STEF,

un peu égocentriquement parlant je me sens au centre

et évidemment,

mes proches, (qui se portent bien à tout point de vue)

sont aux premières loges dans le cercle de gravitation


maintenant, en pensant à l'immensité de l'univers,

je te laisse développer

STEF,

je te dois des excuses

"nul colère",

mais je pense qu'ici n'importe qui comprendrait ta colère

j'avoue, j'ai été un peu déstabilisée
(encre rouge)

va, j'accepte

vas y le cœur le plus léger possible

==> droit devant toi

et pour le reste, nous sommes d'accord

good luck

LEE et les autres,

je viens surtout en auditrice libre sur ce fil
je n'ai pas vos références linguistiques et culturelles

on n'est pas non plus à la Sorbonne (pardon)
mais on est ici pour aider, faire avancer

LEE ce n'est pas une critique, juste une réflexion
on a tellement de choses à partager

partageons!!!!!

bises à tous

Un draft, parmi les autres, pas encore retravaillé, terminé. De circonstance.
Afin de recentrer le débat, en son sens premier ici même :


La colère,


Existe-t-il une exagérée pagaille plus mauvaise stratège et conseillère
Que ce sentiment peu noble et malveillant nommé tragiquement colère
Elle fait naître malgré une certaine légitimité parfois droitement justifiée
Le goût amer d’un tendre savoureux mashmalow très mal digéré

Une fois passée la tordue refroidi sensation démesurée d’exagération
Subsiste un léger passage enivrant d’où l’on s’éloigne avec recul des émotions
De là rivé à bâbord ou tribord rien ne peut irrémédiablement faire chavirer le navire
Un paquebot tenant un cap vers un horizon lointain d’où il ne fait plus souvent rire

Un soir de lucidité, l’esprit fort de clarté se demande la raison pour s’énerver
Mais comment oublier la force des sentiments, de ceux qui poussent vers l'éternité
Au soleil, effleuré, brûlé, par la chaleur écarlate, inspiré par les mains d’une femme
L'hominidé se laisse aller à de légers jeux douceâtres et bénéfiques sans drame

...

Cryyyyyyyyyyyyying, yes I'll be tomorrow, I'll be crying

Hum.
Tout ce rouge sur mon f..

Sauf que c'est pas mon fil. J'en ai eu un, je l'ai effacé. Alors je devrais me taire. Mais voila. Peut-être un jour...

ici c'est pas chez moi. Si.

Si.

Ne sais pas trop... Comme quelque chose qui vient, qui s'annonce gentiment.
j'espère.
Mais j'espère depuis si longtemps.
je vous embrasse tous.

confusion will be my epitaph

Hello trop rare yakovlev

Moi aussi je l espère depuis longtemps.

Alors ravie que cela s annonce comme un pas, une pierre, un chemin qui chemine ..

Je t embrassitou.

Pierre, Pas, Chemin...
un nouveau shifumi
La pierre bloque le chemin,le chemin brouille les pas, les pas tapent la pierre...

bonsoir,

chemin, shifumi, et autres mystères

t'ai reconnu Yakovlev, attention aux ciseaux, ainsi qu'aux
cailloux obstruant le chemin (lol)

portes toi bien

bah.
Zay pour moi, il est au dessus. quelque part, très très haut. avec Mendes et Mandel.Massilia, Massilia...
Respect.
vais m'enterrer quelques temps. Prendre des vacances aussi. Yes Yes !
biz biz

c v y

Une Épopée THC, comme dirait Tristan, Tres Haute Connerie ???

http://www.youtube.com/watch?v=sGlIRJdVGN4

Un pas, une pierre, un chemin qui chemine

Les Eaux de Mars

Tout simplement !

j'ai une fois de plus et encore de trop, allumer mon televiseur.

Eh, abbassourdi, entre mes jambes je me cactuce de l'ortographe et de sa mere grammaire.

J"ai recu par desinformationn cette sinistre nouvelle ......

IL SEMBLERRAIT que des cheveauxx aient eu l' autorisation de partir de la colonie Sanofi pour se rendre
a Narbonne?

