Bonsoir Nathy,
Je viens de relire ton
tout premier message.
Je "conseille" souvent à chacun de se relire, ça permet de voire le chemin parcouru et c'est souvent avec le
tout premier message que la différence, l'avancée est flagrante
Tu vois :
je vis dans l'angoisse de perdre mon fils.
Et le matin je culpabilise, je déprime.
Si je n'avais pas mon fils, je ne serais même plus là . Mais mon fils grandit et il se rend compte de quelque chose bien évidement.
Et je souffre et souffre encore. J'ai vraiment besoin d'aide vous savez.
Merci de m'avoir lu.
J'étais exactement dans ça et tout comme toi ( et d'autres) je ne buvais pas par goût, mais pour oublier ma journées, ma vie.
Seul mon fils me faisait tenir.
Aujourd'hui je suis libérée de l'alcoloo dépendance et je n'ai plus peur.
Aujourd'hui quand je te lis, tu me semble bien plus forte que ce que tu décrivais que tu étais dans ton
tout premier message
Alors oui, sois fière de toi et pas de panique si tu craques.
Tu as choisi le chemin le plus difficile en t'efforçant à ne pas boire du tout
Normalement il en sera plus direct et donc plus rapide.
Bravo Miss