Bonsoir Julie, Bonsoir à toutes et à tous,
Julie Maurice : « A Maurice,pas une famille qui ne soit touchée directement ou indirectement par l'alcool. Pas une. Je répète : PAS UNE! »
Postulat fleur5212 : « je voudrais rappeler que dans la maladie alcoolique le fait de boire est un symptôme d'un mal-être profond, si on ne soigne que le symptôme,le mal-être est toujours là et risque de ressortir sous la forme d'un autre symptôme, dans une maladie, effectivement on soigne les symptômes, le sirop pour la toux, mais on soigne aussi la cause, les antibiotique pour les bactéries. »
Quel antibiotique pour les Mauriciens ?
Célestin : « je tiens à souligner que l'action du baclofène n'est pas d'aider à rester abstinent, mais d'éradiquer le besoin de boire. »
Une molécule qui éradique le besoin de boire aide donc à rester abstinent
Sylvie : «Ca c'est un vaste débat, qu'est ce que l'alcoolisme ou plutôt l'alcoolo-dépendance.
Symptome d'un mal profond ou maladie neurobiologique ?
Perso, je crois évidement à la deuxième hypothèse et au fait que le baclofène supprime la dépendance.
Il faut souvent régler d'autres pb mais cela n'a pas grand chose à voir avec la dépendance »
La dépendance mettant « à l'abri » d'autres pb, supprimer la dépendance remet en danger.
+Sylvie, ailleurs: « Le GHB comme le baclofène agit sur les récepteurs Gaba-B, donc le baclo remplace le GHB »
Lasvégas : « Ton point de vue est intéressant car dans certains cas il est vrai mais je pense et je suis même sur, que c'est l'alcoolisme qui engendre le mal être »
TRISTAN : « Sur Internet,tapez " Dépendance physique et psychique- 147 »
C'est Gagné :« Ce blablabla de secondaire, primaire, 70% et 30%, me fait penser aux discours brumeux des oncologues et autres spécialistes éminents. »
Ce débat intéresse du monde !
mais malgré l’accueil toujours chaleureux de Julie, ne serait-il pas aussi bien à sa place d'origine :
fleur5212
C'est vous qui voyez... !
Corinne.
La guérison s'installe et se construit dans le temps.
2012: Soin alcoolisme 150mg puis hyperphagie 250mg. Stabilisation puis descente longues. Zéro baclo depuis mai 2018.