Certes C il ne devrait pas s'agir d'une guerre fratricide.
L'alcool est la base de tout, mais l'alcool éliminé, en tout cas l'addiction, il reste à changer la manière de penser et d'agir et le baclo ne peut rien contre le déni de responsabilité: "C'est pas moi c'est les circonstances".
Un moment il s'agit bien d'individu.
Que tu le fasses par la guerre ou la paix, il existe toujours un combat quand il y a un enjeu.
Vivre heureux, Ă deux, Ă mille est un enjeu.
Pas un enjeu théorique, c'est au quotidien que cela se joue, cohabiter (pour reprendre le cri d'amour du crapaud. Desproges.)c'est impossible sans respect, aimer, encore plus.
Je t'aime mais je te trompe, je te bat, je te viole, je te vole...Est ce ainsi que les hommes vivent?
Il ne s'agit pas de stratégie de guerre entre généraux, de désir de vaincre l'autre.
On est au front avec l'alcool, Ă trembler, Ă pleurer ou Ă ne pas y arriver, Ă ne plus savoir qui est l'ennemi et quelque part Ă simplement vouloir, heure par heure, sauver sa peau.
L'armistice ne se signe pas dans les tranchées.
Attention, ceci n'est pas une plainte et ne correspond pas forcement Ă ce que nous traversons en rĂ©alitĂ©. Ce ne sont que des mots pour tenter de rĂ©pondre Ă
.
Est-il vain de se poser la question ?
[/color]