Bonsoir Ă  toutes et Ă  tous !

ça fait bien longtemps que je ne suis pas venue sur le forum, et que je n'ai pas "touché terre" non plus d'ailleurs ! Beaucoup de gros problèmes concernant mon père que j'ai dû régler petit à petit (retour à la maison, mise en place d'aides de jours, de nuit, annonces pour trouver le personnel, recherche de structures de maintien à domicile, espoirs, espoirs décus aussi, retour à la "case départ" souvent....mais ça avance. Mon père remarche doucement,très doucement, pas encore seul)

Du côté de Philippe, rechute. Simple, franche, forte.
D'autant plus dure que son changement si positif du mois d'avril-mai me semblait solide. Je l'avais retrouvé comme avant.
C'est drôle, mais malgré cette rechute, je ne suis pas sans espoir. Est-ce qu'une rechute n'est pas permise ? S'il arrive à comprendre pourquoi il a rechuté ! Mais il ne veut plus, pour l'instant, voir le psychiatre, alors qu'il me disait, il y a un mois et demi, qu'il avait "un tas de choses à lui dire" !
Quand je lui parle doucement de ce changement, il ne veut rien entendre et se met en colère, comme si c'était moi qui commettait la faute de revenir sur ce sujet interdit, comme si en réalité il n'y avait pas de problème et que c'était moi qui les créait de toutes pièces... Mais au fond qu'attend-il de moi ? Peut-être que je sois plus intransigeante et sévère ? ça tombe mal car en ce moment je n'ai plus la force de me bagarrer avec des mots...

Merci de vos mp, de vos petits messages ! J'y répondrai petit à petit, à tous, promis !

Je retournerai aussi sur vos fils pour voir comment vous allez tous !

Une bise Ă  tous, et bonne nuit !

Morissou,

Bien triste pour toi en lisant ton message.

J'ai presque envie de te dire de penser Ă  toi d'abord ( si c'est possible)

Pas besoin d'user de tes forces d'avantage et surtout tu n'y est pour rien.

Bonsoir Morissou,
Je viens de lire ton fil.
Chapeau Madame ! Entre ton père et Philippe, tu ne manques pas d'"occupations", de préoccupations.
Je profite de ton fil pour saluer et remercier les conjoint(e)s qui accompagnent mes frères et soeurs alcoolo-dépendants.
Bises.

Bonsoir Morissou,

A chaque fois que je vois ce fil bouger, je me précipite, souvent pour trouver juste un message d'un de nos amis.

Cette fois, enfin de tes nouvelles.

Pas terribles en effet, mais des nouvelles quand mĂŞme.

Je te souhaite beaucoup de courage pour ton père.

Pour Philippe, oui, en effet, lorsque nous sommes sous l'emprise de l'alcool nous n'avons pas envie d'en parler, nous fuyons à toutes jambes dès qu'il est question de ce sujet. Ca fait partie de la maladie, d'expérience je peux te dire que ça ne nous apporte pas beaucoup d'en parler tant qu'on est dans le bad trip. Je comprends que tu veuilles le faire, mais c'est beaucoup d'énergie pour pas de résultat.

L'abstinence est une épreuve très difficile, terrible. Ça n'a pas tenu, c'est souvent comme ça.

Quand il a commencé cette période, il était dans un bon état d'esprit, l'état d'esprit qu'il lui aurait peut-être fallu lorsqu'il a commencé le baclofène.

Oui, il faut penser à toi. Tu as mené un combat épuisant, nous l'avons tous vu, nous t'avons soutenu, mais il faut te reposer un peu. Tu ne peux pas vivre en permanence dans les maladies des autres.

Certes, il est très difficile de s'en détacher tant elles sont présentes, mais pour Philippe tu ne peux rien actuellement. S'il doit se passer quelque chose, il faudra que ça vienne de lui. Cela se produira peut être, tôt ou tard. Et c'est quand il sera prêt à faire quelque chose qu'il aura besoin de soutien.