Mais ces enfoires de bourrins ont galopes par devers Paris et lha:::: je vous le trotte en Vincenne::::

Ils se sont fait cerrer sur le peripherique par la maréee chausséee ?? On ne galope plus a 80 mais a 70

Les bleusailles sachant que le troupeau allait tout de go a l"abbattoir furent clement.

Non, je ne suis pas rechuter dans la tetine. Mais,je vous en conjure trouver un baclofene pour erradiquer
ces journaleux qui violent la paisabilité de nos foyers.

Ah! Quel jouissance de post...ioiloner sans relire et medire a souhait.

L'age m'a donné cette complaisance de souvent preferer la bete a l'humaine.

Un jet egocentrique qui ......

.

Qu'une certaine douceur m'enveloppe,
et je l' invite à se diffuser ..

Hé oui, jusqu'à vous les mots dits !
(c'est peut-être vite dit)

Read you,
C.

Des mots teintés de douceurs avoinés sur une feuille glissée délicatement a l'intériorité de l'enveloppe bulle.

On en supplie d'en avoir a chaque instant.
Mais sans vouloir vous bousculer, je vous remet une louche de mon réalisme et de mon pluralisme.

Le décrochage n'est pas une fin en soi. Ce n'est pas l'épingle a nourrice qui ouvre le Césame de la
baliverne de Bacloblaba.

Je rebondis sur mes redondances. L'après est une autre histoire. Une tranche de vie qu'il faut apprivoiser
avec sérénité et humilité.

Ce n'est pas tout les jours l'euphorie Péruvienne. Quoiqu' il en cordilliére, le Bacloféne est un excellent
régulateur. Je vais de mieux en mieux. Je découvre les vertus du mot patience.

Prenez soin de vous.

Continues à prendre soin de toi mon ami. Dans les andillières ou cordailleurs.

clin d’œil: "les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait":

Un Australien a dû être enduit d'huile d'olive pour sortir d'un tambour de lave-linge dans lequel il s'était caché par jeu. L'homme s'était glissé dans la machine samedi après-midi dans son appartement du nord de Melbourne en espérant effrayer sa petite amie quand elle rentrerait. Mais «il est resté coincé», a raconté le sergent Tim Gleeson au Herald Sun.

Incapables de l'extraire sans adjuvant, policiers, pompiers et secouristes ont oint le plaisantin d'huile d'olive. «C'est juste un jeu qui a mal tourné. Le moins que l'on puisse dire, c'est que le jeune homme était très gêné», a ajouté, avec un brin de malice, le sergent Michelle De Araugo.

A bientôt.

y

Yoko, Hiroshima mon mystere,

Dis leurs que le décrochage n'est pas une délivrance.

Dis leurs que l'après demande une réflexion posée.

Dis leurs que je commence tout juste a me cerner.

Dis leurs que la molécule est un phénomenal voir Tristanesque régulateur.

Dis leurs que après, il est un instant ou l'on se rencontre avec soi.

Dis leurs, je te prie parce qu'il me pénibble.



Un tant soit peu avec toi.

Tristan

425 demain. Hiroshima je te hais.

comment leur dire l'après ?

Je suis dedans.

L'après n'est plus qu'un souvenir imaginé.

Hurler, Mais avec qui ?

Rendez-moi les loups.

421 ?

Mon Amour ?

Love Dear Marguerite

And you ?

Ne change rien.

Laisse tes manches sur tes airs...............

Yaco,

Toujours et encore dans ton antépénultième hurlement.

"L'après" La suite ne veux et ne peut être racontée.

La discipline, la ferveur, la terreur et les souffrances du traitement Baclofléne doivent se dire, se partager pour se soulager un tio du peu.

Le suivant... J'ai cette envergure de remercier , je ne sais qui, je ne sais quoi.
Merci.

Il fut un temps ou j'avais repéré a la falaise le spot d'endroit pour un dernier vol.
Vivre soigné et sans alcool te méprends.

