Coucou Chouchou,
C'est bizarre les filles, parce que moi, avec tous les soucis que je me traine depuis toujours, j'ai vraiment senti et je le sens toujours, une vraie séparation entre les soucis et la bouffe. Avant c'était soucis=bouffe. Quand j'atteignais le trop plein de soucis je sautais sur la bouffe sans même y penser. Une vraie pulsion inconsciente.
Quand j'ai appris à m'arrêter net avant d'atteindre la nourriture, j'ai fait plein d'autres choses pour finir... dans le placard !
Avec mon seuil, lors des trop plein, je n'ai eu aucune pulsion, aucune hésitation vers la bouffe, aucune envie de réconfort dans la bouffe. Aucune pensée de bouffe.
Et idem maintenant que je ne suis pas sûre d'avoir atteint à nouveau mon seuil. Les soucis sont des soucis. Point. La bouffe est devenue nourriture pour vivre mais aussi pour le plaisir. Seulement. Plus de bouffe-réconfort.
Ce qui ne signifie pas que je ne m'offre pas un petit plaisir ponctuel de temps en temps. Mais il ne se multiplie pas.
Alors ma belle, hum... tant pis, j'ose encore te poser la question : "manges-tu suffisamment" ? Il est peut-être tout simplement là ton problème. Qu'en penses-tu ?
Et en vacances, tes repas étaient-ils les mêmes qu'à ton habitude ?
Je n'ai pas rattrapé mon retard de lecture alors j'ignore si tu as changé à ce sujet. Je suis restée sur les 2 repas que tu faisais.
En tous cas, j'espère que tu trouveras la solution. Peut-être en observant (et en notant) précisément dans quel état tu te trouves, y compris la faim, si l'envie de biscuit se reproduit.
Je t'embrasse très fort
