Bon, j'me suis p'têtre un peu avancée là en disant que je suis "guérie" : une fenêtre s'ouvre sur mon écran et se dérouuuule une pub de.......
une pub de chocolaaaat !!!!
et mon coeur, of... ce s'rait plutôt mon cerveau (mais sûr, pas mon estomac

!) qui se met à tressauter de joie

au s'cours !!!!
Mandarine m'a dit, à mon arrivée : "Il y du boulot passer de la bouffe-poison à la bouffe-copine, hein?"
Oh oui, mais bien plus pour la tête que pour l'estomac !
Bon, pour la pub, c'est bon. l'envie est toujours là , mais pas le besoin, la nécessité de sauter dessus.
Il faut d'abord se découvrir, surtout si on ne connait pas cette sensation de satiété ; apprendre à s'écouter, à obéir à ses sensations nouvelles, à ne pas chercher à aller outre... j'crois bien qu'à 20mg, le 21 janvier déjà , j'étais aux portes de la guérison.
Le cerveau. Parlons-en de celui-lÃ

!!!
Quand j'ai ressenti la satiété, je n'ai pas pu m'empêcher de me poster devant mon armoire à glace. Je me détaillais (bé oui, j'chuis une fille môa

) et tout à coup, j'ai pris conscience que mon cerveau me parlait.
Et ce qu'il disait: horreur, il disait : "et après ?, qu'est-ce que tu vas faire après ?" ?????????
Misère, c'est moi qui pensait cela ?
Moi qui sait très bien pourquoi je rate tout ?
Moi qui ne cesse de dire qu'il faut se préparer mentalement ?
Ben c'est pas gagné ma fille !!!
Moralité : il faut y penser à cet après. Le préparer. SE préparer
Coucou les filles, merci de votre présence.
Non Dine, lundi était une journée difficile, émotionellement parlant. Un très gros stress pour moi parce que trop injuste. Journée positive tout de même, ouf, peut-être sauvée, je crois, mais c'est tellement injuste. Mais bon, il faut digérer, accepter, assimiler, oublier

Et ça, c'est pas juste !
ça m'énerve trop !
Mais Dine, je l'ai reçu ton soleil, merci : j'ai réussi à appliquer tout ce que je vous dis : calme, respirations, expiration du stress....

Donc retour à la maison correct, pas d'attaque au placard
Oui Mantalo, je me laisse porter par le baclofène. Je suis vraiment à l'écoute de mes sensations, trop peur de me lâcher.
Pour ce qui est de l"indifférence", ce n'est pas du tout le mot. ou peut-être que si, mais seulement pour la quantité, les pulsions.
Parce que pour la bouffe, huuuuuuuum, toujours la même envie de manger, de déguster, de me régaler et... de faire durer, donc, de mâcher !
Et bien sûr que oui, tu as bien fait pour la balance. J'y arriverai aussi mais j'ai déjà pris mes distances avec elle.
Loulou et Coccy, merci pour vos encouragements.
Oui, cela fait du bien de s'occuper de soi aussi.
Gros bisou à vous toutes et merci
