assise ou couchée, en totale corrélation dans le déclenchement et la durée avec le clignement de mes yeux.
Ce phénomène disparait au bout d’un moment.
Peut-être que je me trompe, mais je ne le considère comme un acouphène car je n’ai que très peu de sifflements, peu existants de toute façon avant mont traitement et totalement tolérés.
- j’avais une consommation de café plus qu’excessive (1 cafetière le matin, je vous jure que c’est vrai !), deux tasses sont maintenant mon maximum.
- mon alimentation change, je retrouve mes goûts antérieurs à mon alcoolisation, mais je suis actuellement dans une légère boulimie.
- ma libido est complètement anéantie
- je me couche assez tôt, me réveille une première fois 3 ou 4 heures plus tard, puis me rendort pour me lever définitivement à des heures qui oscillent entre 2h30 et 4 ou 5h00 du matin.
FIN DU POST
Au 25/09/11 : j'en suis Ă 200 mg en 4 prise de 50 = -12H00 - 14H30 - 16H00 - 18H30
L'insomnie est absolument monstrueuse et j'ai beaucoup de mal à gérer cet espace-temps libéré : mon esprit est totalement occupé.
J'ai un goût très particulier limite désagréable en bouche et des soucis avec ma mémoire à court-terme.
J'ai eu des suées nocturnes importantes, des fourmillements dans les bras aussi, non mentionnés dans le post.
Je trouve mes bras très marbrés et mes bleus apparaissant très facilement : pas sûre pourtant que cet ES soit du au baclo.
Le reste des ES s'est considérablement estompé sauf la libido.
Pour cette dernière, je pense la traiter en partie, j'en parlerais sur mon post bientôt, je pense car je me demande s'il n'existe pas une corrélation entre mon alcoolisation et ma contraception.
Mes addictions au café et au travail ont disparus !
Je consolide car je pense avoir atteint l'indifférence.
Bien Ă vous tous.
Ne lâchez pas, le baclo ça marche.
LVDLV
Message édité 7 fois, dernière édition par le vent dans les voiles, 29 Septembre 2011, 3:35
je vous livre une partie du post que j'ai déposé sur un autre océan le 07/07/11 sur les ES.
Depuis quelques semaines, mon quotidien est très perturbé.
La prise du baclofène en est la cause mais je ne le regrette pas du tout.
Ce post va être limite prolixe, je m’en excuse d’avance, mais il essaie de résumer quand même une grande partie de ce qui se passe à bord.
Je voudrais toutefois avertir que le début parait négatif,mais lisez jusqu’au bout si vous êtes courageux, vous verrez que c’est positif.
J’ai besoin de retour d’information sur ce qui va suivre, vous comprendrez pourquoi à cette lecture.
J’en suis à l’heure actuelle à 180 mg/jour répartis en 5prises :
30 à 9h30 et 11h30 - 40 à 14h00 – 16h00 – 18h00
Mon quotidien est devenu un combat permanent envers les effets secondaires suivants et sachant que j’ai une activité professionnelle plus qu’intense et dans laquelle je m’éclate pourtant, je vous laisse imaginer les conséquences pour certains d’entre eux, sachant qu’ils me perturbent aussi dans les prises que je loupe alors que je suis plutôt une personne rigoureuse:
- une sorte de somnolence quasi permanente après la 1èreprise
- effets de casque et picotements cérébraux, beaucoup moins marqués maintenant
- des micro-coupures du cerveau associées à ces somnolences : si je suis perturbée(le téléphone qui sonne, ou une sollicitation quelconque) alors que je pense à quelque chose, je perds ce à quoi je pensais mais le retrouve de toute façon plus tard,du coup je note toujours dans l’urgence ce a quoi je pense
- oui mais, comme j’ai perdu le goût d’écrire, j’écris super mal et ne peut souvent me relire : dans le genre on peut faire plus simple
- je découvre à contrario le goût pour parler et suis devenu volubile
- Je ne suis plus capable de gérer l’immédiat, ma concentration est quasi impossible
- Mes yeux me jouent des tours, les troubles m’empêchent donc de lire correctement, moi qui ai retrouvé le goût de la lecture, je suislà aussi pénalisée.
- J’ai du vent dans les oreilles lorsque je ferme les yeux,
Je vais essayer de m’expliquer :lorsque je rentre dans un tunnel à bord d’un train j’ai une compression brutale dans mes oreilles.
Ici c’est légèrement différent car je n’ai pas cette impression physique, mais une sorte de vent, je ne trouve pas d’autre représentation.
Ce qui me surprends (je m'observe attentivement depuis plusieurs jours), c’est qu’il se produit debout, assise ou couchée, en totale corrélation dans le déclenchement et la durée avec le clignement de mes yeux.
Ce phénomène disparait au bout d’un moment.
Peut-être que je me trompe, mais je ne le considère comme un acouphène car je n’ai que très peu de sifflements, peu existants de toute façon avant mont traitement et totalement tolérés.
- j’avais une consommation de café plus qu’excessive (1 cafetière le matin, je vous jure que c’est vrai !), deux tasses sont maintenant mon maximum.
- mon alimentation change, je retrouve mes goûts antérieurs à mon alcoolisation, mais je suis actuellement dans une légère boulimie.
- ma libido est complètement anéantie
- je me couche assez tôt, me réveille une première fois 3 ou 4 heures plus tard, puis me rendort pour me lever définitivement à des heures qui oscillent entre 2h30 et 4 ou 5h00 du matin.
FIN DU POST
Au 25/09/11 : j'en suis Ă 200 mg en 4 prise de 50 = -12H00 - 14H30 - 16H00 - 18H30
L'insomnie est absolument monstrueuse et j'ai beaucoup de mal à gérer cet espace-temps libéré : mon esprit est totalement occupé.
J'ai un goût très particulier limite désagréable en bouche et des soucis avec ma mémoire à court-terme.
J'ai eu des suées nocturnes importantes, des fourmillements dans les bras aussi, non mentionnés dans le post.
Je trouve mes bras très marbrés et mes bleus apparaissant très facilement : pas sûre pourtant que cet ES soit du au baclo.
Le reste des ES s'est considérablement estompé sauf la libido.
Pour cette dernière, je pense la traiter en partie, j'en parlerais sur mon post bientôt, je pense car je me demande s'il n'existe pas une corrélation entre mon alcoolisation et ma contraception.
Mes addictions au café et au travail ont disparus !
Je consolide car je pense avoir atteint l'indifférence.
Bien Ă vous tous.
Ne lâchez pas, le baclo ça marche.
LVDLV
Il y a 3 sortes d'hommes : les vivants, les morts et ceux qui vont sur la mer (Aristote)