la coexistence...


il n'est jamais facile d'être deux en un, je vous l'avoue

mais le jeu est appréciable


théorie de l'esprit, cette capacité que l'on a à se représenter les états mentaux des autres (et les siens)

théorie de l'esprit, à son paroxysme sur un fort home du genre


faisons-la exploser !


portez-vous bien les maudits

xmzc crois tu que je sois cela? rôle du cellerier:

Pour cellérier du monastère, on choisira quelqu'un de la communauté qui soit judicieux, de caractère mûr, sobre, ni gros mangeur, ni altier, ni agité, ni injuste, ni trop lent ni trop prompt à la dépense, mais qui craigne Dieu et soit comme un père pour la communauté.
'Qu'il prenne soin de tout; qu'il ne fasse rien sans ordre de l'abbé ; qu'il observe les
ordres donnés, qu'il ne mécontente pas les frères . Si un frère vient à lui faire une demande
déraisonnable, il ne le fâchera pas en le méprisant, mais avec humilité il refusera raisonnablement à celui qui demande à tort.
'Qu'il garde son âme, se souvenant toujours de la parole de l'Apôtre : « Celui qui aura bien
servi s'acquiert un bon rang. » En toute sollicitude il prendra soin des malades, des enfants, des hôtes et des pauvres, bien convaincu qu'il rendra compte pour eux tous au
jour du jugement. Tous les objets et tous les biens du monastère seront à ses yeux comme les
vases sacrés de l'autel. Il ne se permettra aucune négligence. Il ne sera pas enclin à l'avarice ni dépensier ni dilapidateur du patrimoine du monastère, mais il fera tout avec
mesure et selon l'ordre de l'abbé.
Avant tout qu'il ait l'humilité et, quand il n'a pas de quoi donner, qu'il fasse une réponse aimable selon la sentence : «Une parole vaut mieux que le plus beau cadeau. »
Il étendra sa sollicitude à tout ce dont l'abbé l'a chargé ; il ne se mêlera pas des choses qui lui sont interdites. Il fournira aux frères la fixée sans arrogance ni délai, pour qu'ils ne soient pas irrités, se souvenant de la parole sur le sort réservé à celui « qui aura irrité l'un des petits ».
Si la communauté est nombreuse, on lui donnera des aides grâce auxquels lui-même pourra d'une âme égale remplir la charge qui lui est confiée. On donnera et on demandera aux heures convenables ce qui doit être donné et demandé. Ainsi nul ne sera troublé ni peiné
dans la maison de Dieu.

Enleve le coté religion!

Tudieu "les mots dits" mercenaires de l'esprit,

Vous avez dévoré un ouvrage littéraire enragé ou bien ?


A toi pseudo scrabelé,

Heureux, plutôt deux fois qu'une de croiser un gone.
On joue ensemble. Tu ferais Gnafron et moi Guignol.


A toi Niels,

J'ai subodoré que tu nous surveillais.
Je me con-plait dans la sagesse de tes propos de lutin ailé.

Embrasse mon ami Jars.

Ouais, j'sais pas c'qu'ils ont à faire des phrases...
Lee fume mais google aussi apparemment. Ils en bâclent presque le sujet "baclo".

Je vais devoir travailler les façons et manières des maudits. En attendant godot voici Tristan une des plus belles chansons de Brel à mon avis et pour ton avis: http://www.deezer.com/track/2296863


Oulà tu chauffes xmzc, limite trop, tu vas nous échauffer le chat qui est tranquille à se faire les griffes sur Pelloux

Tudieu sorciére,

Tu veux me faire pleurer.

Arrête de botter mon talon d'Achille.Je sais, oui je sais maintenant que tu es une femme.
Dans quelle galère me suis encore embarqué?

Un deuxième baiser est de mise.

Ou me suis je trahie? Ou ais je découvert l'origine de mon monde?
En étant à l’affût de tes baisers? A moins que tu n'ais anagramiquement déduit mon prénom de ce pseudo si difficile à craker.
J'arrete avec Jacques mais je passe toujours pour une extra terrestre en parlant de ce titre alors j'ai eu envie de t'emmener dans mon vaisseau.

Un cadeau en retour.

