Monsieur ou Madame ou messieurs dames de la CPAM
Veuillez déjà recevoir mes luisantes considérations envers vos personnes et votre travail.
Je tenais à venir vous faire un petit coucou car c'est la moindre des choses.
Vous me connaissez sous le numéro 2650803095294, ce qui me plais assez comme surnom.
N'hésitez pas à me dire comment vous désirez que je vous appelle, cela crée des liens.
Bon voilà , bref, j'ai appris par les différents apothicaires que je fréquente en vue de la délivrance de baclofène, qu'ils n'ont pas été remboursé de leurs loyaux services.
Comme je n'ai eu aucun contact avec vous me signalant une quelconque anomalie, je me suis permis de prendre ces tristes sires de haut : " Ah Ah, petits chenapans, c'est pas jolijoli de mentir à un alcoolique.
Mes amis de la CPAM ne m'ont pas parlé de cette affaire,
alors hein pouet pouet la boite à camenbert."
Figurez vous qu'au lieu de me présenter leurs plates excuses, ces marchands, m'ont menacé de m'envoyer des huissiers, oui, oui, des huissiers.
Nous marchons sur la tête n'est ce pas?
D'autant plus que vous et moi savons bien que vous avez validé mon ALD pour 250 mg de baclofène.
J'ai sous les yeux le joli tampon rouge que vous avez eu l'obligeance d'apposer au bas de mon dossier, malgré cela, ces tristes vendeurs d'onguents persistent.
Allez savoir comment ces gens là fonctionnent.
Tout ceci pour vous dire de ne pas vous faire de souci avec ces "empêcheurs de se soigner" en rond.
Ne vous tracassez pas, les fêtes arrivent et les vacances qui vont avec. Alors, hein, éclatons nous.
Je vous claque la bise en attendant un petit mot de votre part, ça me fera bien plaisir.
Tchao les potes. J'espere que vous recevrez à temps mon petit colis de noël non, non, ne trépignez pas je ne dirai pas ce que c'est. Bandes de gamins.
Bisous