cette histoire ma trotte dans la tête, j'avais déjà lu des témoignages ici sur les hp mais effectivement ce que j'ai vu et entendu aujourd'hui confirme mon impression, fuir le plus loin possible !
Dans le cas de mon homme sur deux jours, mensonge de la part de la psy en chef afin de le faire rentrer, elle lui a promit devant moi que le possible serait fait pour qu'il ne souffre pas trop du manque, résultat il a reçu la moitié de la dose de ses précédentes cures (ils avaient pourtant son dossier en main) et a le voir aujourd'hui je sais qu'il dit vrai puisque nous avons déjà fait des sevrages maison ensemble.
Deuxième chose, pas de médecin référant avant une semaine, si je ne me trompe pas ce n'est pas très légal, passons ce sont les vacances mais passer d'un psy à l'autre en intercalant des internes pour l'admission ?????
Troisième chose, l'interdiction de téléphone ou de contact, il m'a dit avoir supplié qu'on le laisse m'appeler, je veux bien comprendre l'argument thérapeutique mais il me semble que même en tant que patient psy (sur base volontaire) il conserve des droits dont celui de communiquer.
bilan, au lieu de terminer au moins son sevrage comme je le pensais demain ça risque d'être un peu corrida pour le récupérer.
Qu'en déduire, je ne vais pas dénigrer leur boulot, les soignants sont très sympas et à l'écoute par contre et ça c'est un comble les psy ne savant pas écouter

, je pense qu'il ont un protocole type mais qui ne semble pas pouvoir être adaptable au cas par cas, manque de moyens, manque de motivations je ne sais pas.
Par contre ce que je sais c'est que mes angoisses d'hier soir se justifiaient, il va vraiment très mal.