Le port d'Amsterdam par David Bowie.

Choquant? Non. Surprenant oui !

" Et qui boivent a la santé............ "

PS/ J'ai empoyé le verbe boire. Eh paf. Suis pas H.S !

Touchée!
je suis fan de cette version.
Buvons aux HS

Anagramme n'a pas d'anagramme.

" Raiveell en mer " me suggére.

Baclo/ Stop / Over / Stop.

gogole chauffe ?

la marmite aussi, il restait des pruneaux, j'avais une demi-olive

potage à l'eau de marre, les temps sont durs

elle est au coin du feu

régalez-vous

je pars en forêt pour la nuit cueillir des nuages

au passage : http://www.youtube.com/watch?v=4uPZIG5BHD4

ouftie, vous allez trop vite pour moi aujourd'hui...résultat de ma montée trop rapide à Saint Baclo...ouf déjà placé

Le croupier de L.V, mon banquier du black jack, j'ai toujours été conscient que la banque avait de toute façon de nombreux coups d'avance sur mon jeu...

moi le chantre mou de la stratégie verbale, des "mots dit", tel le chantre vert de l'éléphant en rut je suis pu-chiant.

je n'étais pas allez, aussi loin que ta sagacité :

"Dans un monastère, notamment dans une abbaye ou dans un prieuré de bénédictins, le cellérier est un religieux chargé de l'approvisionnement du cellier c'est-à-dire de toutes les denrées alimentaires, dont le vin"

Que tout les Jack Daniel soit donc tou-chiants et nos cellériers, des nourritures terrestres et spiri-tueuses.

Lee vair, je te hais

Niels,

Comme 17, vous répondez toujours présent pour me filocher un coup de main en informatique.


Merci a vous deux.

tristan,

je te l'avais déjà lancé une fois, je réitère

quand on est nul en info, on est bon par ailleurs

je file, les nuages n'attendront pas !

comment va cassus ?

à tchuuuussssssss

" Le passé se nomme haine et l'avenir s"appelle amour "

Victoire Hougo.

Bla, bla, bla...

Quel sirop narcotique coule sur ce fil tout à coup?

Un vague salmigondis de propos insipides et vains tout juste à même de satisfaire sur l'instant l'orgueil de l'orateur du moment. Un longue logorrhée de mots sans queue ni tête.

Quelle est la direction de ce bateau ivre? De quoi parle-t-on? Juste de soi pour essayer de convaincre l'autre de ses beaux atours Regarde ma belle plume au milieu de mon séant, n'est-elle pas seyante à souhait avec son beau panache ourlé de bleu et ses petites pacotilles irisantes?

Une longue vomissure de saillies vaines qui se juxtaposent sans se répondre vraiment ou sur un bon mot ou prétendu tel... Quelle cacophonie insupportable pour si peu de sens.

Il m'a semblé entendre parlé de maître Poquelin. Quelle injure à son nom. Il ne disait pas les mots pour se les entendre dire et se rengorger le plastron. Il les disait dans un but précis, ils faisaient mouche, imparables, tranchants, ils forçaient l'évidence.

Se fourvoyant par hasard en cette taverne sinistre, il s'en retournerait bien vite dans son havre de paix et de silence. Car sa langue avait un but, une structure qui en faisait la force et la saveur.

Je ne vois rien de cela par ici.
Le silence aura tôt fait de recouvrir le tout de sa chape réparatrice.

À vous dégoûter de guérir un jour.

Bla, bla, bla...

Edouard,

Tu parles de sirop narcotique.
Fort bien. J'espére que ce jet de vitriol t'as libéré.

Tu parles de l'orgueil de l'orateur du moment.
Je suis persuadé que tu a lu et relu ta prose.

Tu évoque Moliere.
En son temps, il a été jugé, déjugé,admiré, détesté.
Laisse le reposer en paix.

Amitiés toujours mon ami Edouard.

J'ai croisé Jean Ba' l'autre jour, comme toi, qui sait très bien ce qu'il aurait fait en tel ou tel circonstance, et lui me disait: tu vois, j'aime bien ton fil, gros...

Il a rajouté: Putain, si c'est ça qui l'empêche de guérir, con (période méridionale), il est pas sortit de la taverne...

