Un dimanche de galère.
Les faits:
9h, je pars au gymnase arbitrer notre équipe masculine 3
11h, douche et puis le pastis qu'ils apportent systématiquement (ils ont entre 40 et 50ans), "ils savent vivre. J'en bois 1 ET 2 ET 3...
Bon je n'ai pas anticipé que je suis attendu à l'apéro chez un pote. Quand je dis pas anticipé, je crois que j'ai plutôt pensé "on verra bien.
12H15, premier sky, (j'ai décidé d'arrêter le pastis

)un vrai maison
12H35, deuxième sky (contrairement aux trains, les skys n'ont pas de retard!)
13H, des potes arrivent à l'improviste (enfin eux l'avaient sûrement prévu) et donc, ben oui, un troisième.
Là , je dis à ma compagne, il faut qu'on y aille, malgré leurs invit' à manger.
Maison: je grignote un peu de poulet, mais sans enthousiasme. Je sens que ça bouge à l'intérieur (pour mémoire, j'en suis à 270) Je bois de la salvetta en mangeant, mais ce n'est pas vraiment de l'indifférence, plutôt du dégoût.
J'essaie de proposer un sieste câline pour "penser à autre chose". Fiasco. Le baclo, lui, continue son attaque. Je me sens envahi par une nausée euphorique (encore un occymore).
Je décide de dormir un peu avant une sortie spectacle programmée à 17h. Ma compagne décide, sans doute avec raison, qu'il vaut mieux s'abstenir. Jusqu'à 22h, j'alterne des phases de sommeil profond très courtes et des réveils en sursaut. Sans doutes des apnées...
La nuit a été calme avec les phases d'insomnies habituelles.
Ce matin ,je me remets les idées en place en vous relatant tout ça.
Une chose sûre (comme dit mon cordonnier) aujourd'hui je vais moins boire.
Merci pour votre écoute.
JJ