Coucou sur ton fil, co-coach motivationnel!
Je file voir ton lien, "Mathilde", j'espère que c'est pas sur Mathilde-celle-de-Philippe (que j'encadre pas) mais bon ça m'étonnerait de toi, et puis elle n'est pas décoiffante (quoique hérisseuse de poils dans mon cas).
J'ai relu plus haut, ton historique alcool: on coincide en âge pour le début de l'alcool solution: 21 ans, et presque aussi pour le début des emmerdes: un peu après 30. Comique coincidence.
je lis ça aussi : "Toute doctrine traverse trois états : on l'attaque d'abord, en la déclarant absurde; puis on admet qu'elle est vraie, évidente, mais insignifiante. On reconnaît enfin sa véritable importance et ses adversaires revendiquent l'honneur de l'avoir découverte."
(William James)
Et j'ai envie de dire que cette phrase déjà encourageante, est en phase de devenir passée, les choses s'améliorent de jour en jour si j'en crois une formation que j'ai suivie en décembre, sur les attitudes face aux savoirs , nouveaux concepts, réactions aux avis d'"experts", médecins ou profs, des générations baby-boomers/génération X et génération Y.
Les baby-boomers (pour simplifier) ne questionnaient pas les conclusions d'experts. Respect de l'autorité. Besoin de conformation. On se fond dans le moule. Avantage: risque d'erreur peu élevé. Désavantage: pas d'appropriation du savoir, danger de dissolution dans la masse.
Génération X: en transition entre celle du dessus et celle d'en dessous.
La génération Y: génération du "pourquoi"? Refus de solution toute faite pondue par des pontes. Recherche d'épanouissement personnel, qu'il soit en accord ou désaccord avec "le moule". Avantage: réalisation personnelle, autonomie. Désavantage: pas des experts, risque de plantage proportionnellement plus élevé (mais ça va mieux grâce au partage de l'info par internet)
... Bon, sur les générations, y'a des exceptions: toi et moi on est respectivement baby-boomer et génération X, en réalité on oscille tous les 2 entre le X et le Y.
Si j'ai bien compris le message de cette formation, sur ce forum on est à peu près tous des X/Y, en avance donc (youpi, ça flatte mon ego de me sentir pionnière), fini le temps où les autorités médicales conservatrices nous auraient, d'un coup de latte sur les doigts, rabaissé le caquet et empêché l'accès au baclo (ou autre). Les idées et témoignages surgissent et pullulent. Et rien n'arrive à les faire passer sous silence.
On questionne les dogmes. De toutes façons on ne veut plus de dogme. On accepte l'éventualité de faire fausse route, si pour cette éventualité, on s'offre 10 chances de trouver la bonne route via le questionnement.
Bon, suis d'humeur pondeuse de posts ce matin