Ce Poqu'...: Impayable!

Te voilà bien remonté edouard,

Comme l'aurait dit, a n'en pas douter, le Grand Baptiste:
Ouaip, si tu veux, ouaip, t'as raison, bon...ok.
Merci d'être passé en tous cas.
Arf, pense à refermer la porte en sortant, le mois d'avril n'est plus ce qu'il était.
...

On a fait 2 pages sur l'indifférence, le pourquoi, le comment et le où.
On passe 1 page à se détendre le bulbe...

Reste que tu voulais coller un effet.
J'aime assez.
Cela fait bouger la pièce.
Personnage inattendu.

Bise.

Edouard pas mieux que ci dessus, de mes camarades de tabouret

mais penser à allez voir qui tu sembles être...
à faire...

Etant dans l'état d'hyperactivité, de nombreuses fois décrites ici ou là, je répondrais ou pas d'ici quelques jours

Le Baclo vaincra

@reiz oui un peu de mouvement ça fait du bien. Mais avec une direction hein?
Connais pas jean ba désolé, sans doute un chouette type.

@tristan: tu m'as mis à nu.

Que cela n'entrave pas votre joyeuse humeur.
Place a vos détentes de bulbe.

La bise les amis.

Le petit père Jean Ba', le Poqu', bah Momo quoi...
Bref.
Quoi qu'il en soit, tu as exprimé ce que beaucoup doivent penser ici, sans oser peut-être.
Ce fil qui ne cesse de remonter où l'on y dit n'imp'.
Pas que.
Mais.
...
La bise répétitas.

Pour le reste

Salmigondis Insipides logorrhées Sans queue ni tête

Belle plume, au milieu de ton séant, seyante à souhait!

Ourlé de bleu

Diantre suis je arrivé le premier dans la taverne? Point de gravité ,je vais donc faire un bon feu et préparer un tonneau de cervoise!
xmzc,j'ai ramener dans mes sacoches un 4-21,je le laisse sur une table pour pouvoir faire une partie ou meme plusieurs, bien sur le perdant offre sa tournée. Pourquoi donc haïr vers lit?
Mais que vois je de si bon matin?
Le voyageur ardoude est venu tempêter ou plutôt légèrement souffler une brise de désaccord ,pour le sirop narcotique a la vu de mon pseudonyme, il pouvait me le demander! J'ai dans mes sacoches quelques gouttes de glande surrénale qui lui aurait donner l'envie de ce prendre pour un lézard !

Amis des "mots dit" je vous salutante et je vais faire une promenade sur le mont baclo.

Descente du Mont Baclo:

Il y'a 2 mois je l'ai senti. Je pouvais descendre.
Pourquoi le faire me dirais vous? Pas d'ES prononcés depuis l'arrêt de la clope.
Pas non plus l'envie de faire dans la coquetterie.
Mais il est cette mémoire tampon. Qui tamponne mal.
Alors Zaï!
Pas comme un kamikaze. A la façon d'un vol à voile; d'un planeur...
Avec les vents.
Pas en forçant l'attraction.

Mon seuil: 220mg.
Aujourd'hui: 200mg.
Aucun souci. A force d'une année de Baclo, de cette accumulation d'impression, d'imprégnation, je n'éprouve vraiment plus rien de ce craving matinal. Nada.
C'est un calme, c'est un luxe, que dis-je un luxe? C'est une volupté.

J'arrive à cela.
Je n'ai pas de projet, pas de calendrier. Je ne vais pas baisser de 10mg tous les mois par exemple.
Tout au ressentit. Au feeling.
On apprend à s'écouter...

...

Entre parenthèses.

Plus jeune en baclo et en indifférence certes mais cette volupté je la connais et je m'y sent bien!
Comment comptes tu articuler ta descente de baclo?

Au feeling mon pote.
A l’instinct.
Une descente de 10mg quand je le sens, à la manière d'un sportif. J'écoute mon corps. Je me choufe. Je garde un œil sur mes attitudes.
Je stabilise, j'attends...
Et, si je le sens, si le vent s'y prête, je descends un palier en douceur. A l'horizontal.

