Bonjour à tous et à toutes !!!
Je me lance, enfin....
Voici mon histoire :
Je suis maman de trois enfants, 13 ans - 5 ans et 3 ans, j'ai 33 ans et en cours de divorce (mon alcoolisme ne vient pas de la)
Je travail à plein temps, donc une vie bien remplie.... Mais quand vient la nuit je me transforme.....
D'aussi loin que je me souvienne, je bois depuis une 10 zaine d'années.
Au début deux à trois fois par semaine pour trouver le sommeil. Puis tout les soirs, pour oublier les problèmes, mon enfance et mes obsessions liées à une mère violente.
J'ai fait une depression il y a 5 ans environ, à la naissance de ma fille, et j'ai associé Effexor + lexo + alcool.
A l'époque, je me souviens avoir dis au psy qui me suivait que mon véritable problème était la boisson et qu'il entrainait un état dépressif.
Apparemment, je me suis trompée, ou bien elle a du penser que la boisson se traitait à coup d'antidépresseurs (poison + poison + poison devaient etre égal à guérison ???)
Bref, j'ai arrété les cachets, il fallait faire un choix, soit arreter de boire parce que les cachets en association à l'alcool me donnaient des maux de tetes terribles. Soit arreter les cachets. La deuxième solution était de loin la plus simple et bizarement me semblait la moins dangeureuse.
Ces trois dernières années, j'ai completement sombré, pas un soir ne passe sans un verre à la main, une consommation qui monte de plus en plus.
Un soir j'ai bu 16 bières en 2 heures. Il m'est arrivée de boire 3 bouteilles de rosé en 2 heures. Et je passe sur la bouteille de Whisky ou la bouteille de rhum fini en 1 nuit.
J'ai vu mon généraliste en juillet. Je lui ai parlé des trauvaux du professeur (j'ai lu son livre en 3 jours). Mais rien à faire. Il m'a remit sous Effexor et à augmenter ma dose de Lexo.
Trois semaines plus tard, au bord de la crise de nerf, j'ai failli me faire interner à ma demande, puis, j'ai pensé à mes enfants... Impossible de leur faire vivre une expérience telle que celle la, IL FAUT QUE JE M'EN SORTES !!!!
La semaine dernière crise aigue de panique apres 5 jours atroces sans boissons (apparement c'est mon maximum b'abstinence).
Je pars chez le collègue de mon généraliste (celui ci étant en congé) j'étais en pleure et complétement désorientée.
Il me dit DE NE PAS ARRETER L'ALCOOL ET DE LE COMBINER AU LEXO !!!!!!!!!!!
Il fini par : SI VOUS AVEZ UNE AUTRE CRISE AUSSI FORTE DEMANDER DE VOUS FAIRE INTERNER IMMEDIATEMENT OU APPELLER MOI JE LE FERAI
J'hallucine completement !!!
Voila plus de 5 ans, que je demande de l'aide. A différents docteur tout en ayant identifié le PB. Rien, pas de retour, pas d'aide. A croire que l'alccolisme n'est pas une maladie, mais un caprice....
Je suis à bout de force. Mon corps m'en peut plus, j'ai pris 30 kilos en 2 ans !!!
Alros voila, j'ai envoyé un MP a VIVA en espérant avoir un retour sur un prescipteur sur PARIS. Je commence une nouvelle aventure avec vous !
Je suis prete à guerir !!!
Merci à tous de m'avoir lu.
Tilo

Je me lance, enfin....

Voici mon histoire :
Je suis maman de trois enfants, 13 ans - 5 ans et 3 ans, j'ai 33 ans et en cours de divorce (mon alcoolisme ne vient pas de la)
Je travail à plein temps, donc une vie bien remplie.... Mais quand vient la nuit je me transforme.....
D'aussi loin que je me souvienne, je bois depuis une 10 zaine d'années.
Au début deux à trois fois par semaine pour trouver le sommeil. Puis tout les soirs, pour oublier les problèmes, mon enfance et mes obsessions liées à une mère violente.
J'ai fait une depression il y a 5 ans environ, à la naissance de ma fille, et j'ai associé Effexor + lexo + alcool.
A l'époque, je me souviens avoir dis au psy qui me suivait que mon véritable problème était la boisson et qu'il entrainait un état dépressif.
Apparemment, je me suis trompée, ou bien elle a du penser que la boisson se traitait à coup d'antidépresseurs (poison + poison + poison devaient etre égal à guérison ???)
Bref, j'ai arrété les cachets, il fallait faire un choix, soit arreter de boire parce que les cachets en association à l'alcool me donnaient des maux de tetes terribles. Soit arreter les cachets. La deuxième solution était de loin la plus simple et bizarement me semblait la moins dangeureuse.
Ces trois dernières années, j'ai completement sombré, pas un soir ne passe sans un verre à la main, une consommation qui monte de plus en plus.
Un soir j'ai bu 16 bières en 2 heures. Il m'est arrivée de boire 3 bouteilles de rosé en 2 heures. Et je passe sur la bouteille de Whisky ou la bouteille de rhum fini en 1 nuit.
J'ai vu mon généraliste en juillet. Je lui ai parlé des trauvaux du professeur (j'ai lu son livre en 3 jours). Mais rien à faire. Il m'a remit sous Effexor et à augmenter ma dose de Lexo.

Trois semaines plus tard, au bord de la crise de nerf, j'ai failli me faire interner à ma demande, puis, j'ai pensé à mes enfants... Impossible de leur faire vivre une expérience telle que celle la, IL FAUT QUE JE M'EN SORTES !!!!
La semaine dernière crise aigue de panique apres 5 jours atroces sans boissons (apparement c'est mon maximum b'abstinence).
Je pars chez le collègue de mon généraliste (celui ci étant en congé) j'étais en pleure et complétement désorientée.
Il me dit DE NE PAS ARRETER L'ALCOOL ET DE LE COMBINER AU LEXO !!!!!!!!!!!
Il fini par : SI VOUS AVEZ UNE AUTRE CRISE AUSSI FORTE DEMANDER DE VOUS FAIRE INTERNER IMMEDIATEMENT OU APPELLER MOI JE LE FERAI
J'hallucine completement !!!
Voila plus de 5 ans, que je demande de l'aide. A différents docteur tout en ayant identifié le PB. Rien, pas de retour, pas d'aide. A croire que l'alccolisme n'est pas une maladie, mais un caprice....
Je suis à bout de force. Mon corps m'en peut plus, j'ai pris 30 kilos en 2 ans !!!
Alros voila, j'ai envoyé un MP a VIVA en espérant avoir un retour sur un prescipteur sur PARIS. Je commence une nouvelle aventure avec vous !
Je suis prete à guerir !!!
Merci à tous de m'avoir lu.
Tilo