@Karine : m'enfin? Du saucisson de chèvre? Les biquettes, c'est pour faire du lait, pas de la charcuterie!!
Sinon, comme promis, des nouvelles du front en direct live!
Côté ES, ben pas de doute, DpraV dort très mal. Il se réveille sans arrêt, a des mouvements brusques. Il parle, même. Ca donne ça:
"Non, on peut pas faire ça maintenant"
moi, réveillée en sursaut mais pas contrariante : "ben on va dormir alors ?"
"Non, non, j'ai pas le temps".
(parler en dormant pour dire qu'on a pas le temps de dormir, c'est quand même fort, non?

)
Quand je vous disais qu'il faisait une fixation sur le temps qui passe / qu'il a pas / incompatible avec tout ce qu'il veut faire...
Ce qui est pénible, c'est qu'il semble avoir plus de facilité à dormir... le matin, lorsqu'il est l'heure de se lever. Alors faut il répartir autrement le baclofène?
Plus de somnolence dans la journée en revanche, je ne l'ai pas vu "s'endormir en sursaut" comme cela lui arrivait la dernière fois que je l'ai vu.
La sudation, c'est variable. Samedi matin, c'était marécage dans le lit. Ce matin, on est arrivé à sec au matin!
Côté consommation : "y'a eu mieux". J'ai du mal à différencier les bières "craving" des bières "habitude", mais je pense que DpraV aussi. En tout cas, une bière entamée est une bière morte, il faut se le dire (fini les canettes vidées dans l'évier).
Ce qui m'embête plus (héhé, je vais cafter, il sera bien obliger d'en parler) c'est qu'il dit boire parfois pour calmer les ES.
Là dessus, j'aimerais avoir l'avis de ceux qui sont passés par là avant !
Côté traitement : pallier prolongé pour l'instant à 290, d'autant que DpraV se demande toujours s'il a pas raté son seuil, car il maitrisait mieux sa conso il y a quelques semaines.
Côté moral : soit c'est un excellent comédien, soit il a la pêche. En tout cas on a passé une chouette soirée hier chez des amis, on a beaucoup rigolé.
Aujourd'hui, il est allé à la pêche (en laissant les vers dans mon frigo, avec un moulinet sans fil... top efficace, quoi) et revenu en pleine forme.
En tout cas, ça fait du bien un week-end tranquille. A lui j'espère, à moi c'est sûr.
