Reprise du dernier message
Bonsoir les Amis,
Semaine trop trop bizarre d'où ma peu de présence... Pourtant, tous les jours, j'ai pensé à vous en me disant que j'aimerais passer et écrire, mais au final, je ne sais pas, je me suis laissé dépasser, comme souvent ces temps ci.
Pour les nouvelles... Ce que j'ai pris lundi dernier pour une réaction à ma gloutonnerie ne l'était pas. La sensation de flotter, d'être défoncer, d'avoir le cerveau dans le coton. En fait, je me sens comme ça depuis lundi, surtout à partir de midi, mais ça ne s'arrête pas. C'est pire quand je suis debout, que je m'agite. C'est comme la sensation qu'on a quand on sent qu'on va s'évanouir, mais en permanence, sans pour autant finir par s'évanouir. C'est très étrange, très perturbant. Je me sens en permanence comme un zombie malade et faible en fait.
Depuis samedi dernier, je suis en effet malade, mais ça s'est amélioré vers mardi, donc je suis sceptique sur est ce que c'est ma crève qui déclenche ça ou pas...
En ce qui concerne le baclo, le départ de cette sensation ne correspond pas puisque mon augmentation a été faite le lundi soir, sur la prise du soir, alors que la sensation a commencé lundi dans l'après midi.
Du coup, je ne sais absolument pas ce qui déclenche ça, mais je suis mal, vraiment. Je suis incapable de tout en permanence, plus de ménage, plus de lessive, plus de rien sauf obligation RDV médical. Tout me coûte, et ce qui me soulage c'est juste de rester allongé dans le canapé sans bouger. Autant dire que ce n'est pas vraiment vivable si ça dure vraiment...
S'ajoute à ça le retours de mes douleurs violentes dans les cervicales, qui vont qui viennent, reste quelques jours ou ne dure que 10 min depuis à peu près mes 90mg de traitement.
Niveau acouphène, toujours là , mais assez discret, je vis assez bien avec ces derniers jours.
Pour tout dire, j'en arrive à présent à éviter de conduire. Depuis la sensation que j'ai depuis lundi, même tenir une conversation, me concentrer, est devenu un périple. C'est comme si en permanence j'avais fumé une herbe particulièrement bonne et puissante... Sans compte qu'avec l'acouphène et les oreilles comme en sourdine, ça me donne une impression horrible d'être enfermé dans mon cerveau. J'ai des peurs parfois, dans la rue, je dois me forcer à rester alerte des voitures, et des gens autours de moi pour ne pas me retrouver dans des situations dangereuses.
Lundi je vois mon psy, et la doc qui me suit au CHU, si aucun des deux ne me donnent de réponse ou d'aide avec ça, j'irais voir mon généraliste, bien plus compétent et réactif.
J'hésite même à en parler au psy et au doc du CHU, ils me disent qu'une chose dès que je parle d'un ES ou d'un malaise : peut être qu'on est allé trop loin, ou alors, restons encore deux trois semaines à ce dosage.
Moi, j'atteins un stade là , ou même le changement observé il y a quelques semaines disparaît. J'avait même perdu 2kg, reprit cette semaine. Je me surprends à repenser à la nourriture dès le réveil, pas que j'en ai envie tout de suite, mais que je pense à ce que j'aurais envie de manger quand je pourrais (je ne mange pas le matin, je suis trop écœurée, ça intervient en général, minimum à 11h).
En fait, depuis quelques temps, j'étais heureuse de constater que mes envies n'arrivaient plus qu'à partir de 16h, et que je me contentais d'une crise, soit en fin d'aprem, soit dans la soirée.
Et cette semaine, c'est vraiment n'importe quoi... Je crois que je suis plus consciente de rien, parfois, je ne sais même plus si j'ai pris mes cachets, je vérifie l'heure 5 fois, bloque une heure entière sur un truc insignifiant sans me rendre compte que le temps passe... Je me sens vraiment plus moi même, ce qui explique que je suis complètement plus à l'écoute de mes envies, comme si mon corps était en pilote automatique ou un truc du genre.
C'est sûr qu'il faut faire quelque chose lundi au maximum, parce que là , rien qu'en vous parlant, j'ai cette sensation derrière les yeux que mon cerveau est dans le coton, et j'ai beaucoup de mal à être cohérente je crois... Vraiment, c'est comme si j'avais fumé et que j'étais en permanence défoncé, c'est la seule description que j'arrive à en faire... Alors vous m'imaginez dire ça à un médecin ? J'arrive pas à trouver les mots pour expliquer le malaise permanent d'engourdissement dans ma tête, comme si j'étais entrain de tomber dans les pommes en permanence sans jamais vraiment y tomber. Ca commence à me faire un peu peur, je ne peux pas rester comme ça à long terme.
Mais est ce le baclo, est ce que je suis malade, ou qu'est ce que c'est ? J'espère que c'est pas le baclo, vraiment, parce que je peux pas vivre avec cette sensation là à long terme, c'est impossible.
Je suis à 220 depuis lundi. Je crois que je vais attendre avant d'augmenter, de voir d'abord ce que donne ce malaise là .
Je vous embrasse tout de même, j'espère que j'ai pas été trop bordélique dans mes écrits là .