Exemple de "je veux forcer": J'ai voulu descendre de 20mg d'un coup. Passer de 220 à 200.
Et paf, 3 jours après, une putain d'envie de prendre un apéro qui me travaillait depuis le milieu de l'après midi.
Mon cerveau cherchait, je le voyais bien l'enfoiré, une excuse, une solution, pour pouvoir picoler "socialement"si possible, mine que rien, en alcoolique.
Je me suis remis à 210mg.
Le Baclo, c'est 3 jours de compréhension par le corps pour moi.
3 jours après donc, pas de souci. Porté par le vent, stable.
3 semaines plus tard, j'ai senti que je pouvais. Une brèche, un créneau, je m'y engouffre en souplesse.
Du calme, du sang froid et de la détermination.
De l'expérience surtout.
Pas une prise de risque.
...

Il existe d'autres façons de baisser.
Plus radicales.
...

Je me la fait à l'horizontale...

Si tu veux faire plaiz' à tes gosses...
Attrape les tous, Pokémon!
Go, Pickachu!

Ave L.Ves,

à le 4-21...connais tu "l'enculette" un dérivé de la quinche (belote bridgée), proche dans ses atours du black jack.

Pour l'al-li vair, cherche un peu, l'as de végas...

Au talentueux Chat de plage, interpellant ta gestion "sportive" de l'indifférence, de ton libre arbitre, de ta liberté...le ressenti...

L'Hiver, bien entendu je t'aime : rassuré Las ;-)

> Idée à ceux qui nous lisent :
- La proximité d'esprit, d'histoire, de communauté ou différente...
- La dérision // a nos actions passé faites ou accomplies dans l'esprit "démocratie Athénienne"
- ...

Peuvent choquées !!!

Cela dit: aucune haine dans mes propos...est je suis sur dans nos propos.
Je suis moi aussi un tou-chiant

Pour faire simple : Daniel tu es mec bien, touchant...je dit cela sans vice

Simplement, comme l'a dit Tristan : "finesse", il faut savoir comme l'acteur avant sa représentation prendre la température de salle ou ne pas jouer !

Saint Baclo mon sauveur, tu me fais marcher sur l'eau.

Bises à toutes et tous

Xavier

Ah le pokémon Ameisen!!! Ca va se dealer grave dans les centres d'alcoologie...

Bon, brèfle, je suis venue vous dire que....ben oui, vos larmes n'y pourront rien changer. Comme dit si bien Verlaine : c'est pas pour faire chier mais on est chez Reiz là quand même!
Ok on est venu papoter, mais p'etre qu'il attend du beau monde...style Niels/chris ou allez savoir...En tout cas moi je repose les clés...c'est le week end, en plus y'a peut etre foot...A la prochaine Camarades

toctoc?
Bonjour,
ce fil à l'air intéressant. A bientôt.

Allo !

je suis là !

Je comprend mieux reiz, moi jeune dans l’indifférence je ne me vois même pas baisser ma dose de baclo.

Et tu as mille fois raison.
Avant de penser à baisser, il faut stabiliser son indifférence. La vivre pleinement.
Ce n'est pas une question de semaines.
Mais de mois.
...
Et encore une fois: Il faut savoir t'écouter.
Et plus précisément, savoir écouter ton corps et tes ressentis.
...
C'est l'erreur de beaucoup de gens.
Vouloir descendre à tous prix.
Si, comme dans ton cas, les ES ne sont pas handicapants;
Aucune raison à cela.
Donc wait and see.
...
Je commence cette descente tranquillou après un an de traitement...
Vois tu?
Je sais que tu vois.
...

C'est pour cela que je me dis que je vais rester a ma dose pendant un an. Car j'aime trop la bonne bouffe et le bon vin et il serait facile de ce laisser piéger.
Tu comprends mon pote?tu sais comment je suis!

Pluusoyage!

Gorgée de 210mg de baclofène, à savoir 20mg au dessus de ma dose seuil pendant 3 mois, j'avais, amorcé, Janvier dernier (2012) ma descente.

-10, nickel, rien ne bouge, je suis encore gavée, je marche au dessus de mes pompes, et je sais que je peux re-tabler sur mon 190mg seuil 15 jours après, en Février...