Penses Ă  toi, ne t'oublies pas dans ces histoires, je t'embrasse.

Franck.

Merci Franck,
Tu as apporté les mots que je ne trouvais pour Morissou.

coucou Morissou +1 aussi avec Franck, commence Ă  penser un peu plus Ă  toi aussi!

courage il n'est pas trop tard pour que Philippe change d'avis et accepte d'aller voir le psy!

gros bisous
mumu

Bonsoir Bibidule, Scyane, Franck et Mamanou !

Merci pour ces gentils mots qui réconfortent ! Merci Franck pour ton avis toujours au plus près de la situation et toujours juste.

En ce moment je ne cherche plus à reprendre cette discussion sur sa rechute, bien que la tentation soit souvent là ! J'insiste plutôt sur le besoin que j'ai de son aide, de sa présence. C'est vrai que contrairement à d'autres périodes, il n'est pas muré dans un égoïsme indifférent, il ressent mes difficultés, mes découragements.
Contrairement aussi à ce que je disais, j'ai abandonné l'ultimatum selon lequel "s'il recommençait je le quittais".... Les décisions ne peuvent pas être aussi carrées que ça. Je ne sais plus quoi faire, mais je pense que ce n'est pas le moment de le quitter.

Ce que je ne comprends pas, c'est son attitude actuelle : si on ne le voit jamais boire, par contre, après avoir bu, il a tendance à s'afficher : il arrive chez mon père, devant les auxiliaires de vie, sans pouvoir articuler correctement, dans un nuage d'odeur d'alcool, il parle en face de l'autre sans chercher à éviter de lui souffler dans la figure... c'est bizarre : avant il était très discret, mais maintenant il semble vouloir dire à tous qu'il boit ! Est-ce que c'est une provocation ou au contraire une recherche d'aide possible ?

Je n'ai malheureusement pas encore le temps d'aller sur vos fils, mais je vais revenir régulièrement pour vous tenir au courant de ce qui se passe.
Philippe est absent une semaine, il est encore reparti dans la maison familiale d'ardèche, pour un rv chez un spécialiste d'orthopédie (conséquences de radiothérapie et d'intervention d'adénopathie). Il m'appelle très souvent. ça aussi c'est une évolution.

Je vous embrasse toutes et tous,
Bonne nuit Ă  vous et Ă  bientĂ´t !

Salut Morissou,

Oui, c'est Ă©trange ce changement d'attitude vis Ă  vis des autres.

Moi j'ai toujours essayé de masquer les choses, de ne pas afficher mon état, comme Philippe le faisait avant. Vraiment pas de souvenir d'avoir laissé tout ça transparaitre à une période donnée.
Et surtout, je ne vois pas ce qui aurait pu déclencher cela.

On pourrait penser qu'il est sorti du déni, mais en ce qui me concerne, cela fait plus de 10 ans que je n'étais plus dans le déni, ce n'est pas pour autant que je voulais que ça se sache.


Peut-être que ça correspond plutôt au fait qu'il est beaucoup moins renfermé qu'avant. Ce qui semble être le cas dans ses contacts avec toi aussi. Si c'est cela, c'est plutôt une bonne chose. S'exprimer ne peut que faire du bien.

Sinon, je trouve que c'est très bien que tu lui montre que tu as besoin de soutien.
C'est valorisant pour lui je pense. Cela lui donne des responsabilités en plus.
C'est positif, la contrepartie c'est que parfois on trouve les responsabilités lourdes à porter, c'est pourtant nécessaire pour qu'on ait une bonne image de nous même.

Bonjour

Je n'avais pas vu ton avant dernier message.
Perso, j'aurais tendance à interpréter son attitude comme une demande d'aide mais bon ..

Je suis d'accord avec Sylvie : c'est de la provocation / appel au secours

Bonjour Morissou,

J'ai moi aussi le sentiment qu'il appelle au secours, en tout cas
c'est ce que j'ai ressenti Ă  la lecture de ton post.

Merci Ă  tous les quatre !