Semaine trop trop bizarre d'où ma peu de présence... Pourtant, tous les jours, j'ai pensé à vous en me disant que j'aimerais passer et écrire, mais au final, je ne sais pas, je me suis laissé dépasser, comme souvent ces temps ci.
Pour les nouvelles... Ce que j'ai pris lundi dernier pour une réaction à ma gloutonnerie ne l'était pas. La sensation de flotter, d'être défoncer, d'avoir le cerveau dans le coton. En fait, je me sens comme ça depuis lundi, surtout à partir de midi, mais ça ne s'arrête pas. C'est pire quand je suis debout, que je m'agite. C'est comme la sensation qu'on a quand on sent qu'on va s'évanouir, mais en permanence, sans pour autant finir par s'évanouir. C'est très étrange, très perturbant. Je me sens en permanence comme un zombie malade et faible en fait.
Depuis samedi dernier, je suis en effet malade, mais ça s'est amélioré vers mardi, donc je suis sceptique sur est ce que c'est ma crève qui déclenche ça ou pas...
En ce qui concerne le baclo, le départ de cette sensation ne correspond pas puisque mon augmentation a été faite le lundi soir, sur la prise du soir, alors que la sensation a commencé lundi dans l'après midi.
Du coup, je ne sais absolument pas ce qui déclenche ça, mais je suis mal, vraiment. Je suis incapable de tout en permanence, plus de ménage, plus de lessive, plus de rien sauf obligation RDV médical. Tout me coûte, et ce qui me soulage c'est juste de rester allongé dans le canapé sans bouger. Autant dire que ce n'est pas vraiment vivable si ça dure vraiment...
S'ajoute à ça le retours de mes douleurs violentes dans les cervicales, qui vont qui viennent, reste quelques jours ou ne dure que 10 min depuis à peu près mes 90mg de traitement.
Niveau acouphène, toujours là , mais assez discret, je vis assez bien avec ces derniers jours.
Pour tout dire, j'en arrive à présent à éviter de conduire. Depuis la sensation que j'ai depuis lundi, même tenir une conversation, me concentrer, est devenu un périple. C'est comme si en permanence j'avais fumé une herbe particulièrement bonne et puissante... Sans compte qu'avec l'acouphène et les oreilles comme en sourdine, ça me donne une impression horrible d'être enfermé dans mon cerveau. J'ai des peurs parfois, dans la rue, je dois me forcer à rester alerte des voitures, et des gens autours de moi pour ne pas me retrouver dans des situations dangereuses.
Lundi je vois mon psy, et la doc qui me suit au CHU, si aucun des deux ne me donnent de réponse ou d'aide avec ça, j'irais voir mon généraliste, bien plus compétent et réactif.
J'hésite même à en parler au psy et au doc du CHU, ils me disent qu'une chose dès que je parle d'un ES ou d'un malaise : peut être qu'on est allé trop loin, ou alors, restons encore deux trois semaines à ce dosage.
Moi, j'atteins un stade là , ou même le changement observé il y a quelques semaines disparaît. J'avait même perdu 2kg, reprit cette semaine. Je me surprends à repenser à la nourriture dès le réveil, pas que j'en ai envie tout de suite, mais que je pense à ce que j'aurais envie de manger quand je pourrais (je ne mange pas le matin, je suis trop écœurée, ça intervient en général, minimum à 11h).
En fait, depuis quelques temps, j'étais heureuse de constater que mes envies n'arrivaient plus qu'à partir de 16h, et que je me contentais d'une crise, soit en fin d'aprem, soit dans la soirée.
Et cette semaine, c'est vraiment n'importe quoi... Je crois que je suis plus consciente de rien, parfois, je ne sais même plus si j'ai pris mes cachets, je vérifie l'heure 5 fois, bloque une heure entière sur un truc insignifiant sans me rendre compte que le temps passe... Je me sens vraiment plus moi même, ce qui explique que je suis complètement plus à l'écoute de mes envies, comme si mon corps était en pilote automatique ou un truc du genre.
C'est sûr qu'il faut faire quelque chose lundi au maximum, parce que là , rien qu'en vous parlant, j'ai cette sensation derrière les yeux que mon cerveau est dans le coton, et j'ai beaucoup de mal à être cohérente je crois... Vraiment, c'est comme si j'avais fumé et que j'étais en permanence défoncé, c'est la seule description que j'arrive à en faire... Alors vous m'imaginez dire ça à un médecin ? J'arrive pas à trouver les mots pour expliquer le malaise permanent d'engourdissement dans ma tête, comme si j'étais entrain de tomber dans les pommes en permanence sans jamais vraiment y tomber. Ca commence à me faire un peu peur, je ne peux pas rester comme ça à long terme.
Mais est ce le baclo, est ce que je suis malade, ou qu'est ce que c'est ? J'espère que c'est pas le baclo, vraiment, parce que je peux pas vivre avec cette sensation là à long terme, c'est impossible.
Je suis à 220 depuis lundi. Je crois que je vais attendre avant d'augmenter, de voir d'abord ce que donne ce malaise là .
Je vous embrasse tout de même, j'espère que j'ai pas été trop bordélique dans mes écrits là .