Ensuite... Et c'est là que le bat blesse... Me suis dit, la descente selon machin et truc, ça devrait pouvoir être -10mg par mois?

Me voilà à partir de Mars, à pré-établir un protocole descente, pas du tout au feeling, mais au calendrier!

Paf! Aout 2012 : 150mg! Bon, descente tranquille, mais orchestrée et pas selon mes tripes... Et là, de rosé d'été en BBQ rouge qui tache, je me retrouve début Septembre, à repicoler chez moi toute seule comme une grande.

Bon... J'fais quoi?

Direct, + 40mg en 3 jours, je remonte à 190mg... Ouf! je retrouve direct mon indifférence!



J'ai fait -10 depuis, car je me sens sure et certaine, jamais d'envie, jamais de pensée, on se retrouve un confort d'un cachet de moins, et puis, 3x6, ça fait tout rond!

Depuis... J'attends...

J'attends d'avoir cette sensation à nouveau d'être tellement gorgée de Balofène, que je pourrais me permettre de faire un petit -10

Y'a pas le feu! Plus d'ES depuis facilement un an, alors 18 cachets qui ne me font pas de mal, mais plutôt du bien, je préfère les prendre que passer à 17...

Quand je me verrais en égrèner un de moins, je le ferais. Alors, là, je m'en sens pas loin. Mais j'attends encore. Y'a pas le feu madame, on vous le dit!

Au feeling...

fil d'utilité publique

A savoir que même lorsque l'indifférence est atteinte, elle évolue avec le temps.
Il est bon de la laisser évoluer, de lui laisser faire son chemin et de se l'approprier à plein.
Ce pourquoi la période de stabilisation avant une éventuelle descente à l'horizontale est nécessaire.
Ce n'est pas une question de quelques semaines.
Mais de mois.
...
Tout indifférent que j'étais il y'a 6 mois, mon indifférence n'est pas la même aujourd'hui.
Elle est plus tangible.
Elle a plus d'expérience.
...
1 mois que j'ai baisser de 10mg pour en être à 200mg/jour.
Baisser de 10 encore... Je ne le sens pas.
Je n'ai pas d'explication a cela.
Tout moi me le dit.
Et nous avons enfin la possibilité de nettement moins se mentir maintenant.
...

Tes mots sont juste...
justes.
Ils émanent de quelqu'un qui les a mesuré, senti passer.
Tu vis l’indifférence comme on peut vivre l'ivresse ...
Et ces mots là on les sait,
même du fond du fond,
du bord du caniveau ou l'on regarde se noyer nos bateaux dans le vomi et la pisse, on les sait,
et c'est ce qui fait mal, entre autre,
savoir qu'on pourrait être maître du "Je" ...
mais tout est bon pour flouter cette réalité.

Nous sommes ce bateau ivre qui a doublé les aurores et qui s'échoue à la grille d'une bouche d'égout.
Grâce au baclofène nous récupérons une boussole, reste à apprendre à nous en servir, mais déjà:

Notre maladie neuro biologique n'a pas que l'alcool comme incidence.
L'alcoolisme qui nous soigne n'est que le plus gros symptôme et c'est celui qui nous posera le plus de problèmes.
C'est juste la mauvaise solution pour calmer cette maladie.
Mais la maladie en tant que telle?
Ne pas boire ne suffit pas.
...
Au delà de ça, nous avions d'autres fragilités comportementales toutes dus à cette maladie.
Moi, j'en avais.
Ce pourquoi aujourd'hui à travers le Baclofène je suis enfin l'homme que j'aurais dû être sans cette maladie.
...
Je suis devenu adulte.
Il y'a encore un peu plus d'un an donc, je pouvais très bien partir dans un enfantin: Et bah d'accord, et bah puisque c'est comme ça, tiens, je vais boire et tout le monde sera bien content quand je serais mort!
Oui. C'est pathétique. C'est cette maladie qui fait ça.
Je me faisais pervers au sens psy du mot: Je mentais. Je mythomanais. Pour : Faire rien qu'à me rendre intéressant.
Cette maladie fait ça.
Parce que si l'on arrête de se raconter des histoires, que le regarde les choses en face...
On ne peut que se rendre compte que l'on se comporte comme une merde, que l'on est pas soi, que rien n'y fera et que l'on va mourir comme un con.
Ce qui est difficilement vivable au jour le jour.
Nous étions obligés de nous mentir.
Pour survivre malgré tout. Malgré cette maladie que nous n'avions de surcroit pas identifiée.
...
Quel poids il fallut que nous portions!
Comment avons nous réussis à ne pas devenir fou?
... En nous mentant.
Question de vie ou de mort.
...
Le Baclofène soigne cette maladie.
Être indifférent à l'alcool est une chose.
Être soigné de cette maladie en est une autre.
Qui prendra plus de temps psychologiquement que le simple fait de ne plus ressentir d'appétence pour la boisson.
Car nous sommes plus complexe qu'une maladie physique.
...
C'est ce que je me dis.
Là.

