Salut à tous,
Merci Daniel pour cette carte de membre du club.

Tu dis "1l de whisky les soirs de semaine, le week-end en folie", du coup quelle était ta répartition semaine / WE ?
Une petite anecdote qui me revient, comme quoi la maladie est un long parcours émaillé de riens.
Je suis passé du whisky à la vodka suite une l'interview de Geneviève Casasus qui expliquait qu'elle s'arsouillait à la vodka parce que ça ne charge pas l'haleine.
Quelques hectolitre plus tard je peux vous dire que c'est faux.
Tout autre chose :
J'ai commenté le fil de cecile91 pour dire tout le bien que je pense du bouquin de Beaurepaire.
Ici, je vais nuancer mon propos.
Page 117 il explique qu'aujourd'hui ce sont les échecs qui l'intéresse le plus. Je pense qu'il a raison.
La cause principale identifié est la non vraie volonté des patients de se soigner.
J'imagine qu'il est quasiment impossible d'enquêter auprès de patient qui ont renoncé voire qui ne donnent aucune nouvelle.
La formation des prescripteurs est indispensable pour effectuer un suivi rigoureux et identifier sur un plus long terme les causes précises des échecs.
Cela aussi, dans le climat actuel risque de ne pas être facile.
Mais page 130 il parle d'un médicament anodin et là je ne suis pas d'accord. Les ES ne sont pas anodins.
Mes deux pétages de plomb se sont même révélés extrêmement dangereux. Je n'ai qu'un témoignage pour l'instant d'effet similaire, c'est peut être marginal, mais dans les précautions on parle juste d'effet confusionnel. Je peux vous assurer que je n'étais pas, alors, simplement confus.
D'après les autres témoignages les ES se surmontent assez facilement en allongeant la durée des paliers.
Mais les "anti" attaquent notamment sur les ES, je ne pense pas que ce soit en les minimisant qu'on sert le mieux le traitement.
En ce moment, je passe des nuits terribles, ce n'est pas "que" de l’insomnie, c'est un espèce d'état second où j'arrive quand même à me reposer, mais en étant réveillé mille fois hyper mal dans mon corps.
A suivre, mais je pense vraiment que ce qualificatif d'anodin est mal choisi.
A+
"Rien n'est jamais acquis à l'Homme. Ni sa force. Ni sa faiblesse"