Vous me rassurez ! Moi aussi je pensais que c'était plutôt positif, car, comme tu le dis Franck, ça ne ressemblait pas à ce qu'il avait fait pendant des années.
Alors les dernières nouvelles : il est rentré d'Ardèche...en train... ça a d'ailleurs été un gros effort pour lui, il y est arrivé. Il m'a appelé il y a deux jours : contrôle routier de la gendarmerie, alcool dans le sang. Résultat : retrait de permis pour 6 mois, et je n'ai pas très bien compris ce qui va se passer à ce moment là, mais il n'est plus sûr de pouvoir reconduire.
En gros, je lui ai dit que c'était la meilleure chose qui pouvait lui arriver : une espèce d'obligation de prendre sa vie en main, et son destin.
Un rendez-vous chez le psy était prévu aujourd'hui, je lui ai dit qu'il devait y aller. Le lendemain, il m'a dit au téléphone avec une assurance très provocatrice qu'il n'irait pas et que c'était un rendez-vous pour moi. Je me suis énervée, et je lui ai dit que je ne l'accompagnerais QUE s'il faisait ce qu'il faut pour se sortir de là. Et cela commençait avec le psy.
Honnêtement je ne sais pas si le psychiatre va pouvoir faire quelque chose, mais c'est un médecin, c'est en plus quelqu'un avec qui il est en confiance, à qui il a souvent souhaité parler.
Finalement, il l'a vu aujourd'hui. Nouvelle ordonnance surtout axée sur le Seresta50 pour éviter les "cravings". Dommage, j'aurais plus souhaité une petit dosage de Baclofène, ce qui l'aurait sûrement aidé.
Il le revoit dans quinze jours...ça me paraît bien loin.
Ce n'est pas pour rien que les choses se passe : je pense que ce qui lui est arrivé est porteur de plein de choses pouvant être positives !
Allez, avec un peu de chance, les choses peuvent changer encore, peut-ĂŞtre !

Merci encore et bonne nuit Ă  vous tous !

PS : En laissant sa voiture en Ardèche, il a laissé la meilleure amie de son alcoolisme, sa complice, son îlot tranquille où il pouvait faire tout ce qui était "interdit" : fumer, boire, stocker....Il doit être très destabilisé par tout cela.

J'ai lu le compte-rendu de la gendarmerie : le taux d'alcoolémie était de 1,10g à 15h...

Bon, ce n'est pas Ă©norme non plus

Bonjour ma Chère Morissou,
Je me suis absentée un bon moment et je suis heureuse de te retrouver également.
Les nouvelles ne sont pas des plus réjouissantes mais tu fais bien de venir chercher du réconfort ici
ton papa et philippe doivent ĂŞtre si fier de toi, tu es formidable.
Nous avaons commencé l'aventure baclofène ensemble, nos hommes n'ont pas pris le même chemin mais tout n'est peut-être pas perdu, comme te le disent Sylvie Albéric et Diomède, moi aussi j'interpreterai son comportement comme un appel au secours.
Toi tu n'as surement plus la force après toutes ces épreuves que tu as traversées ces 10 derniers mois mais philippe va peut-être réagir, je te le souhaite de tout coeur.
Grosses bises
Complice

Merci Ă  Sylvie et Complice !
J'ai un peu levé le ton avec Philippe au téléphone mardi dernier, en pleine récré : il m'appelle, très très alcoolisé, incompréhensible, avec un temps de réaction de plusieurs secondes, des silences... ça faisait plusieurs jours que chaque fois qu'il était bien alcoolisé, il m'appelait ! (Là aussi, appel au secours, peut-être). J'ai lâché ce que je ne voulais pas dire et ce que j'avais réussi à éviter pendant des années : "tu es complètement bourré"....
Il m'a dit (le lendemain) que ça l'avait beaucoup blessé....Je lui ai dit "tant mieux, ça prouve que tu réagis encore, alors il faut trouver une solution".
Il a vu le psychiatre hier. Il m'a dit qu'il lui avait tout dit.... Aujourd'hui, plus sobre que ces derniers jours oĂą quand je rentrais, la maison et la chambre Ă©taient pleines d'odeurs de whisky, au point que j'avais du mal Ă  y dormir.
Je vous tiens au courant. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai encore de l'espoir.....
Biz Ă  tous, bonne nuit !