et moi je répond là, suis d'ac!

j'apprécie ces propos


le mensonge à l'origine de tout

tout d'abord dirigé vers autrui, puis dirigé vers soi

de l'extra à l'intro


théorie de l'esprit : se représenter les états mentaux d'autrui mais également les siens

on y revient

vers 4 ans, l'enfant devient capable d'attribuer à autrui des états mentaux autres que les siens

"je sais qu'autrui peut avoir des pensées différentes des miennes"

"je prends conscience qu'autrui peut croire des choses qui en réalité ne sont pas vraies"

l'enfant devient indépendant de son propre point de vue

"je prends conscience de l'existence du mensonge"

autrui peut dire des choses que ne reflète pas la réalité

"je peux mentir à mon tour moi aussi"

"je commence par mentir aux autres"

puis vient l'âge où ...

pour tout un tas de circonstances que nous connaissons

"je me mens à moi-même"

le développement de l'intelligence ?


l'alcool rend dépendant

l'alcool rend indépendant du point de vue d'autrui

puis de son propre point de vue

développement infernal


merci baclo

je vais éplucher mes légumes

Cela me rappelle une anecdote Reiz, lorsque j'étais jeune, on sortait et on buvait beaucoup.
Parfois tous ages confondus.
Et il y avait un ancien avec nous, qui disait très souvent en levant sa suze : "L'alcool a été inventé pour que les gens intelligents ne deviennent pas fous".

Cela n'apporte rien au débat, mais je voulais vous faire partager cette phrase que j'ai entendu très souvent.
Et j'y ai cru même.
Jusqu'au jour ou j'ai compris que j'étais juste malade.

...
L'inverse ne vaut pas.
C'est un poncif, oui.
Que de dire que plus on est intelligent et plus l'on souffre car on a la possibilité de se rendre compte de la vacuité de notre existence, des gens, de l'ordre du monde.
Alors l'alcool nous permettrait d'oublier tout cela; De combler ce vide.
Les gens intelligents en manque souvent de celle là même qu'il mettent au pinacle.
Ils manquent d'imagination... Je trouve.
...
La plus part des gens on recours à des expédiant afin de tronquer leur réalité.
L'hyper activité au travail par exemple.
C'est ce que l'on pourrait appeler une "bonne maladie".
Ceux là ne se priveront pas, pourtant entièrement consacrés à combler leurs angoisses, de penser que l'autre est un feignant.
...
L'alcoolique roi ne se privera pas de penser que l'autre est un con.
Je sais, j'en étais.
...
On reprend une suze Franck?

18/04/2013. Modification, avec l'accord de reiz, du post massif qui bloque son fil. Il a en sa possession les articles cités saura en faire bon usage.

Articles issus en majorité du document CALAMEO mis à disposition par Sylvie en page d'accueil pour remise aux médecins.
Ecrits par OA/GRANGER/RAPP/DE BEAUREPAIRE/JAURY/SYLVIE/YVES......

Pour moi, ces articles correspondent aux échanges, interrogations sur ce fil et tant d'autres. Conso, dosage, ES, comportement, descente, arrêt...

Je laisse celui qui enflamme les fils : indifférence.

Salut Reiz.

Non, pas de suze pour moi.

Le même monsieur disait aussi : "La suze c'est la paix des sens". Comprends que ça calmait beaucoup sa libido. Je ne sais pas si c'est fondé.