Tu es libre, tu te "remèmorise" cette odieuse parodie de l'après cure / Je suis abstinent, Je vais bien
tout va bien !!! Aujourd'hui, je me sens décapé Mais....

Avis a tous les membres des sectes AA AH! Je vous ordonne de vous taire. Votre fossoyage est révolue.

L'après est une tranche de vie que l'on a mal a définir. On est enfin libérés? Non, certes non.
Il nous est demandé de vivre sans alcool, cela ne s'apprend dans aucune école de la république.

J'ai pu apprendre les nouvelles valeurs.
Par qui? Comment ? Pourquoi ? .....

J'ai cette hauteur maintenant de ne plus me poser en question.

Je profite de mes instants.

Nous avions, nous, une bande de potes accouchés de ce fil.

A l'époque, nous étions hors sujet. Les initiateurs de ce forum nous ont laissé délirer a souhait.

Merci a ceux qui sont concernés.

La chatte
a 4
papattes.

Remember mister Frank'olo?

Je remember,

Nous étions potaches, provocateurs et poètes maudits.

J'ai parcouru de nouveau ce fil et cites parmi tant d'autres :

" Dans l'église de ma bouche ton bas ventre se confesse "
Reiz 17

" J'ai mélangé la vierge folle a Bukowski pour voir. Top!"
Bidibule

"Tristan
Tant triste
Tantrique?
Tant mieux."
Loulou33

Et tant d'autres. AHHH! la belle dérision !

:

j'ai retrouvé aussi cette violence:

" 425 demain, Hiroshima je te hais.
Comment leur dire l'après. L'après n'est plus qu'un souvenir imaginé.
Hurler. Mais avec qui?
Rendez moi mes loups. "

Yakovlev

On peut le dire l'après mais sans vouloir dire ou tenir la "Vérité".

L'avant passé, nous pouvons le réduire, le résumer.

l'après, lui, est en marche, c'est une cuisse de poulet déchiquetée par nos dents de hasard,
des morceaux délicieux, du cartilage dégueu, le tout à peine mâché, déjà perdu, en route pour la digestion.

l'après est un présent (Je parlais de temporalité mais je viens d'entendre l'autre sens du mot "présent", chacun décidera s'il s'agit ou non d'un cadeau)) par conséquent nous n'avons auquel recul même aprés 2,3 ou 5 ans.
Tant que vivants nous sommes dedans.

On hiérarchise, on morcelle, on se trouve des étapes et des souvenirs.
On hurle moins, on perd nos loups et parfois on enrage de cette voix si ténue alors que nous n’étions qu'un cri.
On avance, inéluctablement, pris dans les spasmes lisses d'un grand intestin.

Tristan. Nous causons des langages qui peuvent facilement s'opposer l'un à l'autre.

Cependant, nous sommes tous deux des verbeux.

Nos différents, en mots, idées, pensées, résident sur le fond. Pas la forme !

L'un revient parfois se gargariser, alors que l'autre peut encore s'égarer.

Respectueusement.

Je conçois.

Je jase, je jacte, je paspine et je dégoise en une.

Mais dans le fond, ce dernier n'est il point que forme ?

A te lire.

Je n'ai personnellement aucune animosité, rancune, quoi que ce ce soit de plus qu'une neutralité envers toi.
Je ne fais que réagir à l'instant !

Tes formes ne sont pas miennes !!!
Rien de plus compliqué. Aucun conflit entre nous à mettre en œuvre pour autant !!!

Bravo pour ton parcours baclo qui semble bien contrôlé et efficace.

Écrire, afin d'y trouver un public large, semble nécessiter un égo soit clairement sur affirmé, mais justifié, soit une humilité à toutes épreuves !!!

Auquel de ces deux critères réponds tu ?

Je ne parviens toujours pas à te LIRE ! Te ouïr !
Mais il semble que mes écoutilles deviennent de mieux en mieux sélectives en mes référentiels variés.

Vole, envole toi encore et encore, Tristan, tant que tu le peux, tu ne sembles pas être un mauvais bougre, une mauvaise âme.

A te lire ........