Bonsoir Morissou

On espère avec toi
Gros bisous

Un grand merci Sylvie !
Grosse bise

Salut Morissou,

Tu as bien fait je pense.

Nous l'avons bien compris maintenant, s'il doit se passer quelque chose, il faudra que ça vienne de lui.

Alors ce n'est pas idiot de lui donner des raisons...

Coucou Morissou tu as raison comme on dit toujours : tant qu'il y a de la vie il y de l'espoir!

tu es très courageuse et bientot tu seras surement récompensée, tu le mérites tout autant que ton chéri!

courage Ă  tous les deux et gros bisous mumu

Salut Morissou,

L'ESPOIR, est mon crédo, vital !!!
Depuis longtemps ;-)

Et, quitte à me répéter, encore une fois, n'oublie jamais, STP, de penser également à TOI !!!

Stéphane

Bonsoir Ă  toutes et Ă  tous !
Malgré les apparences je ne vous oublie pas !
Philippe ne va pas bien : sa santé, par chance, est toujours bonne, mais le reste a fini par le rattraper.
S'il pouvait seulement accepter de reprendre du Baclofène à petite doses..
Je reviendrai vous raconter les grands traits de ces derniers mois.
Bien grosses bises Ă  vous !
Bonne nuit !

Salut Morissou,

Si la santé va bien, alors c'est déjà ça. C'est vrai qu'il trainait des casseroles de ce coté là.

Pour l'alcool, c'est tellement dur de tenir, ça peut se comprendre.

Tu sais, accepter de le prendre c'est trop peu. Ce qu'il faudrait c'est qu'il ait réellement envie de guérir. Pas de prendre le baclo juste pour te faire plaisir.

Depuis que tu nous a perdu de vue, nous avons vu d'autres situation semblables, des conjointes qui viennent sur le forum je veux dire. Très souvent, on sent que l'envie de guérir du mari est plutôt faible.

C'est lĂ  dessus qu'il faudrait travailler avec Philippe.

Bises Ă  toi et Ă  lui.

Franck.

Bonjour Morissou,

Encore, et encore, en veille de tes post qui se raréfient. Et moi beaucoup moins réactif qu'auparavent.

Toujours autant admiratif de ton Amour (dévotion?) envers Philippe !!!
Toujours autant Ă  vouloir te dire : NE T'OUBLIE JAMAIS !!!

Et, si, Philippe ne souhaite jamais y venir totalement au baclofène?
Si, par malchance, sa santé se met rapidement à dérailler?

Désolé, pour la "brutalité" très directe de mes questions.

MAIS, depuis le début de nos échanges, en ayant toujours été bienveillant et inquiet envers Philippe, c'est envers TOI que j'ai développé mon empathie, ma sympathie, mon affection, la plus directe !!!

Comme, au même titre que Franck, d'autres, j'aimerai tant que Philippe puisse parvenir à l'indifférence soigné par le baclofène.
Que vous puissiez vivre votre existence de couple sans le couperet quotidien de l'alcool.

MAIS, si cela Ă©tait, peut ĂŞtre, impossible?

Je t'embrasse, Philippe Ă©galement,

Stéphane

Bonjour Ă  vous toutes et tous,

C'est un bien triste message que je vous envoie aujourd'hui.
Cela fait juste une semaine que Philippe est parti, pour toujours.

Il n'allait pas bien. Douleurs de ventre. Aucun appétit. Grosses perturbations de sommeil.
Il est parti dans la nuit de mardi Ă  mercredi. ArrĂŞt du coeur, avc ?
Il avait subi le vendredi 28 février une grosse extraction de dents au centre Léon Bérard à Lyon. En ambulatoire. Il tenait à cette opération, sans la craindre. Est-ce que c'est une conséquence de cette intervention ?

