Bonjour Ă tous,
Je vais tenter de ne pas faire une tartine mais j'ai tout de mĂŞme quelques craintes Ă ce sujet ....
Mon mari est hospitalisé depuis ce matin pour une xième cure, nous sommes ensemble depuis cinq ans et son problème date de bien avant cette période, il ne me l'a pas caché longtemps après notre rencontre.
A cette époque il avait déjà fait de nombreuses cures à l'hôpital ou en ambulatoire suivies de post cure mais sans succès sur le long terme, (ben oui me direz vous sinon je chercherais pas d'aide aujourd'hui).
Je tiens à préciser que nous avons discuter un peu de l'utilisation du Baclofene depuis hier (moment ou il a appris par le psy que la seule solution vu son état actuel était une nouvelle hospitalisation) il sait et accepte que je prenne des informations et est d'accord pour tenter le coup dés sa sortie
ce qui me donne une nouvelle énergie pour l'aider.
Nous avions pourtant réussi par nous même à trouver un fragile équilibre entre consommation et vie courante plutôt agréable mais ces derniers jours tout à dérapé sur très peu de temps, il est à nouveau gravement en manque avec des quantités importantes chaque jour.
Donc retour Ă la case hĂ´pital.
Je n'ai pas encore beaucoup d'informations pour l'instant sur la durée de son séjour, tout ce que je sais depuis cet après midi c'est pas de visite, pas de téléphone, pas de sorties dans le parc, je m'en doutais et ce n'est pas une surprise, je connais son état lors des sevrages puisque nous en avons fait ensemble à la maison.
Alors voilà j'en vient à mes questions en espérant votre aide.
Nous venons d'emménager ici mais j'ai pu trouver de l'aide grâce à ma belle sœur qui a déjà contacté son médecin, il serait d'accord pour faire les prescriptions nécessaires mais il semble penser que le mieux serait de commencer avant la sortie, donc j'aimerais connaitre vos expériences à ce sujet, les psy des hôpitaux sont ils ouverts à ce sujet ?
D'autre part et bien j'ai besoin de vous mais sur un sujet peut être plus délicat, je pense qu'en tant que conjoint même si on tente de "bien faire" on comment pas mal d'erreurs, parfois c'est la colère ou le désespoir qui nous y pousse, je pense que cela vous le comprendrez.
J'aimerais vraiment pouvoir repartir sur une base saine et surtout recréer le lien et le dialogue mais comment faire ?
J'ai lu énormément depuis ce matin mais je retombe souvent sur les mêmes conseils "théoriques" aussi j'aimerais savoir si certains d'entre vous pourraient me guider un peu en me disant ce qui leur semblent vraiment important dans l'attitude de leur compagne ou compagnon pendant des périodes comme celles ci, faut il parler à cœur ouvert de ce que l'on ressent vis à vis de l'autre et l'alcool ?
Ce matin en le conduisant je lui ai dit que je l'aimais mais que j'ai très peur de l'avenir.
Les témoignages de réussite sur ce site me réconforte un peu, l'espoir est toujours là .
Une dernière chose, comme j'ai eu aussi un passé lointain très très alcoolisé j'arrive à comprendre ce que ça peut "apporter" en tant qu'exutoire j'ai été sur une pente très glissante quelques années et j'ai eu la grande chance de ne jamais connaitre le manque physique, j'ai pu lorsque ma situation à changé arrêter et reprendre plus tard une consommation modérée sans soucis particulier, j'aimerais tant qu'il puisse lui aussi y arriver.
Bon ben ..... vos conseils seront vraiment les bienvenus, merci Ă vous.
Je vais tenter de ne pas faire une tartine mais j'ai tout de mĂŞme quelques craintes Ă ce sujet ....

Mon mari est hospitalisé depuis ce matin pour une xième cure, nous sommes ensemble depuis cinq ans et son problème date de bien avant cette période, il ne me l'a pas caché longtemps après notre rencontre.
A cette époque il avait déjà fait de nombreuses cures à l'hôpital ou en ambulatoire suivies de post cure mais sans succès sur le long terme, (ben oui me direz vous sinon je chercherais pas d'aide aujourd'hui).
Je tiens à préciser que nous avons discuter un peu de l'utilisation du Baclofene depuis hier (moment ou il a appris par le psy que la seule solution vu son état actuel était une nouvelle hospitalisation) il sait et accepte que je prenne des informations et est d'accord pour tenter le coup dés sa sortie

Nous avions pourtant réussi par nous même à trouver un fragile équilibre entre consommation et vie courante plutôt agréable mais ces derniers jours tout à dérapé sur très peu de temps, il est à nouveau gravement en manque avec des quantités importantes chaque jour.
Donc retour Ă la case hĂ´pital.
Je n'ai pas encore beaucoup d'informations pour l'instant sur la durée de son séjour, tout ce que je sais depuis cet après midi c'est pas de visite, pas de téléphone, pas de sorties dans le parc, je m'en doutais et ce n'est pas une surprise, je connais son état lors des sevrages puisque nous en avons fait ensemble à la maison.
Alors voilà j'en vient à mes questions en espérant votre aide.
Nous venons d'emménager ici mais j'ai pu trouver de l'aide grâce à ma belle sœur qui a déjà contacté son médecin, il serait d'accord pour faire les prescriptions nécessaires mais il semble penser que le mieux serait de commencer avant la sortie, donc j'aimerais connaitre vos expériences à ce sujet, les psy des hôpitaux sont ils ouverts à ce sujet ?
D'autre part et bien j'ai besoin de vous mais sur un sujet peut être plus délicat, je pense qu'en tant que conjoint même si on tente de "bien faire" on comment pas mal d'erreurs, parfois c'est la colère ou le désespoir qui nous y pousse, je pense que cela vous le comprendrez.
J'aimerais vraiment pouvoir repartir sur une base saine et surtout recréer le lien et le dialogue mais comment faire ?
J'ai lu énormément depuis ce matin mais je retombe souvent sur les mêmes conseils "théoriques" aussi j'aimerais savoir si certains d'entre vous pourraient me guider un peu en me disant ce qui leur semblent vraiment important dans l'attitude de leur compagne ou compagnon pendant des périodes comme celles ci, faut il parler à cœur ouvert de ce que l'on ressent vis à vis de l'autre et l'alcool ?
Ce matin en le conduisant je lui ai dit que je l'aimais mais que j'ai très peur de l'avenir.
Les témoignages de réussite sur ce site me réconforte un peu, l'espoir est toujours là .
Une dernière chose, comme j'ai eu aussi un passé lointain très très alcoolisé j'arrive à comprendre ce que ça peut "apporter" en tant qu'exutoire j'ai été sur une pente très glissante quelques années et j'ai eu la grande chance de ne jamais connaitre le manque physique, j'ai pu lorsque ma situation à changé arrêter et reprendre plus tard une consommation modérée sans soucis particulier, j'aimerais tant qu'il puisse lui aussi y arriver.
Bon ben ..... vos conseils seront vraiment les bienvenus, merci Ă vous.