Bonsoir ma douce et belle ISA,
Etant en totale empathie avec toi...
Ce qui te fait souffrir ou te désole,m'atteint aussi.
Ce qui me ravit ,par contre ,c'est ton acharnement à ne pas lâcher cette merveilleuse molécule qu'est le Baclo.
Et crois moi tu y arriveras à cette satanée Indifférence !
En attendant...
Ce qui est terrible, c'est que je n'ai pas l'impression d'avoir de "craving" franc
....ce besoin arrive sans prévenir dès que je relâche la garde (et surtout dès que je suis chez moi)
Respire,calme toi et au-delà de la douleur...écoute toi.
Note les heures
de ta première pensée d'alcool au fur et à mesure de ta journée (Merci Yves)
Et cible ton augmentation en amont de cette pensée.
Voilà ma Isadora..je pense très fort à toi.
Fripoune de
retour sur certains fils.