Je n'y arrive pas Cath, je n'arrive pas à descendre au-dessous du 90 mg... ce 90 mg me cadre bon an mal an, c'est mon contenant, pas envie de finir sur le trottoir...
Je connais une seule loi, celle de la chimie du baclo, énoncée par Ameisen et repris simplement par les propos de Sylvie :
"29 Juin 2011, 20:44 De ce que j'ai compris :
Olivier Ameisen prétent que l'alcoolisme vient d'un déficit en GHB.
Le GHB est quelque chose de présent à l'état naturel dans le cerveau, le baclofène a les même propriétés que le GHB, agoniste du GABA-B, c'est la seule autre molécule connue à être un agoniste du GABA-B
Donc d'après lui, le baclofène compense le déficit en GHB et nous permet de guérir. Je crois à cette théorie qui est simple mais explique bien les choses".
Je crédite aussi la théorie qui suit, LUI, sait de quoi il parle :
" L'addiction est une maladie secondaire qui serait causée par un manque qualitatif et quantitatif de GABA-B, d'où les crise d'angoisse et d'anxiété avant l'addiction, le jour ou les personnes touchées par cette maladie rencontrent un produit tel que l'alcool, la drogue (opiacés légaux et illégaux), la nourriture, le sport et la scarification (addiction à sa propre endorphine) c'est une véritable révélation, ils se sentent apaisés et s'en servent comme médicament à leur mal être latent et ne peuvent plus s'en passer tout simplement parce que le système gabaérgique et dopaminérgique sont totalement déréglés.
Il existe seulement trois substances au monde qui peuvent se substituer au GABA-B, il y a l'alcool, la drogue (opiacés, GHB, cocaïne,...) et le baclofène.
On connait déjà les ravages qu'engendre l'alcool et la drogue, il n'est plus besoin de démontrer qu'ils ne sont pas efficaces du tout.
En revanche le baclofène lui en se substituant au GABA-B soigne la maladie primaire, celle qui a fait basculer les personnes dans l'addiction, c'est en soignant ce manque qualitatif et quantitatif de GABA-B que l'on guéri de l'addiction et que par conséquent le craving est supprimé".
Il n'y a pas d'alcoolisme à deux vitesses. Il a y un alcoolisme. POINT BARRE.
La théorie à deux balles des bleus à l'âme, de la solitude machin, et du truc pour combler le machin, c'est tout juste pour alimenter la méconnaissance de la molécule BACLO.
La soluce, je la cerne : MONTER LE BACLO ! Sylvie l'a énoncé maintes et maintes fois, monter le baclo, mais pas n'importe comment. Alors je réîtère haut et fort, les prises rapprochées 15h, 16h, 17h, quand on frise les 180 mg, c'est folie pure et droit le mur.
Pour l'heure, j'ai pleine conscience de ma peine à monter le baclo, elle m'appartient, merci, elle m'appartient.
Je veux guérir, c'est la seule chose que je sais ! Alors je mettrai le temps, avec mon COUSU MAIN.
Message édité 1 fois, dernière édition par STEREN, 22 Décembre 2011, 22:59
Il faut avoir un chaos en soi-même pour accoucher d’une étoile qui danse...