Bonjour à toutes et tous,
Ci-dessous, un rapide ctrl+V ctrl+C, de mon ptit bilan baclo très récent.
D'abord publié hier soir sur
Le fil de Mathilde... :
Pour ma part, depuis la nuit dernière, d'insomnie partielle, gavé d’acouphènes au réveil, mon organisme m'a fait comprendre qu'il été à nouveau en phase totale, vibrante, avec la molécule. A 17 cachetons jour.
Retour de cette douce somnolence vers 21h ce soir.
Etat de grâce, zénitude, totale, toute la journée.
Depuis 18h, carrément bien mieux qu'avec l'alcool médicament qui soulage parfois.
Avec quelques pics de monté de baclofène fabuleuse. Qui frise l'orgasme, une plénitude totale physique et psy à faire pâlir paris hilton ;-)
Uniquement des pensées positives, réalistes. Aucunes anxiétés.
Aucun mauvais flash back derrière mes passés traumatiques, douloureux.
Tourné, au présent, vers les moyens concrets de me reconstruire un futur radieux.
Rédaction, enfin , de ma, très chiadée ;-), lettre de motivation pro.
Relecture minutieuse de mon CV, pour corrections des quelques coquilles restantes.
Réponse à des mails pro restés en attente, postulation à des offres bien ciblées.
Envie d'actions, d'agir, pour mes futurs bien être matériels.
Recouvrer mes libertés économiques.
Aucune pensée, envie, de bière, sur 24h.
Pour me renplir, le bidon, contrer restes de craving possible, avec envie d’ingurgiter des hectolitres de houblon, mon pack de sanpé qui pétille bien bien au frais, m'a bien sauvé la mise. Je termine ma 3éme bouteille là .
Même chez mon épicier habituel tout à l'heure pour y acheter mon giroboum de brocolis bio ;-)
Regard tardif vers mon rayon spiritueux si familier, celui des binouzes, avec beaucoup de recul spontané, pour en conclure joyeusement que je vais pouvoir économiser, sans budget bière, pour me payer mon futur traking dans les faubourg festifs et animés de Damas ;-) (désolé pour cet humour douteux)
Même, ce soir, à mon ptit resto japo en bas de chez moi, Zu, le patron n'en est pas revenu de devoir rapporter son coktail maison, alcoolisé, pour devoir m'offrir une mixture sans alcool.
Mais 2 invités, proches parmi mes proches, ont silencieusement apprécié mon acte.
Me suis gavé de 8 brochettes beuf fromage et 15 pièces de sashimi saumon + package soupe, riz, salade de chou. Repu, de sympathiques victuailles d'Okaido. Pas fracassé par 4 ou 5 canettes.
Pas évident que je dévie pas, remplace mes craving d'alcool, en début d'indiff, par des boulimies févoces ? ;-)
Les signes avant coureur se faisaient sentir depuis plusieurs jour :
- Hier soir, à la brasserie dinatoire, avec un Ami, je me suis interdit de chercher à me faire offrir ma 4éme binouze gratos à la fin du repas. Mon pote n'aurait pas apprécier, mon crave était limité, pas de la trempe de ceux de mes no limite passée. Me suis pris une canette, de despé, rouge, en rentrant. La fin du reste de la demie canette à moitié pleine à terminer dans les godes. ça m’était arrivé avec une de ses soeurs jumelles quelques jour plus tôt. ça commence à humer bon quand on ne fini plus son cubi. Qu'il vire sous la cuvette.
- De plus en plus de mal à apprécier le hublon.
- De plus en plus défoncer rapidement avec le mélange baclo + bière.
- Perte totale de mes lourds états d'anxiétés et de stress
- Joies de vivre, rire, humour, bonnes humeurs
Prochaine étape, logique, demandé par mon organisme, indifférence totale. Pas même une coupete, un doigt de guinness, une crêpe flambée au rhum. Nada, niente, niveau alcool. Pour l'instant, voir pendant un an. Sans privation.
Annulé ma présence à deux soirées ce mois ci. Ça va être très alcolisé pour de nombreux convives..
Pour ne pas tenter le lucifer démoniaque addictif qui rode encore. Vie sociale, sans aloool, je connais déjà .
Aidé par une première indifférence totale obtenue en décembre 2012, à 160mg, il m'a été plus facile de comprendre comment et quand, je parviendrais à vite retoucher à cette nouvelle renaissance.
Excellent radieux week end à tous,
Stéphane