étonnant cette citation et le chiffre aussi. 425.
Je n'ai pas retrouvé les loups.
J'habite à zombiland.
Depuis 4 mois déjà.
pour voir les zombies il m'en faut 525.
A ce compte là, je crois que j'y suis.
Mais je ne suis pas sereine, j'ai toujours l'impression que la bête est là, quelque part en embuscade.
Et je suis épuisée.

S'épuiser, à quoi bon ?, pourquoi ?, en quel sens ultime ?, alors que VIVRE nous est encore OFFERT, est un choix, soit de facilité, de paresse, d'hypocrisie, voir de désespérance suicidaire ultime. En tout choix réside une issue. Heureuse, perdante, nos actes concrets le décident. Le chiffre 0, vert et gagne me sied à merveille désormais.

Ce 0 absolu. Infini. Source des mathématiques modernes.

Sans ce chiffre, ni le rien, ni le tout, ni l'infini, n'auraient de repère, de matrice, de référentiel.

Alors à 0, il nous redevient possible autrement de coordonner toutes les pendules, les métronomes, vers une heure nouvelle.
Autrement synchronisée, plus rectiligne, face au méridien de Greenwich voir le pendule de Foucault, et pourquoi pas le je m'en valsisme ambiant tendance pépérisme !!

Yako ,

Plaisir a te savoir encore lasse. Preuve que tu es. Je n'ai que cite tes douloureuses.

"Prend soin de toi." Non c'est a chié.

"Prend garde a toi." Oui c'est plus menaçant.

C'est gagné,

Je me tance a vous nommer Euromillion.

J'en suis fort désolé mais nous êtes d'aucune mesure chez nous.

Je vous enjoins d' étudier au plus près l' ergothérapie.
A ne plus se lire............

Tristan, avec tous mes respects et compréhensions virtuelles forcément faussées, ton égo me semble surdimensionné envers ta carapace réelle !
As tu consulté un psy une fois en ton existence ? L'as vraiment écouté, hors tes égo ?

En d'autres termes, si ton ramage avait su faire place à un plumage autrement plus empathique, joyeux et multicolore, tu aurais su répondre à mon humble question autrement que par tes basses négligences répétées, en quoi se justifient-elles, et autrement qu'à tes yeux vaniteux !!!

Tu n'en es pour l'instant pas encore en capacités humaines !
Nuls, surtout pas moi, ne pourrait t'en blâmer.

Brefle, salut à l'Ami Gaday au passage, à ta demande express, je n'interviendrai plus sur ton fil.
J'y perd un temps autrement plus précieux.

Cependant, très humainement, sincèrement, je te souhaite tous les mérites et réussites humaines à tes hauteurs actuelles.
L'intellect tu le maîtrise déjà. Tente, peu être ?, te te concentrer vers autres chose ....

Sans rancune, vraiment aucunes.

Stéphane

Ps :

L'ergothérapie est une profession de santé évaluant et traitant les personnes afin de préserver et développer leur indépendance et leur autonomie dans leur environnement quotidien et social1. Dans la plupart des cas, les ergothérapeutes travaillent en collaboration avec des masseurs-kinésithérapeutes, des orthophonistes, des physiothérapeutes, des psychomotriciens, des médecins, des infirmiers, des psychologues et des travailleurs sociaux.

Lequel de nous 2 en aurait réalistement le plus besoin actuellement ?
Je pause naïvement la question. Mes névroses sont correctement durablement traitées. Les tiennes le sont-elles ?

A jamais, cher Tristan !!!

Jamais.

Son antonyme, tu chercheras et comprendras ton non lieu en ce cercle.

Trop de mots dits, non?

Oyez ! poètes et poétesses,

Ah bienheureux les pauvres en esprit, car le royaume des cieux est à eux !

J'en connais qui n'existent qu'entre 20h et 23h seuls, devant leur clavier, pour peu qu'ils se soient trouvé une tribune sur l'un ou l'autre forum...

Quant ils sont en forme, ils citent leurs grands hommes, Einstein, le Dalaï lama...