Pour ça, j'ai déjà le baclo, pas besoin d'un truc en plus.

Et puis j'ai déjà pris deux jus de tomate à c't'heure...


Bonne soirée.

Hey Reizou

J'avais pas encore ouvert ton lien http://www.youtube.com/watch?v=

Excellent !!!

Bises à mon gros chaton préféré

Une petite histoire guignolesque:

Le fofo, c'est virtuel mon cul!

Il y'a 6 mois j'écris un texte pour enfant. On en parle ici.
André, le notre, celui à la moto, me dit:"Gros, pour protéger ton texte, tu te l'envoie à toi même avec accusé de réception"...
Moi, t'vois, chuis zun nartist', twa? ... J'calcule pas, twa?!...
Mais bon, je le fais.

Toujours écouter un motard!
...

Avant hier, je tel à l'éditeur.
- Allo? C'est l'artist' twa?! quoi qu'tu fout bourgeois, j'ai pas de nouvelles de mon chef d'oeuvre?
- Plait il? Me dit il...
- Mon texte, tu t'en torches?
- Monsieur?
- Reiz! L'Ôtheur de : "Cocci la nénelle", pas moins... Tu peux m'appeler 17.
- Connais pas...
...
Là on va rire... Je vous préviens, si vous aviez prévu autre chose, ne lisez pas.
Cul et escroquerie au programme... Alléchant, n'est il pas?
...
- Figurez vous monsieur Riez, heu Reiz, que nous avons un collaborateur qui est partit avec 50 textes et qu'il compte les faire publier à son nom.
Ce monsieur, monsieur Q...
- Monsieur Q...?! L'interrompis-je comme un artist' impoli que je suis.
Mais je le connais ce trou du Q... continuais-je comme l'artist' vulgaire qu'etc...
Il y'a 10 ans, je lui ais piqué sa nana et le soir, dans un café littéraire, alors je l'alcool me désinhibé, je me plaisais à l'enfoncer lui qui pour moi n'était qu'un intéllo sans envergure tout pantouflé dans statut de futur éditeur prétentieux.
- Vous lui piquez sa nana, il vous pique votre texte...
- Le con! Il connait pas André...
- André?...

Mon poto...
Je m'en vais te le dérouiller le cocu!
Merci ma caille!
...

Cerise sur le gâteau, j'ai fais marrer l'éditeur qui attend mon texte la semaine prochaine.

Il est pas beau le fofo?

Cool Chat bien Botté

Balance son nom à Monsieur Trou du Q...Qu'on lui pourrisse son taf avec des manuscrits alléchants. J'en ai plein mes circonvolutions des conneries en attente.

Bravo pour ton culot vis à vis de l'éditeur

Merci André avoir protégé Cocci la Nénelle.

RZ. Ce sont mes chenapans hors normes qui l'ont détournée.
Adoration immédiate de l'histoire, nous en avons fait un spectacle.
Adapté et modifié au gré de leurs possibilités et fantaisies.

Le cou de la girafe est un toboggan décoré et Nénelle glisse dessus pour s'envoler.
J'ai piqué ton idée de construction cabane pour son logis.

FR3 devait venir filmer samedi semaine dernière pour petit sujet handicapés.
Coups de feu boîte de nuit, report.

Pas d'inquiétude tu as assez de mordant pour défendre Cocci.

Adaptation, crêpes et Baclo:

Voilà, je commence une saison.
Mon job?
Crêpier.
Déglamouré?
J'envoie des galettes et des crêpes.
Avec ma rozelle, je tourne des pâtes savamment dosées sur mes bilig, en magicien du sarrasin.

On y arrive au baclo, on y arrive...

La restauration... ça picole sec.
Et les horaires... rentrer tard le soir, le patron propose de boire un coup en fin de service, le blues agréable du travail accompli sur le retour en voiture... Moins voir ma belle...
Tu vois ce que je veux dire?
Donc, un autre environnement.

Et là, ni une ni deux, je change toute ma répartition.
Toujours à 200mg.
Mais:
50mg 1H avant le service du midi.
50mg à 1H pour assurer la fin de service.
Et, bien sur:
50mg 1H avant le service du soir.
50mg 1H30 avant la débauche.
...

