11 Aout 2013, 16:06 Reprise du dernier message
Allo Libellule 
En réponse a ma demande concernant TON craving, ce que ca représentait pour toi.
C,est que comme pour bien des baclonautes en attente d,une éventuelle guérison, je suis inquiète
Aujourd,hui a 190 mg ... comme je l'ai mentionné plusieurs fois, je n'ai AUCUNE diminution de ma consommation,,,
Mais beaucoup d'eS et qui affecte ma vie sociale et professionnel, car, des 16 hrs, l'idée de prendre le volant et rencontrer des clients est inimaginables. J'ai des black outs au volant extrêmement dangeureux. De plus, les soupers en famille.. impossible de dépasser 22 hrs.. je dois aller me coucher , les yeux me ferment tout seul a table.
La famille est au courant que je traite quelque chose et que ca occasionne que je quitte pour aller squatter un lit , mais , c'est assez gênant tout ca.
Sans parler que je fais chambre a part avec mon conjoint , car je ronfle grave, manque de concentration, oublie,, sensation d'être continuellement sur un bateau qui prends l'eau ( de l'eau de vie et que mon fils cette nuit a tenter de me réveiller et que ca lui a prit 2 minutes pour y arriver . Il a 9 ans et l'insécurise pas mal tout ca. Ca me fait vraiment beaucoup de la peine
Donc, vivement l'arrivé de cette guérison, que je puisse reprendre les rênes de ma vie.
Je me demandais justement si la gravité de notre addiction pouvait freiner le processus de guérison.
J'ai lu que ceux qui avait de gros Craving, une grosse dépendance était plus réceptif que ceux qui en avait une moins intense metons.
Qu'en pense tu ? QU'en pensez vous les plus expérimenté !?? Mon père s'Est remarié a une femme que je considère GRANDE allcoolique de par ses cuites tellement intense, ses grandes colères, et ses blackouts.....elle buvait de TOUT, aucun alcool préféré en particulier. ce n'était pas pour le plaisir. C'était des cuites qui durait des semaines entières. Je suis convaincu qu'elle aurait été une excellente candidate pour le baclo, mais elle est décédé cancer du pancréas...
Sans vouloir minimiser ma consommation, je me demandais si le fait que si je n'ai pas de vin rouge a la maison, jamais je ne toucherais a une bouteille de vodka pour rhum ou autre boisson forte.
Moi, c'est bière ou vin ou rien. Mais si vin il y a ...alors la,, j'En verrais le fond lol !
Est ce donc dire que mon addiction est plus habitude que dérèglement psychologique et que ce soit pour cela que que la molécule ne réfrène pas ma consommation ?
Je suis inquiète, je l'avoue, je le sais... Milles et un questionnement,,, un peu de fatigue et d,Impatience.
Si vous avez des idées de fil de membres a lire qui ont atteint leur seuil sans jamais freiné leur consommation et don l'indifférence s'est pointé le nez sans crier gare, je suis preneuse !
Merci et bonne journée !!
Jajou
En réponse a ma demande concernant TON craving, ce que ca représentait pour toi.
C,est que comme pour bien des baclonautes en attente d,une éventuelle guérison, je suis inquiète
Aujourd,hui a 190 mg ... comme je l'ai mentionné plusieurs fois, je n'ai AUCUNE diminution de ma consommation,,,
Mais beaucoup d'eS et qui affecte ma vie sociale et professionnel, car, des 16 hrs, l'idée de prendre le volant et rencontrer des clients est inimaginables. J'ai des black outs au volant extrêmement dangeureux. De plus, les soupers en famille.. impossible de dépasser 22 hrs.. je dois aller me coucher , les yeux me ferment tout seul a table.
La famille est au courant que je traite quelque chose et que ca occasionne que je quitte pour aller squatter un lit , mais , c'est assez gênant tout ca.
Sans parler que je fais chambre a part avec mon conjoint , car je ronfle grave, manque de concentration, oublie,, sensation d'être continuellement sur un bateau qui prends l'eau ( de l'eau de vie
et que mon fils cette nuit a tenter de me réveiller et que ca lui a prit 2 minutes pour y arriver . Il a 9 ans et l'insécurise pas mal tout ca. Ca me fait vraiment beaucoup de la peineDonc, vivement l'arrivé de cette guérison, que je puisse reprendre les rênes de ma vie.
Je me demandais justement si la gravité de notre addiction pouvait freiner le processus de guérison.
J'ai lu que ceux qui avait de gros Craving, une grosse dépendance était plus réceptif que ceux qui en avait une moins intense metons.
Qu'en pense tu ? QU'en pensez vous les plus expérimenté !?? Mon père s'Est remarié a une femme que je considère GRANDE allcoolique de par ses cuites tellement intense, ses grandes colères, et ses blackouts.....elle buvait de TOUT, aucun alcool préféré en particulier. ce n'était pas pour le plaisir. C'était des cuites qui durait des semaines entières. Je suis convaincu qu'elle aurait été une excellente candidate pour le baclo, mais elle est décédé cancer du pancréas...
Sans vouloir minimiser ma consommation, je me demandais si le fait que si je n'ai pas de vin rouge a la maison, jamais je ne toucherais a une bouteille de vodka pour rhum ou autre boisson forte.
Moi, c'est bière ou vin ou rien. Mais si vin il y a ...alors la,, j'En verrais le fond
lol !Est ce donc dire que mon addiction est plus habitude que dérèglement psychologique et que ce soit pour cela que que la molécule ne réfrène pas ma consommation ?
Je suis inquiète, je l'avoue, je le sais... Milles et un questionnement,,, un peu de fatigue et d,Impatience.
Si vous avez des idées de fil de membres a lire qui ont atteint leur seuil sans jamais freiné leur consommation et don l'indifférence s'est pointé le nez sans crier gare, je suis preneuse !
Merci et bonne journée !!
Jajou
( je suis assez fan de Shrek , ca se voit ? 