Bon, quand on ne connait pas les maths, on n'en parle pas. Le zéro absolu, c'est de la physique-chimie, pas des maths. C'est une température: 0 Kelvin, soit -273 °C. J’arrête là, je vais pas faire un cours sur la thermodynamique.

Quant à la mathématique moderne, elle est considérée aujourd'hui comme la pire des méthodes d'enseignement que l'on ai jamais utilisée.
Devinez de qui on a hérité cette "m...." ?

Pour finir, fa-ti-guée, ne veut pas dire suicidaire.
Avant, j'étais défoncée au whisky, maintenant, je suis défoncée au baclo. Et pour tout dire, je préfère.
On sait tous, ici, que le parcours baclo n'est pas une partie de plaisir. Certains sont moins chanceux que d'autres.
Disons que j'appartiens aux groupe des super-poisseux.

Allez, faisons fi du méridien de Foucault, du pendule de Greenwich, et autres métronomes infinis et référentiels, du tout, du rien, sans oublier la matrice...

Vous reprendrez bien un petit Victor ?

Marchands de grec ! marchands de latin ! cuistres ! dogues!
Philistins ! magisters ! je vous hais, pédagogues !
Car, dans votre aplomb grave, infaillible, hébété,
Vous niez l'idéal, la grâce et la beauté !
Car vos textes, vos lois, vos règles sont fossiles !
Car, avec l'air profond, vous êtes imbéciles !
Car vous enseignez tout, et vous ignorez tout !
Car vous êtes mauvais et méchants ! -- Mon sang bout
Rien qu'à songer au temps où, rêveuse bourrique,
Grand diable de seize ans, j'étais en rhétorique !
Que d'ennuis ! de fureurs ! de bêtises ! -- gredins ! --
Que de froids châtiments et que de chocs soudains !
«Dimanche en retenue et cinq cents vers d'Horace !»
Je regardais le monstre aux ongles noirs de crasse,
Et je balbutiais : «Monsieur... -- Pas de raisons !
Vingt fois l'ode à Panclus et l'épître aux Pisons !»

Eh, Yako !

j'aime a te lire.
Dans ton verbe, je retrouve l'agressivité, la griffe, le vitriol de Charles Baudelaire.

" Mais parmi les chacals, les panthères, les lices.
Dans la ménagerie infâme de nos vices.

Il en est plus laid, plus méchant, plus immonde !
Quoiqu'il ne pousse ni grands gestes ni grands cris.
Il ferait volontiers de la terre un débris.

Et dans un bâillement avalerait le monde.

C'est l'ennui !

Certes le Baclofène m'a soigné, m'a libéré mais je con...fesse/çois et sidère que parfois souvent
l'ivresse me manque.

Je m'ennui dans l'écriture.

Je te médium un boson non point scalaire mais solaire.

Yaco,Tristan, perchées en vos si hautes sphères, vos réponses à mes humbles caca verbeux volontaires tentent à prouver mon génie. Merci. Vous êtes tous deux si fabuleux et douées.

De bienséances, politesses, humaines, vous vous taisez, retranchées faussement, pour vous avant tout, plus pour nous par ici, en face d'un vous même que vous reconnaissez être nauséabond pour le moment.

Alors votre discours commun de pieds niquelés pas autant accordés à la mélodie ambiante commune qu'elle souhaite le faire savoir en devient tristement comique.

Mais, quelle belle utopie l'égo déplacé, vos gargarismes inféconds et stérils semblent vous procurer un plaisir immense, sorte de coït. Tant mieux pour vous.

À me taire désormais sur ce fil stupide! Qui ne sert qu'une cause égocentrique, égocentrées.

Ta tendance a vouloir faire preuve d'ingérence chez nous autres, me gratouille.

Alors, je vais te répondre.
Je suis égocentrique. J'aime écrire, j'aime me lire et me relire. J'aime ces instants de colère ou de part
un geste je détruis les pages d'une nuit.

Oui, j'aime envoyé des missives et être dans l'attente d'une réponse qu'elle soit langoureuse, houleuse,
perturbée ou encore interrogative.

Tu as raison, ce cercle est un tempête d'ègoisme littéraire avec souvent ses vagues d'altruisme.