Il est immédiatement parti pour l'Ardèche, son pays, où il est resté dans sa maison jusqu'à samedi, jour de l'inhumation.
J'ai retrouvé dans cette maison qu'il aimait par dessus tout, le souvenir de moments heureux, et j'y retournerai aussi souvent qu'il me sera possible. Son fils et moi allons nous en occuper, à chaque vacances, ainsi qu'il aurait aimé le faire.
Philippe est libre maintenant. Libre de son enfer intérieur et de ses soucis.
J'ai réalisé il y a quelques mois, que malgré mes coups de semonce et parfois mon exaspération et mon désespoir, que je ne pourrais jamais le quitter, le laisser. Il n'y avait que la mort qui pourrait nous séparer. Je la sentais tourner autour. C'est curieux, mais je pensais surtout à la mienne. Je n'ai pas vu venir la sienne...

On a traversé beaucoup de mauvais moments, sans horizon, parfois sans dialogue, mais on était ensemble avec quelque chose d'Essentiel qui nous maintenait ensemble, solidement. On y trouvait notre bonheur. Il me manque.

Je vous embrasse toutes et tous, en pensant à cette presque réussite du Baclofène, à ces heures passées avec vous : mais l'enfer de Philippe était trop profond, avoir envie de s'en sortir devait être beaucoup trop lourd, beaucoup trop difficile.
Je ne vous oublie pas, promis !

Morissou / Anne

Bonsoir Anne! quelle triste nouvelle!

Pas beaucoup de mot pour te réconforter!

Oui je suis sûre qu'il te manque! la vie est trop injuste parfois!

Que dire pour adoucir ta peine? Qu'il ne souffre plus, qu'il est enfin en paix avec lui mĂŞme?

Je te présente mes sincères condoléances et te souhaite beaucoup de courage pour continuer ta vie sans lui.

Bisous
Mumu

Salut Morissou.

Ton post est très triste.

Mais il est aussi très beau.

Une petite partie de votre vie, nous l'avons suivi ici. Nous vous avons aidé, nous nous sommes entraidés. Je me souviens de tout cela comme si c'était hier. D'ailleurs c'était hier.

Souvent, j'ai été inquiet pour Philippe, on sentait sa santé fragile.

Ces derniers temps, avec moins de nouvelles, je pensais quand même à vous souvent. A chaque fois que je discute avec une conjointe, je repense à tout ce que nous avons vécu avec vous.

Tu as bien fait de laisser un petit délai avant de nous écrire, on sent bien que tu as déjà réussi à surmonter les premier moments.

Tu es positive.

Plein de bises Ă  toi.
Plein de bises Ă  Philippe aussi.






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Bonjour Anne

Quelle triste nouvelle en effet.
De tout coeur avec toi ..

Anne, bien triste nouvelle, il est libre maintenant, sorti de cet enfer.

Franck l'a dit, c'est un beau post.

On a traversé beaucoup de mauvais moments, sans horizon, parfois sans dialogue, mais on était ensemble avec quelque chose d'Essentiel qui nous maintenait ensemble, solidement. On y trouvait notre bonheur. Il me manque.


Cette phrase me parle beaucoup.

Je t'embrasse très fort

Je suis très triste aussi..... je suivais de loin votre histoire à tous les 2, prise par mon combat TCA, j'ai négligé mes collègues conjointes. J'en suis désolée. Je suis de tout coeur avec toi.

Bonjour Anne

Je suis triste Anne, mais comme tu dis, Philippe est maintenant libéré de ses démons et il repose en paix dans son beau pays que je ne connais pas mais dont la réputation fait écho à de nombreux belges qui vont finir leurs vieux jours là bas.

je t'embrasse bien fort, Anne
Albéric

Ma chère Anne je suis très triste pour toi cela est si brutal je te souhaite beaucoup de courage et je tembrasse bien fort celine