Histoire de ne pas se retourner la grampouezhenn.
T'as reverso.

Nouvel environnement: réaction, adaptation.

Pas déglamouré du tout, surtout si tu revêt un petit tablier blanc !!

Je demande d'ores et déjà à ta belle une photo du magicien du sarrasin, Please ...

Bisous à mon gros châton préféré.

un Kilt blanc, Loulou > une deuxième photo pour toi.

reiz17, ah les crêpes de sarassins...il te reste aussi outre l'outre baclo à 50mg, pour la débauche le chouchenn champomy.

Chapeau les bretons.

Xavier

Sexy demain?

Fin de saison, je reprends mon job d'enfer...

En attendant, oui, la chaleur des crêpières m'oblige à ne travailler qu'en tablier blanc.

Sexy dessous?

Le colosse à l'air libre...elles l'ont vu voler?

"L'alcool est un produit très nécessaire... Il permet au Parlement de prendre à onze heures du soir des décisions qu'aucun homme sensé ne prendrait à onze heures du matin."
George Bernard Shaw

plaisante n'est t-il?

Bien vu la nouvelle répartition! mieux vaut prévenir que guérir.

Toi, le grognard du blé noir, le poète de la galette.
Toi, le galopin du sarrazin...dont on s'arrache les crêpes des lieues alentours, perdre ton glamour?
T'inquiete, Bruce,
brut ou lisse,
en tablier, en Marcel,
tu restes notre Willis.

Le fantasme du forum dont nous sommes toutes foldingues.

Hello Reiz,

Je suis ravie de te revoir par içi, tes messages sont toujours empreints d'empathie, d'estime des autres et de clairvoyance.
Merci à toi d'être là...sur ce forum pour les autres.

Bises Lilou

Cocci Oufnet...

Les enfants se sont appropriés l'histoire?
Elle est à eux!
C'que je suis heureux de savoir ça...

Le cou de la girafe un toboggan?
Ils ont plus d'imagination que moi!

Ils savent construire des abris à coccinelles?
Futur, tiens toi bien!

Je te l'envoie dès qu'il est édité!
Bises.
Et point...
;-)

le service est fini?
et ta nouvelle répartition?

sais tu comment on fait de l'argent avec un français?
fi des questions.
bises à la fée
Xavier le sarrasin qui coupe les crêpes dites au cimeterre.

On l'achète pour ce qu'il vaut, et on le revend pour ce qu'il s'estime...

Donc beaucoup d'argent à débourser à l'achat; Et un peu plus encore à la revente.
Le marché de l'art est ainsi fait.
...

Pour la répartition, bah, c'est comme d'hab'.
C'est à dire qu'il faut 3 jours pour que mon cerveau, cette matière blanchâtre, comprenne bien ce que j'ai mis en place.
Donc c'est ok à ce jours.
J'ai juste affiné.
40mg avant le service du soir.
Et 60mg en milieu de service pour être tout ce qu'il y'a de bien à la sortie du taf.
Le Baclo, c'est ce qui me permet de ne pas lutter. De ne pas être obligé de me servir de ma volonté autrement que dans une constance, dans un état d'esprit globale. D'arrêter avec la volonté de l'instant.
Et la sortie du taf dans la restauration, c'est l'alcool.
Sortir du taf assez tard et prendre la voiture avec ce fameux gentil blues, c'est l'alcool.
Etc, c'est l'alcool.
Ceci dit, c'est juste une adaptation. Je verrais par la suite ce que ça donne sur du moyen terme.

C'était simplement pour souligner que vivre le traitement Baclo, c'est s'écouter et s'acclimater aux changements de notre existence. Ajuster en fonction.
Cela se fait peut-être, sans doute, avec une certaine expérience du traitement. Avec une bonne imprégnation du Baclo en terme de temps.
Et de toutes façons, je pense, en ayant trouvé l'indifférence au préalable.

15 couverts ce soir...
Qu'est ce que tu veux?... C'est la crise.
On nous fera croire ce qu'on voudra pour nous mettre au pas.
Ou nous affamera pour nous mettre en esclavage.
Pas nouveau.
Toujours efficace.
En attendant, la Croisicaise est délicieuse...