Vous savez ce qu'est un égoïste?
Quelqu'un qui ne pense pas à moi.

Continuez votre égoïsme art que je me régale à lire

lit "s" dans mon verre,

J'ai de l'égoissme par devers toi et il ne peut se m'éprendre d'être historique et indéformable.

Très chère Lee, musicalement, tu l'entendras, le recevra, en quadriphonie, très certainement, ceci :



Très égoïstement moi, envers tous, pour une postérité humaine !!!

ego

nom masculin invariable

(calque de l'allemand das Ich, le je, d'après latin ego, moi)

Définitions
Expressions
Homonymes


Nom donné au moi conçu comme « sujet personnel ».
Dans une analyse de parenté, terme désignant le sujet pris comme référence, à partir de qui se situent les liens d'alliance et de consanguinité.
Traduction usuelle en anglo-américain du terme freudien Ich, qui signifie aussi bien « moi » que « je ».

Alors ?, manque d'égo, parfois, souvent, qui revient réalistement, à mérites, parfois pour certain(e)s à grands pas volontaires de s'en défaire au plus vite et au mieux, faut-il s'en faire de l’égoïsme ? :

égoïsme

nom masculin

(latin ego, moi)

Définitions
Synonymes
Citations


Attachement excessif porté à soi-même et à ses intérêts, au mépris des intérêts des autres.
Considération exclusive de l'intérêt du groupe, chez tous ceux qui en sont membres : Égoïsme familial.

Tristan, je reconnais, sans avoir à en forcer le trait, ma jubilation certaine, pour ne pas dire certaines jubilations, à venir faire poindre cet hymne, à cet instant, par ici :




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liberté n.f.

État de quelqu'un qui n'est pas soumis à un maître.
Avoir toute liberté pour
Degrés de liberté
Liberté corporelle
Liberté d'allure
Liberté d'association
Liberté de la mer
Liberté de la presse
Liberté de la vie privée
Liberté de l'air
Liberté de langage
Liberté de langue
Liberté de mœurs
Liberté de mouvement
Liberté de pinceau, de burin, etc.
Liberté de réunion (publique)
Liberté d'enseignement
Liberté des conventions
Liberté d'esprit
Liberté du culte
Liberté du travail
Liberté économique
Liberté individuelle
Liberté surveillée
Liberté syndicale
Prendre la liberté de
Sauteur en liberté
semi-liberté n.f.

Régime permettant à un condamné de quitter l'établissement pénitentiaire pour...
référé-liberté n.m.

Garantie instituée en France au profit des personnes mises en...
Arbres de la Liberté
Frappe libre ou liberté de frappe
Loi du chi-deux (χ2) à n degrés de liberté
Liberté d'opinion
Atteinte à la liberté du travail
Attentat à la liberté individuelle
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libero
libéro-ligneux
libertaire
liberté
libertés
liberticide
libertin

liberté

nom féminin

(latin libertas, -atis)

Définitions
Expressions
Synonymes
Citations


État de quelqu'un qui n'est pas soumis à un maître : Donner sa liberté à un esclave.
Condition d'un peuple qui se gouverne en pleine souveraineté : Liberté politique.
Droit reconnu par la loi dans certains domaines, état de ce qui n'est pas soumis au pouvoir politique, qui ne fait pas l'objet de pressions : La liberté de la presse.
Situation de quelqu'un qui se détermine en dehors de toute pression extérieure ou de tout préjugé : Avoir sa liberté de pensée.
Possibilité d'agir selon ses propres choix, sans avoir à en référer à une autorité quelconque : On lui laisse trop peu de liberté.
État de quelqu'un qui n'est pas lié par un engagement d'ordre contractuel, conjugal ou sentimental : Il a quitté sa femme et repris sa liberté.
Temps libre, dont on peut disposer à son gré : Ne pas avoir un instant de liberté.
État de quelqu'un ou d'un animal qui n'est pas retenu prisonnier : Un parc national où les animaux vivent en liberté.
Situation psychologique de quelqu'un qui ne se sent pas contraint, gêné dans sa relation avec quelqu'un d'autre : S'expliquer en toute liberté avec quelqu'un.
Manière d'agir de quelqu'un qui ne s'encombre pas de scrupules : Être blâmé pour la liberté de sa conduite.
Écart d'une interprétation, d'une adaptation, etc., par rapport aux faits réels ou au texte original : Une trop grande liberté dans la traduction.
État de ce qui n'est pas étroitement contrôlé, soumis à une réglementation sévère : Instaurer la liberté des prix industriels.
Caractère de ce qui relève de l'initiative privée : Liberté d'entreprise.
Jeux
Nom donné, pendant la Révolution, à certaines figures des jeux de cartes qui remplaçaient les reines.

Ce fil, manque, à mon sens, de grille de lecture, d'un glossaire.
De définitions essentielles énoncées envers ses lecteurs.

Maudit(e)s, nous l'avons toutes et tous forcement été(e)s un soir que le lune était froide !!!
Plus ou moins durablement. C'est fonction. Pour chacun(e).

Yako, histoire de faire taire tes fantasmes illusoires, saches que je reviens causer par ici, quitte à en bousculer certain(e)s, dont toi, ta réponse absurde, peu intelligente et éclairante d’humanité, du simple fait que j'en ai le loisir volontaire !!! Et non pas par frustration et colère. Ce stade m'est bien passé, trépassé.

Tu y réfléchiras, peut être ?, avant de re pondre une prose crasseuse, reflet de ton âme actuelle ?, en sa cause humaine !!!
Mais, revenons y, ta cause semble être dépourvue de tout sens empathique et réellement humain ?

En cela, Tristan compris, nous nous opposons !!!

Mais, aucuns motifs justifiés à déclencher une sixième République ;-) (ce smiley me plaît bien, il est approprié en nos décalages et distances respectives !!!)

C'est gagné, je vais être claire:

Tes propos totalement décousus, ta psychologie à 2 balles, ton verbiage inutile...

Tout chez toi m'insupporte. Je réitère ce que j'ai dit: Tu n'existes que par la tribune que tu crois avoir trouvée ici.

J'ai manifestement fait mouche en te le disant la première fois.

Je ne vais pas répondre à tes prochains posts, Ce serait parfaitement stérile.

S'il te restait un soupçon d'intelligence, tu me lâcherais le bas du pantalon.

Malheureusement, je crois qu'en ce qui te concerne, le yoyo a quitté la ficelle depuis un moment déjà.

Ce qui fait que tu vas continuer à déverser tes flots de posts plus imbuvables les uns que les autres.

Je vais simplement les ignorer.

Yako,

Je pense que le pronostic neuronal de cette personne est engagé depuis fort longtemps.

Alors, il me semble que l'indifférence envers lui serait les prémices d'une thérapie.

Point de tribun malséant. Un point final tout simplement.

Yako, Tristan, très simplement, merci à vous 2 d'avoir donné raison à mon raisonnement vous concernant !

Venir se gargariser parfois par ici sans avoir eu ni le courage, ni l’honnêteté, ni l'intégrité, de se mettre un tant soit peu à poil pour les autres au travers d'un fil personnel, quel signe évident d'intelligence en ses aspects humains. Quelle noble volonté de partage et d'échange réalistement justifiée !

Vos réponses, gentiment puantes d'orgueils dégoulinants, de jugements déplacés très arbitraires, de vanités absolues, causent d'elles mêmes. = (point final personnel à nos échanges stupides)

En attendant la fin des caca de mouflets, et l'arrivée de ce point final qui se traine, je me terre.

je me taupe de même.

On est pas bien là au frais de la terre, attendant que ce dégage le ciel verbeux?

Je me fais des lignes de terreau a se mettre les vers de terre a l'envers.

Eh, Yako,

N'oublie jamais de passer prendre des nouvelles et.... d'en donner.

Hey Laine !!

Cergetorix ...

Un soir je t ai vu

Rien ne savoir la

Rien
juste soi disant
Je fais
comme une
Bete ...